Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1914, 36,5x24cm, une feuille.
Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or et au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Rennes, Ouest france - itinéraires de découvertes, 2008; in-8, 141 pp., br.
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Editions Mornay Paris 1928. Première édition illustrée par George BARBIER. Un des 65 exemplaires de tête sur Japon Impérial. Joint une lettre autographe signée de Henri de Régnier. Reliure grand in-8 carré (exemplaire à grandes marges) plein maroquin citron, dos à 5 nerfs, caissons ornés de carquois, arcs et flèches, plats encadrés d'un double filet, motifs d'angelots dans chaque coin, doublure de soie verte, tête dorée, couvertures conservées, étui (reliure signée Rivière et Sons)
Paris, A. & G. Mornay, 1928. 1 vol. br. in-8 de [8]-II-405[2] pages. Couverture rose illustrée, à rabats. Belle condition.
Illustré de très nombreuses compositions en couleurs par Georges Barbier, retouchées au pochoir. Tiré à 1000 ex. Celui-ci (n°538) un des 839 ex. numérotés sur Rives. Une bien charmante publication.
Paris Chez A. & G. Mornay 1924 In-8 Broché, couverture illustrée rempliée
Illustrations en couleurs de Georges BARBIER, dont une en couverture. Un des 921 exemplaires numérotés sur Rives. Très bon 0
Paris MORNAY 1924 1 Paris, MORNAY, 1924, petit in-8, broché remplié, couverture couleur chair illustrée en couleurs, 348 pp.
Exemplaire sur papier de Rives n° 84 sur 1099. Envoi de George BARBIER "A monsieur Jean Hela. Bien sincèrement." Contient des illustrations par George BARBIER in-texte en couleurs et une hors-texte. "Une des meilleures illustrations de la collection, très côtée" (Carteret, IV, 335). Usures, pliures et salissures à la couverture, dos fendu legèrement aux coiffes.
Paris MORNAY 1924 1 Paris, MORNAY, 1924, petit in-8, broché remplié, couverture couleur chair illustrée en couleurs, 348 pages.
Exemplaire sur papier de Rives n°264 sur 1099. Contient des illustrations par George BARBIER in-texte en couleurs et une hors-texte. "Une des meilleures illustrations de la collection, très côtée" (Carteret, IV, 335). Usures, pliures et salissures à la couverture, dos fendu légèrement fendu à la coiffe inférieure.
A Paris, chez A. & G. Mornay, coll. Les beaux livres, 1924. In-8 de [6]-343-[7] pages, plein veau rouge, dos lisse avec titre doré, filet doré encadrant les plats, motif floral doré au centre du premier, tête dorée, gardes marbrées rouge et or avec filet doré aux contreplats, couvertures et dos conservés. Reliure signée G. Schroeder.
Frontispice et vignettes in-texte en couleurs de George Barbier. Tirage limité à 1099 exemplaires, celui-ci un des 81 hors-commerce numérotés en romain, sur Rives (VCVII). Premier plat taché, second insolé.
Paris, Mornay, 1931. In-8° broché, couverture illustrée. Couverture, frontispice, 36 vignettes, lettrines ou culs-de-lampe et 25 compositions dans le texte, le tout en couleurs, par George Barbier. Tiré à 1075 exemplaires numérotés, celui- ci sur vélin.
Joli exemplaire.
Editions A.& G.Mornay 1931-Illustrations de George Barbier-Un volume in 8°broché tiré 1075 exemplaires,1/50(VIII) sur Japon
Illustrations par George Barbier (dans le texte, en couleurs).Édition tirée à 1075 exemplaires. Celui-ci sur papier de Rives porte le numéro 169.Paris, A. et G. Mornay - 1931 - 285 pages. Collection "Les Beaux Livres".Très belle reliure artistique, plein cuir bleu. Dos lisse aux titre et auteur dorés. Tête dorée sur témoins, non rogné. Couverture et dos illustrés conservés. Signet. Étui cartonné. Pas de rousseur. Parfait état. Format in-8°(20x16).
BARBIER George
Paris, A. & G. Mornay, coll. Les beaux livres, 1931. In-8 broché de [6]-284-[6] pages, couverture rempliée, illustrée aux deux plats. Petite tache au bord supérieur du premier plat, se prolongeant en tête.
Abondamment illustré d'aquarelles de Georges Barbier reproduites au pochoir, dont 1 frontispice et une vignette de titre. Tirage limité à 1075 exemplaires, celui-ci non numéroté, sur papier de Rives.
Sous étui. Couverture rempliée illustrée en couleurs. Illustré de 46 compositions au pochoir de George BARBIER. A grands témoins.
Paris A. et G. Mornay 1930 286 pp. In-8 carré. Broché. Très bon état. 1 volume. Collection "Les Beaux livres".TIRAGE LIMITE. Celui-ci un des 66 exemplaires numérotés sur Japon Impérial, second papier après un exemplaire unique sur Japon ancien à la forme contenant tous les dessins originaux.Exemplaire enrichi d'une suite des illustrations en noir sur Chine.
Paris,A et G.Mornay , 1930, In huit, 175 pp, reliure en plein maroquin beige, dos lisse à deux nerfs avec une tête perruquée incrustée comme décor, tête dorée,couverture et dos conservés, dentelles intérieur, bon état, le 51 ème de la Collection :"les beaux Livres"
1/1000 ex 847 num tiré sur Rives. Illustrations de Georges Barbier. le 51 ème de la Collection :"les beaux Livres".
A Paris, A. & G. Mornay, coll. Les beaux livres, 1930. Petit in-8 broché de [8]-II-286-[6] pages, couverture richement illustrée, rempliée. Dos illustré d'une vignette, avec quelques petites rousseurs. Belle condition générale.
Abondammant illustré d'aquarelles de Georges Barbier reproduites au pochoir, dont 1 frontispice et une vignette de titre. Tirage limité à 1091 exemplaires, celui-ci un des 40 exemplaires sur Montval, imprimés spécialement pour la librairie Viau y Zona de Buenos Aires (132).
Paris, Mornay, " Les Beaux Livres ", 1931. In-8, 285 pp. Relié en pleine basane fauve, dos lisse ornementé en long, plats ornés à froid avec dessin (couple nu), tête ciselée et dorée, premier plat de couverture illustrée conservée
Tirage limité à 1.075 exemplaires n°. Un des 45 exemplaires numérotés sur Hollande. (3ème papier après 3 vieux Japon et 50 Japon). Bel exemplaire. Photos sur demande.
Editions Mornay, Paris 1924, 15x20,5cm, relié.
Edition ornée d'illustrations originales en couleurs de George Barbier, un des 53 exemplaires numérotés sur japon impérial. Reliure en demi maroquin vert amande à coins, dos décoloré à trois nerfs, date dorée en queue, plats marginalement décolorés, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, reliure de l'époque signée F. Hauttecoeur. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Editions Mornay, Paris 1924, 15x20,5cm, broché.
Edition ornée d'illustrations originales en couleurs de George Barbier, un des 921 exemplaires numérotés sur Rives. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
A. & G. Mornay, Paris 1931, 15,5x20,5cm, broché.
Edition illustrée de compositions originales de George Barbier coloriées au pochoir, un des 877 exemplaires numérotés sur vélin de Rives. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
A. & G. Mornay, Paris 1931, 15x20,5cm, relié.
Edition ornée de 65 illustrations originales coloriées au pochoir de George Barbier, un des 877 exemplaires numérotés sur Rives. Reliure en demi maroquin bleu marine à coins, dos à quatre nerfs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à effet moiré, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée Semet & Plumelle. Agréable exemplaire joliment établi. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1930 Paris, A. & G. Mornay, 1930. 1 vol. in-8. (Demi)-maroquin tabac à bandes, dos lisse; titre et auteur dorés verticalement, tête dorée, couvertures et dos conservés. Couvertures, frontispice, vignette de titre, 32 in-texte et 10 lettrines coloriés au pochoir de George Barbier.Tirage à mille exemplaires, celui-ci un des 847 exemplaires sur Rives; n°435 .
(Monod, 9575).