Catalogue exposition, L'Adresse Musée de la Poste, Paris, 7 mai-22 septembre 2012 , Musée de Lodève, 22 juin-3 novembre 2013.
Reference : 17562
Paris, 2013 160 p., illustrations couleur, broché. 20 x 27
Neuf
Catalogue exposition, La Maison Rouge, Paris, 2018.
Reference : 25197
ISBN : 9782849754962
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">L'exposition de La maison rouge réunit pour la première fois en France plus de cent cinquante oeuvres de l'artiste rom Ceija Stojka, née en Autriche en 1933. Déportée à l'âge de dix ans, elle survit à trois camps de concentration, Auschwitz-Birkenau, Ravensbrück et Bergen-Belsen. C'est à cinquante-cinq ans, qu'elle rompt le silence et se lance dans un fantastique travail de mémoire, lequel donne naissance à plusieurs récits et à plus d'un millier d'oeuvres, encres, gouaches et acryliques sur toile ou papier, alors qu'elle est autodidacte. Elle devient ainsi la première femme rom rescapée des camps de la mort à témoigner de son expérience concentrationnaire, contre l'oubli et le déni, contre le racisme anti-rom ambiant en Autriche et en Europe. L'ensemble de ce qu'elle laisse à sa mort en 2013, donne la sensation d'un grand journal sans chronologie, où peintures et écrits, s'entremêlent pour restituer les souvenirs cauchemardesques d'une enfant sur ce qu'on appelle Samudaripen ou génocide tsigane. Ce catalogue, réalisé à l'occasion de l'exposition, s'attache à restituer fidèlement l'esprit de l'artiste, sa singularité, sa force de vie et dévoile un travail pictural hors du commun.</span> Paris, 2021 FAGE éditions. 200 p., Broché. 22 x 27 cm
Neuf
Paris, 2012 190 p.: 27 pages de texte, 163 pages de planches, relié. 25,5 x 28,5
Neuf
<p>Ce catalogue commente 121 objets, provenant de 33 musées français et étrangers, qui illustrent la part prise par les thèmes issus du théâtre dans le décor de la maison, sur les objets de la vie quotidienne et dans l'art funéraire. Les types de spectacle et les édifices de théâtre sont aussi évoqués.</p> Lattes, 1989 Imago 253 p., 172 photo. N/B. et couleur, 131 dessins, cartes et graphiques 21 x 29,7
Occasion
Lattes, 1993 Imago 258 p., 125 photo. N/B. et couleur, 27 dessins, broché. 21 x 29,7
Occasion
Catalogue exposition, Laténium, Parc et musée d'archéologie de Hauterive-Neuchâtel 2016.
Reference : 19830
Hauterive, 2015 191 p., nombreuses illustrations, broché. 21 x 23
Neuf
Catalogue exposition "le futur est derrière nous". Villa Arson 2022.
Reference : 31715
<p>Textes en Anglais,Français et Italien.</p> Milan,2022 SilvanaEditoriale 255 p., nombreuses photographies couleur. Cartonnage editeur. 17,8 x 24,5
Paris, 2008 RMN 109 p., très nombreuses illustration couleur, broché. 22 x 28
Neuf
Catalogue exposition, Lisieux, Paris, Evreux, Laon, Compiègne, Soissons, 1982-84
Reference : 4135
s.l., 1982 RMN 108 p., nombreuses photos N/B, broché. 21 x 27
Occasion
Liège, 2006 331 p., nombreuses illustrations, broché. 21 x 28
Neuf
Paris, 2000 RMN 240 p., 200 illustrations, broché.
Occasion
Paris, 2004 Somogy 303 p., 341 objets catalogués et photographiés, broché. 25 x 28
Occasion
Paris, 1998 150 p., illustrations couleur, broché. 23 x 29,7
Occasion
Catalogue exposition, Maison de la culture et des loisirs, Saint-Etienne, 7 juin - 30 septembre 1973.
Reference : 17928
Catalogue exposition, Maison de Victor Hugo, Paris, du 17 avril au 31 août 2014.
Reference : 18256
<p>Comment vit une oeuvre littéraire sortie des mains de son auteur ? Comment un roman se poursuit-il au-delà de l’imaginaire des lecteurs, dans les images où l’incarnent illustrateurs et adaptateurs ? Ce sont ces questions que pose l’exposition en explorant la destinée de l’un des romans les plus fascinants de Victor Hugo, à travers son illustration et ses adaptations au cinéma, au théâtre et en bande dessinée. Paru en 1869, épopée adressée au « lecteur pensif avec le but « d’affirmer l’âme , L’homme qui rit est un livre d’amour et de révolte qui n’a rien perdu de sa portée politique et philosophique. Mais la pensée s’y incarne dans la figure monstrueuse d’un rire tailladé au couteau où se fixe la souffrance. Les paradoxes visuels y tiennent une place majeure et les jeux sur le regard et le « spectacle y foisonnent : Gwynplaine, mutilé, isolé par le rire qu’il provoque, ne trouve l’amour que par le regard intérieur de l’aveugle Dea et la fascination perverse de la duchesse Josiane. Ce monstre créé pour la vengeance et l’amusement des puissants, symbole de la perversité d’un régime a cristallisé l’imaginaire. Du film de Paul Leni à celui de Jean-Pierre Améris en passant par Batman ou L’ Apollonide, de la bande dessinée de Nicolas Delestret au théâtre forain Footsbarn, l’exposition, à travers dessins, peintures, photographies, gravures, extraits de films, enregistrements audio, costumes, dévide les fils multiples de cette fascination.</p> Paris, 2014 Paris Musées 96 p., illustrations couleur, relié. 19,5 x 28
Neuf
Catalogue exposition, Maison Victor Hugo, Paris, avril - 30 aout 2015.
Reference : 19409
<p>Qu’y-a-t-il de commun entre l’un des plus célèbres écrivains français et un violoniste suisse placé sous tutelle dans un hospice pour vieillards, ayant chacun vécu dans un siècle différent, sinon la pratique d’un dessin visionnaire, hors norme et hors marges, brouillant les frontières de l’art ?</p> Paris, 2015 Paris Musées 160 p., illustrations couleur et N/B, broché sous jaquette. 19 x 28
Neuf
Marseille, 1997 Seuil 280 p., nombreuses illustrations, broché. 23 x 30
Neuf
Catalogue exposition mars-juin 1993, fondation Gianadda, Martigny, Suisse.
Reference : 19418
Catalogue exposition mars-juin 1993, fondation Gianadda, Martigny, Suisse. Martigny, 1993 Fondation Pierre Gianadda 240 p., illustrations couleur, broché 22 x 24
Occasion
Melun, 1990 112 p., illustrations couleur et N/B, broché. 21 x 29,7
Occasion
s.l., s.d. 160 p., nombreuses ill. en N/B. et couleur, broché (manque la couverture). 22 x 28
Occasion
P., Ministère des Affaires Culturelles, 1962, fort in 8° broché, 421 pages ; couverture illustrée en couleurs.
PLus de 2000 numéros décrits. Très nombreuses illustrations en noir, certaines en couleurs. PHOTOS SUR DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Paris, 2008 Somogy 431 p., très nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur. 23,5 x 30,5
Occasion
<p>L'exposition l'Or des pharaons réunit plus de 150 chefs-d'œuvre provenant du musée du Caire dont certains sortent pour la première fois d’Égypte, et présente une série d'ensembles prestigieux découverts dans les tombes royales et princières de l'Égypte pharaonique. « En Égypte l'or pur est comme la poussière des chemins... Il faut que tu m'envoies la même quantité d'or que ton père ! Ainsi s'exprimait un prince oriental écrivant au pharaon vers 1350 avant J.-C. Le mythe d'un eldorado égyptien remonte à la lointaine antiquité. Les déserts environnant la vallée du Nil recélaient d'abondantes richesses minérales, d'autres arrivaient par les voies commerciales ; avec l'établissement d'un empire égyptien, le pharaon levait de lourds tributs sur ses vassaux qui affluaient vers le trésor royal et celui des grands temples, en particulier celui d'Amon de Karnak. La Basse Nubie livrait annuellement 250 kilos d'or au temple de Karnak sous le règne de Thoutmosis III. Des découvertes aussi fabuleuses que celles de la tombe de Toutankhamon ou les trésors de Tanis n'ont pas manqué de renforcer ce mythe. De même que les trésors enfouis dans les tombeaux des pharaons appartiennent à notre imaginaire collectif, ces bijoux d’or souvent rehaussés de pierres de couleurs intenses : lapis-lazuli bleu foncé, feldspath vert, cornaline rouge, vases façonnés dans l’or témoignent du faste de la vie des rois et de leurs courtisans. Les plus anciens datent de la première dynastie avec les bracelets du roi Djer découverts dans sa tombe d'Abydos. L'orfèvrerie du temps des pyramides est illustrée par les bijoux d'or du roi Sekhemket provenant de sa pyramide de Saqqara et un ensemble ayant appartenu à la reine Hetephérès, mère de Khéops, enterrée au pied de la grande pyramide de Giza; on admirera particulièrement ses bracelets d'argent, le métal le plus prisé, incrustés de papillons. A Dachour et Illahoun, les pyramides des souverains de la XIIème dynastie ont livré des parures appartenant à des princesses de la famille royale : pendentifs «pectoraux« ajourés, ceinture d'orfèvrerie et délicats bracelets témoignant du raffinement de cette époque qui est considérée comme l'apogée de la joaillerie égyptienne. Avec l'ensemble de la reine Iah-hotep, mère du pharaon Amosis, découvert dans la nécropole de Dra Abou'l Naga, sur la rive Ouest de Thèbes, s'ouvre le Nouvel Empire : miroir à disque d'or, lourds bracelets, collier «large« illustrent la magnificence de la période. Malheureusement les tombes de ces grands souverains creusées dans les falaises de la Vallée des Rois ont été pillées sans scrupule dès l'Antiquité. On peine à imaginer les trésors évanouis que recélaient les tombes de grands monarques tels Chéops, Thoutmosis III ou Ramsès II... Une parure ouvragée, diadème et boucles d'oreilles, appartenant à un enfant royal de la XXe dynastie provient d'une cachette du même lieu. Et s'il ne comporte pas de bijoux remarquables, le mobilier funéraire de Youya et Touyou, beaux parents d'Amenhetep III, qui eurent le privilège d'être inhumés dans la Vallée des Rois est véritablement royal : sarcophage, masques funéraires et meubles plaqués d'or. Les sépultures royales découvertes en 1939 à Tanis dans le delta ont fourni une masse de bijoux et d'orfèvrerie datant des environs de l'an 1000 avant J.C. Pharaons peu connus, Psousennès Ier et Chéchanq III avaient emporté dans leur tombe des trésors qui rivalisent avec celui de Toutankhamon : sarcophage d'argent, masques d'or, bijoux, vases précieux... Ainsi s’achève chronologiquement notre parcours, les tombes des souverains postérieurs n'ayant pas été identifiées à l'exception de celles des pharaons d'origine soudanaise qui se feront enterrer dans leur pays. Au-delà d’une présentation de somptueux ensembles illustrés de documents retraçant leur découverte, cet ouvrage interroge également le statut de ces œuvres qui sont une des formes d'expression artistique les plus anciennes et les plus universelles ; ce qu'elles nous révèlent sur l'identité, la valeur, le rite, le corps, sur leur importance sociale et économique. </p> Paris, 2018 240 p., 165 illustrations couleur, cartonnage éditeur. 24,5 x 28,5
Neuf
Marseille, 1981 1vol.: 67 p., 108 fig.;1vol.: 81 p., 655 fig.; 1carte;brochés ss emb. 21 x 31
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