Paris, 1883 [1885]. 605 x 761 mm.
Très grand plan du 11ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 630 x 803 mm.
Très grand plan du 12ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 635 x 822 mm.
Très grand plan du 13ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 13ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 83 à 94), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 610 x 787 mm.
Très grand plan du 14ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 14ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 75 à 84), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 620 x 768 mm.
Très grand plan du 15ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 15ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 68 à 77), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 1,03 x 0,60 m.
Très grand plan du 16ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 16ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 52 à 67), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Le plan montre également une partie du bois de Boulogne. En 1852, la propriété du bois de Boulogne fut cédée par Napoléon III à la Ville de Paris, qui fut alors chargée d'aménager l'espace vert en quatre ans. Les travaux débutèrent l'année suivante, dirigés par Haussmann, qui créa pour son adjoint Jean-Charles Alphand, le Service des Promenades et Plantations de Paris. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 626 x 759 mm.
Très grand plan du 17ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 17ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 40 à 52), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Le plan montre également la commune de Levallois-Perret, jusqu'à la rue Gide, renommée dans les années 30 rue Paul Vaillant-Couturier. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 585 x 768 mm.
Très grand plan du 18ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 18ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 31 à 40), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 657 x 776 mm.
Très grand plan du 19ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 19ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 18 à 33), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. Le plan montre également les communes de Pantin et du Pré-Saint-Gervais. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Rousseurs à la pliure centrale. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 592 x 752 mm.
Très grand plan des 1er et 2ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 795 x 585 mm.
Très grand plan du 20ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. Sur ce plan du 20ème arrondissement, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions (ici bastions 10 à 20), et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 605 x 746 mm.
Très grand plan des 3ème et 4ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 595 x 795 mm.
Très grand plan des 5ème et 6ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 605 x 800 mm.
Très grand plan du 7ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 600 x 711 mm.
Très grand plan du 8ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 615 x 833 mm.
Très grand plan des 9ème et 10ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, et les conduites de refoulement en mauve. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 595 x 836 mm.
Beau plan d'ensemble du réseau d'alimentation en eau et des égouts de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Le plan, dressé d'après la carte du département de la Seine, indique les réservoirs, signalés par un rectangle hachuré en bleu, les machines élévatoires, par un symbole en mauve, les conduites d'eaux de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, les conduites de refoulement, tracées en mauve, les aqueducs d'eau de l'Ourcq, tracées par un trait épais en bleu, et les aqueducs d'eau de source par un trait épais en vert. Tout autour de la ville, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Bas de la pliure centrale bruni. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1885. 600 x 837 mm.
Très grand et beau plan général de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Le plan indique les conduites de refoulement, tracées en mauve, les usines élévatoires de prise d'eau (usines de pompage, hydrauliques ou à vapeur) signalées par un carré mauve, les usines de relais par un triangle rouge, et les réservoirs de distribution par des carrés et des demi-cercles hachurés. En lettres rouges sont indiqués les réservoirs (Château, Montmartre, Saint-Éleuthère, Buttes-Chaumont, Belleville, Ménilmontant, Charonne, Villejuif, Gentilly et Passy) et les usines d'alimentation en eau (Saint-Ouen, Montmartre, La Villette, Ménilmontant, Austerlitz, Maisons-Alfort, Ivry, Port à l'Anglais, Saint-Maur, Auteuil et Chaillot). Tout autour de la ville, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Vallée, Catalogue des plans de Paris, 1908, p. 26, 145 ; Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
1 plan ancien (début XIXe?) gravé sur cuivre, et finement colorié à l'époque, figurant : 1°/ VILLEFRANCHE (Villefranche-sur-Mer, plan de la ville et de sa citadelle, près de Nice, Alpes-Maritimes, Provence). 2°/ LA CIOTAT (plan de la ville, et de ses fortifications). Feuille de format : 18 x 25 cm. Plan gravé sur cuivre, imprimé sur papier vergé fort, et finement aquarellée à l'époque (original hand coloring). Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this print on simple request )
1 plan ancien (début XIXe?) gravé sur cuivre, figurant : 1°/ VILLEFRANCHE (Villefranche-sur-Mer, plan de la ville et de sa citadelle, près de Nice, Alpes-Maritimes, Provence). 2°/ LA CIOTAT (plan de la ville, et de ses fortifications). Feuille de format : 18 x 25 cm. Plan gravé sur cuivre, imprimé sur papier vergé fort. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this print on simple request )
VILLENAUD Marie-Claude et Georges ( textes principaux ) NORMAND D. (dessins ) PAPIGNY G. ( plans et cartes )
Reference : 356
Paris Editions Vilo Les Guides modernes Fodor 1971 ( copyright by Editions Pallas ) 1 vol. ( 18,5 x 11,5 cm ) ( poids = 0,4 kg ) 298 pages , 22 photos , 9 plans de villes , 7 cartes archéologiques et historiques . Carte générale dépliante de l' Iran , en début de vol. . Demi-basane chagrinée brun foncé . Dos à 5 faux nerfs, titre et un fleuron dorés . Plats papier marbré . Ex-libris C. Delaby contrecollé au premier contreplat . ( Reliure récente ) . Excellent état .
Ce guide fait partie des célèbres Guides modernes Fodor .
Phone number : 05 53 48 62 96
1824. 455 x 554 mm.
Rare vue du Mont-Blanc. Belle vue figurant le Mont-Blanc et l'entrée de la ville de Sallanches, lithographiée, sur Chine monté, par Godefroy Engelmann d'après un dessin de Jules-Louis-Frédéric Villeneuve (1796-1842). Petites déchirures dans la marge supérieure restaurées, avec petit manque de papier. Bel exemplaire.
Strasbourg, DIFAL, 1991; in-4, 126 pp., cartonnage de l'éditeur. De Kintzheim à Cleebourg (tome 2) texte bilingue très bon état avec sa jaquette.
De Kintzheim à Cleebourg (tome 2) texte bilingue très bon état avec sa jaquette.
Strasbourg, DIFAL, 1991; in-4, 126 pp., cartonnage d'éditeur avec jaquette (neuf sous blister). De Kintzheim àà Cleebourg (tome 2) texte bilingue.
De Kintzheim àà Cleebourg (tome 2) texte bilingue.
Strasbourg, DIFAL, 1991; in-4, 126 pp., cartonnage d'éditeur avec jaquette (neuf sous blister). De Kintzheim àà Cleebourg (tome 2) texte bilingue.
De Kintzheim àà Cleebourg (tome 2) texte bilingue.