Carnet petit in-4 broché, couverture cartonnée souple violine, de 61pages écrites et 27 pages vierges. Rédigé à l'encre noir par Melle de Beauvais, ce récit de voyage est illustré, par son frère Paul de 20 dessins à l'encre sépia dont un au titre et 2 à pleine page.
Les dates sont indiquées en marge. Après un séjour d'un mois à Rouen, la famille part pour Sainte-Adresse. " 28 juillet 1874 . il y a déjà trois jours que nous sommes installés, père ( M. de Beauvais), Paul et moi, dans notre modeste mais agréable petit chalet, loué depuis une quinzaine à notre intention par ce bon Mr Lallemand". Les vacanciers se rendent à Notre-dame des flots, se promènent au pied des falaises, visite le phare de la Hève, sur la plage, ils pêchent à pied les coquillages, ainsi le 16 aout " la pêche a été bonne, merveilleuse, 300 crevettes et 92 équilles" et " une grande chose aujourd'hui , mon premier bain de mer...". Ils assistent à la messe chantée par la société lyrique havraise, au profit de la restauration de l' Eglise de Sainte-Adresse, etc... Melle de Beauvais rend compte des correspondances échangées avec la famille et les amis, décrit les lieux, les voisins, les personnages typiques. Bien qu'assez pale , l'écriture est très lisible avec de rares ratures, les dessins illustrent parfaitement le récit et ne manquent pas d' habileté. La famille de Beauvais originaire de l'ouest s'installa à Lapan (Cher ), au Chateau d'Houet . ( Reu-CH1 )
S.l., 1936-1944 15 cahiers in-8, couverts d'une écriture moyenne et lisible, sur papier réglé, abondantes biffures et ratures dans les premiers cahiers, brochés.
Long journal tenu par un adolescent, puis un jeune homme dont la famille vit à Argentan (Orne). Ce Raymond Bringard sur lequel on n'est guère renseigné par ailleurs passe son baccalauréat en juin 1939, et en 1940 ; il serait donc né en 1923 ou 1922. Après l'épisode de l'Exode, il se trouve pendant les années de guerre suivre les cours de l'Ecole des mines de Nancy. Il fait un voyage à pieds à Argentan une fois le territoire libéré (septembre 1944) pour trouver sa ville natale entièrement dévastée, puis retourne à Nancy.Les nouvelles internationales et leur répercussion sur la politique intérieure, déjà très présentes avant la guerre (notamment la guerre civile espagnole) finissent par envahir la presque-totalité du champ à partir de septembre 1939, les événements et notations familiaux passant clairement au second plan.Raymond Bringard fit d'ailleurs lui-même une présentation synthétique de son travail dans la lettre du 23 août 1944 annexée à notre ensemble (cf. infra), et ces quelques phrases méritent d'être reproduites pour l'intelligence de toutes ces pages :"J'ai tenu de 1935 à 40 mon journal intime. Chaque jour, j'y jetais toutes mes pensées, j'y annotais mes joies et mes souffrances. Je crois y avoir tout mis. Ce doit être un miroir fidèle du moi que j'étais à cette époque-là. Puis mon esprit a évolué. Des événements sont survenus qui m'ont enlevé à mes rêveries, qui ont occupé tout mon temps. J'ai pensé aussi que tenir un journal de sa vie, c'était un peu freiner cette vie, lui enlever de son dynamisme. Et j'ai abandonné mes cahiers. Ils ne furent plus alors qu'une chronique de la guerre de septembre 39 jusqu'à maintenant. Et aujourd'hui je regrette de n'avoir pas consigné intégralement mes pensées de jeune homme".D'après le paragraphe précédent, manqueraient donc l'année 1935 et la première moitié de 1936 :I. Du jeudi 19 juin au jeudi 31 décembre 1936 : 16 pp., puis pp. 12-90 pp., avec quelques coupures de presse et pièces imprimées insérées (Classement de la première étape du Tour de France et version latine du baccalauréat de l'Université de Rennes, p. 14 ; programme de la fête du 10 juillet 1936 à Argentan, p. 16 ; discours du sous-préfet d'Argentan, p. 17 ; nouvelles de la guerre civile en Espagne, p. 60, etc.).II. Du 1er janvier au mardi 23 mars 1937 : 80 pp. (= pp. 91-170).III. Du 25 mars 1937 au jeudi 30 décembre 1937 : pp. 171-263 (le f. 253-54 a été retiré), avec quelques pièces imprimées (programme d'un concert, p. 213 ; Carte des manoeuvres de l'ouest, 14-17 septembre 1937, p. 227). A la fin du cahier, trois pages sont consacrées à la famille de l'auteur : "Et pour clore l'année 1937, je m'en vais faire une rétrospective sur toute la famille" (en fait, surtout celle de sa mère, née Lacroix).IV. Du 1er janvier au 28 décembre 1938 : pp. 265-374. Avec un menu pour un repas de mariage du 26 février, 5 cartes postales, et deux itinéraires d'excursions à vélo contrecollés (du 16 au 21 juillet vers Avranches ; et du 3 au 14 août, vers Le Havre et Honfleur). Cette fois-ci, l'année se termine par un exposé "de mon esprit et de mon avis sur la religion" (guère favorable, évidemment).V. Du 3 janvier au 5 août 1939 : pp. 375-434. Avec 4 ff. d'épreuves du baccalauréat de juin 1939, et un itinéraire d'un nouveau voyage en vélon, contrecollé en regard de la dernière page (20-31 juillet, vers Saint-Brieuc, Paimpol, Rennes).VI. Du samedi 12 août au dimanche 24 décembre 1939 : pp. 435-490. Avec de très nombreuses coupures de presse, contrecollées ou volantes.VII. Du lundi 25 décembre 1939 au lundi 10 juin 1940 : pp. 491-527, [12] ff. demeurés vierges.VIII. Du dimanche 23 juin au 9 octobre 1940 : pp. 529-607, [13] pp. n. ch. Rédigé à Fontenay-le-Comte (sans doute gagné à la suite de l'Exode).IX. De Pâques 1941 à novembre 1942 : pp. 621-655. Nombreuses coupures de presse.X. Du mardi 10 novembre 1943 au lundi 6 mars 1944 : pp. 656-672, puis la pagination cède la place à une foliotation : 673-710. Les dernières pages sont consacrées à un tableau de la Russie soviétique.XI. Du 12 mars 1944 (écrit 1943 par erreur) au samedi 2 septembre 1944 : [] ff. n. ch. Entre les deux premiers feuillets, fiche de lecture d'un texte de Georges Lamirand, datant de 1932 (Rôle social de l'ingénieur).XII. Du mercredi 20 septembre 1944 au lundi 11 juin 1945 : [36] ff. n. ch., quelques coupures de presse.XIII.-XIV. Deux cahiers de correspondance active avec une jeune personne, que les hypocoristiques initiaux ("Ma petite fiancée chérie", "Ma petite enfant chérie", "Petite fille chérie à moi", etc.) identifient avec une certaine clarté comme la petite amie du sieur Bringard : le premier volume court du 23 août au 8 septembre 1944 ([29] ff. n. ch.) ; le second du jeudi 23 novembre 1944 au vendredi 9 février 1945 ([20] ff. n.ch.).XV. Un cahier de correspondance active, qui répond aux deux précédents. En effet, si les hypocoristiques demeurent de règle, ils changent de sexe ("Petit garçon chéri", "Petit minet"), et le volume contient les lettres de la fiancée à son Raymond du 18 novembre 1944 au 13 janvier 1945 ([11] ff. n. ch., avec un dessin naïf sur la couverture représentant en bas une jeune fille en contemplation d'un feu de bois, le tout surmonté de l'insigne de l'Ecole des mines de Nancy).On joint : 1. Deux lettres fiévreusement enamourées d'une certaine Jeanne, follement éprise de notre Raymond, et en proie aux affres des amours adolescentes (sans date, mais relatives sans hésitation aux tout premiers cahiers).2. Deux très longues lettres d'Yvette Bringard à son frère (du 28 janvier et du 24 avril 1945), pour des nouvelles essentiellement familiales. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
S.l., s.d. (1865) in-8, titre, 262 pp., couvertes d'une écriture fine, soignée et très lisible (environ 20 lignes par page), quelques biffures, demi-cuir de Russie vert modeste à coins, dos lisse muet, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Coupes et coins très frottés.
Mis en forme sur le tard, ce petit manuscrit regroupe, dans un ordre tout particulier, des morceaux de nature très différentes, et touchant à des sujets fort hétérogènes.1. La partie la plus cohérente et la plus intéressante est située au tout début, sous le titre de Souvenir de la retraite de Moscou, 1812, et occupe les pp. 1-43. Encore suscite t-elle bien des questions. Parmi les témoignages inédits que les années récentes ont permis d'exhumer sur cette malheureuse campagne, celui de Jean-Baptiste Cournerie présente en effet bien des originalités, qui laissent soupçonner au moins des "embellissements". A l'origine sous-chef de bureau dans une préfecture qu'il ne précise d'ailleurs pas, Cournerie n'était pas satisfait de son traitement de 1200 francs, s'ennuyait et ne se voyait pas de perspectives d'avancement, comme on dit dans les bureaux ; il demanda alors en 1812 à être muté dans l'administration militaire, fut affecté au 3e Corps d'Armée (Ney), par suite d'une recommandation de son frère. Mais les démarches qu'il dut effectuer à Paris pour faire régulariser sa situation l'empêchèrent de partir avant le 6 septembre 1812, alors que la Grande Armée était déjà en position pour le combat de Borodino. Il explique avoir fait le trajet entièrement à pieds, et être parvenu à Smolensk début novembre, alors que la retraite française est déjà engagée. Dès lors, tout ce dont il témoigne consiste dans les étapes du retour à travers Russie, Lithuanie, Pologne et Prusse, sans même qu'il ait pu participer à quelque action que ce fût. Au demeurant, une grande partie des notes se résume à des mentions d'étapes (aller, puis retour), de Meaux à Smolensk, puis de Kowno [Kaunas] à Metz.De retour à Paris le 2 avril 1813, il eut une entrevue avec Lacuée de Cessac (alors ministre directeur de l'administration de la guerre), qui entérina sa nomination, et repartit pour le théâtre de la Campagne de Saxe en mai 1813. Il demeura avec le 3e Corps d'Armée jusqu'au passage du Rhin du 7 novembre 1813.Dans les deux parties de cette relation, les anecdotes privées (notamment son amitié persistante avec un certain Barcelini, officier au Régiment d'Illyrie) l'emportent fortement sur les événements généraux.2. Le reste du manuscrit part un peu dans toutes les directions et est généralement composé en vers : des poésies sur divers sujets, mais généralement patriotiques (Chant national La Chalonnaise de janvier 1814 ; Ode sur l'abdication de l'Empereur Napoléon de 1816, etc.) ; une longue épopée bizarre de 1820 intitulée La Queue blanche (pp. 57-106) ; des pièces sur la vie rurale (La Fête du village, août 1823 ; Une ouverture de chasse, 1832) ; des morceaux politiques diversement inspirées (La France et le ministre, octobre 1829, sur les projets absolutistes du cabinet ; Elections municipales, avril 1840 ; Trois candidats à la députation, décembre 1848 ; Au club électoral, 28 décembre 1848).Enfin, il semble avoir été juré dans un procès d'assises tenu en 1852 à Coutances pour les chefs d'abus de confiance et détournement de fonds, ce qui lui donne l'occasion de dresser un tableau de l'évènement (pp. 195-203).Les dernières pièces concernent l'exposition universelle de 1858, le voyage de Napoléon III et d'Eugénie à Cherbourg en août 1858, Magenta et Solférino.Dans tous les cas, affleure en permanence la fidélité bonapartiste de l'auteur. Les lieux et personnages cités laissent penser qu'il habitait Cherbourg. Peut-être s'agit-il du même Jean-Baptiste Cournerie, signalé par les Annuaires du département de la Manche comme directeur-gérant de la compagnie qui exploitait l'incinération des varechs. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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S.l., s.d. (1725-1738) petit in-4, 115 pp., couvertes d'écritures à plusieurs mains, vélin souple, dos lisse muet, tranches mouchetées de rouge (reliure de l'époque). Manques de cuir au dos, coupes abîmées, traces d'humidité en haut des ff.
Recueil de comptes de la fabrique de la paroisse de Saint-Pierre pour les années 1725-1738, présenté au chevalier François-César de Lombelon des Essarts (cité explicitement page 13), seigneur de Bérengeville-la-Champagne (ou la-Campagne), actuellement dans l'Eure, et formant alors une des 18 seigneuries possédées par la famille des Essarts en 1723, au moment de la succession de Pierre-François (cf. infra). Ce gentilhomme, issu d'une famille d'ancienne extraction remontant au XIIIe siècle, était né en 1696 de Pierre-François de Lombelon des Essarts (1649-1717) et de sa seconde épouse Jeanne-Catherine Le Franc (1675-1731). Il épousa en 1720 Marie-Éléonore de Bordeaux de Bargeville, qui lui donna dix enfants. D'une classe intermédiaire entre la haute noblesse et les petits hobereaux sans fortune, cette famille des Essarts chercha tout au long du XVIIIe siècle à consolider sa place à l'intérieur de la société normande, notamment par une politique avisée de dots. Notre livre de comptes ne comporte pas seulement un détail des dépenses faites par les différents trésoriers fabriciens de 1725 à, il présente également des détails vivants sur la vie d'une communauté paroissiale d'Ancien Régime, cellule élémentaire de la pyramide sociale, comme par exemple ce récit d'une assemblée délibérative :"Du consentement de Messire François-César, chevalier, seigneur de Bérengeville la Champagne, le huit de mars 1733, les parroissiens assemblés au son de la cloche issue de la grande messe en état de commun, après avoir délibéré, ont donné et donnent pouvoir à Charles Le Loutre et à François de La Vigne de transiger avec le sieur de la Barge au nom et pour la fabrique du dit Bérengeville, et ce par lavis de Mrs Duvivier et Des Rambours avocats en présence du sieur curé, au sujet d'un billet de cent livres qu'il redemande à laditte fabrique".Une longue addition au titre, biffée par la suite, et datée du 18 novembre 1764, donne des informations ultérieures sur un procès intenté par la fabrique, avec une ultime mention "Ils ont été remis ce 9 septembre 1766".Cf. 1. Hoock (Jochen) ; Jullien (Nicolas) : Dots normandes (mi-XVIIe - XVIIIe siècle), in : Clio (1996). - 2. Jullien (Nicolas) : Stratégies matrimoniales et mobilité sociale : le cas de la famille Lombelon Des Essarts (1662-1759), mémoire de maîtrise sous la direction de Jochen Hoock (Paris, 1995). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Le Havre, 1847. In-4, rel. post. demi-basane rouge, dos à nerfs orné de fleurs de lys dorées, titre doré, couv. cons., 48 pp., armoiries en coul. au front., une gravure in-t., esquisse biographique, notes. Edition originale, tirage limité à 250 ex. Rare.
"Ce mémoire de Guillaume de Marceilles (1530-1600) est la plus ancienne chronique manuscrite de la Ville du Havre". Dos lég. insolé, coiffres et coupes un peu frottées, bel ex à toutes marges. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Un ouvrage de 188 pages, format 175 x 235 mm, illustré, broché, publié en 1979, Les Amis du Bec-Hellouin, bon état
Survol historique ;, Itinéraire d'abbaye en abbaye à travers la Normandie ; La Normandie bénédictine d'aujourd'hui
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17,6 cm X 23,7 cm, 188 pp, couverture souple illustrée. grand nombre d'illustrations N&B dans et hors le texte dont 1 en frontispice de Gérard Ambroselli et du frère Raphaël. Broché.
Dos et bords insolés, tranches un peu salies. Très bon état par ailleurs. Intérieur frais.
Louviers, Imprimerie de Eug. Izambert, 1881. In-4 de (8)-676-(4) pp., demi-chagrin brun, dos à nerfs (reliure de l'époque).
Le faux titre porte : Voies publiques de Louviers. Envoi autographe de l'auteur : Hommage de l'auteur, offert par sa famille, à Monsieur P. Gambu.
"1945. Paris/ Bayeux Éditions de l'Entente Nouvelle 1945 - 3 vol. brochés format à l'italienne 13 5 cm x 22 cm non paginés 60+ 53+ 52 photos noir & blanc - Texte et choix des photos de Marc Elmer- Bon état"
Une plaquette de 52 pages, format 210 x 270 mm, illustrée, brochée, publiée en 1973, Impr. Ozanne, bon état
Normandie 1944-45
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Paris, Chemins de Fer de l’Etat, 1919. Agrafé, 13,5 cm x 21 cm, 32 pages, photos et illustrations noir & blanc in-texte. Texte de Marcel Monmarché, plans de E . Corroyer, photos de J. Voisin, E. Hamonic et Neurdein, illustrations d’après les eaux-fortes de Henri Voisin. Bon état
P., Imprimerie de Madame Veuve Bouchard-Huzard, 1869, fort in 8° relié pleine percaline marron à la bradel, dos orné, étiquette basane noire, XVIII-860 pages ; 4 planches hors-texte, dont une carte et une dépliante ; papier bruni ; reliure fanée et frottée, avec quelques taches.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, Imprimerie de Hérissant père, 1768 petit in-8, titre, 97 pp., avec une vignette en-tête gravée par P.-L. Cor d'après Marillier, f. 57-58 manquant, remplacé par erreur par un second tirage du f. 23-24, maroquin vieux-rouge, dos lisse cloisonné et fleuronné, et orné, à la place de la pièce de titre, d'une figure allégorique (un ange tenant une trompette, symbole de la renommée), encadrement de dent-de-rat, double filet et guirlande dorés sur les plats, simple filet doré sur les coupes, tranches dorées (reliure de l'époque).
Unique édition de ce factum généalogique dressé en faveur de Philippe-Paul-Aimé Le Marchant de Caligny, né en 1746, et alors mousquetaire de la Garde du Roi. On y voit les alliances des Le Marchant de Caligny, avec les maisons de Vauquelin, de Durfort, de Montgommery, dont on déduit les généalogies, ainsi que celles de La Rochefoucauld et de Thiard de Bissy.Saffroy III, 45092. Frère I, 4. Guigard, 4229.Annotation manuscrite de l'époque au feuillet de titre, d'un ton bien persifleur : "Cet ouvrage est rempli d'extravagances ; il faut avouer que ces 12 gentilshommes sont de grands généalogistes".Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
In-16 (150 x 95 mm), cartonnage romantique éditeur vert amande à décor végétal gaufré à froid, 36 p., planche frontispice aquatinte. Paris, Chez Marcilly, libraire (Imprimerie de Firmin-Didot frères), s.d. (1836).
Joli exemplaire de production romantique imprimée par Firmin-Didot frères, illustrés d'une planche aquatinte imprimée en couleurs représentant l'abbaye de Jumièges avant sa ruine. (Gumuchian, 'Les Livres de l'enfance', n° 3129).Quelques rousseurs. Infimes accrocs.Bon exemplaire.
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P., Editions de l'Estampe, 1927, petit in 4° relié demi-basane fauve à coins, dos orné, tête dorée, couverture et dos conservés, 291 pages ; frottis et épidermures et menus défauts.
Tirage limité à 125 exemplaires numérotés, celui-ci un des 105 sur vélin d'Arches (n°94) avec une suite des lithographies en bistre. ...................... Photos sur demande ..........................
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Rouen, Editions du P'tit Normand, 1983, 1 vol. in-8 (210 x 150) broché sous couverture illustrée, de 232 pp. Très bel exemplaire.
Préface de Jean Imbert de l'Institut.
Rouen, Editions du P'tit Normand, 1983, in-8°, 231 pp, préface de Jean Imbert, 26 illustrations dans le texte, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état
Ouvrage issu de thèse. — "A travers l'histoire de l'institution rouennaise, de la fin de l'Ancien Régime à nos jours, c'est aussi toute la vie économique et sociale d'une cité importante et de ses habitants, notamment, des plus démunis, qui est décrite dans ce livre. Car l'histoire du « clou » rouennais, c'est avant tout celle des milieux populaires d'une grande ville dont la richesse et l'éclat n'ont concerné, le plus souvent, qu'une minorité." — "La paupérisation et ses victimes, qui ont pourtant alimenté de vives discussions théoriques, demeurent peu étudiées aux 19e et 20e siècles. Tout à la fois mythe et réalité, « chez ma tante » (ou le « clou ») constitue à Rouen comme ailleurs (à partir de 1826) un remarquable « baromètre de la misère publique » : chaque crise conjoncturelle voit y affluer des femmes (surtout) engageant pour survivre leurs maigres hardes. Après 1914, l'organisme change de fonction et de nature : rebaptisé crédit municipal par souci de respectabilité en 1923, il devient, malgré les orages de la guerre, une source de liquidités pour les couches moyennes plus que l'ultime recours des miséreux. La création, en 1953, et le développement rapide du prêt aux fonctionnaires accentuent cette évolution. Aujourd'hui, le crédit municipal qui s'interroge sur son avenir n'a plus grand chose de commun avec le « clou » du 19e siècle. Plus probante donc pour celui- ci que pour le suivant, la monographie de Yannick Marec n'en est pas moins neuve et utile de bout en bout. Alors que tant de travaux inédits dorment à jamais faute de publicité, on ne peut que recommander ce volume accessible et bien présenté (nombreuses annexes), livrant les principaux résultats d'une thèse pour le doctorat de troisième cycle ; et lui souhaiter de nombreux émules..." (Etienne Fouilloux, Vingtième Siècle. Revue d'histoire, 1985)
Mont-Saint-Aignan, Presses Universitaires de Rouen et du Havre, 2019, 18 x 24, 364 pages sous couverture rempliée illustrée. Iconographie noir & blanc et couleurs.
Exemplaire du S.P. - page de titre absente.
Société libre d'Emulation de la Seine-Maritime, 2003, gr. in-8°, 139 pp, 24 illustrations dans le texte, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
8 études érudites. Ce bulletin rassemble les contributions d'un colloque organisé à Rouen en octobre 2002, dont le thème général portait sur "Les Hauts-Normands et l'innovation technique et sociale aux expositions universelles (1851-1937)". Nous signalons plus particulièrement deux articles : celui consacré aux moteurs Simplex d'Edouard Delamare-Deboutteville et Léon Malandin ainsi qu'un autre sur le cinéorama de Raoul Grimoin-Sanson.
1791 Lisieux, Delaunay, mars 1791. Une plaquette in-8 de 30 pages, couverture d'attente en vergé ivoire. Bon état, légères rousseurs.
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Caen, Chalopin, .n.d. Une plaquette in-8 de 23 pages. Bon état.
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CAEN, Imp. Le Brun, 1990 - Broché - In-8, 18 x 24 cm - Bonne iconographie couleurs et noir et blanc - complet des 2 cartes dépliantes - 216 pages - bon exemplaireEnvoi manuscrit de l'auteur
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AVRANCHES, Ed. de l'Avranchin - 1949 - In-8 - Broché - couverture illustrée - Nombreuses illustrations NB HT - Très propre
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Cherbourg, Imp. De la dépêche de Cherbourg [1909] [16] + 317pp., 20cm., reliure cart., dos en cuir rouge avec titre et décorations dorées, tranches et feuilles de garde marbrées, texte frais, bon état, R117578
CAEN, Chénel, Lib.-Editeur - 1873 - In-16 - Cartonnage éditeur - 132 pages - Bon exemplaire
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