Editions Mornay 1935-Illustrations de Carlègle-Un vol in 8° tiré à 1765 exemplaires 1/1635(89) sur Rives relié en 1/2 maroquin bleu à coins par Trinckvel
Paris,Les Bibliophiles du Cornet, 1935 ; in-4, en feuilles, couverture étui.
Tirage à 175 exemplaires numérotés, celui-ci au nom du Docteur Charles Coutela. Portrait de l'auteur en frontispice et 68 vignettes et culs-de-lampe, bois de Carlègle. Etui légèrement défraîchi, sinon excellent état
Société Littéraire de France 1919, in12 broché ,283p , numéroté papier d'édition ,2e mille
petites taches en marge de quelques feuillets
Paris les éditions Pittoresques 1931.In 4° (28x19cm) broché 232 pages.Illustrations couleur de Carlègle. Petit tirage de 400 exemplaires. Ici le n° 138 sur velin de Rives. Quelques très rares rousseurs. Bon exemplaire
Phone number : 33 6 33 70 77 23
Lucien Vogel éditeur, Paris 1914, 19,5x25cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche dans la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1912-1913, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Une très petite rousseur dans le cadre. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) La Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: « En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France. » («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, La Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
grand in 8 carré broché,276 pages,illustrations en couleurs dans le texte et frontispice par Carlègle,édition numérotée sur vélin de Rives à la forme.André Plicque & Cie 1928 édition tirée à 270 exemplaires emboîtage.
[CARLEGLE (Charles-Émile Egli, dit).] - REGNIER (Henri de).
Reference : 24234
(1928)
PARIS , Plicque 1928 1 Aquarelles de Carlègle, André Plicque, 1928, in-8, broché, couverture rempliée, couverture illustrée, 275 pages.
Henri de REGNIER (1864 -1936), conteur, romancier et poète de premier plan, est élu à l'Académie française en 1912. La biographie qui lui est consacrée par les Immortels le compare à Valéry et Verlaine. "Critique littéraire également, il tint longtemps le feuilleton littéraire du Figaro. Admirateur de Mallarmé, aux « mardis », influencé par Leconte de Lisle et surtout par José Maria de Heredia dont il épousa, en 1896, lune des filles, Marie (...). Henri de Régnier a composé une uvre originale dans laquelle se rencontrent le Parnasse et le symbolisme." (Notice biographique de l'Académie française). La truculence de Carlègle (1877-1937), dessinateur humoriste suisse, illustrateur, lithographe et graveur sur bois, épouse avec bonheur ce texte à la fois léger et grave. Petites marques.
Editions Mornay 1929/1930-Illustrations de Carlègle-Duex vol in 8°br tiré à 1085 et 1091 exemplaires à 825(489) et 841(620)sur papier de Rives
Editions Mornay 1930-Illustrations de Carlègle-Deux vol tirés à 1091 et 1085 exemplaires-1/825(404)et1/841(225) sur Rives accopagnés chacun de deux suites en noir(une sur Japon et une sur Chine)-Reliés en 1/2maroquin bleu à coins par Vitoz
Editions Mornay Paris, 1929 - 1930, 2 vol. in-8 brochés, couvertures rempliées illustrées. 291pp.-1f. / 240pp.-3ff. Illustrations de Carlègle mises en couleurs au pochoir. Exemplaires numérotés sur vélin de Rives. Les deux volumes sont en parfait état, non coupé et sans rousseur.
Editions Grasset. In-4° broché. Environ 250 pages.
Textes de Upton Sinclair, Ferreira de Castro, Elie Faure, Jean de Fabrègues, Paul Gauguin, Jules Mougin, Max Jacob, Ludovic Massé, étude sur " Le Dessin enfantin " par Florence Littré (avec de nombreuses illustrations) Illustrations de Masereel, Delatousche, Gill, Carlègle, Willette... Bon état.
Couverture souple Chez l'imprimeur Léon Pichon 1920 Paris 22,5x16 cm
Broché, dos carré, couverture souple d'éditeur à rabats ornée - 14 pp. L'un des 295 exemplaires numérotés sur vélin à la cuve des Papeteries d'Arches. Tirage total: 376 ex. Gravures sur bois de Carlègle. Bel état.
PICHON 1920 1 P., Léon Pichon, 1920, in-8, broché, couverture rempliée imprimée, 14 pp.
Cette élégie est illustrée de gravures sur bois du Suisse CARLEGLE. Exemplaire numéroté sur vélin à la cuve des Papeteries d'Arches. Légères piqûres
Paris, Léon Pichon, 1924 ; in-4° broché. Illustré de bois gravés par Carlègle. Tiré à 345 exemplaires, celui-ci sur vélin d’Arches.
Paris, Martin Kaelin, 1938; in-4°, en feuilles sous couverture. Illustré de 28 compositions en couleurs de Carlègle. Tiré à 320 exemplaires, celui-ci sur vélin d'Arches.
Joli livre.
PICHON 1926 1 Paris, Léon Pichon, 1926, in-8, broché, couverture rempliée.
Paraphrases françaises de René PUAUX avec les vignettes gravées sur bois par CARLEGLE. Frontispice et deux figures in texte de CARLEGLE.
Paris, Léon Pichon, 1926 ; petit in-4, broché ; 52 pp., (1) f. blanc, (1) f. justification du tirage ; ouvrage imprimé en rouge et noir ; frontispice et 2 vignettes gravées sur bois par Carlègle.
Un des 350 exemplaires numérotés sur vélin à la forme des Pateries d'Arches (N°247). Très bel exemplaire qui a été imprimé en Dorique, caractère nouveau dessiné par E. Carlègle et Léon Pichon.
Phone number : 06 60 22 21 35
Léon Pichon Paris 1926 In-8 ( 255 X 185 mm ) de 52 pages, broché sous couverture rempliée. Paraphrases françaises de René PUAUX avec les vignettes gravées sur bois par CARLEGLE. Frontispice et deux figures in texte de CARLEGLE. 1 des 350 exemplaires sur vélin à la forme des papeteries d'Arches. Très bel exemplaire.
Paris,Léon Pichon 1926. in-4o, broché de 52 pp., (1) f. blanc, (1) f., imprimé en rouge et noir avec frontispice et 2 vignettes gravées sur bois par Carlègle. Un des 25 exemplaires numérotés nominatif sur japon avec une suite des gravures sur Chine. Bon état.
Phone number : 00 30 210 3616330
Paris, Mornay, 1926 ; in-8° broché, couverture illustrée rempliée. 66 compositions coloriées au pochoir. Tiré à 507 exemplaires numérotés ; celui-ci sur hollande Van Gelder.
Joli livre.
Paris, Mornay, 1926. In-8° broché, couverture illustrée rempliée. 66 compositions coloriés au pochoir. Tiré à 507 exemplaires. Un des 37 exemplaires sur Japon Impérial (n°1). Contient 2 aquarelles originales.
Paris, Mornay, 1931 ; in-8° carré, broché. Édition originale illustrée de 80 dessins au trait par Carlègle. Tiré à 555 exemplaires ; celui-ci sur hollande.
Joli exemplaire.
Editions Mornay 1931,25ème livre de la "Collection originale".Illustrations de Carlègle.Une plaquette in 8° carrée,brochée.Tirée à 555 exemplaires,1/450 (375) sur Hollande B.F.K. (sam)
petite déchirures en haut et en bas du dos,sans manque
Paris, Éditions Mornay, 1931. In-8 de [3]-97-[3] pages, relié en plain box lie-de-vin, dos lisse et muet, gardes de daim mauve. Les plats sont décorés de graffitis inspirés des compositions de Carlègle, littéralement gravées dans le cuir. Couverture et dos conservés, tranches dorées. Chemise à rabat de box lie-de-vin, étui.
Illustré de compositions en noir et rouge de Carlègle. Singulier exemplaire à la reliure "graffitée". Un des 75 exemplaires réservés aux amis et héritiers de Gabriel Soulages, le nôtre justifié LXXI, imprimé pour Henri Barthélemy, illustrateur de nombreux ouvrage notamment chez Mornay. La reliure n'est pas signée mais une note indique qu'elle est de Mme Souchière-Cabot (Jacqueline?).Jolie publication délicatement coquine vêtue d'une reliure qui s'accorde sobrement aux graffiti d'amour.