‎François Fresneau seigneur de la Gataudière, père du caoutchouc. Avec de nombreux documents inédits.‎

‎ Paris, Plon, 1942, 1 demi toile, étiquette au dos. in-8 de (9)-259 pp., avec 2 planches dans le texte, 12 planches h.t. et 1 carte dépliante ; ‎

‎Le caoutchouc.‎

‎ Paris, P. U. F., collection "que sais-je ?", 1945, 1 br. in-8 de 127 pp., illustration ; ‎

‎Journées D'agronomie Coloniale - 29-30 Janvier 1937‎

‎Louvain Ceuterick 1937 In8 452 pages - broché - bilingue flamand/français - 8 parties : questions generales / organisation de la culture aux colonies , main d'oeuvre , outillage , transport / amélioration des sols / etude des sols / foréts / zootechnie / botanique et zoologie / recherches chimiques - trés nombreux articles ( café - hevéa manioc etc.)‎

‎Bon ‎

‎MELANGES D’AGRONOMIE EN COCHINCHINE et DIVERS PAYS ASIATIQUES (extraits, coupures de journaux reliées)‎

‎Diverses revues dont les Cahiers IRCI (INSTITUT DE RECHERCHES SUR LE CAOUTCHOUC EN INDOCHINE) SAIGON (s.d.). ‎

‎Un volume in4°, demi-reliure cuir verty foncé, dos à 4 nerfs, avec deux mentions dans deux caissons : Agriculture Indochine et “A. S.”. Un tampon figure en tête de plusieurs articles ou coupure: ASSOCIATION AGRICOLE FRANÇAISE DE COCHINCHINE ( “AS “ voudrait-il dire: Association Saïgon?) On trouve dans cette reliure, une assez grande diversité d’articles dont certains sont brefs d’autres developpés sur plusieurs pages. Exemples: Préparation du Thé vert (Compte rendu d’essais menés à la Station expérimentale de Phu-Ho), La Canne à sucre, le Ron, le Sésame, la Germination du grain de thé, l’Amélioration du Café, L’Emploi de l’Aluminium dans le matériel de récolte et de coagulation du Latex, Essai d’Engrais sur l’Hévéa dans l’ouest de Java, Polompon, Culture sous papier, Une grande Région rizicole du NordOuest de Battatang, Sources thermales et Minérales du Tonkin, (avec plusieurs cartes dépliantes), Crèmes glacées en Cochninchine, Poteries de Mon-Cay, Crise séricole au Tonkin dans les bassins de Bag-giany et de Bac-Ninh et Hadong, Roues élevatoires du Quanng-nam et Norias à palettes du Thua-Thien (avec 4 planches dépliantes), Possibilités d’amélioration de la productionj et de la qualitié du caoutchouc brut (avec planches et photos couleurs), L’Héveaculture en Indochine.Certains articles sont sans doute obsoletes mais l’ensemble témoigne des efforts des ingénieurs et des producteurs de cette époque pour créer ou mettre en valeur les possibilités agricoles du sol immense de la Cochinchine. Mélange disparate, certes, mais dans une reliure en TRES BON ETAT.‎

‎EXPOSITION UNIVERSELLE DE 1867 À PARIS. RAPPORTS DU JURY INTERNATIONAL. Produits bruts, ouvrés et non ouvrés, des industries extractives. Spécimens des procédés chimiques de blanchiment, de teinture, d'impression et d'apprêt. Tome VII (groupe VII. Classes 44 à 46).‎

‎Paris, Imprimerie administrative de Paul Dupont, 1868. In-8, demi-reliure d'époque.‎

‎Reliure fatiguée. [5407]‎

‎Voor rubber en ivoor. Leopold II en de ophanging van Stokes.‎

‎Leuven, Van Halewyck, 2005 Softcover, 445pp., 23x15cm., ills. in z/w., als nieuw. ISBN 9789056176198.‎

‎Plantation de Rubber "Pasir Oetjing" (Java). Compte-rendu général de la plantation pour l'exercice 1915. [Pasir Ucing]‎

‎ 1916 Batavia - Weltevreden, G. Kolff & Co, 1916. 29 x 23 cm (R), in-4°, 35 [1] pp. + 1 planche en couleurs dépliante hors texte + 6 graphiques réhaussés de rouge hors texte dont un dépliant + 4 grands tableaux dépliants imprimés en noir et rouge, avec 18 PHOTOGRAPHIES ORIGINALES (tirages argentiques, format : env. 15 x 11 cm) contrecollées dans le texte, coupons de contrôle originaux contrecollés dans le texte, reliure en demi percaline verte muette.‎

8 Images

‎Présentation extensive de cette plantation d'hevea brasilliensis, située dans les environs de Bandung (Java Ouest), fondée onze ans auparavant et dirigée par un Français. L'organisation de la plantation, les méthodes de culture, le processus de fabrication et de conditionnement du caoutchouc, les divers aménagements de la plantation, la construction de villages (kampung) indigènes, les diverses expérimentations dans la culture de l'hévéa menées sur la plantation et les rendements obtenus sont présentés avec la plus grande rigueur. Les photographies originales qui ornent ce rapport - curieusement édité mais sans doute tiré à très petit nombre - constituent une sorte de reportage sur la vie d'une plantation dans les Indes néerlandaises du début du XXe siècle. Quelques corrections et ajouts manuscrits, fort probablement de la main de l'auteur, tout au long du texte. Très bel exemplaire. ‎

‎L'Hévéa‎

‎Maisonneuve et Larose, coll. « le technicien d’agriculture tropicale », n° 32 1995 In-16 broché 17 cm sur 12,3. Bon état d’occasion.‎

‎ Bon état d’occasion ‎

‎Dieux blancs, hommes jaunes.‎

‎ Paris, Flammarion, 1930, 1 br. in-8 de 337-(6) pp., un des 200 exemplaires sur alfa ; ‎

‎Edition originale.Singapour colonie chinoise. - Saïgon. - Caoutchouc. - Pnom-Penh, cité d'Amérique. - Protectorat au Cambodge. - Colonie en Cochinchine. Etc... ‎

‎Les merveilles de l’industrie ‎

‎ou description des principales industries modernes 4 tomes en 4 volumes in 4 demi-chagrin vert à nerfs,titre,filets, caissons dorés.Plats toile chagrinée verte;triple filet à froid en encadrement.Tome 1:faux-titre,titre avec vignette. Industries chimiques,le verre et le cristal,les poteries, les faïences et les porcelaines, le savon, les soudes et les potasses, le sel, le soufre et l’acide sulfurique, 756 pages, texte sur 2 colonnes, 413 figures, tranches dorées. Tome 2 : faux-titre, titre avec vignette Industrie chimique : le sucre, le papier, les papiers peints, les cuirs et les peaux, le caoutchouc, la gutta percha, la teinture. 731 pages, 323 figures dans le texte. Tranches dorées. Tome 3 : faux-titre, titre avec vignette industrie chimique l’eau, les boissons gazeuses, le blanchiment et le blanchissage, le phosphore et les allumettes chimiques, le froid artificiel, l’asphalte et le bitume. 684 pages, 292 figures dans le texte. Tranches dorées. Tome 4 : faux-titre, titre avec vignette Industries agricoles et alimentaires : pain, farines, fécules, pâtes alimentaires, lait, beurre, fromages, vin, cidre, bière, alcool, distillation, vinaigre, huiles, conserves alimentaires, café et thé. 739 pages, 367 figures dans le texte, texte sur 2 colonnes. Tranches dorées. Furne Jouvet & Cie éditeur sans date,très bon état pratiquement sans rousseurs. un coin légèrement émoussés ‎

‎Le caoutchouc dans le monde -‎

‎Paris, Payot, 1943. In-8, br, 286p. Table : Nature et histoire - La vulcanisation - Le caoutchouc rouge - Les plantations - L'industrie - les caoutchoucs artificiels.Bon état.‎

‎LE CAOUTCHOUC DANS LE MONDE.‎

‎, Paris, Payot, 1943,, Broche, in-8? , 286pp.‎

‎Collection d'etudes de documents et de temoignages pour servir a l'histoire de notre temps.‎

‎Le caoutchouc dans le monde. Collection : Documents et témoignages pour servir à l'histoire de notre temps.‎

‎Paris, Payot, 1943. 14 x 23, 287 pp., broché, bon état.‎

‎Des HEVEAS et des HOMMES‎

‎Un ouvrage de 176 pages, format 165 x 245 mm, illustré, broché couverture rempliée, publié en 2006, Editions Nicolas Chaudun, bon état‎

‎L'aventure des plantations Michelin en Indochine‎

‎François Fresneau, Seigneur de la Gataudière, père du caoutchouc, avec de nombreux documents inédits. Avec deux planches dans le texte, douze planches hors-texte et une carte.‎

‎ 1942 Paris, Plon, 1942, in 8° broché, 259 pages ; quelques rousseurs ; couverture illustrée en couleurs (un peu fanée). ‎

‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

‎François Fresneau, Seigneur de la Gataudière, père du caoutchouc.‎

‎ 1942 Paris, Plon, 1942, in 4° broché, 151 pages ; illustrations hors-texte ; couvetrure rempliée illustrée en couleurs ‎

‎Tirage limité à 355 exemplaires numérotés, celui-ci un des 350 sur vélin Hévéa. ...................... Photos sur demande ..........................‎

‎Macadam De Vie : Serge Van De Put‎

‎, Anwerpen/ Schoten, Van Campen & Rochtus/ BAI, 2007 Gebonden, geillustreerde kartonomslag, gedecoreerde schutbladen, oblong formaat : 270 x 210 x 12 mm., 77pp., prachtig geillustreerd in kleur. ISBN 9789085864165. ISBN 9789085864165.‎

‎Monografie over deze beeldende Antwerpenaar die het ' rubber' introduceerde in de kunstwereld. Boek is in prima staat.‎

‎Gummi und Pfeffer.‎

‎Leipzig, F. E. Wachsmuth, (um 1900): Farbige Lithographie auf Papier. Bildformat: 67 x 89 cm.‎

‎Leipziger Schulbilderverlag F.E Wachsmuth, Leipzig.- Mehrere kleine Flecken. Ein ca 4 x 5 cm Riss oberhalb von Gummi.‎

‎Arnaud premier curé noir de Paris‎

‎Nouvelle Cité Broché D'occasion bon état 07/02/2013 220 pages ‎

‎Histoire des civilisations du Congo.‎

‎ Paris, Editions Anthropos 1981, 220x140mm, 434pages, broché. Bel exemplaire.‎

‎ illustrations n/b in et hors texte, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal‎

‎"Balenciaga 1982".‎

‎ 1982 Dessin aux feutres de couleurs, signé en bas à droite, 1982, 42 x 30 cm, encadré. ‎

‎Modèle emblématique de la maison BALENCIAGA, qui réactualise les sources hispanisantes : ici, la longue jupe à volants du flamenco est raccourcie, et le costume agrémenté d'accessoires. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". ‎

‎"Couple nu enlassé".‎

‎ 1986 Fusain sur papier, signé au feutre noir en bas à droite, (1980), 65 x 49 cm. ‎

‎Un homme et une femme se tiennent debout nus. Elle les cheveux longs pose sa tête sur l'épaule de l'homme qui lui rend un baiser. Michel GOMA par son trait mélange les deux corps qui deviennent ainsi fusionnels. Michel GOMA (Moncrabeau 1932) est un couturiers français cosmopolite. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". Déchirures marginales. ‎

‎"Dos nu croisé".‎

‎ 1985 Feutres noir et de couleurs sur papier, (1985), 50 x 29.5 cm, signé en bas. ‎

‎L'artiste livre une interprétation personnelle de la mode des années 1980, très féminine. Les années 80 proposent une mode destructurées, aux formes nettes et pointues. Pour la première fois, la mode en France est considérée comme un des Beaux-arts et exposée dans les galeries et musées, de même que les top-modèles commencent à devenir des stars. La mode est volontiers affirmée, mixant une multiplicité de couleurs et de détails.Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". ‎

‎"Etude - 1992".‎

‎ Feutres de couleurs, signé en bas à droite. ‎

‎Etude de mode réalisée en 1992. La mode de ces années est marquée par des phénomènes sociopolitiques forts (chômage, chute du mur). Les pièces basiques des années précédentes (jean, pull marin, caban), sont ressorties et accessoirisées. En parallèle, le luxe se développe à nouveau Michel GOMA mixe habillement les coupes et les couleurs sobres avec des accessoires fantaisistes (boutons dorés, colliers, fleurs de tissu).Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". ‎

‎"Etude de chapeaux".‎

‎ 2006 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, daté, 2006, 30 x 21 cm. ‎

‎Deux études de chapeaux pour lesquels l'artiste a joué avec le plissé du tissu qui structure la forme de la coiffure. La première étude montre une coiffure étagée, en bleu et rose fuschia, et la seconde un petit bibi bleu cyan agrémenté d'une fleur. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle. Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour". ‎