‎L'Entrée d'une partie des Alliés à Paris.‎

‎S.l. [Paris], s.d. (1814) estampe in-4 oblongue (29 x 41 cm), en feuille, sous verre, passepartout et baguettes de bois doré modernes. ‎

‎Gravure à l'eau-forte, en couleurs, déposée le 31 août 1814.Caricature représentant l'arrivée des Cosaques à Paris par la Barrière de Pantin (c'est aux portes de Pantin qu'Alexandre Ier avait reçu le 31 mars au matin les maires d'arrondissement de la ville, venus lui remettre les clefs). Les visages de ces soldats russes sont patibulaires à souhait et ils charrient avec eux chevaux, bétail et volailles raflés dans la banlieue de la capitale.Collection De Vinck, 8931. ‎

‎Montréal : quatrième Salon international de la caricature / Fourth International Salon of Cartoons : Catalogue‎

‎ Montréal 1967 in-4 bien illustré, 97p. Couverture illustrée couleurs (vue de Montréal). :: Catalogue de cette 4e rencontre de caricaturistes tenue à Place Victoria... :: Broché. Bon état. ‎

‎Robert Macaire et son ami Bertrand à l'exposition des tableaux du Musée. Pot-pourri pittoresque, mêlé de prose philosophique‎

‎Paris, Librairie centrale [Imprimerie de Pihan Delaforest], 1835 in-8, 32 pp., cartonnage de papier noisette granité, dos lisse, pièce de titre cerise Traces de décoloration en haut des plats. (reliure de la fin du XIXe s.).‎

‎Unique édition, peu commune, de cette féroce satire qui reprend la figure emblématique du Robert Macaire, symbole du le bandit, de l'affairiste sans scrupule, typique de la Monarchie de Juillet, sans moeurs et sans éducation, apparu pour la première fois dans L'Auberge des Adrets (1823) de Benjamin Antier, et popularisé après sa reprise en 1832 par Frédérick Lemaître. Ici, ce sont Robert Macaire et son ami Bertrand qui se font critiques d'art en commentant les oeuvres exposées au Louvre : "Viens voir les tableaux, dit Macaire à Bertrand, j'improviserai des vers, je te dirai ma pensée en chants poétiques, en langage des dieux". Le résultat est d'un comique parfait (encore que naturellement contextualisé), les deux compères multipliant bourdes et grossièretés devant chaque tableau examiné. La conclusion générale donne le ton de l'élévation sublime de la critique macarienne : "C'Muséum peut-être sans égal, / Des arts on dit que la France est reine, / Hier je l'ai lu dans un journal. / Mais c'est égal quand je m'promène / D'vant ces tableaux ; ils m'font d'la peine ; / Parol', je ne puis voir sans soucis / Gaspiller, gâcher tant d'toil' grise, / Quand je sais qu'on trouve à Paris / Tant d'pauv'gens qui n'ont pas de chemise."Au CCF, exemplaires seulement à la BnF et à Rouen. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

‎The Social Ladder. ‎

‎New-York, Londres R.-H. RUSSELL, JOHN LANE 1902 1 Drawings by Charles Dana GIBSON. New-York, R.-H. Russell, London, John Lane, 1902, in-8 oblong, demi-toile beige, couverture illustrée, non paginé. ‎

‎"L'Echelle sociale", considérée comme difficile à gravir, est prétexte à de multiples caricatures des différents milieux sociaux : ennui, attente, ambition, simulacre sont leurs lots. Légère fragilité au brochage. ‎

‎Noces Royales. Extrait d’un Journal (Panorama d’Angleterre). ‎

‎ [Londres], Cheapside: J. Johnston, 1816. Format: 35,9 x 25,4 cm (35,3 x 24,1 cm à la cuvette). Gravure sur cuivre rehaussée en couleurs, gravée par G. Cruek. Texte bilingue. Traces de pliure, quelques rousseurs pâles, autrement une bonne épreuve. Commentaire ancien au crayon dans la marge droite. ‎

‎Rare caricature bilingue publiée à l’occasion des fiançailles de Léopold 1er et Charlotte de Galles, publiée en 1816 dans le journal “Panorama d’Angleterre”. Le commentaire manuscrit d’un précédent propriétaire précise: “Très rare. Représente Léopold de Saxe Cobourg venant épouser sa première femme la princesse Charlotte d’Angleterre hérit!ère du trône. Elle mourutjeune sans avoir rénéet Léopold devint le premier roi des Belges. La rareté des exemplaires provient de ce qu’on les a recherchés pour les détruire”. ‎

‎Les maitres humoristes, les meilleurs dessins, les meilleures légendes. Hermann-Paul. Jeanniot. ‎

‎Paris, Felix Juven, s.d. (vers 1900) ; in-8, environ 200 pp., reliure d'éditeur, dos toile, 1er plat illustré. (Crayonnages d'enfant sur les pages blanches). État moyen.‎

‎Les années Charlie (1969-2004). ‎

‎Paris, Éditions Hoëbeke, 2004 ; in-4 (258 x 344 mm), 144 pp., broché, couverture illustrée. Très nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs.‎

12 Images

‎Départ de Paris de Mr. de La Jobardière. Mr. de La Jobardière, marquis de terre en Cour. Dessiné d'après nature le 20 mars 1815‎

‎S.l. [Paris], s.d. (1815) estampe in-4 (26 x 22 cm), en feuille, sous verre, passepartout et baguettes de bois doré modernes (45 x 41 cm). ‎

‎Gravure à l'eau-forte, coloriée, déposée le 27 mars 1815.Elle représente M. de La Jobardière, figure caricaturale du vieil émigré rentré seulement avec le Roi en 1814, à l'accoutrement archaïque et ridicule (une vieille rapière, un parapluie, une canne, avec ses titres de noblesse dans la poche gauche), pris de panique au retour de l'Empereur et murmurant : "Il est revenu ! Filons !"Collection De Vinck, 9452. ‎

‎Le Dés'habillé.‎

‎S.l., s.d. (1815) estampe in-4 oblongue (22 x 29 cm), en feuille, sous verre, passepartout et baguettes de bois doré modernes (37 x 43 cm). ‎

‎Gravure à l'eau forte, en couleurs.Elle représente une frise de neuf personnages, dont des "maîtres d'habit" et des militaires membres de la Maison du Roi obligés de se défaire de leurs pompeux uniformes après la dissolution de leurs corps par Napoléon de retour de l'Île d'Elbe. Rétablie par décret royal le 25 mai 1814, elle fut dissoute dès le 11 mars 1815 (décrets de Lyon).Chaque personnage porte un numéro, qui est légendé en bas par une brève phrase censée exprimer ses sentiments ; le mousquetaire, par exemple, soupire : "L'habit est tout neuf, et l'épée n'a jamais servi" ; les maîtres d'habit sont bien sûr intéressés à racheter au plus bas pris les nippes dont on se défait : "Cet habit ne peut servir que pour une livrée", réplique placée dans la bouche de l'un d'entre eux, exprime bien tout le mépris que pouvaient inspirer aux soldats de l'Empire cette garde somptueuse et inutile.Absent de la Collection De Vinck. Hennin, Estampes relatives à l'Histoire de France, 13711. ‎

‎L'Enjambée impériale.‎

‎Paris, chez tous les marchands de nouveautés, s.d. (1815) estampe in-4 oblongue (27 x 34 cm), en feuille. ‎

‎Gravure à l'eau-forte, en noir, déposée le 10 avril 1815.Elle représente Napoléon tenant d'une main le drapeau tricolore, et de l'autre une épée et un rameau d'olivier, franchissant d'un seul pas la distance séparant l'île d'Elbe de Paris, sous les yeux éberlués des différents membres de la famille royale, équipés de longues-vues (et coiffés d'éteignoirs pour Angoulême et Berry), chacun proférant une sentence aussi mémorable que le "Que d'eau ! Que d'eau !" de Mac-Mahon à Bordeaux, Louis XVIII ne trouvant à dire que "Cet homme fera son chemin" ... Seul Berry propose "Faisons-lui une petite guerre".Collection De Vinck, 9408. ‎

‎Le Poupard anglo-françois haranguant son état-major le 19 mars 1815.‎

‎S.l. [Paris], s.d. (1815) estampe in-8 oblongue (22 x 29 cm), en feuille. ‎

‎Gravure à l'eau-forte et en couleurs, déposée le 8 avril 1815, d'une réjouissante férocité.Elle représente le duc de Berry passant en revue quelques vieillards installés dans des chaises à porteur ; le prince les harangue noblement (et dans une orthographe intentionnellement archaïque) : "J'espère que vous nous servirés comme vous avés servi mon bisayeul". Les éclopés répondent : "Monseigneur, nous n'attendons que des hommes pour nous porter en avant" ...Collection De Vinck, 9483. ‎

‎Le Zélé défenseur.‎

‎Paris, chez tous les marchands de nouveautés, s.d. (1815) estampe in-4 (24 x 18 cm), en feuille, sous verre, passepartout et baguettes de bois doré modernes (42 x 37 cm). ‎

‎Gravure à l'eau-forte, coloriée, déposée le 10 avril 1815.Elle représente un chevalier de l'Ordre de l'Éteignoir, burlesque création du Nain jaune, ayant fixé ce merveilleux accessoire au bout de sa lance, court sus à l'usurpateur sur la route de Villejuif sur un char tiré par deux écrevisses, en s'écriant fort à propos : "Il ne viendra pas, courrons lui sus", la reprise de cette formulation des plus archaïques n'étant pas arbitraire, puisqu'elle se trouve dans l'ordonnance royale enjoignant à tout sujet la poursuite de Bonaparte.Collection De Vinck, 9423. ‎

‎M. de La Rodomontade apprenant le débarquement de l'Empereur.‎

‎Paris, s.d. (1815) estampe in-folio (30 x 20 cm), en feuille, sous verre, passepartout et baguettes de bois doré modernes (44 x 35 cm). ‎

‎Gravure à l'eau-forte, coloriée.Comme Mr. de La Jobardière, M. de La Rodomontade est un défenseur du trône des lis : il est membre de la Maison militaire du Roi, dont il porte l'uniforme (4e Compagnie des Gardes du corps), et il agite en vain son épée au-dessus de sa tête dans un mouvement qu'il veut héroïque, mais qui n'apparaît que brownien.Collection De Vinck, 9453. ‎

‎Journal amusant.-N° 106.-1858– Une soirée d'étudiants, par Marcelin. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: une Soirée d'étudiants, par Marcelin; la Semaine, par Ch. Bataille; Croquis militaires, par Randon; les Paysans par Baric; Cosarelles, par J. Lovy; Théâtres, par Albert MONNIER; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 110.-1858– Il n'y a plus d'enfants, par Randon. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: Il n'y a plus d'enfants, par Randon; la Semaine, par Ch. Bataille; le Monde pour rire, par Girin; Chronicologie, par Paul-Michel; Types et portraits, par Paul de Lascaux; un Biographe embarrassé, par A. Desonnaz; Théâtres, par Albert Monnier; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 112.-1858– En carnaval, par Carlo Gripp. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: En carnaval, par Carlo Gripp; la Semaine, par Ch. Bataille; Histoire de carnaval, avec un dénouement nouveau, par Paul VERNER; À propos de chiens, par RANDON; Croquis militaires, par RANDON; Il n'y a plus d'enfants, par RANDON; Chronicologie, par PAUL-MICHEL; Théâtres, par Albert MONNIER; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 114.-1858– Les Comédiens de société, par Marcelin. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: les Comédiens de société, par MArcelin; la Semaine, par Ch. Bataille; Grands mots et petites choses, par Randon; Bigarrures d'Arlequin, par Luc Bardas; Théâtres, par Albert Monnier; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 115.-1858– La mi-Carême, par Carlo Gripp. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: les Comédiens de société, par Marcelin; la Semaine, par Ch. Bataille; Grands mots et petites choses, par Randon; les Opérettes, par J. Lovy; Voyage d'un tapissier, autour des quarante fauteuils (neufs et vieux, par Alfred Delvau; Chronicologie, par Paul-Michel; Théâtres, par Albert monnier; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 116.-1858– L'esprit des bêtes, par Randon. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: l'Esprit des bêtes, par Randon; la Semaine, par Ch. Bataille; Comment nos moutards vont à l'école, par Riou; les Arbres de la Bourse, par Alexandre Flan; Dessins exécutés par Stop, pour la musique pour rire de Vialon; Théâtres, par Albert Monnier; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 117.-1858– Au concert, par Marcelin. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: Au concert, par Marcelin; la Semaine, par Ch. Bataille; Croquis militaires, par Randon; les Aménités du Musical World, par J. Lovy; une Fournée de nobles… pour rire, par Henri Henriot; Questions hiéroglyphiques du Journal Amusant; Types à la mode de Caen, par Alfred Delvau; Théâtres, par Albert Monnier; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 118.-1858– Longchamps en 1858, par E. Riou. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: Longchamps en 1858, par E. Riou; la Semaine, par Ch. Bataille; Cosarelles, par J. Lovy; Théâtres, par Albert Monnier; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 119.-1858– Revue du premier trimestre de 1858, par Nadar. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: Revue du premier trimestre de 1858, par Nadar; la Semaine, par Ch. Bataille; Théâtres, par Albert Monnier; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 121.-1858– Le printemps, par Carlo Gripp. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: Émotions et tribulations de la famille Gogo, par Marcelin et Philipon; Chronique, par Ch. Bataille; la Pègre, par Penoville; Questions hiéroglyphiques du Journal Amusant; la Famille Spech, par J. Lovy; voyage d'un tapissier, autour des quarante fauteuils (neufs et vieux, par Alfred delvau; Théâtres, par Albert Monnier; Réclames.Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 122.-1858– Émotions et tribulations de la famille Gogo, par Marcelin et Philipon. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: Émotions et tribulations de la famille Gogo, par Marcelin et Philipon; les Troupiers, par Randon; Chronique, par Ch. Bataille; Cosarelles, par J. Lovy; la Semaine du savetiers, par Jules Delaraye, dessins de Baric; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎

‎Journal amusant.-N° 123.-1858– Émotions et tribulations de la famille Gogo, par Marcelin et Philipon. ‎

‎Paris, Journal Amusant, 1858 ; grand in-4 (305 x 428 mm), 8 pp., broché. Journal pour rire, illustré, comique, critique, satirique, etc. Sommaire: Émotions et tribulations de la famille Gogo, par MARCELIN et PHILIPON; Chronique, par Ch. BATAILLE; A l'audience, par Carlo GRIPP; Gout populaire, par RANDON; les Paysans, par BARIC; Cosarelles, par J. LOVY; Théâtres, par Albert MONNIER; Réclames. Quelques illustrations en noir et blanc.‎