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‎EMPIRE, CONCORDAT - PORTALIS (Jean-Étienne-Marie), CAPRARA (Cardinal Giambattista), SIMÉON (Joseph-Jérôme), BONAPARTE (Lucien)‎

Reference : 39316

‎Recueil de 10 pièces en édition originale sur le Concordat et l'organisation du culte.1 - PORTALIS (Jean-Étienne-Marie). Corps Législatif Conseil des anciens. Opinion de Portalis sur la résolution du 17 floréal dernier, relative aux prêtres non assermentés. Séance du 9 fructidor an IV. Paris, Impr. Nationale, an IV. 86 pages.2 - CAPRARA (Giovanni Battista, Cardinal). Concordat et Recueil des Bulles et Brefs de N.S.P. le Pape Pie VII sur les affaires actuelles de lÉglise de France (). Paris, Le Clere et Rondonneau, an X 1802. (4), 147 pages. Tableau dépliant. Édition originale. Légat auprès du Premier consul, Caprara signa le Concordat avec le gouvernement consulaire et sacra Napoléon roi d'Italie (1805).3 - PORTALIS. Discours prononcé par le C[itoy]en Portalis, orateur du gouvernement, dans la séance du Corps législatif du 15 Germinal an 10 sur l'Organisation des Cultes. Paris, Impr. de la République, Germinal an X [mars-avril 1802]. (2), 64 pages.4 - PORTALIS. Convention entre le Gouvernement français et sa Sainteté Pie II, Echangée le 23 Fructidor an 9 [10 septembre 1801]. Paris, Impr. de la République, Germinal an X [mars-avril 1802], 8 pages.5 - PORTALIS. Articles organiques de la Convention, Paris, Impr. de la République, Germinal an X [mars-avril 1802].12 pages.6 - PORTALIS. Articles organiques des cultes protestants. Paris, Impr. de la République, s.d. [1802]. 7 pages.7 - PORTALIS. Rapport du C[itoy]en Portalis sur les articles organiques de la Convention. Paris, Impr. de la République, s.d. [1802]. 22 p. (le dernier feuillet blanc porte des notes manuscrites de l'époque donnant la liste des curés de Paris).8 - PORTALIS. Rapport du C[itoy]en Portalis sur les articles organiques des cultes protestants. Paris, Impr. de la République, s.d. [1802]. 3 pages.9 - CARRION-NISAS (H.). Discours sur le Concordat prononcé dans lAssemblée des Sections du Tribunat, réunies en conférence générale, sous la présidence du citoyen Lucien BONAPARTE. Paris, Notte, 1802. 40 pages.10 - SIMÉON (Joseph-Jérôme), BONAPARTE (Lucien), Discours prononcés par les citoyens Siméon et Lucien Bonaparte sur lorganisation des cultes. Paris, Landriot et Rousset, 1802. (2), 25 pages. Marge rognée courte avec perte de caractères.Bon exemplaire.‎

‎ Recueil de 12 documents réunis en un fort volume in-8 (198 x 120 mm), basane mouchetée de l'époque, dos lisse orné d'un décor Empire de compartiments cloisonnés et fleuronnés, fers Empire répétés et palettes dorées en pied, pièce de titre de maroquin rouge, roulette sur les coupes, tranches rouges. ‎


‎Important recueil de brochures en édition originale, reliées à l'époque, relatives à la réorganisation des cultes sous le Consulat et lEmpire, rassemblant plusieurs textes fondateurs. On y trouve notamment "l'Opinion de Portalis sur la résolution du 17 floréal an IV" (1796), où saffirme déjà son rôle dartisan de la pacification religieuse, et surtout son grand "Discours sur lorganisation des cultes" (germinal an X, 1802), texte-clef du Concordat. Lensemble comprend également lédition originale du recueil publié par le cardinal Caprara, légat du pape et signataire du Concordat, les conventions officielles entre le gouvernement et Pie VII, ainsi que les Articles organiques du culte catholique et des cultes protestants, assortis des rapports explicatifs de Portalis. Enfin, les discours prononcés par Siméon, Lucien Bonaparte et Carrion-Nisas témoignent du débat parlementaire autour de la reconnaissance et du contrôle des cultes. Ces pièces capitales permettent de saisir, au plus près des sources, la construction du système concordataire qui, en réconciliant Église et État, institua un modèle durable des relations entre le pouvoir civil et les religions en France.Piqûres et rousseurs plus prononcées sur quelques feuillets. Une table manuscrite à l'époque sur papier bleuté est jointe au volume. Quelques traces de restaurations anciennes à la reliure.Bon exemplaire, relié à l'époque. ‎

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Phone number : 33 01 47 07 40 60

EUR800.00 (€800.00 )

‎[SIMEON] - ‎ ‎ETIENNE BRICON ‎

Reference : ABE-1746002629855

(1928)

‎PROMENADE AU PAYS DES DEESSES ‎

‎120 PAGES-16,5 CM X 25,8 CM-AVEC UNE PAGE AUTOGRAPHE DE LA COMTESSE DE NOAILLES ET 23 BOIS AQUARELLES DE SIMEON-ORNEMENTATION DE LA COUVERTURE PAR ALFRED LATOUR-EXEMPLAIRE N°195 SUR HOLLANDE-EN GRANDE PARTIE NON COUPE-DOS EN PARTIE RECOLLE-(300I)‎


‎LA LAMPE D'ARGILE COUVERTURE SOUPLE ETAT BON‎

EUR95.00 (€95.00 )

‎[ Apud J.P. Migne] - ‎ ‎EUSEBIUS ALEXANDRINUS ; EUSEBIUS EMESENUS ; LEONTIUS BYZANTINUS ; JUSTINIANUS IMPERATOR ; ALII ; (Presbytre Timothée de Constantinople, Jean Maxence, Théodore le Lecteur, Procope de Tyr, Théodore de Scythopolis, Timothée de Jérusalem, Théodose d'Alexandrie, Eusèbe d'Alexandrie, Eusèbe d'Émèse, Grégence de Safar, Épiphane de Constantinople, Isaac de Ninive, Barsanuphe de Palestine, Eustathe le Moine, Justinien Ier, Agapet le Diacre, Léonce de Byzance, Éphrem d'Antioche, Paul le Silentiaire, Eutychius de Constantinople, Évagre le Scholastique, Euloge d'Alexandrie, Siméon Stylite le Jeune, Zacharie de Jérusalem, Modeste de Jérusalem, anonyme sur le siège de Jérusalem par les Perses, Jobius, Erechthius d'Antioche de Pisidie, Pierre de Laodicée)‎

Reference : 68690

(1860)

‎Eusebii Alexandrini Episcopi, Eusebii Emeseni Leonti Byzantini Opera quae reperiri potuerunt omnia, etc... (1 Tome en 2 volumes - Complet). Patrologiae Cursus completus. Series Graeca. Tomus LXXXVI Pars Prior & Pars Posterior [ Patrologia Graeca Tome 86 en 2 volumes - Presbytre Timothée de Constantinople, Jean Maxence, Théodore le Lecteur, Procope de Tyr, Théodore de Scythopolis, Timothée de Jérusalem, Théodose d'Alexandrie, Eusèbe d'Alexandrie, Eusèbe d'Émèse, Grégence de Safar, Épiphane de Constantinople, Isaac de Ninive, Barsanuphe de Palestine, Eustathe le Moine, Justinien Ier, Agapet le Diacre, Léonce de Byzance, Éphrem d'Antioche, Paul le Silentiaire, Eutychius de Constantinople, Évagre le Scholastique, Euloge d'Alexandrie, Siméon Stylite le Jeune, Zacharie de Jérusalem, Modeste de Jérusalem, anonyme sur le siège de Jérusalem par les Perses, Jobius, Erechthius d'Antioche de Pisidie, Pierre de Laodicée ]‎

‎Accurante J.P. Migne, 2 vol. in-4 reliure de l'époque demi-chagrin vert, dos à 4 nerfs dorés, Apud J.P. Migne, Petit-Montrouge, 1860 Rappel du titre complet : Eusebii Alexandrini Episcopi, Eusebii Emeseni Leonti Byzantini Opera quae reperiri potuerunt omnia, etc... (1 Tome en 2 volumes - Complet). Patrologiae Cursus completus. Series Graeca. Tomus LXXXVI Pars Prior & Pars Posterior [ Patrologia Graeca Tome 86 en 2 volumes - Presbytre Timothée de Constantinople, Jean Maxence, Théodore le Lecteur, Procope de Tyr, Théodore de Scythopolis, Timothée de Jérusalem, Théodose d'Alexandrie, Eusèbe d'Alexandrie, Eusèbe d'Émèse, Grégence de Safar, Épiphane de Constantinople, Isaac de Ninive, Barsanuphe de Palestine, Eustathe le Moine, Justinien Ier, Agapet le Diacre, Léonce de Byzance, Éphrem d'Antioche, Paul le Silentiaire, Eutychius de Constantinople, Évagre le Scholastique, Euloge d'Alexandrie, Siméon Stylite le Jeune, Zacharie de Jérusalem, Modeste de Jérusalem, anonyme sur le siège de Jérusalem par les Perses, Jobius, Erechthius d'Antioche de Pisidie, Pierre de Laodicée ]‎


‎Rare exemplaire en bon état, bien relié et bien complet du tome 86 (en 2 volumes, Pars Prior et Pars Postérior) de la Patrologie grecque de Migne, bien complet des oeuvres des Pères grecs du VIe siècle : le Presbytre Timothée de Constantinople, de Jean Maxence, Théodore le Lecteur, Procope de Tyr, Théodore de Scythopolis, Timothée de Jérusalem, Théodose d'Alexandrie, Eusèbe d'Alexandrie, Eusèbe d'Émèse, Grégence de Safar, Épiphane de Constantinople, Isaac de Ninive, Barsanuphe de Palestine, Eustathe le Moine, Justinien Ier, Agapet le Diacre, Léonce de Byzance, Éphrem d'Antioche, Paul le Silentiaire, Eutychius de Constantinople, Évagre le Scholastique, Euloge d'Alexandrie, Siméon Stylite le Jeune, Zacharie de Jérusalem, Modeste de Jérusalem, anonyme sur le siège de Jérusalem par les Perses, Jobius, Erechthius d'Antioche de Pisidie, Pierre de Laodicée. Avec le texte grec et la traduction latine en regard (tomé par erreur LXXV au lieu de XXXV, coupes très lég. frottées, ancien cachet de monastère, rares rouss., très bon état par ailleurs). Peu commun, surtout en si bon état. Rare copy in good condition, well bound and very complete with volumes 86 (2 volumes) of Migne's Greek Patrology, containing the works of Presbyter Timothy of Constantinople, Joannes Maxentius, Theodorus Lector, Procopius Deacon of Tyre, Theodorus Bishop of Scythopolis, Presbyter Timothy of Jerusalem, Theodosius I of Alexandria, Eusebius of Alexandria, Eusebius of Emesa, Gregentius of Taphar, Patriarch Epiphanius of Constantinople, Isaac of Nineveh, Barsanuphius of Palestine, Eustathius monk, Emperor Justinian, Agapetus the Deacon, Leontius Byzantinus, Patriarch Ephraim of Antioch, Paulus Silentiarius, Patriarch Eutychius of Constantinople, Evagrius Scholasticus, Eulogius of Alexandria, Simeon Stylites the Younger, Patriarch Zacharias of Jerusalem, Patriarch Modestus of Jerusalem, Anonymous on the siege of Jerusalem by the Persians, Jobius, Erechthius Bishop of Antioch in Pisidia, Peter Bishop of Laodicea. With the Greek text and the Latin translation opposite.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR290.00 (€290.00 )

‎FAURE PAUL, PASCAL MICHELE, SIMEON ANDRE‎

Reference : RO60134254

(1983)

‎MATHEMATIQUE, BEP COMMERCIAL, 2e ANNEE, FORMATION CONTINUE‎

‎Nathan. 1983. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos fané, Intérieur acceptable. 235 pages. Tampon de librairie et annotations (ex-libris).page de titre.. . . . Classification Dewey : 372.7-Livre scolaire : mathématiques‎


‎Programme 1974. Options Comptable mécanographe, Agent administratif, Commerce. Classification Dewey : 372.7-Livre scolaire : mathématiques‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎Faure Paul, Simeon André‎

Reference : RO20241807

(1975)

‎Mathématique : Préparation en trois ans aux C.A.P. commerciaux - Troisième année‎

‎Nathan Technique. 1975. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 175 pages. . . . Classification Dewey : 510-Mathématiques‎


‎C.A.P Commercial Classification Dewey : 510-Mathématiques‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎Faure (P.), Pascal (M.) et Simeon (A.)‎

Reference : Cyb-1992

(1986)

‎Mathématiques - B.E.P. Commercial, 2eme année, options Comptable - Mécanographe, Agent administratif, Commerce‎

‎Nathan Technique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1986 Book condition, Etat : Bon broché grand In-8 1 vol. - 237 pages‎


‎ Contents, Chapitres : 1. Fonctions d'une variable réelle : Calculs dans R - Suites arithmétiques, suites géométriques - Calculs logarithmiques - Equations du second degré - Fonction f telle que f(x) = ax² - Notion de limite, notion de dérivée - 2. Statistique descriptive : Eléments caractéristiques d'une série : paramètres de position - paramètres de dispersion - Séries chronologiques - Les indices de la vie économique - Pourcentages : application aux calculs relatifs à la facturation - Calculs relatifs à l'achat et à la vente des marchandises - 3. Opérations financières : Intérêts simples - Escompte commercial - Bordereau d'escompte - Equivalence d'un capital à un autre capital - Equivalence des taux - Échéance commune, échéance moyenne, équivalence d'un capital à un ensemble de capitaux - Comptes courants à taux réciproques - Comptes courants à taux variables - Intérêts composés - Règlements en monnaie étrangère, le change - Commerce international, les parités, compte de revient - Problèmes de synthèse ‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR7.00 (€7.00 )

‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54861

(1921)

‎Au bal noir et blanc. Manteau du soir (pl.25, La Gazette du Bon ton, 1921 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54901

(1921)

‎Chloé. Robe du soir, de Beer (pl.62, La Gazette du Bon ton, 1921 n°8)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 57636

(1912)

‎Costumes parisiens. Tailleur de velours blanc frappé garni de loutre et de passementerie (pl.28, Journal des Dames et des Modes, 1912 n°15)‎

‎S. n. | Paris 1912 | 14 x 22.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54711

(1920)

‎La Lettre surprise (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1920 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Février 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54939

(1921)

‎Le Déjeuner au cabaret. Tailleur, en cottaperllaine de Rodier (pl.74, La Gazette du Bon ton, 1921 n°10)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54839

(1921)

‎Le Plaisir à la mode. Manteau du soir, en tissus de Bianchini (pl.3, La Gazette du Bon ton, 1921 n°1)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur finement rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54798

(1920)

‎Le Retour des autans. Tailleur et Robe d'après-midi de Doeuillet (pl.55, La Gazette du Bon ton, 1920 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Septembre 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54971

(1922)

‎L'Eveil du printemps. Manteau réversible en serge, "motifs grillagés", de Rodier (pl.17, La Gazette du Bon ton, 1922 n°3)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1922 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. La Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 54773

(1920)

‎Un peu beaucoup (pl.34, La Gazette du Bon ton, 1920 n°5)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Juin 1920 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, non-signée. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON‎

Reference : 39027

(1920)

‎Vous avez vu ? Cette petite. Robe de promenade en Parquetine de Rodier. (La Gazette du Bon ton, n°4. Année 1920 - Planche 24 )‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris 1920 | 19.50 x 25 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, la signature ne permet pas d'identifier l'artiste. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON - Anatole FRANCE‎

Reference : 85744

(1921)

‎La révolte des anges‎

‎Editions Mornay | Paris 1921 | 15 x 20.50 cm | broché‎


‎Edition illustrée de 111 bois originaux de Siméon,, un des 940 exemplaires numérotés sur Rives. Bel exemplaire en dépit des gardes légèrement et partiellement ombrées. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON - Anatole FRANCE‎

Reference : 65018

(1923)

‎Le crime de Sylvestre Bonnard‎

‎Editions Mornay | Paris 1923 | 17.50 x 22 cm | broché‎


‎Edition illustrée d'eaux-fortes et de bois originaux de Fernand Siméon, un des 35 exemplaires numérotés sur Hollande, le nôtre un des 24 hors commerce, tirage en grand papier le plus restreint après un exemplaire unique sur Japon ancien. Agréable exemplaire en dépit d'une petite mouillure claire en pied du premier plat et sur son rabat en verso. Notre exemplaire est bien complet, ainsi qu'il l'est stipulé à la justification du tirage, de sa suite des bois sur Japon et de l'épreuve avant la lettre des eaux-fortes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON - Hugues REBELL‎

Reference : 75233

(1927)

‎Le magasin d'auréoles‎

‎Léon Pichon | Paris 1927 | 16.50 x 23 cm | en feuilles‎


‎Edition illustrée de 17 vignettes gravées sur bois de Fernand Siméon, un des 25 exemplaires numérotés sur Japon Shidzuoka, tirage de tête après 15 Japon à la forme. Agréable exemplaire comlpet, comme il l'est mentionné à la justification du tirage, de la suite sur Chine des bois gravés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON - Hugues REBELL‎

Reference : 75476

(1927)

‎Le magasin d'auréoles. Exemplaire de l'imprimeur Léon Pichon‎

‎Léon Pichon | Paris 1927 | 16.50 x 23 cm | en feuilles‎


‎Edition illustrée de 17 vignettes gravées sur bois de Fernand Siméon, un des 25 exemplaires numérotés sur Japon Shidzuoka, le nôtre non numéroté mais justifié "exemplaire imprimé pour Léon Pichon", tirage de tête après 15 Japon à la forme. Agréable exemplaire comlpet, comme il l'est mentionné à la justification du tirage, de la suite sur Chine des bois gravés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON - Octave MIRBEAU‎

Reference : 75111

(1925)

‎L'abbé Jules‎

‎Editions Mornay | Paris 1925 | 17 x 20.50 cm | broché‎


‎Edition illustrée de bois originaux d'André Deslignières, un des 82 exemplaires numérotés sur Japon impérial, le nôtre un des 10 hors commerce et nominatifs, tirage de tête après 2 Japon ancien. Deux petites déchirures recollées en pied du dos. Bel exemplaire à toutes marges. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Fernand SIMEON - Octave MIRBEAU‎

Reference : 85649

(1925)

‎L'abbé Jules‎

‎Editions Mornay | Paris 1925 | 15.50 x 20.50 cm | broché‎


‎Edition illustrée de bois originaux de Fernand Siméon, un des 895 exemplaires numérotés sur papier de rives. Petites rousseurs sur les gardes, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎"Fernand Siméon"‎

Reference : 13440

(1926)

‎"7 bois originaux de Fernand Siméon pour décorer Une Nuit au Luxembourg par Rémy de Gourmont"‎

‎"1926. Paris tiré à 50 ex. sur les presses à bras de Coulouma aux dépens de Claude Aveline éditeur s.d. (1926) suite n°18 - En feuilles 15 cm x 20 cm - Bon état 2 suites complètes dans le même exemplaire ; apparemment il manque le cartonnage de la couv" ‎


Librairie Sedon - Rochefort

Phone number : 06 19 22 96 97

EUR150.00 (€150.00 )

‎FOLLAIN (Jean), SANDRE (Yves), MONJO (Armand), BOCHOLIER (Gérard), CASTAGNE (Franck), SIMEON (Jean-Pierre).‎

Reference : 44283

‎Poésie présente. Cahiers trimestriels de poésie. N°XXXIX, juin 1981.‎

‎ Mortemart, directeur: René Rougerie. Un volume 14,5x23cm broché sous couverture en deux tons, 168 pages, non coupées. Tirage de tête: un des 30 exemplaires numérotés sur alfa mousse. Très bon état. Après avoir dirigé aux côtés de Marcel Béalu la revue Réalités secrètes, René Rougerie (1926-2010) anime seul Poésie présente de 1971 à 1997. Durant 27 ans, il dirige, imprime et diffuse lui-même la revue. Ce seront au total 100 cahiers bien imprimés sur beau papier qui donneront à découvrir de nombreux inédits de Pierre Albert-Birot, Joë Bousquet, Saint-Pol Roux, Max Jacob, Pierre Reverdy, René-Guy Cadou, Roger Vitrac, Jean Rousselot, Michel Seuphor, etc. ‎


Le Livre à Venir - Chantelle

Phone number : 06 44 78 76 58

EUR30.00 (€30.00 )

‎Forberg (Friederich-Karl) - Siméon (Michel)‎

Reference : 81711

(1959)

‎Manuel d'érotologie classique. (De figuris veneris) - Texte intégral traduit du Latin par Alcide Bonneau et présenté par Pascal Pia. (complet en 3 vol.)‎

‎Paris, 1959, in-8, 96 & 87pp + vol. de planches, en feuille sous chemise, emboitage de soie prune, Superbe exemplaire abondamment illustré! 96 & 87pp + vol. de planches ‎


Phone number : 06 60 05 09 80

EUR80.00 (€80.00 )
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Siméon
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