Paris, chez Basset, Rue St. Jacques à Ste Genevieve, s.d. (fin 18e s.), in-4to, 1 feuille gravée numérotée (N° 186), juste les yeux de la mort coloriés à la main, légèr. tachée au bords, une feuille seul.
Belle gravure montrant la faucheuse, allégorie de la mort, fixant le lecteur et rédigeant un texte à l’aide d’une flèche. Accompagné par le texte suivant: „Pecheur, il faut mourir, tu le scais pour certain, Et tu ne penses pas à faire penitence; Helas! le temps te presse, et peut-estre demain Tu recevras de Dieu ta derniere Sentence“. L’éditeur et graveur Basset l’aîné de Paris publia des planches anonymes ou de différents graveurs tels que Alexis, Blancharrd, Fortier, Gabriel, Gatine, Jubin, Rubières et al. Benezit I, 497. Image disp.
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Paris Basset 1810 une vue d'optique en couleurs,GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE, format de la gravure : 38,5 x 25 cm, sans date (1810) à Paris chez Basset Editeur
Le 29 octobre, 15 jours après Iéna et Auerstaedt, le général Lasalle arrive devant Stettin avec comme objectif de la prendre. Mais il est face à un problème. Il na que 800 fantassins et cavaliers et 1 seul canon. De lautre côté, la ville est défendue par 5300 hommes et 280 canons. Il décide alors de ruser.Prise de stettin en 1806. Il sinstalle sur une crète en face de la ville et fait circuler son unique canon et son caisson dartillerie pour faire croire à linstallation de plusieurs batteries. Il fait également installer ses forces à une certaine distance de la ville pour que les défenseurs ne se rendent pas compte de la petite taille de son armée. Il envoie alors deux hommes négocier la rédittion de la ville. Pendant ce temps, il demande des renforts au maréchal Murat pour agrandir ses forces. Le 30 octobre à laube, la ville se rend. Les hommes de la garnison laissent leurs armes sur les fortifications et sortent de la ville pour défiler devant les troupes françaises. Pendant leur défilé, les vaincus se rendent compte du faible nombre de français. Ils sont alors tentés de résister. Mais le fait quils soient désarmés et la peur dune charge de la cavalerie de Lasalle les fait renoncer à ce projet. Lasalle sera rejoint par une division dans la journée pour prendre possession de la ville. ....... rare gravure ........... en bon état (good condition). en trés bon état
Paris BASSET 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 29 x 43 cm., 1780 Paris chez BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1830 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1830 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1805 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1805 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
londres PARIS BASSET 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 47,5 x 34 cm., tache brune en bas à droite, 1780 Paris chez BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
Paris BASSET 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 34,5 x 51 cm., 1780 Paris chez BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 30 x 46,5 cm., 1770 PARIS basset Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1790 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 30,5 cm., 1790 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
londres PARIS BASSET 1780 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 47,5 x 34 cm., 1780 Paris chez BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLE SUR PAPIER DE FORMAT: 43,5 x 27 cm., 1750 PARIS BASSET Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
PARIS BASSET 1750 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 33 x 47,5 cm., 1750 Paris BASSET Editeur,
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PARIS BASSET 1770 une vue d'optique en couleurs, GRAVÉE A L'EAU-FORTE ET AQUARELLÉE SUR PAPIER DE FORMAT: 30 x 46,5 cm., 1770 PARIS Basset Editeur,
Les vues doptiques sont un type particulier destampes populaires publiées en Europe au XVIIIe siècle. Ces estampes étaient une forme de divertissement destinée à être vue à travers des appareils appelés « machines optiques », « optiques », « zograscopes ». Ces estampes étaient exposées par des forains ambulants dans les rues de toute lEurope et étaient également collectionnées par les professionnels et les classes supérieures qui possédaient des machines optiques chez eux. Il y avait une grande curiosité pour lapparence des villes européennes non visitées et des lieux exotiques aux confins du globe, et ces estampes étaient lun des seuls moyens pour le grand public davoir un aperçu du monde. Les machines optiques utilisées pour ces gravures étaient équipées d'une lentille qui améliorait pour les spectateurs le grossissement et la perception de la profondeur tridimensionnelle des scènes représentées. Un miroir était souvent utilisé pour que les gravures en perspective puissent être vues à plat, et dans ces cas, les images étaient vues à l'envers. Il n'est donc pas rare que les scènes représentées soient dessinées à l'envers, et il y a souvent aussi un titre imprimé à l'envers en haut, permettant aux spectateurs de le lire rapidement. Il y avait généralement un texte supplémentaire au bas des gravures, souvent en plusieurs langues, qui pouvait être lu par l'opérateur de l'optique au bénéfice de son public ......... rare gravure ........... en bon état (good condition). en bon état
- Une feuille 51 x 28 cm, repliée en 3 volets.
Vieux papier. Librairie Aristide Quillet, 1916.
Suite de 8 gravures originales, en couleurs, de BATAILLE René. Format 335x200mm et 385x265mm avec marges n°15 comment ils se défendent. n°16 comment nous nous défendons. n°19 un brave curé n° 20 sœur Julie n° 21 exploit japonais n° 23 russes contre turcs n° 24 n°25 entrée des français en Alsace. Sans mention d’éditeur, sans date. (1915 ?) de la collection BERNARD FRANCK
- Une feuille 20 x26 cm. Légères rousseurs.
Vieux papier. Fête le 8 août. Une gravure sur cuivre de 14, 5 x 10, 5 cm. J. J. Blaise, libraire-éditeur, Paris, 1825.
Genève, A. Jullien, 1935, in-4°, 204 p., illustré dans le texte + 52 planches dont 4 en couleurs, nom ms. sur faux-titre, reliure de l'éditeur en d.-cuir, dos et coiffe légèrement frottés.
Bel ouvrage richement illustré qui s'adresse à l'ami de la gravure. Il comprend la gravure suisse, celle du livre et celle de l'estampe, traitées chronologiquement du XVe au XIXe siècles, 4 parties dans 1 gros et beau volume. Les plus grands des artistes suisses s'y trouvent: - Firabet, le Maître E.S. de Bâle, et le Maître de l'Officine Bergmann. - Le Maître D.s., Urs Graf, Nicolas Manuel, H. Holbein, H. Lützelburger, Hans Leu, Hans Arper. - J. Ammann, T. Stimmer, M. Martini. - Les Murer, G. Ringgli, les Meyer, M. Merian, D. Herrliberger, S. Gessner, J.-L. Aberli, S. Freudenberger, B.-A. Dunker, H. Rieter, N. König, Caspar Wolf, Ludwig Hess, les Liotard, Jean Huber, les Girardet, les Toepffer, Alexandre Calame, etc. Perret 305.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Genève, A. Jullien, 1935, in-4°, 204 p., illustré dans le texte + 52 planches dont 4 en couleurs, Exlibris Peter E. Obergfell, robuste reliure en plein cuir rouge (marrocain ?) , dos à cinq nerfs et titre dorés, plats avec encadrements or, étui. Bel exemplaire.
Bel ouvrage richement illustré qui s'adresse à l'ami de la gravure. Il comprend la gravure suisse, celle du livre et celle de l'estampe, traitées chronologiquement du XVe au XIXe siècles, 4 parties dans 1 gros et beau volume. Les plus grands des artistes suisses s'y trouvent: - Firabet, le Maître E.S. de Bâle, et le Maître de l'Officine Bergmann. - Le Maître D.s., Urs Graf, Nicolas Manuel, H. Holbein, H. Lützelburger, Hans Leu, Hans Arper. - J. Ammann, T. Stimmer, M. Martini. - Les Murer, G. Ringgli, les Meyer, M. Merian, D. Herrliberger, S. Gessner, J.-L. Aberli, S. Freudenberger, B.-A. Dunker, H. Rieter, N. König, les Lorys, Caspar Wolf, Ludwig Hess, les Liotard, Jean Huber, les Girardet, les Toepffer, Alexandre Calame, etc. etc. Perret 305.
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Genève 2ditions du Journal de Genève 1935 1 Un volume de format in 4° de 206 pp.; 5 planches en couleurs hors-texte; 48 planches hors-texte en noir; 48 reproductions de graveurs in-texte; et de nombreux vignettes; culs-de-lampe; lettres ornées; bandeaux... Reliure cartonnée de l'éditeur; titre en rouge. Etui cartonné muet d'origine.Exemplaire de l'édition Originale; N° 155/750 sur vélin teinté.
Quelques piqûres sur les gardes et la tranche sinon parfait état. Voir les photographies.
- Une feuille 20 x 28 cm.
Vieux papier. Librairie Aristide Quillet, 1916.
- Une feuille 20 x 28 cm.
Vieux papier. Librairie Aristide Quillet, 1916.
- Une feuille 20 x 28 cm.
Vieux papier. Librairie Aristide Quillet, 1916.
- Une feuille 20 x 28 cm.
Vieux papier. Librairie Aristide Quillet, 1916.
- Une feuille 20 x 28 cm.
Vieux papier. Librairie Aristide Quillet, 1916.
- Une feuille 20 x 28 cm.
Vieux papier. Librairie Aristide Quillet, 1916.