SANS EDITEUR. SANS DATE. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1 page. Partition et chant.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Barcarolle. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Imprimé par Pierre Brot pour l'Union des oeuvres catholiques de France, Collection "Vies Ardentes", n°2, 1951 - In-8, Broché - 192 p.
Bon état. Dos très légèrement voilé. Dédicacé en première de titre.
A Paris, de l'imprimerie de Ph.-D. Pierres, 1785. In-12 de [4]-4-48-[4] et 21 pages de musique gravée, plein maroquin rouge, dos lisse orné de filets, points, étoiles et ronds dorés, pièce de titre en maroquin vert, triple filet encadrant les plats, écoinçons dorés aux angles, roulette dorée aux coupes et aux chasses, tranches dorées.
Portrait de l'auteur par H. J. François gravé par Gaucher, dédicace gravée par Choffard et 12 jolies figures par Le Barbier gravées par Gaicher. "Charmant volume très recherché". Bel exemplaire provenant de la collection Rahir, dont il porte l'ex-libris (Vente Rahir, III, 880). Imprimé sur papier vélin légèrement bleuté. Ex-libris Edouard Rahir; et ex-libris moderne de Jean-François Chaponnière. Cohen, 802; Brunet, 14323.
[Chez Rouquette et Fils] - PIIS, Pierre-Antoine de ; (LE BARBIER ; GAUCHER ; CHOFFARD)
Reference : 63569
(1891)
Secrétaire-Interprète de Mgr. Comte d'Artois, dédiées à Monseigneur Comte d'Artois, et ornées de douze jolies Estampes gravées par M. Gaucher, d'après les Dessins de M. Le Barbier, réimpression faite à 300 exemplaires numérotés à la presse (n°88), 1 vol. in-12 reliure demi-maroquin à coins bleu, dos lisse orné en long et mosaïqué, filet doré en mors et coins tête dorée, couvertures et dos conservés, reliure signée de Yseux, successeur de Thierry-Simier, [ Chez Defer de Maisonneuve ], Chez Rouquette et Fils, Paris, 1891, 2 ff., 48 pp, 2 ff., 21 pp. (partitions) avec 14 planches hors texte (y compris le portrait en frontispice, et une dédicace gravée par Pierre-Philippe Choffard)
Superbe reliure signée de Yseux, pour ce joli retirage des "Chansons Nouvelles". Notre exemplaire contient une gravure supplémentaire non signalée par Vicaire : une dédicace gravée par Pierre-Philippe Choffard. Bel exemplaire (ex-libris Robert et Roland Thibaut). Vicaire, VI, 679
Konemann, 2000. petit in-8 carré, 159 pages entièrem. illustrées en noir et en couleurs, cartonnage sous jaquette illustrée.
Très bel exemplaire. [CA-1]
1843 Paris - Germer-Baillère - Montpellier - Sévalle - 1843 - 1 volume in8broché de 79 pages +1 lanche dépliante -
Bon exemplaire, non coupé, avec envoi autographe signé de l'auteur - rare - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
PLOQUIN Philippe / PEURIOT Françoise / Philippe Barbier de Préaudeau / Jean-François Robinet
Reference : 16899
Editions Daniel Briand, 1990, in-folio cartonnage carré illustré sous jaquette illustrée, 185 pp avec de nombreuses illustrations en couleurs. (Préface de son altesse royale la Princesse Lalla Amina). TRES BON ETAT
CHOUDENS.. Non daté. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Intérieur frais. 4 pages de partitons. Bord de page déchiré.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Musique de C. Saint-Saens. A.C. 5654. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Sans lieu ni nom ni date (1992), plaquette in 4° brochée de 13 pages en offset, couverture illustrée.
Plan et illustrations. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
POULET-MALASSIS (Auguste), BARBIER (Auguste), SIMEON, DELVAU (Alfred)
Reference : 15829
Paris, Augsute Poulet-Malassis, juin 1848. 4 feuillets in-folio imprimés recto-verso.
Journal insurrectionnel socialiste. Seulement cinq numéros, parus entre le 4 et le 18 juin 1848. Cette brève parution, sapée par la répression des journées de juin, vaudra néanmoins à l'éditeur sept mois de prison. Collection quasi-complète, de toute rareté.* Oberlé, 939.* Voir photographie(s) / See picture(s). * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte sur rendez-vous.
Paris, Imprimerie et librairie générale de jurisprudence Marchal & Billard , 1911; in-8, demi-toile marron. Les 2 volumes. Très bon état - 2e édition complètement refondu et mise au courant de la doctrine, etc….
Très bon état - 2e édition complètement refondu et mise au courant de la doctrine, etc….
Paris, Daffis, 1869-1879. 7 volumes in-8 (16 x 25 cm). Reliures à la Bradel demi-maroquin fauve, couvertures conservées.
QUÉRARD : Les Supercheries littéraires dévoilées. Galerie des écrivains français de toute l'Europe qui se sont déguisés sous des anagrammes, des astéronymes, des cryptonymes, des initialismes, des noms littéraires, des pseudonymes facétieux ou bizarres, etc. Seconde édition, considérablement augmentée... par MM. Gustave Brunet et Pierre Jannet SUIVIE du Dictionnaire des Ouvrages Anonymes par Ant.-Alex. BARBIER. Troisième édition revue et augmentée..., suite de la seconde édition des Supercheries littéraires dévoilées par J.-M. Quérard... - Réunion en reliures uniformes de ces deux bibliographies complémentaires et essentielles. Volumes en bon état.
Partitions sur le Métier Raiter Léon 1936
Etat moyen Petit format
Bibliothèque Raphaël ESMERIAN Catalogue édité par Georges BLAIZOT et Claude GUERIN 1972-1973-17974. Cinq volumes in 4 (325x250mm) pleine toile verte estampée. 191-183-105-123-147. Sont décrits : manuscrits à peintures, livres des XVème- XVIème siècle, reliures ornées, mosaïquées, aux armes de François 1er, Henri II, Catherine de Médicis, Diane de Poitiers, Charles IX, Henri III… Livres illustrés du XVIIIème siècle, exemplaires uniques avec dessins originaux de DAVID, DEBUCOURT etc. Livres illustrés du XIXème siècle GOYA, RDOUTE, DAUMIER, STEINLEN etc. Livres illustrés modernes ERTE, BARBIER, FL SCHMIED, … livres de peintres : BRAQUE, BONNARD, PICASSO MATISSE… L’ensemble en très bon état
UNIVERSITE DE MONS-HAINAUT / JARDIN BOTANIQUE NATIONAL. 1993. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Classeur contenant 220 pages + environ 60 pages d'annexes. + 4 disquettes Nombreuses illustrations, graphiques et cartes en noir et blanc, dans le texte. Classeurs et Sous emboîtage en bon état.. . Sous Emboitage. . Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
SOMMAIRE : Installation de Microbanque Faune-Flore / Concepts de base : Structures des fichiers-pères / Fonctionnement des modules / Quelques exemples d'exploitation. Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE
Lucien Vogel éditeur, Paris Juin 1914, 36,5x24cm, une feuille.
Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or et au palladium, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Avril 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Rennes, Ouest france - itinéraires de découvertes, 2008; in-8, 141 pp., br.
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Editions Mornay Paris 1928. Première édition illustrée par George BARBIER. Un des 65 exemplaires de tête sur Japon Impérial. Joint une lettre autographe signée de Henri de Régnier. Reliure grand in-8 carré (exemplaire à grandes marges) plein maroquin citron, dos à 5 nerfs, caissons ornés de carquois, arcs et flèches, plats encadrés d'un double filet, motifs d'angelots dans chaque coin, doublure de soie verte, tête dorée, couvertures conservées, étui (reliure signée Rivière et Sons)
Paris, A. & G. Mornay, 1928. 1 vol. br. in-8 de [8]-II-405[2] pages. Couverture rose illustrée, à rabats. Belle condition.
Illustré de très nombreuses compositions en couleurs par Georges Barbier, retouchées au pochoir. Tiré à 1000 ex. Celui-ci (n°538) un des 839 ex. numérotés sur Rives. Une bien charmante publication.
Paris Chez A. & G. Mornay 1924 In-8 Broché, couverture illustrée rempliée
Illustrations en couleurs de Georges BARBIER, dont une en couverture. Un des 921 exemplaires numérotés sur Rives. Très bon 0