Paris, Challamel, 1902. Grand in-8 de VIII-428-(4) pp., illustrations dans le texte, 14 planches hors texte, bibliographie, demi-veau rouge, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge.
Édition originale illustrée de 16 cartes en couleurs réunies sur quatorze planches hors texte sur le climat, les coupes géologiques, les pressions barométriques, la pluviométrie saisonnière de Madagascar.Émile-Félix Gautier (1864-1940), géographe, géologue et ethnologue obtint une mission pour Madagascar où il apprit le malgache et assouvit sa passion de la géologie et de la géographie avec des découvertes scientifiques, ethniques et politiques telles qu'elles lui valurent la grande médaille d'or de la Société de géographie. De retour en France, il enseigna l'allemand, puis retourna à Madagascar comme directeur de l'enseignement, mission au cours de laquelle il se vit attribuer les fonctions de directeur des affaires indigènes « par intérim » (1864). Bel exemplaire sans rousseur.
[Paris], Dépôt-Général de la Marine, 1829. 591 x 880 mm.
Rare et belle carte marine de la partie orientale de la Méditerranée, dont les terres ont été finement rehaussées au lavis d'encre de Chine. Elle a été levée en 1817 par le capitaine de vaisseau Pierre-Henri Gauttier du Parc, au cours de l'une de ses missions de reconnaissance hydrographique des côtes de la Méditerranée, à bord de la gabare la Chevrette. Elle a été publiée par le Dépôt Général de la Marine en 1829, sous le ministère du baron d'Haussez, secrétaire d'État au département de la Marine et des Colonies. Cette carte se retrouve également dans l'Atlas hydrographique d'Aimé Robiquet, publié en 1856. La carte montre l'île de Candie ou île de Crète, l'île de Chypre, avec les côtes de la Morée, de la Turquie, de l'Afrique du Nord, et les côtes méridionales de la Méditerranée entre le golfe d'Alexandrette ou golfe d'İskenderun (Turquie) et la ville de Rêfah ou Rafah en Palestine. En bas à droite figure le cachet imprimé du Dépôt Général de la Marine. Pierre-Henri Gauttier du Parc, officier de marine et hydrographe français, termina sa carrière avec le grade de contre-amiral. Il effectua plusieurs missions de reconnaissance en Méditerranée, à bord des gabares le Marsouin et la Chevrette. Pour la petite histoire, c'est à lui que l'on doit l'acquisition de la Vénus de Milo, aujourd'hui conservée au musée du Louvre. Le 16 avril 1820, commandant la Chevrette, avec pour enseigne de vaisseau Jules Dumont d'Urville, il mouille en rade de la petite île de Milos dans les Cyclades, lorsqu'il apprend qu'un paysan de l'île a découvert dans son jardin une statue magnifique. Il alerte alors l'ambassadeur de France en Turquie, le marquis de Rivière, afin d'acheter la statue, ce qu'il fait. L'ambassadeur l'offre au roi Louis XVIII, qui en fait don au musée du Louvre l'année suivante. Bel et rare exemplaire dont les terres ont été rehaussées au lavis d'encre de Chine. Catalogue des cartes, plans et vues de côtes qui composent l'hydrographie française, Janvier 1832, 1832, p. 29, 286.
Dressée et gravée par Ch. Gavard, 1 carte coloriée format 62,5 x 88,5 cm, Chez A. Bes et F. Dubreuil, Paris, 1861
Jolie carte encadrée de 20 vignettes. Etat satisfaisant (qq. mouill. et petites fentes en pliures)
1747. En 8 sections montées sur toile et pliées, formant une carte de 570 x 740 mm ; étiquette au dos avec titre manuscrit de l'époque.
Superbe carte manuscrite militaire du comté de Nice. Belle carte manuscrite, encre et aquarelle, d'une partie du comté de Nice correspondant au bassin inférieur du Paillon, et délimitée, à l'ouest, par la Vésubie et le Var, au sud par la côte méditerranéenne depuis l'embouchure du Var jusqu'au delà de Monaco. Y sont figurées les villes de Nice, Villefranche et Monaco, le Paillon et ses affluents, le cours inférieur du Var, les routes, les valons, les villages et les hameaux. La carte a été dressée pour y porter la ligne de défense de l'armée française, placée sous le commandement du maréchal de Belle-Isle, lors de la Guerre de Succession d'Autriche, et qui s'appuie sur le cours de la Vésubie, se poursuit le long de la crête du Férion, et se prolonge jusqu'à Èze en passant par Châteauneuf-Villevieille (Castelnovo), Drap et le vallon de Laghet (vallon de la Gueite). Quelques fortins et retranchements avancés se trouvent près de La Turbie. L'échelle est en toises, le relief est marqué par ombres portées. Avec liste de renvois pour les camps et retranchements, les postes avancés, les abattis d'arbres et le "pont auquel on travaille". Bel état de conservation, coloris très frais.
[Paris, 1850]. 306 x 462 mm ; sur carton fort.
Rare et intéressante carte figurant la circonscription du dépôt d'étalons d'Angers, dans le Maine-et-Loire, issue de l'ouvrage d'Eugène Gayot, Atlas statistique de la production des chevaux en France, publié à Paris en 1850. La circonscription du dépôt d'étalons d'Angers était formée des départements du Maine-et-Loire, de la Mayenne et de la Loire-Atlantique, appelée alors Loire Inférieure. La carte indique l'emplacement du dépôt d'étalons situé à Angers, des stations d'étalons (Château-Gontier, Ancenis, Nantes, Montrevault, Saumur...), et des chefs-lieux de courses. Chacun d'eux est illustré d'un cheval de trait ou d'un cavalier à cheval (militaire ou civil). Les limites des arrondissements composant les départements sont signalées en rouge. Plus petits que les haras, les dépôts d'étalons au XIXe siècle étaient destinés à accueillir des étalons reproducteurs, généralement à vocation militaire. De nombreux haras nationaux sont à l'origine des dépôts d'étalons. Les Haras Nationaux furent créés en 1665 sous Colbert, dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre. En 1806, Napoléon instaura les Haras Impériaux en créant six haras nationaux et trente dépôts d'étalons. Dans le même temps, il investit les nombreuses abbayes, couvents, monastères et autres établissements religieux, confisqués après la Révolution, pour y installer des dépôts d’étalons. Le développement des Haras fut poursuivi sous Napoléon III pour répondre aux besoins d’équidés dans l’armée, le transport et l’agriculture. Eugène Gayot était chef de la division des haras au ministère de l'Agriculture et du Commerce. Son ouvrage est un tableau fidèle de la population chevaline de la France en 1850. Pour ce faire, l'auteur a divisé le territoire en 27 circonscriptions hippiques, à savoir 2 haras, 24 dépôts d'étalons, et un dépôt de remonte. Chacune de ces circonscriptions est représentée par une carte indiquant le chef-lieu de la circonscription, les points sur lesquels les stations ont été créées, les chefs-lieux de courses et les divers établissements qui ressortent des remontes militaires. Le recensement de la population chevaline a été exécuté pendant l'année 1850, par des hommes ayant une connaissance spéciale du cheval. Fait de village en village, par canton, par arrondissement, et enfin par département, ce recensement embrasse quatre-vingt-trois départements, ceux de la Seine, de Seine-et-Oise et de la Corse n'ayant pas pu y être compris. Exemplaire aquarellé à l'époque, uniformément bruni. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, 1852, pp. 887-888 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1852, p. 320, n°39.
[Paris, 1850[. 306 x 462 mm.
Rare et intéressante carte figurant la circonscription du dépôt d'étalons de Blois, dans le Loir-et-Cher, issue de l'ouvrage d'Eugène Gayot, Atlas statistique de la production des chevaux en France, publié à Paris en 1850. La circonscription du dépôt d'étalons de Blois était formée des départements du Loir-et-Cher, d'Indre-et-Loire, du Loiret, du Cher et de l'Indre. La carte indique l'emplacement du dépôt d'étalons situé à Blois, des stations d'étalons (Blois, Romorantin, La Châtre, Issoudun...), et des chefs-lieux de courses à Tours et Vendôme. Chacun d'eux est illustré d'un cheval de trait ou d'un cavalier à cheval (militaire ou civil). Les limites des arrondissements composant les départements sont signalées en rouge. Plus petits que les haras, les dépôts d'étalons au XIXe siècle étaient destinés à accueillir des étalons reproducteurs, généralement à vocation militaire. De nombreux haras nationaux sont à l'origine des dépôts d'étalons. Les Haras Nationaux furent créés en 1665 sous Colbert, dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre. En 1806, Napoléon instaura les Haras Impériaux en créant six haras nationaux et trente dépôts d'étalons. Dans le même temps, il investit les nombreuses abbayes, couvents, monastères et autres établissements religieux, confisqués après la Révolution, pour y installer des dépôts d’étalons. Le développement des Haras fut poursuivi sous Napoléon III pour répondre aux besoins d’équidés dans l’armée, le transport et l’agriculture. Eugène Gayot était chef de la division des haras au ministère de l'Agriculture et du Commerce. Son ouvrage est un tableau fidèle de la population chevaline de la France en 1850. Pour ce faire, l'auteur a divisé le territoire en 27 circonscriptions hippiques, à savoir 2 haras, 24 dépôts d'étalons, et un dépôt de remonte. Chacune de ces circonscriptions est représentée par une carte indiquant le chef-lieu de la circonscription, les points sur lesquels les stations ont été créées, les chefs-lieux de courses et les divers établissements qui ressortent des remontes militaires. Le recensement de la population chevaline a été exécuté pendant l'année 1850, par des hommes ayant une connaissance spéciale du cheval. Fait de village en village, par canton, par arrondissement, et enfin par département, ce recensement embrasse quatre-vingt-trois départements, ceux de la Seine, de Seine-et-Oise et de la Corse n'ayant pas pu y être compris. Exemplaire aquarellé à l'époque, uniformément bruni. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, 1852, pp. 887-888 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1852, p. 320, n°39.
[Paris, 1850]. 307 x 462 mm ; sur carton fort.
Rare et intéressante carte figurant la circonscription du dépôt d'étalons de Bonneval, dans l'Eure-et-Loir, issue de l'ouvrage d'Eugène Gayot, Atlas statistique de la production des chevaux en France, publié à Paris en 1850. La circonscription du dépôt d'étalons de Bonneval était formée des départements d'Eure-et-Loir, du Loir-et-Cher et de la Sarthe. La carte indique l'emplacement du dépôt d'étalons situé à Bonneval, des stations d'étalons (La Ferté-Bernard, Mortagne-au-Perche, L'Aigle, Nogent-le-Rotrou...), et des chefs-lieux de courses. Chacun d'eux est illustré d'un cheval de trait ou d'un cavalier à cheval (militaire ou civil). Les limites des arrondissements composant les départements sont signalées en rouge. Plus petits que les haras, les dépôts d'étalons au XIXe siècle étaient destinés à accueillir des étalons reproducteurs, généralement à vocation militaire. De nombreux haras nationaux sont à l'origine des dépôts d'étalons. Les Haras Nationaux furent créés en 1665 sous Colbert, dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre. En 1806, Napoléon instaura les Haras Impériaux en créant six haras nationaux et trente dépôts d'étalons. Dans le même temps, il investit les nombreuses abbayes, couvents, monastères et autres établissements religieux, confisqués après la Révolution, pour y installer des dépôts d’étalons. Le développement des Haras fut poursuivi sous Napoléon III pour répondre aux besoins d’équidés dans l’armée, le transport et l’agriculture. Eugène Gayot était chef de la division des haras au ministère de l'Agriculture et du Commerce. Son ouvrage est un tableau fidèle de la population chevaline de la France en 1850. Pour ce faire, l'auteur a divisé le territoire en 27 circonscriptions hippiques, à savoir 2 haras, 24 dépôts d'étalons, et un dépôt de remonte. Chacune de ces circonscriptions est représentée par une carte indiquant le chef-lieu de la circonscription, les points sur lesquels les stations ont été créées, les chefs-lieux de courses et les divers établissements qui ressortent des remontes militaires. Le recensement de la population chevaline a été exécuté pendant l'année 1850, par des hommes ayant une connaissance spéciale du cheval. Fait de village en village, par canton, par arrondissement, et enfin par département, ce recensement embrasse quatre-vingt-trois départements, ceux de la Seine, de Seine-et-Oise et de la Corse n'ayant pas pu y être compris. Exemplaire aquarellé à l'époque, uniformément bruni. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, 1852, pp. 887-888 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1851, p. 448, n°79 (attribué à Laguillermie).
[Paris, 1850]. 303 x 461 mm ; sur carton fort.
Rare et intéressante carte figurant la circonscription du Haras du Pin, dans le département de l'Orne, issue de l'ouvrage d'Eugène Gayot, Atlas statistique de la production des chevaux en France, publié à Paris en 1850. Situé près d'Argentan, le Haras du Roy, renommé depuis Haras du Pin, est le plus ancien des haras nationaux français. Il fut fondé par Louis XIV pour élever des chevaux destinés aux services de l'Armée, de la Grande Écurie de Versailles, et de la Maison du roi. La circonscription du Haras du Pin était formée des départements de l'Orne, du Calvados et de l'Eure. La carte indique l'emplacement du haras situé au Pin, des stations d'étalons (Le Pin, Alençon, Falaise, Pont-l'Évêque, Lisieux...), et des chefs-lieux de courses. Chacun d'eux est illustré d'un cheval de trait ou d'un cavalier à cheval (militaire ou civil). Les limites des arrondissements composant les départements sont signalées en rouge. Plus petits que les haras, les dépôts d'étalons au XIXe siècle étaient destinés à accueillir des étalons reproducteurs, généralement à vocation militaire. De nombreux haras nationaux sont à l'origine des dépôts d'étalons. Les Haras Nationaux furent créés en 1665 sous Colbert, dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre. En 1806, Napoléon instaura les Haras Impériaux en créant six haras nationaux et trente dépôts d'étalons. Dans le même temps, il investit les nombreuses abbayes, couvents, monastères et autres établissements religieux, confisqués après la Révolution, pour y installer des dépôts d’étalons. Le développement des Haras fut poursuivi sous Napoléon III pour répondre aux besoins d’équidés dans l’armée, le transport et l’agriculture. Eugène Gayot était chef de la division des haras au ministère de l'Agriculture et du Commerce. Son ouvrage est un tableau fidèle de la population chevaline de la France en 1850. Pour ce faire, l'auteur a divisé le territoire en 27 circonscriptions hippiques, à savoir 2 haras, 24 dépôts d'étalons, et un dépôt de remonte. Chacune de ces circonscriptions est représentée par une carte indiquant le chef-lieu de la circonscription, les points sur lesquels les stations ont été créées, les chefs-lieux de courses et les divers établissements qui ressortent des remontes militaires. Le recensement de la population chevaline a été exécuté pendant l'année 1850, par des hommes ayant une connaissance spéciale du cheval. Fait de village en village, par canton, par arrondissement, et enfin par département, ce recensement embrasse quatre-vingt-trois départements, ceux de la Seine, de Seine-et-Oise et de la Corse n'ayant pas pu y être compris. Exemplaire aquarellé à l'époque, uniformément bruni. Bulletin de la Société historique et archéologique de l'Orne, 1936, p. 12, n°121 ; Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, 1852, pp. 887-888 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1851, p. 448, n°79 (attribué à Laguillermie).
[Paris, 1850]. 303 x 457 mm.
Rare et intéressante carte figurant la circonscription du dépôt d'étalons de Montier-en-Der, dans le département de la Haute-Marne, issue de l'ouvrage d'Eugène Gayot, Atlas statistique de la production des chevaux en France, publié à Paris en 1850. La circonscription du dépôt d'étalons de Montier-en-Der était formée des départements de la Haute-Marne, de l'Aube, de l'Yonne et de la Côte-d'Or. La carte indique l'emplacement du dépôt d'étalons situé à Montier-en-Der, des stations d'étalons (Montier-en-Der, Langres, Semur...), et du chef-lieu de courses situé à Montier-en-Der. Chacun d'eux est illustré d'un cheval de trait ou d'un cavalier à cheval (militaire ou civil). Les limites des arrondissements composant les départements sont signalées en rouge. Plus petits que les haras, les dépôts d'étalons au XIXe siècle étaient destinés à accueillir des étalons reproducteurs, généralement à vocation militaire. De nombreux haras nationaux sont à l'origine des dépôts d'étalons. Les Haras Nationaux furent créés en 1665 sous Colbert, dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre. En 1806, Napoléon instaura les Haras Impériaux en créant six haras nationaux et trente dépôts d'étalons. Dans le même temps, il investit les nombreuses abbayes, couvents, monastères et autres établissements religieux, confisqués après la Révolution, pour y installer des dépôts d’étalons. Le développement des Haras fut poursuivi sous Napoléon III pour répondre aux besoins d’équidés dans l’armée, le transport et l’agriculture. Eugène Gayot était chef de la division des haras au ministère de l'Agriculture et du Commerce. Son ouvrage est un tableau fidèle de la population chevaline de la France en 1850. Pour ce faire, l'auteur a divisé le territoire en 27 circonscriptions hippiques, à savoir 2 haras, 24 dépôts d'étalons, et un dépôt de remonte. Chacune de ces circonscriptions est représentée par une carte indiquant le chef-lieu de la circonscription, les points sur lesquels les stations ont été créées, les chefs-lieux de courses et les divers établissements qui ressortent des remontes militaires. Le recensement de la population chevaline a été exécuté pendant l'année 1850, par des hommes ayant une connaissance spéciale du cheval. Fait de village en village, par canton, par arrondissement, et enfin par département, ce recensement embrasse quatre-vingt-trois départements, ceux de la Seine, de Seine-et-Oise et de la Corse n'ayant pas pu y être compris. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, 1852, pp. 887-888 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1851, p. 448, n°79 (attribué à Laguillermie).
[Paris, 1850]. 474 x 296 mm.
Rare et intéressante carte figurant la circonscription du dépôt d'étalons de Strasbourg, dans le Bas-Rhin, issue de l'ouvrage d'Eugène Gayot, Atlas statistique de la production des chevaux en France, publié à Paris en 1850. La circonscription du dépôt d'étalons de Strasbourg était formée des départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin. La carte indique l'emplacement du dépôt d'étalons situé à Strasbourg, des stations d'étalons (Soultz-sous-Forêts, Strasbourg, Colmar...), et du chef-lieu de courses situé à Haguenau. Chacun d'eux est illustré d'un cheval de trait ou d'un cavalier à cheval (militaire ou civil). Les limites des arrondissements composant les départements sont signalées en rouge. Plus petits que les haras, les dépôts d'étalons au XIXe siècle étaient destinés à accueillir des étalons reproducteurs, généralement à vocation militaire. De nombreux haras nationaux sont à l'origine des dépôts d'étalons. Les Haras Nationaux furent créés en 1665 sous Colbert, dans le but de fournir suffisamment de chevaux de guerre. En 1806, Napoléon instaura les Haras Impériaux en créant six haras nationaux et trente dépôts d'étalons. Dans le même temps, il investit les nombreuses abbayes, couvents, monastères et autres établissements religieux, confisqués après la Révolution, pour y installer des dépôts d’étalons. Le développement des Haras fut poursuivi sous Napoléon III pour répondre aux besoins d’équidés dans l’armée, le transport et l’agriculture. Eugène Gayot était chef de la division des haras au ministère de l'Agriculture et du Commerce. Son ouvrage est un tableau fidèle de la population chevaline de la France en 1850. Pour ce faire, l'auteur a divisé le territoire en 27 circonscriptions hippiques, à savoir 2 haras, 24 dépôts d'étalons, et un dépôt de remonte. Chacune de ces circonscriptions est représentée par une carte indiquant le chef-lieu de la circonscription, les points sur lesquels les stations ont été créées, les chefs-lieux de courses et les divers établissements qui ressortent des remontes militaires. Le recensement de la population chevaline a été exécuté pendant l'année 1850, par des hommes ayant une connaissance spéciale du cheval. Fait de village en village, par canton, par arrondissement, et enfin par département, ce recensement embrasse quatre-vingt-trois départements, ceux de la Seine, de Seine-et-Oise et de la Corse n'ayant pas pu y être compris. Très bon exemplaire finement aquarellé à l'époque. Déchirure dans la marge droite restaurée. Comptes rendus hebdomadaires des séances de l'Académie des Sciences, 1852, pp. 887-888 ; Bibliographie de la France, ou Journal général de l'Imprimerie et de la Librairie, 1851, p. 448, n°79 (attribué à Laguillermie).
Février 1913. 203 x 132 mm.
Belle planche gravée et finement coloriée au pochoir, présentant un manteau chinois rouge et noir de Georges Dœuillet, doublé de soie et couvrant un panier de satin sur une jupe de soie brodée d'une guirlande. La robe de dessous est en crêpe de Chine. La Gazette du Bon Ton est la plus belle et la plus rare des revues de modes Arts Déco, illustrée par les artistes les plus célèbres de l'époque : Barbier, Lepape, Brunelleschi, Marty, Benito, Dufy, Jacovleff, etc. Bel exemplaire.
à Paris chez Etienne Ledoux, libraire. quatrième édition - 1834 6 volumes de format 10 x 15 cm, reliure demi-basane d'époque, plats et gardes marbrés entre 258 et 314 pages par volume, illustrés de 17 gravures, 86 cartes de départements et une carte de la France dépliante. COMPLET un mors du tome 2 fendu (voir photo) sinon Bon état
envoi en colissimo offert pour la France métropolitaine
Un ouvrage de 293 pages, format 120 x 190 mm, broché couverture couleurs, publié en 1962, Editions Albin Michel, bon état
Tous les jeux de cartes, petits jeux de cartes de salon, jeux divers de salon, jeux de plein air, notions diverses sur les jeux
Phone number : 04 74 33 45 19
Genève, Ed. Labor, 1937. In-8 broché de XXXII-645 pages. Mors du 1er plat déchiré en ses extrémités.
Illustré de 30 planches hors-texte, bandeaux et culs-de-lampe, ainsi que 4 cartes. Tome 2 seul.
Kjøbenhavn, Generalstaben, 1847-64. Omfattende samling af kobberstukne kortblade, hvert blad måler 43x52 cm. Foldet og opbevaret i en samtidig shirtkassette. Alle blade foldet og monteret med lærred på bagsiden og opdelt i felter. Kortbladene er kobberstukket og alle illuminerede (kobberfarvetryk). I fin stand.
Kortbladene er nummererede i pladen, her omfattende Nr. 1-11 og 16-19 (Jylland, Lolland og Falster ikke med). 1. Gilleleje. 2. Frederiksborg. 3. Köbenhavn. 4. Store Heddinge. 5. Ulfshale. 6. Møen. 7. Hesselø. 8. Frederikssund. 9. Roskilde. 10. Ringsted. 11. Præstø. 16. Odden. 17. Kallundborg. 18. Slagelse. 19. Skælskør.
Tribune Editions, Genève 1979. Bel exemplaire relié, reliure pleine toile, jaquette conservée, pet. In-4, 174 pages + index
Paris, Masson et Cie, 1906. in-4 (25x18) , relié demi maroquin aubergine , dos à nerfs avec auteur et titre , xv-364 , abondamment illustré
l'auteur parlant parfaitement l'arabe, parcourt notamment l'Atlas occidental (de novembre 1904 à mars 1905), en costume indigène, dans le cadre de la mission du marquis de Segonzac . Gentil fait le trajet de Mogador (aujourd'hui Essaouira) à Marrakech, et en rapporte quinze caisses de roches et fossiles, cinq cents photographies, et de nombreux relevés de terrain. Il fait paraître en 1906, le récit de l'expédition, en fin d'ouvrage, un chapitre sur l'arganier et ses dérivés. Louis Émile Gentil est un géographe, géologue et minéralogiste, spécialiste du Maghreb, faisant désormais partie de la mission de De Segonzac.
Ville de Genève, 1996 à 2002. 8 plans (2 coins cornés, pour le reste en bon état), à emmener pour découvrir Genève à Pied.
Diverses balades proposées, avec estimation du temps de parcours.
Ville de Genève, 2000. Plan dépliant à emmener pour découvrir Genève à Pied.
Ville de Genève, 2002. Plan dépliant à emmener pour découvrir Genève à Pied.
Ville de Genève, 1997. Plan dépliant à emmener pour découvrir Genève à Pied.
Ville de Genève, 1999. Plan dépliant à emmener pour découvrir Genève à Pied.
Ville de Genève, 2001. Plan dépliant à emmener pour découvrir Genève à Pied.
Les Clefs de Saint-Pierre, 1976. Enveloppe au format 16 x 11 cm., ornée d'une vignette et de 2 timbres. Affranchissement philatélique, à l'état de neuf.
Publiée à l'occasion des manifestations en faveur de la Fondation pour la conservation de la Cathédrale Saint-Pierre à Genève.
République et Canton de Genève / Société de Banques Suisses, 1989 / 1991. 2 plans commentés.