Planche n° 252 du célèbre journal “ La caricature”. Elle est finement rehaussée avec des plats de gomme. Paris 1833 365 x 260
Reference : 5492
édition originale
Librairie Seigneur
Martine Seigneur
Conforme aux usages de la profession.
Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 7 mars 1833 (Planche n°252 )- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image: Hauteur: 28.2cmx Largeur: 22.7cm - Titre en bas au centre : « Si elle tombait vous seriez écrasés. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°122. », en ht à dte : « Pl. 252. » - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur - Inscription - Les tables de la « LOI » derrière la figure de la république. Sur le globe : « ASIE » et « EUROPE »Au bas des marches de ce qui semble être la chambre des députés, la statue de la Liberté juchée sur un piédestal. Sept hommes ont accroché des ficelles autour de son cou et de son torse et tirent de toute leur force pour la faire tomber. De gche à dte : Barthe, qui regarde le spectateur d’un air affolé, Louis-Philippe de dos (mais reconnaissable aux favoris et au toupet), et Soult, de face. Au centre, d’Argout, ayant tiré trop fortement sur la corde, l’a cassée. Il tombe à la renverse. Trois autres ministres, dont les visages sont cachés, tirent de toutes leurs forces, à dte. L’un d’eux regarde le spectateur. Ils sont difficilement identifiables. La pl. dénonce le bafouement des valeurs de la république par les membres du gouvernement, en particulier la liberté. L’explication établit une comparaison entre l’acharnement à détruire au sens propre les statues de Napoléon après sa chute, et la volonté de faire tomber les valeurs républicaines, sous le règne de Louis-Philippe, au sens figuré.
Lithographie. Planche n° 252 du célèbre journal " La caricature" n) 122 du 7 mars 1833.Elle est finement rehaussée avec des plats de gomme. Très bon1833 365 x 260