Nancy, Musée des Beaux-Arts, 1985 ; in-4, 16 pp., broché. Avec de nombreuses illustrations.
Nancy, Imprimerie de N. Collin, 1870 ; grand in-8 (160 x 241 mm), [2]-66 pp., broché (dos fendu).
Nancy, Imprimerie de N. Collin, 1870 ; in-8 (160 x 243 mm), [4]-44 pp., broché (dos avec de petites déchirures).
Nancy, Les Arts Graphiques Modernes, 1936 ; grand in-8 (169 x 253 mm), XXII-324 pp. + 30 pl. hors-texte, broché. Préface de M. Louis Marin, ancien ministre d'État. Illustré de planches en noir et blanc.
Metz, Imprimerie du Journal Le Lorrain, 1935 ; in-12 (137 x 218 mm), 4-64 pp., couverture et cahiers agrafés. Extrait du Bulletin du Centenaire (34ème Bulletin - 10ème de la 3ème séries) de la Société d'Histoire naturelle de la Moselle. Metz, 1935. Introduction de E. Fleur. Quelques illustrations en noir et blanc.
Paris, Librairie Académique Perrin, 1999 ; in-4, 282 pp., broché, couverture illustrée. Le baron Louis est né à Toul. Il est le représentant de l'ascension sociale et de la montée en puissance de la finance dans le 19ème siècle.
Lunéville, Centre de Recherches et d'Études de Lunéville et de sa Région, 1964 ; in-4, 114 pages et 10 planches, broché.
Paris, Citedis, 1997 ; in-8 carré, 64 pp., cartonnage d'éditeur illustré. Textes et aquarelles de l'auteur. Ouvrage bilingue: français, allemand.
Paris, Ernest Flammarion, Éditeur, vers 1914 ; grand in-8, 88 pp., broché. Collection «Select Bibliothèque», n° 1Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime.
Paris, Nilsson, s.d. (vers 1900) ; in-12, 127 pp., broché. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime. Très bon état.
Paris, Arthème Fayard, s.d. (vers 1900) ; in-8, 126 pp., reliure d'éditeur. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime. Illustrations de Dutriac. État neuf.
Paris, Ernest Flammarion, Éditeur, vers 1933 ; grand in-8, 76 pp., couverture et cahier agraffés. Collection «Select-Collection», n° 197. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime.
Paris, Ernest Flammarion, Éditeur, 1922 ; in-8, 284 pp., broché. Gyp, arrière-petite-nièce de Mirabeau, de son vrai nom Sibylle Marie-Antoinette Gabrielle Riquetti de Mirabeau, est la dernière des Riquetti de Mirabeau. Elle grandit à Nancy dans une famille royaliste place de la Carrière, dans un immeuble que possède sa famille. Elle épouse le 2 décembre 1867 le Comte Roger de Martel de Janville et quitte Nancy pour Neuilly-Sur-Seine. Elle commence à publier des textes à partir de 1877 sous le pseudonyme de Gyp. Bien qu'amie avec Anatole France, Gyp prend position contre Alfred Dreyfus, ce qui ne l'empêche pas de recevoir Marcel Proust dans son salon. Ses ouvrages sont marqués par l'antisémitisme de la bonne société française de l'époque et exacerbé par l'affaire Dreyfus. Elle a accueilli dans son salon les artistes les plus connus de son époque tels que Robert de Montesquiou, Marcel Proust, Edgar Degas, Maurice Barrès, Anatole France, Paul Valéry, Alphonse Daudet, Jean-Louis Forain, Auguste Vimar, Lucien Corpechot ou Edgar Demange. Elle est enterrée à Neuilly-Sur-Seine. Son style est très particulier : Gyp est une grande dialoguiste avec un certain sens de l'humour. Elle se moque avec bonheur de la bonne société, mais elle excelle aussi parfois à reproduire le parler populaire ou les accents (allemand ou autres). Elle arrive à situer une action avec une économie de moyens assez grande, en s'inspirant du théâtre elle place parfois en début de chapitre des indications de lieux ou de scènes qui permettent de rentrer directement dans un dialogue ou dans une action. Elle rend ses dialogues très vivants en séparant souvent ses phrases par trois points parfois même avec des points d’exclamation, ce qui a pour intérêt à la fois de rythmer le récit et de laisser de la place pour souligner des arrière-pensées, et peut-être aussi de reproduire la façon particulière que tout un chacun possède dans son parler intime.
Paris, B. Arthaud, 1965 ; in-8, 300 pp., broché. Ouvrage généraliste sur la, Lorraine, son histoire, ses monuments. Le charme de cet ouvrage réside dans les photographies qui sont tirées en héliogravure. Très nombreuses illustrations en noir et blanc (229 pl. en héliogravure). Bon état.
Paris, Arthaud, 1964 ; in-8, 300 pp., reliure d'éditeur pleine toile, avec Rhodoïd. Illustré de 229 photographies imprimées en héliogravure. Très bon état.
Nancy, Helio-Lorraine, 1973 ; in-folio oblong, environ 30 pp., broché. Photographies de J. Varcollier en noir et blanc surtout de la place Stanislas et place de la Carrière.
Nancy, Éditions Université Nancy II, 1978 ; in-8 (161 x 241 mm), 112 pp. + 16 pl. hors-texte, broché, couverture illustrée. Collection «Lorraine» dirigée par Michel PARISSE. Nombreuses illustrations en noir et blanc et quelques-unes en couleurs.
Nancy, Université de Nancy II, 1978 ; in-8, 105 pp., broché. Cet ouvrage est composé de 4 chapitres équilibrés : le village et son terroir, la communauté villageoise, les maisons et le destin des villages lorrains. Il contient aussi des dessins anciens, de plans de maisons et de photographies.
Nancy, Université Nancy II, 1978 ; in-8, 112 pp., broché. Collection «Lorraine» dirigé par Michel Parisse. Exemplaire numéroté C. L. L. 291/500, avec envoi des deux auteurs. Très bonne étude sur le village lorrain. Très bon état.
Nancy, Éditions Jean-Marie Cuny, 1976 ; in-8 (160 x 240 mm), 72 pp., broché, couverture illustrée. Nombreuses illustrations noir & blanc.
Paris, Éditions J. Delmas & Cie, 1967 ; in-4, 152 pp., relié pleine percaline d'éditeur, coloris gris clair, dos lisse, sous jaquette illustrée (petite déchirure). En couverture, le musée de Lunéville. L'ouvrage est tourné vers l'histoire et le patrimoine de la Meurthe-et-Moselle. Nombreuses illustrations en noir et blanc et quelques en couleurs. Très bon état.
Nancy, Presses Universitaires de Nancy, 1989 ; in-4, 226 pp., broché, couverture illustrée. Dans la collection "Diagonales". Préface de Pierre Chaunu.
S.l., chez l'auteur, 1975 ; in-8 carré, 132 pp., broché. Sur la cathédrale de Toul et sur l'intégration de Toul à la France. Illustrations de François Jattiot. Très bon état.
Saint-Nicolas-de-Port, Imprimerie Star, 1975 ; in-8 carré (201 x 212 mm), 132 pp., broché, couverture illustrée. Illustrations de François JATTIOT.