Paris, Albin Michel, 1973, in-4, cartonnage éditeur., np. Collection La Main à Griffe dirigée par Jean-Clause Simoën. E.O. française. Bel exemplaire. 
 NB. Les questions et commandes sont traitées dans les 24h. Les expéditions reprendront vers le 6 novembre. Merci.
Paris, Imprimerie Dufrénoy 1922 - 88 pp.Reliure éditeur toile verte. Dos avec étiquette de titre rouge. Filets dorés bordant les plats. Pas de rousseur. Assez bon état. Format in-4° (20x30) à l'italienne.
TOPFFER Rodolphe 
Illustrées d'après les dessins de l'auteur. Gravures par Best, Leloir, Hotelin et Régnier. 610 vignettes in-texte et 39 gravures hors-texte gravées. Paris, J.-J. Dubochet et Cie, Éditeur, 1845. Grand in-8 (25x16,5cm) cartonnage plats supérieur et dos illustrés, charnières faibles. 2 ff.+frontispice + VII,360pp. 
Sans rousseurs et 1ère édition.
TOPFFER, Rodolphe (Toepffer) - Autographié à Genève par F. T - Lithographie de Caillet 
Reference : 124101
(1860)
 1860 Librairie de Garnier frères, Paris - 1860 - In-4 à l'italienne, reliure demi-toile verte à coins, plats marbrés, dos lisse avec pièce de titre en doré sur fond brun - 72 pages illustré de lithographie en N&B
Bon état - Coins émoussés - Infimes frottements sur les coiffes et de menus frottements sur la tranche de queue - Intérieur frais Bon 
 1884 chemise toil. grise éd. in-f° avec 3 rabats et fermeture par ruban, pl. déc., menus défauts d'usage à la rel., qq. tâches claires / les pl. et les rabats, ff. avec qq. rouss. / le 1er pl. et au niveau de la charnière int. comprenant : la p. de titre, la justification du tirage - ex. n° 16 / 150 sur papier de chine volant - avec la sign. de l'éditeur ( paul Mirabaud ), et la liste des souscripteurs à l'ouvrage, 27 planches avec qq. piq. / les marges ( oeuvres de Töpffer reproduites par l'héliogr. ), 1884 Paris Librairie Fischbacher,
bon état - rarissime - 
Weber, 1974, n.p., in-4 cartonnage pleine toile (31x25), introduction de Jonathan Stone, traduit de l'anglais par Denise et Robert Marrast, 96 dessins originaux, jaquette ill. un peu passée, bon état 
Une évocation unique d'un Paris disparu à travers des dessins de 1938 qui, après avoir voyagé au cours de la guerre entre la Pologne, l'Espagne et l'Allemagne, ont été retrouvés à Berlin-Est et restitué à leur auteur 
Editions Garnier 1979 In-4 relié 30 cm sur 23. Très bon état d’occasion.
 Très bon état d’occasion 
 Paris : [s.n.], 1960: 32 X 24 cm;broché,couvertures illustrées en lithographie par TOPOR, Roland;dessins de COLON,TIM;BOSC,80p.
bon etat Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Marseille, Moullot, (vers 1900). In-folio (29 x 39 cm) portefeuille à lacets demi toile vert à coins, plats de papier décoré. 
Une page décorée et un poème en forme de préface suivie de 27 planches de portraits en couleurs dont deux sur double page de professeurs caricaturés. Envoi signé par les deux auteurs. 
[Alphonse Hector Colomb, dit B. Moloch ] -  TOUCHATOUT
Reference : ARC-113200
(1882)
Paris,Imprimerie Dubuisson et Compagnie 1882 ; In-8 non paginé,3 feuillets non chiffrés (faux-titre et titre et frontispice en couleurs) 398 feuillets non chiffrés (99 fascicules)et 2 feuillets non chiffrés (tables) reliure demi basane verte, dos lisse, titre or. 
Revue "Le Trombinoscope" hebdomadaire satirique et financier - quarantième année, nouvelle édition, du numéro 1 au numéro 99 - Illustré de 99 portraits-charge en couleurs. Mis à jour par de nombreuses notes manuscrites, paperoles et articles collés.
Paris, (Vallée, Debons), 1871- 1873, gr.8°demi basane rouge.75 biographies de 4 pages, texte encadré avec à chaque fascicule un bois gravé (portrait) satirique de G. Lafosse. (Jules Favre, Thiers, Gambetta, Comte de Paris, Comte de Chambord, Trochu, Bismarck etc.)
Reliure frottée.
Première partie.In 8 demi-cuir foncé,titre et filets dorés, faux-titre titre,400 pages en 50 livraisons de 8 pages. Illustrations en noir dans le texte et 6 en coloriées au pochoir, hors-texte de Draner,A.Gill,A Le Petit,A Robida etc.texte encadré d’un double filet noir.Paris Aux bureaux du Journal l’Eclipse,coupes plus ou moins frottées, mors supérieur droit renforcé. Bon état d’ensemble,coloris frais
Paris ÉDITIONS DU DIVAN 1922 1 Paris, éditions du Divan, 1922, in-12, broché, couverture losangée vert et blanc, 168 pp. 
Edition originale. Tirage limité. Un des 1300 numéros sur papier alpha, justifié à la main n° 546. En petites stances piquantes, l'auteur revisite avec esprit et finesse l'amour, la femme et les amants. Un index alphabétique suggère d'autres possibilités de lectures. Infimes usures. 
 Lithographie originale en couleurs signée dans la planche et tirée sur les presses de Mourlot Frères pour les éditions Héraclia vers 1950 - format 36 x 27,5 cm - 
Il est caricaturé en phoque - 
Planche n° 252 du célèbre journal “ La caricature”. Elle est finement rehaussée avec des plats de gomme. Paris 1833 365 x 260
édition originale
 1812 Lithographie parue dans le N° 181 du journal la Caricature du 24 avril 1834.,pl.double en noir 380-381,grandes marges,tirage bien noir,pli vertical,bon état .
TRAVIES né à Wulffling, canton de Zurich (Suisse) Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Caricature de la série des Mayeux? Empoussierage. En feuille Bon Paris Charasse 1831 27 x 35 cm
 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 4 juillet 1833 (Planche n°289)
Titre en bas au centre : « 1834 » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°139. », en ht à dte : « Pl. 289. »La table des matières du 6e vol. de La Caricature apporte un complément au titre : « 1834 : un trône populaire entouré de sergens [sergents] de ville ». Au milieu d’une place parisienne, Louis-Philippe, de dos, est assis sur un coffre posé en hauteur sur un piédestal. Il est reconnaissable à son haut toupet et à sa forte corpulence. Il tient des clés dans la main gche (sûrement les clés du coffre ou encore des clés des prisons). Le trône est défendu par une ronde de sergents de ville, armes au poing. Certains dégagent une grande agressivité. Derrière les immeubles d’habitation se devinent les forts dont la construction autour de Paris fut voulue par le gouvernement. La pl. dénonce l’attitude de défense du gouvernement, qui confine à l’agressivité, et qui passe par une politique répressive forte. Une statue d’homme nu, juché sur un haut socle, semble observer la scène avec dépit.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
 1832 Planche 184 de La Caricature N° 91.La Caricature, 2 aout 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare 
 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
 1832 Planche 195 de La Caricature N° 95.La Caricature, 30 aout 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare 
Titre en bas au centre : « La fête a été magnifique // et l’allégresse universelle. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°95 », en ht à dte : « Pl. 195. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche de l’image sup., signature : « CJ. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Deux images superposées. L’image au niveau sup. représente une fête donnée par Louis-Philippe, présent au centre de la composition, de dos. Autour de lui, la foule des courtisans. On y reconnaît, entre autres, d’Argout à gche, et Soult à l’extrême gche. A dte prennent place des convives buvant. L’un se précipite sur une boisson avec frénésie. L’image au niveau inf. montre de nombreux détenus entassés dans une prison souterraine et sombre. Contraste saisissant entre les deux scènes. Traviès dénonce ici les conditions déplorables de détention dans les prisons, en particulier celles de Sainte-Pélagie et de la Force. La révolte face à cette situation au sein de "La Caricature" est d’autant plus grande que Daumier venait de se faire emprisonner (à cause de la pl. représentant Louis-Philippe en Gargantua, laquelle a fortement déplu au gouvernement). L’explication propose de mettre en regard l’extrait d’un article du Moniteur évoquant la réception royale, et un texte évoquant les conditions déplorables réservées aux prisonniers (Ricart Farat mort en prison, Raspail et Bonias déplacés de prison en prison…). La décence aurait réclamé davantage de sobriété de la part du Moniteur décrivant la fête royale, eu égard aux conditions indignes des prisonniers. Et surtout, elle aurait désiré ne pas lire que l’allégresse avait été « universelle », puisque de nombreux prisonniers, eux, au même moment, croupissent en prison.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
 Lithographie originale par Charles-Joseph TRAVIES, 335 × 225, marges 340 × 265 , belle epreuve publiee le 4 decembre 1834,n° 445, plis , petite usure au niveau du pli central horizontal,tache claire en marge.
Le jeune marchand de mort- aux-rats a deja tue quelques rongeurs : Soult, Persil, Louis- Philippe et Thiers. Les produits mortels sont vendus par La Caricature et le Charivari. Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
 1832 Planche 176 de La Caricature N° 87.La Caricature, 5 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare 
Titre en bas au centre : « Levez le siège, polissons ! .... » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°87. », en ht à dte : « Pl. 176. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte : « C.J.T. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Le personnage de dte porte un chapeau pointu avec les dates des Trois Glorieuses (« 27 // 28 // 29 »)Description iconographique:La pl. montre, de gche à dte : Montalivet, d’Argout (monté sur un balai en guise de cheval), Soult (deux derniers personnages non identifiés) sous leurs traits d’adultes mais avec une taille d’enfants, jouant à la guerre, dans la salle du Conseil. Ils sont surpris par deux magistrats qui prononcent : « Levez le siège, polissons !.... ». Cette phrase est une allusion à l’état de siège qui fut décidé pour Paris par le Conseil des ministres le 6 juin 1832, à la suite de la grande insurrection républicaine (qui se déroula à Paris au début du mois de juin 1832), violemment réprimée par le gouvernement. Cette déclaration de l’état de siège, mesure exceptionnelle, permettait au gouvernement de faire passer les meneurs républicains devant le conseil de guerre, beaucoup plus sévère que les jurys d’assise. L’adoption de cette mesure est ici jugée inadmissible par La Caricature. La pl. dénonce ce qu’elle considère être l’irresponsabilité des ministres. Une autre interprétation peut être proposée : la pl. pourrait mettre les ministres dans la peau des révolutionnaires de 1789. « Les petits drôles jouaient à la Terreur. Moi, je ferai Robespierre ; toi, tu seras un Saint-Just… Mais pour jouer ces rôles, il fallait d’autres têtes et d’autres bras ! » (in explication)Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
 1832 Planche 178 de La Caricature N° 88.La Caricature, 12 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare Un homme assis, jambes croisés, un peigne coincé dans les cheveux, regarde en faisant la moue la perruque que lui apporte un autre homme.
 Titre en bas au centre : « Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°88.) », en ht à dte : « Pl. 178. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. De Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Charles-Joseph Traviès, dessinateur?Description iconographique:La table des matières du 4e vol. de La Caricature apporte un complément au titre : « La vieille perruque d’Harpagon ». Athalin, debout à dte, de profil, présente une perruque, comprenant un toupet et des favoris (coiffure de Louis-Philippe) à un perruquier, lequel, assis, les jambes croisées, esquisse une moue perplexe. La pl. se moque de la coiffure du roi, et montre qu’elle est déjà démodée puisque le coiffeur n’en veut pas. Elle pointe également le doigt sur l’avarice du roi, surnommé Harpagon, protagoniste cupide de la pièce de Molière L’Avare. Il serait donc même prêt à vendre sa perruque.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
 
							
							 
							
							
 1834 Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 26 juin 1834 (Planche n°398-399)-Hauteur: 35.5cm -Largeur: 52.4cm Titre en bas au centre : « Quel Rêve ! » ; légende plus bas au centre : « …..il disait que des prisonniers, sans défense, des blessés, des mutilés, de enfans [enfants] avaient été assassinés………il disait qu’on avait même fusillé un // demi-cadavre flottant dans la rivière……….il disait : vous arrosez l’arbre de la discorde avec des flots de sang, vous le fumez // de chair humaine…….. mais c’était un rêve, une erreur, un mensonge, ils l’ont condamné comme Calomniateur……… Calomniateur !!! » ; indications : en ht à gche : « La Caricature, (Journal), N°190. », en ht à dte : « Pl. 398 et 399. »Dans la lettre : « Au Bureau, chez Aubert, pass : Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « T. »référence à François Gervais « de Caen » (1803-1867), membre de la Société des Amis du Peuple. Il reprocha au gouvernement une série de violences dirigées contre les Français lors des insurrections d’avril 1834 (voir la légende de la pl.). La réponse de la police et de ses témoins est reproduite dans l’explication : « C’est un rêve, une erreur, un mensonge. M. Gervais est un calomniateur ». C’est Gisquet qui attaqua Gervais en justice, suite à une lettre que ce dernier avait envoyée au journal Le Messager. Gisquet en parle dans ses Mémoires : « Durant l’instruction du procès par la Cour des pairs, il survint plusieurs événemens [sic] et quelques incidens [sic] qui me semblent mériter une mention particulière. Tandis que la garde nationale, la troupe de ligne, les gardes municipaux et les sergens [sic] de ville, amenaient au dépôt de la Préfecture tous les individus arrêtés le 14 avril, un sieur Gervais de Caen se trouvait enfermé dans cette prison. Cédant au besoin de dénigrer l’administration et de faire parler de lui, il écrivit au journal Le Messager une lettre fort longue, pour dénoncer les traitemens [sic] affreux dont les agens [sic] de police accablaient les prisonniers. Il déclarait avoir vu assommer des malheureux sans défense ; il avait vu, disait-il, des mares de sang dans les cours de la Préfecture ; il décrivait les scènes d’horreur, les massacres consommés sous ses yeux (…) Je ne sais si M. Gervais de Caen avait le délire, ou si quelque mauvais songe lui faisait croire à la réalité des actes barbares dont il voulait bien être le délateur, mais je sais que sa lettre me parut contenir le délit de diffamation le mieux caractérisé ; je portai plainte contre lui, et le 12 juin M. Gervais de Caen parut devant le jury (…) ». Lors de son procès le 12 juin 1834, Gervais fut finalement condamné à un mois de prison et 2000 francs d’amende pour avoir calomnié les agents de police. La pl. se propose de mettre en image les propos tenus par Gervais : au centre, des policiers piétinent ou enfoncent leurs épées dans des corps de citoyens amoncelés sous un arbre. Au second plan à dte, des policiers battent des hommes déjà mourants dans une charrette. A l’arrière-plan à dte, des policiers pourchassent des citoyens afin de les attraper et les battre. Au fond se détache le bâtiment de la Bourse. L’arbre de discorde inventé par Gervais est mis en image au centre. Ses fruits sont des poires. Enfin, encadrant la composition, deux policiers arrosent de futurs arbres du même type avec des arrosoirs remplis du sang des citoyens français. Ce sont des poires que ces arbres donnent également.
 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
 1832. Planche 175 de La Caricature N° 87.La Caricature, 5 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare 
 Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €