Reference : 38064
Paris Kodak-Pathé, S. A. F., sans date (vers 1950) in 8 (24,5x16) 1 volume reliure cartonnée de l'éditeur, dos de percaline marron, 207 pages, avec de nombreuses illustrations en noir et blanc. Bel exemplaire
Très bon Reliure
DEUXIEME EDITION-IN 8-462 PAGES-DE "PEAU" A "POSTE"-EXPLICATION DES PLANCHES EN FIN D'OUVRAGE-10 PLANCHES: NIVEAU, NUAGES, OPTIQUE (4), PERSPECTIVE, OPTIQUE, PAPIER (MACHINE A FABRIQUER LE)(2)-DOS CASSE-INTERIEUR FRAIS
DUMENIL-PARIS COUVERTURE SOUPLE ETAT ASSEZ BON
Reference : Boite14
0 In4 ( 30 x 21 cm ) - cartonnage éditeur pleine percaline , titres dorés au 1er plat - 73 pages - trés nombreuses illustrations - sans date ( vers 1890) - Instrument de nivellement - niveaux - arpentage -triangulation , tachéométrie - topographie des mines - géodésie - astronomie - météorologie - marine - optique - instruments de mathématiques , etc...
Bon
Reference : 2164.1aaf
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris Editions Mondiales 1953. In-8 broché belle couverture illustrée en couleurs, 12 feuillets non chiffrés. Légère usure en bordure de la couverture, 2 coupures sans manques au bas du 1er plat de la couverture, manquent les branches des lunettes, intérieur frais. Edition française de cette célèbre bande dessinée américaine, dessinée par Paul Terry, présentée en version en relief avec ses lunettes spéciales bicolores dont les branches manquent. (4554)
Reference : 2172.1aaf
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : 133703aaf
Paris, Ed. Alain Brieux, 1980, gr. in-8vo, XXXIV + 272 p., richement illustrée, cartonnage imprimé, parfait état. Couverture rigide.
Réimpression en fac-similé du catalogue illustré des constructeurs français à l'Exposition Universelle Paris 1901-1902 ; augmentée d'une préface de Jacques Payen.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : 2165.1aaf
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : CATALOG17
P., Etablissements HERMAGIS, 29 rue du Louvre, s.d.(1931) Catalogue in-12, 32pp., dessins in-t.
P. GUILLAUME & Cie Successeurs de FLEURY-HERMAGIS. Usine à Dijon.
Reference : 2166.1aaf
s.d. 18ème s. Gravure sur cuivre coloriée à la main. Coupée court au bord (Guckkastenblatt, Kupferstich d. 18 Jhd., eng beschnitten), 1 feuille 26 x 40 cm.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : 2067.1aaf
Feuille 30 x 40.5 cm. Lithographie originale en couleurs.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Reference : 2176.1aaf
Phone number : 41 (0)26 3223808
Paris 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 51 cm., 1780 Paris sans nom d'Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris, imp. Lamarre, s.d. (fin XIXème), 1 affiche de 36 x 46 cm, illustrations et texte, petites coupure en marge, sans gravité.
Phone number : 06 80 15 77 01
L'Expansion Scientifique Française, 1949. 14 x 18, 231 pp., broché, bon état.
7e édition.
Masson & Cie, Paris, 1959. Fort volume in-8, relié toilé, 908 pages. Couverture convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Quelques taches sans incidence. Bon exemplaire.
Vienne, Fabrique d'instruments d'optique C. Reichert, sans date (environ 1930). In-8 broché, 126 pages avec figures. Joint un fasciculede 12 pages Appareil microphotographique de Romeis "Kam's" de C. Reichert, avec sa feuille de prix ; 4 pages concernant la Lampe pour microprojection et dessin de la Société des établissements Krauss.
Catalogue Reichert La librairie fermera ses portes en 2025. Des remises de 25 à 50 % peuvent s'appliquer au cas par cas.
1929 Société pour le perfectionnement de l'éclairage agraphé 24p. Très bon état
Brochure n°3. Plaquette présentant le laboratoire de photométrie de la Société pour le perfectionnement de l'éclairage. Avec 13 photos et schéma dans le texte.
Phone number : 04 76 97 79 28
Dessin à la gouache sur papier.Dimensions 650 x 435 mm, bon état. Venez consulter l'ensemble de mes objets sur mon site antharedeschuyter.fr ! Envoi recommandé sous tube rigide R2 : 10
Comme tous les dessins textiles, ce dessin n'est pas signé. La raison en est que, dans cette industrie, les droits de reproduction étant vendus avec le dessin il n'y avait pas de droits de suite, ces droits étant afférés au propriétaire du dessin (entreprise de fabrication textile ou de papier peint en l'occurrence) et non à son auteur. Bon état Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 42 x 30,5 cm, sans date (1770) à Paris chez CHEREAU rue St Jacques Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ..... RARE GRAVURE ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez basset 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. tache brune en bas à droite, (1770) à Paris : Chez Basset, Rue St. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ...... Ici on voit la destruction d'une statue équestre du roi George III à New York le 9 juillet 1776 ; cette vue montre ce qui semble être principalement des esclaves essayant de renverser la statue d'un homme debout, tenant un parchemin ou un bâton ...... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris Mondhare 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1780) à Paris chez Mondhare Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ...... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Daumont, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. , légérs plis sur la gravure, (1760) à Paris : Chez DAUMONT, Rue St. Jacques Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... Vue panoramique du Roamarkt à Francfort-sur-le-Main avec l'avenue des châtaignes et une vue sur l'église Sainte-Catherine, au premier plan : cavaliers et voitures tirées par des chevaux ..... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris chez Daumont, 1760 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 35 x 51 cm. (1760) à PARIS chez Daumont Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ........ rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris CHEREAU 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33,4 x 43,7 cm. (1770) à Paris chez CHEREAU Editeur
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ............ Peut-être inspiré du décor de l'opéra Dardanus : tragédie lyrique en un prologue et 5 actes sur une musique de Jean-Philippe Rameau, donnée pour la 1ère fois à Paris au Théâtre de l'Opéra, le 19 novembre 1739, puis remaniée en 1744; La lamentation de Dardanus dans sa prison (après avoir avoué ses sentiments à Iphise, fille de son rival le roi Teucer) n'apparaît dans l'acte IV qu'en 1744 et se fait prétexte à représenter une vue d'architecture imaginaire d'après Piranese .... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état