Paris Les Arts Décoratifs 2012 1 vol. relié in-4, cartonnage sous jaquette rempliée de l'éditeur, 307 pp., nombreuses photos en couleurs. Léger pli à la jaquette, sans gravité. Sinon en excellent état.
1995 Affiche titrée en bas à gauche et référencée Mattotti en bas à droite, (1995), 86 x 70 cm., 95 x 79 cm. avec le cadre doré.
Lorenzo MATTOTTI (né en Italie en 1954), après des études d'architecture à Venise, se tourne vers le graphisme, la bande dessinée et l'illustration de mode. Son style empreint de poésie s'arme de couleurs flamboyantes. Infimes marques. Affiche pour la campagne italienne sur le golf (Voir "Traits séduisants" pages 202 et 203).
1982 Dessin aux feutres de couleurs, signé en bas à droite, 1982, 42 x 30 cm, encadré.
Modèle emblématique de la maison BALENCIAGA, qui réactualise les sources hispanisantes : ici, la longue jupe à volants du flamenco est raccourcie, et le costume agrémenté d'accessoires. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1985 Feutres noir et de couleurs sur papier, (1985), 50 x 29.5 cm, signé en bas.
L'artiste livre une interprétation personnelle de la mode des années 1980, très féminine. Les années 80 proposent une mode destructurées, aux formes nettes et pointues. Pour la première fois, la mode en France est considérée comme un des Beaux-arts et exposée dans les galeries et musées, de même que les top-modèles commencent à devenir des stars. La mode est volontiers affirmée, mixant une multiplicité de couleurs et de détails.Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
Feutres de couleurs, signé en bas à droite.
Etude de mode réalisée en 1992. La mode de ces années est marquée par des phénomènes sociopolitiques forts (chômage, chute du mur). Les pièces basiques des années précédentes (jean, pull marin, caban), sont ressorties et accessoirisées. En parallèle, le luxe se développe à nouveau Michel GOMA mixe habillement les coupes et les couleurs sobres avec des accessoires fantaisistes (boutons dorés, colliers, fleurs de tissu).Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
2006 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, daté, 2006, 30 x 21 cm.
Deux études de chapeaux pour lesquels l'artiste a joué avec le plissé du tissu qui structure la forme de la coiffure. La première étude montre une coiffure étagée, en bleu et rose fuschia, et la seconde un petit bibi bleu cyan agrémenté d'une fleur. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle. Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1980 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, (1980), 42 x 29.8 cm.
Inspiration africaine pour une robe blanche, décolleté croisé, long tombé plissé. Des bracelets ethniques aux lourdes pierreries ornent les bras du modèle, sur un fond d'arc en ciel. Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
2008 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, daté, 2008, 30 x 21 cm.
En 2008, Michel GOMA réalise une ligne "Laitue". Les femmes présentent des formes pommées, aux tissus qui s'évasent en partant du coeur. Modèle en satin rouge et noir d'une grande élégance.Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1962 Feutres de couleurs et gouache, signé en bas à droite, (1962-1973), 44 x 28 cm.
Dessin structuré et graphique en orange et noir, rehauts de gouache. Deux jeunes filles semblent rejouer "Les Parapluies de Cherbourg". Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
1965 Feutres de couleurs, signé en bas à droite, (1965), 30 x 23 cm.
Quatre croquis avec indications de tissus (velours soyeux, velours Léonard, crêpe, crêpe de soie, flanelle). Michel GOMA (né à Moncrabeau en 1932) est un des couturiers français des plus cosmopolites. Artiste formé chez Jeanne LAFAURIE en 1951, il ouvre sa première maison à Paris (1958-1963), puis travaille pour Jean PATOU (1963-1974). Passionné d'opéra, il sera le mentor des talents les plus prometteurs, comme Jean Paul GAUTIER. Il lance sa maison de couture en 1975. Aux côtés des influences espagnoles de BALENCIAGA, il travaille au Japon depuis les années 1970. Eclectique, mais exigent, il prête ses talents à de nombreuses marques et supports : les voitures NISSAN, CRAVEN, Delphine SEYRIG et Farah DIBA, les pièces d'Harold PINTER... Il travaille la matière de façon ample et ronde : on trouve dans ses modèles volants bouffants et corsets. Après la mort de BALENCIAGA en 1972, la maison c'est Michel GOMA qui est choisi comme directeur artistique de la marque. Il saura rester fidèle aux références hispanisantes de son prédecesseur en inovant dans les matières et la fluidité des coupes, qui deviennent plus fonctionnelles. En 1987, il donne à la marque une nouvelle visibilité en impulsant sa ligne de prêt-à-porter. Guy MONREAL lui consacre à cette occasion un élogieux article dans L'Officiel de la Mode (N°736, 1987) : "Il vient d'inventer une jeune femme, dynamique et spirituelle.Il l'habille de jupes toupie et de jupons «cancan» pour le cocktail, de décolletés corbeille, de volants spirale et de manches lampion pour le soir.Et en hommage au grand cristobal, il la magnifie au finale de la collection avec des robes d'infante aux corsets brodés, aux jupes généreuses et bruissantes, à la somptuosité désamorcée par l'humour".
München, Hyperion, 1920, gr. in-8°, 227 S. + 4 S. + 30 Tafeln / 273 S. + 4 S. + 35 Tafeln, illustr. Original-Pappband.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
LONDON EBURY PRESS 1988 Un volume in-8° carré (230 x 230mm), 96 pp. Reliure éditeur à la Bradel, dos titré, jaquette illustrée. (frottis, petits manques et fentes en pourtour de jaquette). Ouvrage de référence sur le sujet accompagné d'une riche iconographie en couleur. Peu courant.
Gottlieb, Robert ; Maresca, Frank ; Shoffstall, Edward
Reference : 138132
(1988)
ISBN : 0394568931 9780394568935
New-york, Alfred A. Knopf 1988 Livre en anglais. In-4 reliure éd. sous jaquette 26 cm sur 24. 119 pages, couverture illustrée. Jaquette en très bon état. Ouvrage illustré de 92 ill. 92 illustrations. Très bon état d’occasion.
Très bon état d’occasion
CHEZ L'AUTEUR. 1899. In-Folio. Relié demi-cuir. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Album de 52 numéros de 12 pages, soit 624 pages. Nombreuses illustrations, broderies et gravures en noir et blanc, dans le texte et hors-texte. Titre, année et fleurons dorés sur demi-chagrin vert.. . . . Classification Dewey : 391-Mode
Classification Dewey : 391-Mode
IMP. WELLHOFF & ROCHE. 1896. In-Folio. Relié demi-cuir. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 320 pages. 27 planches illustrées en couleurs (dont une dépliante). Nombreuses illustrations et nombreux dessins en noir et blanc, dans le texte. Titre, année, filets et tomaison dorés sur demi-basane rouge.. . . . Classification Dewey : 391-Mode
La Gazette Rose, l'Elégance Parisienne et Le Bon Ton réunis. Classification Dewey : 391-Mode
IMP. REUNIES MOTTEROZ. 10 août 1889. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 373 à 384. Quelques illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 391-Mode
Classification Dewey : 391-Mode
IMP. PAUL SCHMIDT. Fin XIXe siècle. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Une planche de 2 pages, illustrée de quelques gravures en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 391-Mode
Classification Dewey : 391-Mode
Paris AD. GOUBAUD 1856-57 in-8 demi-percale un volume, reliure demi-percale marron-clair grand in-octavo (29,2 x 20 cm), dos long, titre et date frappés "or", pièce de titre sur fond noir avec double filets "or" de part et d'autre, papier marbrés marron et vieux rose aux plats, coins écornés, toutes tranches lisses jaspées, orné de Nombreuses illustrations in-texte gravées sur bois en noir + 9 gravures de mode hors-texte en couleurs lithographiées d'après les dessins de Jules David, plats légèrement frottés et épidermés, 380 pages, 1856-57 Paris AD. GOUBAUD Editeur,
Bel Exemplaire.........RARE....et en bon état malgré le petit défaut signalé (very good condition in spite of the small defect indicated). bon état
Paris AD. GOUBAUD 1855-56 in-8 demi-percale un volume, reliure demi-percale marron-clair grand in-octavo (29,2 x 20 cm), dos long, titre et date frappés "or", pièce de titre sur fond noir avec double filets "or" de part et d'autre, papier marbrés marron et vieux rose aux plats, coins écornés, toutes tranches lisses jaspées, orné de Nombreuses illustrations in et hors-texte gravées sur bois en noir + 9 gravures de mode hors-texte en couleurs lithographiées d'après les dessins de Jules David, plats légèrement frottés et épidermés, mors du premier plat fendu en partie basse sur 2,5 cm, 380 pages, 1855-56 Paris AD. GOUBAUD Editeur,
Bel Exemplaire.........RARE....et en bon état malgré le petit défaut signalé (very good condition in spite of the small defect indicated). bon état
Paris, Adolphe Goubaud et Cie 1860 In-4. Reliure demi-basane lie-de-vin, dos lisse orné de filets et de roulette dorés en pied, 380 pp., texte sur 2 colonnes, 12 planches de mode en couleurs hors texte, dessins en noir dans le texte. Reliure sensiblement frottée, manque coin de pied au premier plat de couverture, intérieur assez frais.
Etat correct d’occasion
Paris, Adolphe Goubaud et Cie 1862 In-4. Reliure demi-basane lie-de-vin, dos lisse orné de filets et de roulette dorés en pied, 376 pp., texte sur 2 colonnes, 12 planches de mode en couleurs hors texte, dessins en noir dans le texte. Reliure sensiblement frottée, intérieur assez frais.
Etat correct d’occasion
Paris, Adolphe Goubaud et Cie 1864 In-4. Reliure demi-basane noire, dos lisse orné de filets et de roulette dorés en pied, 384-384 pp., texte sur 2 colonnes, 20 planches de mode en couleurs hors texte, dessins en noir dans le texte. Reliure sensiblement frottée, avec accroc en pied de dos,quelques pages déliées, intérieur assez frais.
Chroniques du monde élégant, modes, littérature, beaux-arts, jardinage, gastronomie. Etat correct d’occasion
Partitions sur la Mode et accessoires Flouron René 1929 approx.
Etat moyen Petit format
LA PUB ENLEVE LE BAS.Histoire de charme dans la publicité.Vents d' Ouest,in4° relié , 222pp.Abondantes illustrations.Très bon état.
[Marie Anne Le Minor] - GOURVIL, Fanch ; MERCIER, Jean A. ; LE MINOR, Marie-Anne
Reference : 68533
(1939)
Illustrations de Jean A. Mercier,1 vol. in-4 agrafé, s.l.n.d. [ circa 1939 ], Marie Anne Le Minor, 16 pp.
Bel exemplaire bien complet du rare prospectus de présentation en anglais. Superbe catalogue illustré par Mercier. Surnommée par Colette "le grand couturier des poupées de terroir", Marie-Anne Le Minor avait créé au coeur du Pays Bigouden un atelier d'habillage de poupées, qui emploiera jusqu'à une vingtaine de personnes. En 1937, elle sera même invitée à l'Exposition Universelle de Paris. Très bon état.