Paris chez Daumont, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. , légérs plis sur la gravure, (1760) à Paris : Chez DAUMONT, Rue St. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... Vue panoramique du Roamarkt à Francfort-sur-le-Main avec l'avenue des châtaignes et une vue sur l'église Sainte-Catherine, au premier plan : cavaliers et voitures tirées par des chevaux ..... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Daumont, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. (1760) à PARIS chez Daumont Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ........ rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1770) à Paris chez CHEREAU Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ............ Peut-être inspiré du décor de l'opéra Dardanus : tragédie lyrique en un prologue et 5 actes sur une musique de Jean-Philippe Rameau, donnée pour la 1ère fois à Paris au Théâtre de l'Opéra, le 19 novembre 1739, puis remaniée en 1744; La lamentation de Dardanus dans sa prison (après avoir avoué ses sentiments à Iphise, fille de son rival le roi Teucer) n'apparaît dans l'acte IV qu'en 1744 et se fait prétexte à représenter une vue d'architecture imaginaire d'après Piranese .... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Mondhare 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1780) à Paris chez Mondhare Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Chez JEAN 1810 une vue d'optique en couleurs,GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 44 x 32,5 cm, sans date (1810) à Paris chez JEAN rue St Jean de Beauvais N°10 Editeur
La bataille de Raab se déroule le 14 juin 1809 près de Gy r, en Hongrie, et oppose l'armée franco-italienne du vice-roi Eugène de Beauharnais à l'armée autrichienne de l'archiduc Jean d'Autriche. L'affrontement se solde par une victoire des Franco-Italiens ....... rare gravure ........... en bon état (good condition).
Paris Basset 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez Basset rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
1825 une vue d'optique en couleurs,GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 51 x 33,5 cm, sans date (1825) à Paris chez Basset Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public .......BELLE GRAVURE ..... RARE ........... en bon état (good condition).
londres 1752 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. (1752) à LONDRES sans nom d'Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ........ rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Jean 1800 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 51 cm., 1800 Paris chez Jean Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Chereau 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 52 cm., 1770 Paris chez Chereau Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
1700 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 21,5 x 25,5 cm., 1700 sans lieu ni Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS Basset 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 29 x 43 cm., 1750 PARIS Chez Basset Rue S. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ....... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Jacques 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 51 cm., pli au centre, 1790 Paris chez Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
1700 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 38 x 24 cm., 1700 sans lieu ni Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Mondhard 1761 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,5 x 50 cm., 1761 sans lieu ni Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS MONDHARE 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 31 x 49,5 cm., 1780 PARIS MONDHARE Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 49,5 x 32 cm., 1760 sans lieu, ni Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Basset 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 51 cm., pli au centre, 1760 Paris chez Basset Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Editions Du May 1992 in 4 (27,5x24,5) 1 volume reliure cartonnée de l'éditeur sous jaquette illustrée en couleurs, 118 pages [1], avec de nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs. Préface de Pierre Tchernia. Etat de neuf ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Neuf Jaquette neuve Reliure
PARIS CREPY 1700 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 38 x 24 cm., fait par Aveline avec Privilege du Roy, Crepy ex., 1700 PARIS CREPY Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Deux parties en un volume in 4 plein cuir fauve raciné, pièce de titre chagrin rouge, caissons dorés, roulettes dorée sur coupes. Portrait de DESCARTES d’après le tableau de Frans HALS, gravé par EDELINCK Première partie gravure en tête, LXII-417pages. Seconde partie titre, XVI 602 pages, une planche double figure le tombeau de DESCARTES avec son épitaphe, une gravure dans le texte, tranches jaspées. Chez Daniel HORTHEMEL 1691. Edition originale. Petite restauration, ancienne, au mors inférieur, droit sinon très bon état.
Théologien et homme de lettres français surtout connu comme premier biographe de René DESCARTES. La meilleure biographie écrite par l’un de ses contemporains. L’auteur a rassemblé des matériaux contemporains du philosopheRené DESCARTES né le 31 mars 1596 La Haye en Touraine morts 11 février 1650à Stockholm, mathématicien, philosophe, physicien considéré comme l’un des fondateurs de la philosophie moderne. Gérard EDELINCK né à Anvers le 20 octobre 1640, mort à Paris le 2 avril 1707, graveur français d’origine flamande. Il excelle dans le portait, il popularise un grand nombre de tableaux de peintres célèbres
Augsburg, auf Kosten Eberhard Kletts, 1754. 8°. 10 n.n. Bl., 576 S., 8 n.n. Bl. Mit 17 gestochenen, meist gefalteten Kupfertafeln. Halblederband der Zeit.
Waller 10730. - Wellcome II, 88. - Blake 28. - Nissen ZBI 201. - Erste deutsche Ausgabe. Erfahrungen, die Henry Baker mit einem neuen von John Cuff konstruierten Mikroskop machte. John Baker, der Schwiegersohn von Daniel Defoe beschreibt vor allem die Beobachtungen, die er an organischen wie an anorganischen Materialien machte. Die als Frontispiz eingebundene Tafel 16 mit der schönen Darstellung des von ihm verwendeten Mikroskops. - Stellenweise leicht stockfleckig. Einband beschabt. Oberes Kapital mit kleiner Fehlstelle.
Phone number : 41 (0)44 261 57 50
A Paris chez Ch;A Jombert 1754. In-8 XVII 1f n ch privilège 356pp. Pleine basane racinée havane, dos à nerfs orné de compartiments dorés, tranches brique, rel époque. Orné de 15 belles planches repliées, regroupant 80 figures:pièces de microscope, cellules, animaux microscopiques, cristaux. Défauts d'usage sur la reliure, mors fragiles, dans l'ensemble bel exp.
Première traduction française de cet intéressant ouvrage du naturaliste Anglais Henry Baker (?-1774), dans lequel on trouvera des résultats de recherches sur la cristallisation et le polype. L'auteur de la traduction est le Père Pézenas (Avignon 1692-1776) érudit jésuite qui dirigea l'observatoire de Marseille.
Liège, Editions Desoer, 1950. 21 x 27, 54 pp., 63 figures, broché, bon état (couverture défraîchie).
Paris, Perrin, collection "Jeu Savant", 1955, 1 broché, couverture illustrée, déchirures au dos. in-4 de 83 pages, illustrations ;
Phone number : 06 80 15 77 01