‎Objets migrateurs, trésors sous influences.‎

‎<span data-mce-fragment="1">On s'intéresse de plus en plus aux objets comme à des êtres vivants, qui ont chacun une biographie. Rien de moins immobile qu'un objet : les objets migrateurs ont toujours existé, qu'il s'agisse d'hommes, de dieux, d'idées, de langues, de musiques, de cuisines ou de choses. Aujourd'hui où, particulièrement en Méditerranée, l'accueil de ceux qu'on nomme « migrants » est à l'ordre du jour, il s'agit de dédiaboliser l'idée de migration et de montrer comment les objets migrateurs servent à constituer cette civilisation que nous disons nôtre, à la diffuser et à la faire évoluer. L'une des originalités de l'exposition est de faire dialoguer l'antique et le contemporain, entre objets d'art les plus précieux et objets du quotidien. Ainsi, on découvrira côte à côte une coupe présentant Ulysse sur son radeau, fait de deux amphores, et un écoboat en bouteilles de plastique... Le propos est de faire l'inventaire des types de transformations dues aux migrations. On passe de l'unique - un objet-mémoire parfaitement singulier - au multiple avec le commerce et la diffusion, croisant le problème de la copie, du faux, de la contrefaçon, du réemploi - le crâne de L'Homme de Rio est-il un vrai faux, un faux vrai ? Qu'est-ce qu'une hybridation, un syncrétisme, un métissage ? Et une appropriation, une inspiration? Les modalités de réinvestissement de l'objet remettent en travail les idées de centre et de périphérie, d'original et de copie, de même et d'autre. Se déploie enfin la question des objets à l'arrêt dans les musées - objets de curiosité, de science, d'art, objets patrimoniaux -, et celle, très actuelle, des objets restitués et des objets partagés.</span> Paris, 2022 Lienart 208 p., nombreuses illustrations couleur, broché. 20 x 25‎

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‎Füssli, entre rêve et fantastique.‎

‎Exposition du musée Jacquemart-André. Paris, 2022 Fonds Mercator 192 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur. 24,5 x 28‎

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‎Miroir du monde.‎

‎<span data-mce-fragment="1" itemprop="description">A l'image de la visite d'un cabinet de curiosités, ce catalogue propose de montrer des objets d'art extraordinaires appartenant aux collections des 14 musées d'art de Dresde. <br data-mce-fragment="1"> Cette sélection d'une centaine d'objets singuliers et remarquables allant du XVIe au XXIe siècle met en évidence<br data-mce-fragment="1"> les divers liens qui unissent l'Europe au reste du monde. En effet, les collections uniques de la Staatliche Kunstsammlungen de Dresde sont une excellente démonstration du rôle de l'art dans le dialogue entre les cultures. Un intérêt prononcé pour les matériaux rares et exotiques, pour les objets quotidiens ou rituels issus d'autres cultures ou encore des pièces de valeur provenant de pays lointains, a constitué la base des activités de collecte dans toute l'Europe. Toute collection prestigieuse - qu'il s'agisse d'objets d'art, de nature ou de science - est née<br data-mce-fragment="1"> du désir de connaître le monde sous toutes ses facettes et particularités, de démontrer à la fois la richesse et la puissance des trésors acquis.<br data-mce-fragment="1"> Un livre d'une grande variété iconographique qui nous fait rêver et admirer ces collections en suivant l'histoire des échanges mondiaux.<br data-mce-fragment="1"> <br data-mce-fragment="1"> Sous la direction de Claudia Brink, conservateur général à la Staatliche Kunstsammlungen de Dresde et commissaire générale de l'exposition.<br data-mce-fragment="1"> <br data-mce-fragment="1"> Exposition au musée du Luxembourg du 14 septembre 2022 au 15 janvier 2023.</span> Paris, 2022 RMN 208 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur. 20,5 x 29,5‎

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‎Momies, les chemins de l'éternité.‎

‎<div class="entry-content" data-mce-fragment="1" itemprop="articleBody"><p style="text-align: justify;" data-mce-fragment="1" data-mce-style="text-align: justify;">Sur tous les continents, de nombreuses civilisations ont cherché à conserver intègre le corps de leurs défunts : Égypte pharaonique, bien entendu, mais aussi populations andines, amazoniennes, d’Asie du Sud-Est, d’Océanie, d’Afrique subsaharienne…</p><p style="text-align: justify;" data-mce-fragment="1" data-mce-style="text-align: justify;">Que signifient ces pratiques d’embaumement souvent très ritualisées et parfois très techniques ? À quelles croyances se rapportent ces corps incorruptibles ? Que nous apprennent les momies sur les conditions de vie (et de mort) des populations du passé ?</p><p style="text-align: justify;" data-mce-fragment="1" data-mce-style="text-align: justify;">Écrit par les meilleurs spécialistes, ce catalogue très didactique fait le point sur les dernières connaissances autour des momies, et permet de mieux comprendre la richesse et la variété de ces chemins vers l’éternité.</p><p style="text-align: justify;" data-mce-fragment="1" data-mce-style="text-align: justify;"><em data-mce-fragment="1">Sous le Haut patronage de l’Académie des Inscriptions et Belles-Lettres (Institut de France).</em></p></div> Paris, 2022 In Fine 224 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur. 24,5 x 30,5‎

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‎Louis Licherie, 1642-1687.‎

‎<div class="small-12 medium-8 cell" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Cet ouvrage accompagne la toute première rétrospective consacrée au peintre d’histoire Louis Licherie (Dreux, 1642-Paris, 1687). Organisée par le musée Thomas Henry de Cherbourg-en-Cotentin, qui possède l’un des plus beaux tableaux de Louis Licherie, cette exposition permet de redécouvrir l’œuvre d’un artiste très mal connu et relégué parmi les « suiveurs » du peintre du Roi-Soleil Charles Le Brun. Rédigé par François Marandet, l’ouvrage montre au contraire le cheminement insolite qui fut celui de Louis Licherie. À la différence de ses confrères de l’Académie royale de peinture et de sculpture, il ne fut pas intégré dans les grands chantiers royaux de l’époque quoiqu’il fût doté d’un sens excellent de l’observation. En témoignent ses fonctions de professeur de dessin à la Manufacture royale des Gobelins, assurées dès 1666, tout comme son agrément et sa réception simultanés à l’Académie royale, en 1679, ce qui n’arrivait alors presque jamais. Louis Licherie peignit une majorité d’œuvres religieuses, mais le plus surprenant reste l’étendue de ses aptitudes. Outre ses grands décors pour de riches particuliers, il fut l’auteur d’illustrations méticuleuses d’almanachs et de vues panoramiques de sites. Les talents de Louis Licherie comme paysagiste, qui resurgissent dans ses peintures d’histoire comme chez Nicolas Poussin, rendent sa personnalité d’autant plus rare et attachante.</p></div> Milan, 2022 SilvanaEditoriale 184 p., illustrations couleur, cartonnage éditeur. 23 x 28 ‎

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‎Marcelle Cahn, en quête d'espace.‎

‎<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">Marcelle Cahn est restée jusqu'à aujourd'hui dans l'ombre des grands noms de l'art moderne. Elle participe pourtant à part entière à la naissance et au développement de l'abstraction, en cherchant obstinément une voie propre. Cette monographie fait découvrir une œuvre exigeante et personnelle et le parcours d'une " femme discrète " dans l'agitation des avant-gardes.</p><p data-mce-fragment="1">Marcelle Cahn est une peintre et sculpteuse d'origine strasbourgeoise, née à la jonction de deux siècles et de deux cultures, française et allemande, juive par son père, catholique reconvertie par sa mère, portée par la musique et le théâtre avant d'élire la peinture comme champ d'expression. Expressionnisme, cubisme, purisme, dada, surréalisme, art concret, abstraction lyrique et géométrique, Marcelle Cahn a traversé les courants artistiques les plus importants du XXe siècle sans appartenir à aucune école. Élève de Lovis Corinth puis de Fernand Léger, elle a participé régulièrement aux expositions du groupe Cercle et Carré, puis Abstraction et Création et l'Art concret, ainsi qu'au Salon des réalités nouvelles. Estimée de ses pairs, reconnue par la critique, exposée dès l'année 1925, elle reste dans l'ombre des grands noms de l'art moderne.<br data-mce-fragment="1">Le catalogue de l'exposition présentée au musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg puis au musée d'art moderne de Saint-Etienne a pour ambition de rassembler et analyser pour la première fois les œuvres les plus emblématiques de Marcelle Cahn en couvrant toutes les périodes et supports de création et en restituant les différents contextes artistiques au sein desquels l'artiste a évolué, de l'expressionnisme allemand du début du XXe siècle aux principaux courants de l'abstraction géométrique et lyrique. Il s'agit de faire découvrir une œuvre à la fois rigoureuse et exigeante, poétique et libre, mais aussi une personnalité singulière, cultivée, généreuse, discrète et pleine de fantaisie.<br data-mce-fragment="1">Avec les contributions, entre autres, de Serge Lemoine et Bernard Ceysson.</p> Strasbourg, 2022 Editions des Musées de Strasbourg, Musée d'art moderne et contemporain de Saint-Etienne, Musée des Beaux-Arts de Rennes. 344 p., nombreuses illustrations couleur, broché. 21,5 x 27‎

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‎Vieira Da silva, l'oeil du labyrinthe.‎

‎<div class="entry-content" data-mce-fragment="1" itemprop="articleBody"><p style="text-align: justify;" data-mce-fragment="1" data-mce-style="text-align: justify;">« Dans ma peinture, on voit cette incertitude, ce labyrinthe terrible. C’est mon ciel ce labyrinthe, mais peut être qu’au milieu de ce labyrinthe on trouvera une toute petite certitude. C’est peut-être ça que je cherche. »<br data-mce-fragment="1"> VIEIRA DA SILVA, 1980</p><p style="text-align: justify;" data-mce-fragment="1" data-mce-style="text-align: justify;">« Je n’aime pas en général les œuvres qui affichent leurs complications. Je préfère les œuvres épurées mais qui laissent pressentir, deviner au loin, la complexité des choses du monde. »<br data-mce-fragment="1"> VIEIRA DA SILVA, 1987</p></div> Paris, 2022 In Fine 256 p., illustrations couleur, broché. 19 x 24‎

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‎Lyon et la naissance de l'égyptologie. François Artaud, Jean-François Champollion.‎

‎<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Le musée des Beaux-Arts de Lyon s'associe à la célébration du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes par Jean-François Champollion, en 1822, à travers la relation scientifique et amicale qu'entretinrent pendant plus de vingt ans le premier directeur du musée de Lyon, François Artaud (1767-1838), et Jean-François Champollion (1790-1832). A une époque où les inscriptions hiéroglyphiques étaient peu nombreuses dans les collections, Artaud s'employa à fournir des textes originaux à Champollion, source indispensable à la compréhension de l'écriture des anciens Égyptiens. Il joua également un rôle important dans ses contacts avec le milieu des collectionneurs et des grands marchands d'antiquités égyptiennes, notamment le célèbre Bernardino Drovetti. L'exposition présentera le rôle d'Artaud tout au long de la vie de Jean-François Champollion et mettra l'accent sur l'importance de l'Égypte antique à Lyon dès le XVIIe siècle.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Exposition au musée des Beaux-Arts de Lyon du 1er octobre 2022 au 31 décembre 2022</span> Gand, 2022 Snoeck, Musée des Beaux-Arts de Lyon 232 p., nombreuses illustrations couleur, broché avec rabats. 21 x 27‎

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‎Pierre Skira, les façons d'être du pastel.‎

‎<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">Delacroix disait: «il faut un cœur d’acier pour terminer un tableau.» Il ne s’agit pas simplement de transmettre la vision de ce que l’on a dans la tête, car dans l’abstraction il n’y a pas de sujet, on s’appuie sur des notions étranges, couleurs, formes, espaces, mais à un moment donné la chose vous quitte, parce que la chose est plus forte que nous. Picasso le disait parfaitement: «la peinture est plus forte que moi: elle me fait faire ce qu’elle veut.»</span><br class="autobr" data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Le pastel est doute, et moi je veux garder ce doute, parce que le doute est l’humain. La peinture ne sert pas à grand-chose, si n’est peut-être à poser des questions. Et la grande question pour moi aujourd’hui est celle de la forme. Bernard Noël, peu avant de mourir, m’a écrit, en novembre 2020, une très jolie lettre, une lettre dans laquelle il écrit à propos de mes pastels une phrase de peintre: «C’est la forme qui interroge, comme parcourue par un message qui tressaille en elle.» Ce qui m’intéresse, c’est la tension entre la forme et l’espace. La peinture est un grand mystère, on essaie de faire revivre une forme qu’on a vue par exemple chez Georges de la Tour ou Mondrian. Quand ils peignaient, ils étaient dans la forme, ils la délimitaient par un jeu de tensions, et je m’en souviens aujourd’hui dans mes tableaux abstraits où j’augmente ou diminue l’intensité et la densité de la couleur en fonction de la distance ou pas qui se crée entre une teinte et sa voisine, en laissant maintenant de plus en plus de blanc, de respiration entre chaque forme, pour être moins sage. C’est un langage qu’il faut écouter, en laissant aller le pinceau ou le bâton, et qui vous signifie si le bon équilibre est trouvé; et le tableau est terminé lorsqu’il me surprend: car rien ne doit jamais être acquis.</span> Strasbourg, 2022 L'Atelier contemporain 128 p., illustrations couleur, broché avec rabats. 21 x 25‎

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‎The circus we are.‎

‎<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">L’ambition de ce livre est d’embarquer avec les artistes dans un voyage qui invite au plaisir, à la ré exion, à la rêverie et à l’émerveillement. Acrobates de l’imagination, les artistes – issus chacun d’un univers unique – nous poussent à une certaine agilité d’esprit, à la découverte de nouvelles perspectives et à la contemplation lucide du spectacle de la vie et du monde. L’art et le cirque : tous deux jouent un rôle non négligeable de trait d’union et ont le pouvoir de nous révéler collectivement l’essence même de notre humanité.</p><p data-mce-fragment="1"></p><p data-mce-fragment="1">Joanna De Vos Commissaire d’exposition</p> 2022 Stichting kunst boek 112 p., illustrations couleur, broché avec rabats. 21 x 27‎

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‎Les arpenteurs de rêves, dessins du musée d'Orsay.‎

‎<span data-mce-fragment="1" itemprop="description">À travers une sélection de près de deuxcents dessins, carnets, aquarelles et pastels des collections du musée d'Orsay, ce livre estune invitation àuncheminement poétique au cœur des arts graphiques dela seconde moitié du XIXesiècle etdu début du XXesiècle.<br data-mce-fragment="1"> Des feuilles de plus de soixante-dix artistes, parmi lesquels Gustave Doré, EdgarDegas, Édouard Manet, MarieBracquemond, Gustave Moreau, OdilonRedon, PaulGauguin, Maurice Denis etPierreBonnard, sont réunies et étudiées autour de cinq thèmes liés àl'imaginaire etaurêve : « Derrière les paupières », ou regards intérieurs, « Expériences oniriques du paysage » ; « Parmonstres etmerveilles » ; « Au fil des pages » et « Dela musique avant toutechose », ou dessins inspirés par la musique.</span> Paris, 2022 In Fine éditions d'art 272 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur. 25,5 x 30,5‎

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‎Etoffes et littérature.‎

‎<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">Parmi les étoffes connues sous l’appellation de « toile de Jouy », certaines représentent des thèmes littéraires et musicaux autrefois en vogue. En donnant autant d’images à lire qu’à voir dans l’ameublement, elles représentent sans aucun doute une manière d’embellir les intérieurs, tout en affichant une culture et en affirmant aux yeux des autres, et d’abord de soi-même, le bon goût. Propres à la rêverie, répondant à une logique narrative, les toiles historiées s’imposent rapidement comme un nouvel art décoratif.</p><p data-mce-fragment="1">Le catalogue<span data-mce-fragment="1"></span><em data-mce-fragment="1">Étoffes et littératur</em><span data-mce-fragment="1"></span>invite à un voyage dans l’univers de la littérature, du théâtre et de la musique des xviiie et xixe siècles, à travers les émotions, les réflexions et les aspirations relayées par les indiennes. Cet ouvrage, richement illustré, permet de découvrir l’histoire culturelle, les idéologies et l’esthétique d’une époque, et se décline en plusieurs « désirs » selon le sentiment qui retient l’attention des indienneurs et qui conduit les usagers des toiles imprimées à décorer leurs intérieurs de motifs littéraires.</p> Milan, 2021 SilvanaEditoriale 160 p., illustrations couleur, broché. 21,5 x 26,5‎

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‎Pharaons superstars.‎

‎<p data-mce-fragment="1">Cet ouvrage se propose de suivre, de l’Antiquité à nos jours, l’histoire, parfois ironique, et le destin posthume de quelques pharaons et reines. Comme dans une galerie de portraits, on retrouve des noms vaguement familiers, d’illustres inconnus et des célébrités internationales : Khéops, Toutânkhamon, Akhenaton, Nefertiti, Ramsès, Cléopâtre. En filigrane, le discours sert de métaphore sur la versatilité de la postérité et de la célébrité et sur l’ironie de l’Histoire?: certains pharaons très méritants ont sombré dans l’oubli, tandis que d’autres ne doivent leur postérité qu’au hasard de la conservation et des découvertes. L’originalité de cet ouvrage est de présenter successivement et parfois à proximité des pièces antiques, des documents historiques, des œuvres d’art ancien ou moderne,d</p> Marseille, 2022 Actes Sud, Mucem. 256 p., nombreuses illustrations couleur, broché. 20 x 26‎

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‎Albert Baertsoen.‎

‎<meta charset="utf-8"><div class="woocommerce-tabs wc-tabs-wrapper" data-mce-fragment="1"><div class="woocommerce-Tabs-panel woocommerce-Tabs-panel--description panel entry-content wc-tab" id="tab-description" role="tabpanel" aria-labelledby="tab-title-description" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1"><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">Vers 1900, le peintre, dessinateur et aquafortiste<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">Albert Baertsoen (1866-1922) jouissait d’une grande<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">renommée internationale grâce à ses impressions<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">assourdies et mélancoliques de Gand, sa ville natale.<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">Il savait exprimer de manière significative le mal-</span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">être fin de siècle caractéristique et ne tarda pas à<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">être considéré comme l’artiste par excellence de « la<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">ville morte », thème également très présent dans la<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">littérature de l’époque. Mais Baertsoen était beau</span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">–</span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">coup plus que « le peintre de Gand », titre honorifique<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">que lui décernèrent ses contemporains. Il n’était pas<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">moins admiré pour ses créations réalisées dans des<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">villes comme Bruges, Nieuport, Veere, Amsterdam<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">et Londres. Par ailleurs, il se fit apprécier comme<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">graveur sur la scène internationale. Et c’est peut-</span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">être son œuvre gravé qui constitue, de nos jours,<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">l’aspect le plus connu de son art.</span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">Parallèlement à l’exposition au MSK de Gand,<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">cet ouvrage révèle pour la première fois l’œuvre de<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">Baertsoen dans toute son originalité et sa complexité.<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">Diverses contributions nous le dépeignent en outre<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">comme un intermédiaire bien informé dans le monde<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">des expositions et une personnalité généreuse, qui<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">disposait d’un réseau international impressionnant<span data-mce-fragment="1"></span></span><span class="_textbox_ysiwt_17" data-test="textbox" data-mce-fragment="1">et comptait parmi ses amis les principa</span>ux artistes belges et étrangers de son temps.</p></div></div><section class="related products" data-mce-fragment="1"></section> Gand, 2022 Snoeck 300 p., nombreuses illustrations couleur, cartonnage éditeur. 21,5 x 28‎

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‎Achille Laugé 1861 - 1944, le néo-impressionnisme dans la lumière du sud.‎

‎<div class="expander__content" data-automation-id="expand-EditorOpinionOrSummary" data-mce-fragment="1"><div class="f-productDesc" data-mce-fragment="1"><div class="f-productDesc__raw" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">La Fondation de l'Hermitage consacre une grande rétrospective au peintre français Achille Laugé (1861-1944) - une première en Suisse. Artiste profondément attaché à l'Occitanie, dont il est originaire, Laugé fascine par son parcours singulier au sein du mouvement néo-impressionniste. L'exposition, qui réunit près de quatre-vingts oeuvres et couvre toute la carrière de Laugé, met en lumière l'originalité profonde de ce peintre du quotidien, mû par une sensibilité exceptionnelle. Raffiné et simple à la fois, il prend pour sujet son environnement immédiat : les alentours de sa maison à Cailhau, les fleurs de son jardin, les portraits de ses proches. Avec sa technique très pure, caractérisée par les trois couleurs primaires juxtaposées en petits points ou en treillis, il s'approprie de manière très personnelle la méthode divisionniste. Artiste rayonnant essentiellement dans la région de Carcassonne, Laugé fascine par son parcours solitaire au sein du mouvement néo- impressionniste. L'exposition, qui réunira près d'une centaine d'oeuvres et couvrira toute la carrière de Laugé, met en lumière l'originalité profonde de ce peintre du quotidien, mû par une sensibilité exceptionnelle.</p></div></div></div> Lausanne, 2022 Snoeck 144 p., nombreuses illustrations couleur, broché avec rabats. 24 x 29‎

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‎Sur la piste d'Osiris, Emile Clément Amélineau (1850-1915), un égyptologue vendéen.‎

‎<meta charset="utf-8"><div class="panel panel-default" id="collapse-description" data-mce-fragment="1"><div id="tab-description" class="panel-collapse collapse show" data-mce-fragment="1"><div class="panel-body" data-mce-fragment="1"><div class="text-justify" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Dans le cadre du bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes, le département de la Vendée revient sur le destin extraordinaire d’Émile-Clément Amélineau, égyptologue incompris par ses pairs, abbé repenti et excellent linguiste, et sur son engagement sans limite pour la coptologie. Les fouilles spectaculaires qu’il mène à Abydos entre 1895 et 1898 révèlent l’importance majeure de cette cité dans l’histoire de l’Égypte antique, à la fois berceau de la monarchie égyptienne et centre principal de culte à Osiris. Cette exposition et le catalogue qui l’accompagne parcourent l’histoire des grandes découvertes d’Amélineau – la Stèle du Roi Serpent et le tombeau d’Osiris notamment – et révèlent en filigrane ce moment fascinant où nait l’égyptologie moderne.</p></div></div></div></div> Lille, 2022 editions invenit 272 p., nombreuses illustrations couleur, broché avec rabats. 22 x 28‎

‎Neuf‎

‎Giorgio Griffa, il tempo è memoria.‎

‎<div class="clearfix" data-mce-fragment="1">L’exposition présente une sélection de peintures les plus représentatives de Giorgio Griffa produites entre 1968 et 2021, accompagnées d’œuvres de Claude Viallat et Patrick Saytour choisies en accord avec l’artiste et produites entre 1970 et 1988. Elles viennent compléter l’univers de sa recherche picturale et illustrer ses amitiés constructives.</div> 2021 Fond Mercator, Musée des Beaux-Arts de Chambérry 96 p., très nombreuses illustrations couleur, broché. 17 x 24‎

‎Neuf‎

‎Jean Hélion. Abstraktion und Mythen des Alltags. Bilder, Zeichnungen, Gouachen 1925-1983.‎

‎<p>Texte en allemand.</p> Munich, 1984 306 p., illustrations couleur et N/B, broché. 23 x 24‎

‎Occasion‎

‎Grand Jeu et Surréalisme - Reims Paris Prague.‎

‎ Reims, Ludion / Musée des Beaux-arts de la ville de Reims, 2003, 1 vol. 270 x 220 mm, broché sous couverture à rabats illustrée en couleurs, de 208 pp.Très bon état. ‎

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‎Catalogue de l'exposition qui s'est tenue au Musée des Beaux-arts de Reims du 18 décembre 2003 au 29 mars 2004.Très abondante iconographie en couleurs.Feuillet d'Errata joint.ISBN : 90-5544-489-8. ‎

‎Les Surréalistes en exil et les débuts de l'Ecole de New York. De Tanguy à Pollock - Musées de Strasbourg 12 mai - 27 août 2000.‎

‎ Strasbourg, Aldeasa, 2000, 1 vol. 275 x 240 mm, broché sous couverture illustrée, de 460 pp.Très bon état. ‎

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‎Catalogue de l'exposition qui s'est tenue au Musée d'Art moderne et contemporain de Strasbourg du 12 mai au 27 août 2000.Très nombreux numéros présentés, tous reproduits en noir ou en couleurs, une très importante biographie des artistes présentés et une chronologie bilingues in fine.ISBN : 84-8003-974-4Attention : Livre lourd, il faudra prévoir des frais de port pour un colis de 5 kg. ‎

‎Chastel‎

‎La chaux-de-Fonds, Ed Numaga 1959, ex 184/400 sur velin d'Arches, plaquette éditée à l'occasion de l'exposition du 29 août/30 septembre 1959 à la galerie Numaga, ‎

‎L'Histoire du buste au XXe siècle autour de Bourdelle et depuis ses élèves. Catalogue d'exposition, Musée Bourdelle 5 mai 1964‎

‎Paris, Musée Bourdelle. , 1964, in-8, broché, np. Bon état. 30 reproductions NB. ‎

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‎Anita Molinero, extrudia.‎

‎<span data-mce-fragment="1" itemprop="description">Issue de l'École supérieure des Beaux-Arts de Marseille, Anita Molinero compose, pendant ses années punks, ses premières sculptures en faisant se rencontrer des objets et des matériaux de récupération. Depuis, engagée dans la défense de l'environnement, elle n'a jamais cessé de relever cette "esthétique du déchet" traversant tout l'art du XXe siècle.<br data-mce-fragment="1"> <br data-mce-fragment="1"> Anita Molinaro assemble, puis courbe, creuse ou enflamme, mousse, carton, matelas, parpaings, poubelles, pièce de voitures ou matières en plastique, pour faire naître des formes et des corps défigurés, inspirés par la science-fiction et un futur apocalyptique.<br data-mce-fragment="1"> Si cet art du rebut, de nature politique et critique, exprime clairement le refus de rajouter des objets au monde et les conséquences d'une violence sociale, il est autant un ready-mades urbains qui se présente à nous.<br data-mce-fragment="1"> <br data-mce-fragment="1"> Anita Molinero est nee en 1953 a Floirac (Gironde). Elle vit et travaille a Paris. Ses œuvres font partie d'importantes collections publiques. Extrudia est sa première rétrospective dans une institution parisienne.<br data-mce-fragment="1"> <br data-mce-fragment="1"> Exposition au musée d'Art Moderne de Paris du 25 mars au 24 juillet 2022.</span> Paris, 2022 Paris Musées 160 p., nombreuses illustrations couleur, broché avec rabats. 22 x 28‎

‎Neuf‎

‎Renverser ses yeux, autour de l'Arte Povera 1960-1975. Photographie, film, vidéo.‎

‎<meta charset="utf-8"><p data-mce-fragment="1">Cet ouvrage et l’exposition qu’il accompagne portent un regard nouveau sur le mouvement de l’arte povera, rarement associé aux médiums photographiques et filmiques. Ils invitent le regardeur à «renverser ses yeux» à travers unelecture inédite de ce courant artistique en l’inscrivant également dans le contexte social et politique de l’époque en Italie. Fruit de longues recherches dans les ateliers des artistes, et les collections privées et publiques,l’ouvrage donne à voir l’extraordinaire richesse d’une période où les artistes italiens ont compté parmi les plus importants interprètes de la transformation des langages visuels.</p><p>Le livre s’articule autour de quatre thématiques: corps, expérience, image et théâtre. Ilprésente plus de 300 œuvres de figures majeures de l’arte povera, parmi lesquelles Giovanni Anselmo, Alighiero Boetti, Luigi Ghirri, Jannis Kounellis, Piero Manzoni, Mario Merz, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto… Il propose également une immersion visuelle dans le contexte politique et culturel de l’époque avec des portfolios (imprimés sur un papier de couleur) dédiés au cinéma, théâtre, événements politiques, happenings et extraits de presse présentant les grands enjeux socioculturels d’alors.</p><p>Plusieurs textes viennent éclairer le corpus visuel à la fin du livre: un essai de Giuliano Sergio sur cette période d’effervescence artistique italienne des années 1960 et 1970 dans un contexte de développement des médias, un texte d’Elena Volpato sur la vidéo d’artiste, suivis d’une chronologie détaillée du mouvement ainsi que des notices biographiques des artistes.</p><p>Le titre «Renverser ses yeux» est une référence à l’œuvre éponyme de Giuseppe Penone,<em>Rovesciare i propri occhi</em>, qui figure dans l’ouvrage et l’exposition.</p><p>Ce livre accompagne l’exposition conjointement présentée au Jeu de Paume et au BAL à partir du mois d’octobre 2022 suivie de la Triennale de Milan en 2023, sous lecommissariat de Quentin Bajac, directeur du Jeu de Paume, Diane Dufour, directrice du BAL, et Giuliano Sergio, commissaire indépendant, avec la complicité de Lorenza Bravetta, commissaire associée et conservatrice à la Triennale de Milan.</p> Paris, 2022 Atelier EXB, Jeu de Paume, LE BAL 420 p., nombreuses illustrations noir et blanc, cartonnage éditeur. 22 x 23‎

‎Neuf‎

‎Art et création textile. ‎

‎Paris, MAM musée d'art moderne de la ville de paris, 1987; in-4, 48 pp., br. Neuf - 18 décembre 1986/ 22 février 1987.‎

‎Neuf - 18 décembre 1986/ 22 février 1987.‎