Paris, Au Palais-Royal, Impr. Nationale, 1790 in-12, XXIV-119 pp., demi-veau blond moucheté, dos lisse orné (reliure du XXe siècle). Petit manque angulaire de papier aux dernières pages.
Édition originale dédiée à Madame de Staël.Cet ouvrage reflète bien l'esprit mordant et la verve de Rivarol, rendu célèbre, en 1784, par son "Discours sur l'universalité de la langue Française", ce qui lui vaudra d'être reçu à l'Académie de Berlin. Il dénonce, en 1788, les coteries littéraires parisiennes dans son "Petit almanach des Grands Hommes" et se moque des mauvais auteurs dont les essais médiocres encombrent les librairies. Son esprit et son sens de la polémique s'aiguisent lors de la réunion des Etats généraux. Il collabore au " Journal Politique national" de l'abbé Sabatier et commente l'actualité avec humour et intelligence. Le "Petit dictionnaire des Grands Hommes de la Révolution", comprend 136 notices classées par ordre alphabétique : ils se moque du "grotesque langage" de Gautier de Biauzat; ironise sur Gorsas dont le talent "ne passe pas les barrières de la capitale"; quant à Camille Desmoulins, il a su "se mettre à la portée de l'honnête garçon boucher, de la modeste poissarde, et de tous ces nouveaux lecteurs qu'a enfanté la Révolution", etc.Tourneux, IV, 20603. Martin & Walter, IV, 29355. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Au Palais-Royal, Impr. Nationale, 1790 in-12, XXIV-118 pp., demi-veau rouge, dos à nerfs (reliure du XXe siècle). Manque la page 119. La suite de la liste figurant sur cette page manquante a été retranscrite de façon manuscrite sur la page 118.
Édition originale dédiée à Madame de Staël.Cet ouvrage reflète bien l'esprit mordant et la verve de Rivarol, rendu célèbre, en 1784, par son "Discours sur l'universalité de la langue Française", ce qui lui vaudra d'être reçu à l'Académie de Berlin. Il dénonce, en 1788, les coteries littéraires parisiennes dans son "Petit almanach des Grands Hommes" et se moque des mauvais auteurs dont les essais médiocres encombrent les librairies. Son esprit et son sens de la polémique s'aiguisent lors de la réunion des Etats généraux. Il collabore au " Journal Politique national" de l'abbé Sabatier et commente l'actualité avec humour et intelligence. Le "Petit dictionnaire des Grands Hommes de la Révolution", comprend 136 notices classées par ordre alphabétique : ils se moque du "grotesque langage" de Gautier de Biauzat; ironise sur Gorsas dont le talent "ne passe pas les barrières de la capitale"; quant à Camille Desmoulins, il a su "se mettre à la portée de l'honnête garçon boucher, de la modeste poissarde, et de tous ces nouveaux lecteurs qu'a enfanté la Révolution", etc.Tourneux, IV, 20603. Martin & Walter, IV, 29355. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
P., Publications Henry Coston, 1996, grand in 8° broché, 86 pages.
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Phone number : 04 77 32 63 69
Voces y Vias / Autoéditions Pasunmotcoupé. 1991. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Fascicule de 13 pages agrafées - texte en espagnol et en français.. . . . Classification Dewey : 304.8-Emigration
Classification Dewey : 304.8-Emigration
Paris Lamulle & Poisson 1899 -in-8 broché un fort volume, broché (paperback) bleu clair in-octavo Editeur, dos et couverture imprimée en noir, toutes tranches non-rognées(edges no smooth), orné d'une photographie hors-texte en noir "vue de Quiberon" + 2 cartes dépliantes hors-texte en noir in-fine, XXVIII + 372 pages, sans date (1899)Paris Lamulle & Poisson Editeurs,
préface de M. A. de La Borderie, Edition originale. Rare "... Le gouvernement anglais de ce temps trouvait grand plaisir et grand profit à voir la France condamnée à la République. Mais pour lui, le profit et le plaisir eussent encore été plus grands s'il avait pu faire tuer les Français républicains par les Français royalistes et réciproquement, et gagner à ce jeu pour l'Angleterre quelque bon port, quelque station maritime d'où les Anglais feraient à volonté des incursions, des pilleries et des ravages" écrit dans sa préface Arthur de La Borderie en résumant les idées de l'auteur. Ce dernier a puisé dans les archives britanniques, républicaines et royalistes pour composer une histoire objective de l'affaire de Quiberon et tenter de laver le Comte d'Artois de l'accusation de lâcheté dont il eut à souffrir. En annexe, la liste de tous les fusillés. .......BEL EXEMPLAIRE...BIEN COMPLET....RARE...en bon état (good condition ). bon état
De l'Imprimerie d'Auguste Vauquer & Lhéritier, 1793 (an II) in-8, 11 pp., dérelié.
Il s'agit d'une réponse de la Convention "contre les rois ligués contre la France", et d'une réflexion sur les mesures préconisées par Robespierre. Les Girondins ayant été éliminés quelques mois plus tôt, la Convention est dirigée par les Montagnards.Martin & Walter, IV, 44. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie Nationale, s.d. (An II) in-8, 32 pp., broché. Tache brune.
"Nous nous bornerons aujourd'hui à vous proposer de consacrer par votre approbation formelle les vérités morales et politiques, sur lesquelles doit être fondée votre administration intérieure et la stabilité de la République ... par là vous rallierez tous les bons citoyens, vous ôterez l'espérance aux conspirateurs; vous assurerez votre marche et vous confondrez les intrigues et les calomnies des rois : vous honorerez votre cause et votre caractère aux yeux de tous les peuples."Martin & Walter, IV, 47. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1889 in-8, XI-539 pp., portr., demi-veau blond, filets à froid et roulette dorée (reliure de l'époque). Qqs rousseurs.
Édition originale.Né en 1788, Rochechouart émigre avec sa mère et est incorporé en 1800, soit à l'âge de 12 ans, à l'armée de Condé. Il va ensuite parcourir l'Europe avant de rentrer au service de la Russie. Il devient alors aide de camp du duc de Richelieu et du tsar Alexandre Ier. Il donne sur la campagne de Russie et de 1813 un témoignage qui complète utilement celui de Langeron.De retour en France sous la Première Restauration, il suit Louis XVIII à Gand et donne un bon témoignage sur le rétablissement de la royauté. Rochechouart est alors nommé commandant de la place de Paris."Très intéressants mémoires d'un émigré passé au service du Tsar et qui participa du côté russe à la campagne de 1812, à la campagne d'Allemagne et à l'invasion de la France" (Tulard).Bon exemplaire.Fierro, 1271. Tulard, 664. Bertier, 878.Ex-libris Bibliothèque de M. de Barante. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1889 in-8, XI-539 pp., 2 portraits dont 1 en frontispice, demi-chagrin vert bouteille, dos à nerfs orné de fleurons dorés (reliure de l'époque). Qqs rousseurs.
Édition originale.Né en 1788, Rochechouart émigre avec sa mère et est incorporé en 1800, soit à l'âge de 12 ans, à l'armée de Condé. Il va ensuite parcourir l'Europe avant de rentrer au service de la Russie. Il devient alors aide de camp du duc de Richelieu et du tsar Alexandre Ier. Il donne sur la campagne de Russie et de 1813 un témoignage qui complète utilement celui de Langeron.De retour en France sous la Première Restauration, il suit Louis XVIII à Gand et donne un bon témoignage sur le rétablissement de la royauté. Rochechouart est alors nommé commandant de la place de Paris."Très intéressants mémoires d'un émigré passé au service du Tsar et qui participa du côté russe à la campagne de 1812, à la campagne d'Allemagne et à l'invasion de la France" (Tulard).Fierro, 1271. Tulard, 664. Bertier, 878. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1889 in-8, XI pp., 539 pp., avec deux portraits en héliogravure, sous serpentes, dont un en frontispice, broché. Rousseurs. Dos abîmé.
Édition originale.Né en 1788, Rochechouart émigre avec sa mère et est incorporé en 1800, soit à l'âge de 12 ans, à l'armée de Condé. Il va ensuite parcourir l'Europe avant de rentrer au service de la Russie. Il devint alors aide de camp du duc de Richelieu et du tsar Alexandre Ier. Il donne sur la campagne de Russie et de 1813 un témoignage qui complète utilement celui de Langeron.De retour en France sous la Première Restauration, il suivit Louis XVIII à Gand et donne un bon témoignage sur le rétablissement de la royauté. Rochechouart est alors nommé commandant de la place de Paris.Fierro, 1271. Tulard, 664. Bertier, 878. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1889 in-8, XI pp., 539 pp., avec deux portraits en héliogravure, sous serpentes, dont un en frontispice, demi-chagrin brun, dos à nerfs (reliure de l'époque). Rousseurs. Dos passé. Ex-libris Philippe Poillot.
Édition originale.Né en 1788, Rochechouart émigre avec sa mère et est incorporé en 1800, soit à l'âge de 12 ans, à l'armée de Condé. Il va ensuite parcourir l'Europe avant de rentrer au service de la Russie. Il devint alors aide de camp du duc de Richelieu et du tsar Alexandre Ier. Il donne sur la campagne de Russie et de 1813 un témoignage qui complète utilement celui de Langeron.De retour en France sous la Première Restauration, il suivit Louis XVIII à Gand et donne un bon témoignage sur le rétablissement de la royauté. Rochechouart est alors nommé commandant de la place de Paris.Fierro, 1271. Tulard, 664. Bertier, 878. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Rouen, Imprimerie de P. Seyer & Behourt, s.d. (1794) in-4, 7 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé. Des mouillures claires.
Il s'agit essentiellement de la liste des 52 commissaires désignés (deux par section), avec leur profession et leur adresse.Aucun exemplaire au CCF.Cachet humide de Marcel Bekus (1888-1938), ingénieur d'origine polonaise, proche des milieux anarchistes. Il est devenu célèbre de façon posthume lorsque son petit-fils exhuma sa collection d'affiches et de pièces rares sur la Guerre civile espagnole. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Mardaga Pierre 1998 15x1 6x21 2cm. 1998. Broché.
Très bon état de conservation intérieur propre
Encre. 1987. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 221 pages.. . . . Classification Dewey : 304.8-Emigration
Classification Dewey : 304.8-Emigration
Paris, S.l.n.d. (1790) in-8, 41 pp., cousu.
Député de Paris aux Etats Généraux, l'abbé de Bonneval refusa de prêter le serment civique. La dîme n'est pas un impôt mais une perception, consacrée à la piété et établie par l'usage. Elle "ne pesait presque pas sur les peuples". Les frais de culte, la subsistance des ministres du culte, le soulagement des pauvres et l'augmentation du prix des denrées rendent la dîme incontestable.Martin & Walter, IV, 30422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
L'oeil électrique éditions 2006 15x1x21 8cm. 2006. Broché.
très bon état de conservation couverture un peu défraîchie
[Paris], Imprimerie du Journal de Paris, s.d. (1795) in-8, 28 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé. Petites galeries de vers marginales stoppées.
Du 24 Thermidor an III [11 août 1795]. Cet article habilement rédigé, sous des aspects généraux, avait pour principale finalité de favoriser le retour en France de Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, opportunément réfugié aux États-Unis pendant la période la plus risquée de la Convention. À cette époque, la bonne Germaine se dévouait sans compter en intrigues et entregent pour aider au retour du "pauvre chat", et Roederer, ancien collègue de l'évêque d'Autun à la Constituante, prend bien soin ici de distinguer les "fugitifs français" des "émigrés", plaçant bien sûr Charles-Maurice dans la première catégorie. Le décret de rappel sera voté ensuite à la Convention à une large majorité. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Mende, Société des Lettres, Sciences et Arts de la Lozère, 1988 in-8, 367 pp., ill. in-t., broché. Petites taches sur la couv.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Contsant-Chantpie, Mansut, 1823 in-8, 32 pp., 351 pp., broché sous couverture imprimée.
Unique édition de ce recueil qui se concentre en fait sur les exils de souverains ou de membres de familles souveraines (comme Mesdames, chassées de France par l'application de la Constitution civile du clergé). Il a été réuni par le journaliste et polygraphe Charles de Saint-Maurice (1797-1865), futur rédacteur et directeur de publication de La Revue des modes de Paris (1833-1834). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, L.G. Michaud, Delaunay et Dentu, février, 1815
In-8 (20 X 13 cm), 108 pp., Cartonnage papier marbré, dos lisse janséniste, pièce de titre maroquin vert, tranches marbrées (relié vers 1900). Édition originale. Étienne Bourgevin Vialart, comte de Saint-Morys, fils d'un conseiller à la grand'chambre du Parlement de Paris, naquit dans cette ville en 1772 et fut élevé avec le plus grand soin sous les yeux de son père qu'il suivit dans l'émigration en 1790. Il épousa, à Coblentz, en 1791, la nièce du Ministre Calonne; et il servit, à la même époque, comme simple volontaire dans la légion de Mirabeau: il fit, en qualité d'aide-de-camp du Maréchal de Broglie, la campagne de 1792, et continua dans les années suivantes à servir dans l'armée de Condé. Après le licenciement, il voyagea en Suède et en Russie ; et il recueillit dans ces contrées des observations précieuses pour les arts et l'histoire naturelle, qu'il alla publier en Angleterre, sous le titre de Voyage pittoresque de Scandinavie, Londres, 1802, in-4º, fig. Il revint, en 1803, à Paris, où sa mère n'avait pu conserver d'une fortune considérable que de faibles débris, échappés aux spoliations révolutionnaires. Compromis dans l'affaire Georges Cadoudal, en 1804, par suite de ses liaisons avec MM. de Polignac, il fut emprisonné à la Force, puis mis en surveillance à Houdainville près de Beauvais où son père avait bâti un très-beau château, dont il ne restait que des ruines. Ce fut alors, pour le comte de Saint-Morys, une grande faveur que d'obtenir la restitution d'obtenir la restitution d'une faible partie du terrain que son père avait possédé. L'autre partie était vendue ; et l'acquéreur lui disputa bientôt ce que les autorités de ce temps-là elles-mêmes avaient restitué. Il en résulta pour lui une discussion qui a fait le malheur de sa vie et qui enfin a été la cause de sa mort. Le 31 mars 1814, le comte de Saint-Morys fut du petit nombre des habitants de Paris qui contribuèrent si efficacement, par leur zèle, au rétablissement du trône des Bouchons. Le roi le nomma, dans la même année, sous-lieutenant de ses gardes, puis lieutenant et maréchal-de-camp. Il ne recouvrira rien de l'immense fortune de son père : mais les Bourbons avaient recouvré leur trône et il était au comble de ses voeux. Personne ne se soumit plus franchement à la constitution qui fut donnée par le roi ; et personne n'en accepta plus sincèrement toutes les conséquences. Admirateur passionné des lois anglaises, il manifestait, quelquefois, dans sa conversation, des opinions politiques qui ne plaisaient pas toujours à ses amis. Ce fut dans de tels principes qu'il publia en 1815, un petit écrit contre la traite des nègres, et, peu de jours après, ses Aperçus sur la politique de l'Europe et l'administration intérieure de la France, un 8º. Cette dernière brochure venait de paraître lorsque l'auteur fut obligé de suivre le roi à Gand. Il commanda dans la retraite un détachement des gardes-du-corps, et montra beaucoup de fermeté. Lors du retour, il fut un des premiers officiers de la maison du roi qui rentrèrent dans Paris ; il vint lui-même, dès le 8 juillet, faire placer le drapeau blanc sur le château des Tuileries. Après l'ordonnance du 5 septembre 1816, qui prononça la dissolution de la chambre des députés, Saint-Morys se rendit au collège électoral de son département, à Beauvais, avec l'intention, qu'il ne cacha point, d'y voter pour M.- de Kergorlay, que repoussait le ministère. C'est à cette circonstance que l'on a ensuite attribué ses malheurs. Ce qu'il y a de sûr, c'est que le prince de Poix, son capitaine, son capitaine, le menaça par écrit, de destitution, s'il ne votait pas pour le candidat ministériel, et que, bientôt après, l'acquéreur de ses biens, avec lequel il avait eu des démêlés qui paraissaient assoupis, recommença des attaques et des insultes auxquelles le comte de Saint-Morys répondit comme devait le faire un militaire, homme d'honneur. Il satisfit à tout ce que sa position et son rang exigeaient (Michaud. Bibliographie universelle).
Paris, Calmann-Lévy, 1929 2 vol. in-12, IX-251 pp. et 237 pp., frontispice à chaque volume, index, broché. Qqs annotations au crayon dans les marges. Dos un peu défraîchi.
Tulard, 1306. "Ambassadeur de France à Constantinople, Saint-Priest est ministre dans le cabinet Necker, secrétaire à la Maison du Roi de juillet 1789 à 1790, ministre de l'intérieur en août, démissionnaire en décembre 1790. Il émigre aussitôt après, se rend à Stockholm, puis en Russie, Prusse, Autriche ... sollicitant l'intervention des autres souverains d'Europe en faveur de Louis XVI. En 1795, Louis XVIII l'appelle à Vérone et le nomme ministre de sa maison. Il suit le roi à Blankenburg et à Mittau avant de se retirer en Suisse en 1808. Ses mémoires sont capitaux pour les deux premières années de la Révolution et l'histoire de la montée de la subversion et de la dillution de l'autorité. La période allant de 1797 à 1807 est traitée dans le dernier chapitre du tome second". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Relié, 432 pages, 25,3 x 33,6 x 3,9 cm, illustrations : photos noir et blanc. Très bon état : très légers défauts sur la jaquette ( anodins ).
Presses Universitaires de France Edition originale Première édition 4ème trimestre 1963. 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages illustrées de quelques dessins en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 304.8-Emigration
La première encyclopédie de poche fondée en 1941 par Paul Angoulvent, traduite en 43 langues, diffusée, pour les éditions françaises, à plus de 160 millions d'exemplaires, la collection Que sais-je? est l'une des plus importantes bases de données internationnales, construite pour le grand public par des spécialistes. 3800 titres ont été publiés depuis l'origine par 2500 auteurs. Classification Dewey : 304.8-Emigration
Paris, Impr. de Ballard, s.d. in-4, 6 pp., en feuilles. Trace de pliure sur le document.
Contre les aristocrates et les Anglais. "Les Anglais sont les agioteurs de l'Europe ; leur puissance est fondée sur la fraude et la duplicité : leur commerce prend sa source dans l'agiotage : leurs richesses découlent d'une banque dont les fonds simulés ne peuvent offrir pour résultat qu'une odieuse banqueroute : tout est fictif sur cette terre de proscription."Martin & Walter, III, 22265. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
St Côme, le 25 messidor an 7, (13 juillet 1799), in-folio (31 x 19 cm.), 1 p.
Lettre adressée à l'administration municipale du canton de Mamers l'avertissant de la présence d'émigrés et lui faisant part des mesures prises contre eux. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT