CHEZ L'AUTEUR. Janv. Fév. 1992. In-8. Broché. Très bon état, Couv. fraîche, Dos impeccable, Intérieur frais. 64 pages.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Le livre pour le monde - De l'intellect à l'intuition ... Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Couverture souple. Broché. 260 pages.
Livre. Editions Belfond, 1989.
Schneidermann Daniel Greilsamer Laurent
Reference : 100046479
(1992)
ISBN : 2213029393
“Vous trouverez, je crois, dans le volume intitulé Fleurs d'adultère: Paternité légale, qui pourra vous convenir. Prenez, du reste, ce qui vous plaira. 10 exemplaires me suffiront amplement.”Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12 carré, demi-chagrin blond, nerfs, filet doré, non rogné, couverture conservée. (Rel. de l’époque). 2ff., 250 pp., 6ff. n. ch. (Cat. Malassis de août 1858) (Impr. à Alençon).La première édition a paru chez Malassis en septembre 1858, tirage de 1 000 ex. Cette seconde édition fut tirée à 700 exemplaires en juillet 1859. Il existe quelques rares ex. sur Hollande. « Si la vie privée de certains hommes n'a pas été respectée, n'est-ce pas leur propre faute? ... Ils ont eux-mêmes demandé la publicité pour les côtés brillants de leur existence. Ils ont encouragé les plumes amies à raconter les splendeurs que le succès leur a faites ... Et après avoir fait réclame de leurs tapis et de leurs bronzes, ces messieurs s'étonnent et poussent les hauts cris, quand, au lieu de s'en tenir à la littérature, la critique va s'occuper brutalement de la souplesse dans les salons ou de la patience dans l'antichambre. Habitués qu'ils sont à trouver le miel dans le creux du chêne, ils s'épouvantent, en avançant la main, d'y sentir une couleuvre ». Cela posé dans son introduction, Scholl, tout au long de ce livre saura en débusquer des couleuvres dans les salons, les cabarets, les antichambres et les alcôves des gens de lettres parisiens. Cela n'est pas sans faire penser à la Lorgnette de Monselet, une lorgnette-révolver en somme! On y retrouve quelques auteurs Malassis : Nadar, Monselet, Fauchery, Banville, Champfleury, les Goncourt. Launay 57 et 85 - C.P.M. 54 - C.E.B.A. 134 - Vicaire VII 428 - Jouanne 117. Qq. taches marginales.Couverture un peu salie, petite fente au dos de la reliure.Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1859 ; in-12 carré, demi-percaline rouge moderne. 2ff., 250 pp., 6ff. n. ch. (Cat. Malassis de août 1858) (Impr. à Alençon).La première édition a paru chez Malassis en septembre 1858, tirage de 1 000 ex. Cette seconde édition fut tirée à 700 exemplaires en juillet 1859. Il existe quelques rares ex. sur Hollande. « Si la vie privée de certains hommes n'a pas été respectée, n'est-ce pas leur propre faute? ... Ils ont eux-mêmes demandé la publicité pour les côtés brillants de leur existence. Ils ont encouragé les plumes amies à raconter les splendeurs que le succès leur a faites ... Et après avoir fait réclame de leurs tapis et de leurs bronzes, ces messieurs s'étonnent et poussent les hauts cris, quand, au lieu de s'en tenir à la littérature, la critique va s'occuper brutalement de la souplesse dans les salons ou de la patience dans l'antichambre. Habitués qu'ils sont à trouver le miel dans le creux du chêne, ils s'épouvantent, en avançant la main, d'y sentir une couleuvre ». Cela posé dans son introduction, Scholl, tout au long de ce livre saura en débusquer des couleuvres dans les salons, les cabarets, les antichambres et les alcôves des gens de lettres parisiens. Cela n'est pas sans faire penser à la Lorgnette de Monselet, une lorgnette-révolver en somme! On y retrouve quelques auteurs Malassis : Nadar, Monselet, Fauchery, Banville, Champfleury, les Goncourt. Launay 57 et 85 - C.P.M. 54 - C.E.B.A. 134 - Vicaire VII 428 - Jouanne 117. Qq. taches marginales.Petites rousseurs.Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
Paris, Dentu, Paris, Dentu(1854) ; in-12, demi-percal. grise marbr., fil. dor. (Rel. de l'époque). 2ff., 138 pp.ÉDITION ORIGINALE avec mention factice. C'est le premier livre de l'auteur. Il avait 21 ans: « dans ces Lettres à mon domestique, il n 'y a ni lettres, ni domestique. Ce titre n'est qu'un leurre, un appât. Le style en est inégal, incohérent, gêné dans les entournures, et la philosophie en serait odieuse si elle n'était idiote », avoue le jeune homme dans l'épilogue et conclut: « Nous ne saurions trop engager les pères de famille à laisser leurs enfants dans la plus complète ignorance et à désapprendre à lire eux-mêmes, si possible. Tant qu'il y aura des collèges et des professeurs, des livres et des théâtres, nous désespérerons de l'avenir ». Pour remplir les 3 derniers ff. il donne 3 poèmes. Celui intitulé Spleen a pour épigraphe la prière de Petrus Borel: « Monsieur le Bourreau, je désirerais que vous me guillotinassiez » - Vicaire VII 426. Fils de notaire né à Bordeaux en 1833, Aurélien Scholl fut surnommé « le petit neveu de Chamfort ». Après de bonnes études dans sa ville natale il fut vite attiré à Paris. Dès 1850, âge d'or du journalisme, cette nature ardente et batailleuse s'exprima dans le Corsaire qui comptera parmi les victimes du 2 décembre. On retrouvera sa plume dans Paris, au Mousquetaire de Dumas, à l'Illustration, au Satan qu'il fonda, puis dans la Silhouette où il travailla avec Noriac. Mais c'est au Figaro qu'il déploya sa prodigieuse activité. Ses chroniques pénétrantes, incisives et souvent cruelles lui valurent de nombreux duels, des poursuites judiciaires et des tracasseries de toutes sortes. Le talent de Scholl valait sans doute de s'attacher à des combats plus élevés que ces attaques personnelles mises à la mode par le Figaro. Au lieu de pondre tant de satires il aurait pu se consacrer aux grandes questions politiques et, ce faisant, Scholl aurait rendu des services efficaces à la cause de la liberté. Certains articles du Nain Jaune, du Club, du Jockey et de l'Evénement le prouvent! Outre ses travaux de journaliste Scholl a écrit des romans, un recueil de vers, des pièces de théâtre. « Esprit encyclopédique qui ne croit à rien, se moque de tout mais reussit en tout », écrit Larousse. Scholl mourut à Paris en 1902. Le Petit Bottin des Lettres et des Arts a ainsi défini le personnage : «le dernier journaliste d'esprit qui porte le monocle à gauche ». Maurice Talmeyr lui consacre une longue notice dans ses Souvenirs de Journalisme. Il situe sa naissance et sa jeunesse à La Rochelle. G. Claudin évoque Scholl dans Mes Souvenirs. Les Boulevards de 1840- 70 (pp. 177-178) : « Scholl était tout jeune et très joli garçon. Les belles filles le regardaient avec beaucoup de complaisance. Lui, très myope, ne baissait pas les yeux. L'histoire rapporte qu'il accrocha beaucoup de cœurs au croc de sa moustache. Habitant la même maison que lui, je fus à même de constater que ce bruit était fondé. Scholl a tenu tout ce qu'il promettait: il a écrit une foule de choses charmantes, et a eu autant de bonnes fortunes de pleurs qu'il peut en avoir eu dans ses amours. Scholl est le véritable inventeur de ce qu'on appelle l'Écho de Paris. »
SCHOLL (Aurélien), journaliste et romancier français (1833-1902).
Reference : HCJA220
Il propose un rdv à son correspondant « Pourriez-vous prendre la peine de passer soit chez moi 3 bis rue Labruyère, soit au bureau du journal, vers 5h ? ».
PARIS, BOULEVARD POISSONIERE. 1892. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 81 à 93 . Ce fascicule ne contient pas d'illustrations. Une page photocopié. Livré sans couverture.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Tome soixante seizième. Première livraison. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
PARIS, BOULEVARD MONTMARTRE. 1898. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 441 à 474 . Ce fascicule ne contient pas d'illustration. Une page photocopiée. Livré sans couverture.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Tome cent quatorzième. Vingtième année. premiere partie Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Imprimerie des arts et manufactures et Dubuisson.. 8 janvier 1893. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages environ, illustrées de gravures noirs et blanc. Premier plat de couverture illustrée d'une gravure en couleur par Steinlen. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
"Le roi au masque d'or par Marcel Schwob, Instincts par Yvanoë Rambosson, L'oeuf en carton par Paul Arène, Planche de dessins hors texte par Guillaume, Grelotteux par Aristide Bruant avec gravure couleur dans le texte par Steinlen, Partition ""Le traitement"" chanson, paroles et musique de L. Xanrof avec gravure couleur dans le texte par Steinlen Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux"
Paris, L'Intelligence, 1926. In-8, 234 pp. br.
Un des 60 exemplaires sur Madagascar. Cachets de bibliothèque. Couverture défraîchie.
François Bernouard, 1929, exemplaire numéroté sur vergé n°1468, 166 pp., broché, légères traces d'usage, pli de lecture sur le dos, état général très correct.
Phone number : 0033 (0)1 42 23 30 39
Paris, éd. des Cendres, coll. Oubliettes, 1985 - in-8 broché, couv. à rabats, 188 pages, préface de Marc Kopylov - exemplaire numéroté, un des 25 tirés sur vélin pur fil - TBE, couv. légèrement salie, tampon sur page de garde et qs annotations en marge sinon intérieur très propre
PARIS, BOULEVARD POISSONIERE. 1886. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 308 à 322 . Ce fascicule ne contient pas d'illustrations. Une page photocopié. Livré sans couverture.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Tome quarante deuxième. Deuxième livraison. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
PARIS, BOULEVARD POISSONIERE. 1881. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 204 à 230 . Ce fascicule ne contient pas d'illustrations. Une page photocopié. Livré sans couverture.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Tome treizième. Première livraison. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
PARIS, BOULEVARD POISSONIERE. 1881. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 872 à 896 . Ce fascicule ne contient pas d'illustrations. Une page photocopié. Livré sans couverture.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Tome douxième. Quatrième livraison. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
PARIS, BOULEVARD POISSONIERE. 1881. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 646 à 678 . Ce fascicule ne contient pas d'illustrations. Une page photocopié. Livré sans couverture.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Tome onzième. Troixième livraison. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Bureau du journal. 9 juillet 1932. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 37 à 72. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : A Cocherel, M. Herriot prononce l'oraison funèbre d'Aristide Briand, Jeux de modes par S. Desty, Aristide Briand dort son dernier sommeil, Gyp, reflet d'une époque et d'une société par Maurice Bourdet, Les zones franches et le pays de Gex par S.D. Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Paris, Les Belles Lettres, 1931 2 vol. gr. in-8, XXXVIII-715 pp. et XVI-131 pp., planches, index, bibliographie, broché.
LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Paris, Les Belles Lettres, 1931 2 ouvrages en 1 vol. gr. in-8, XXXVIII-715 pp. et XVI-131 pp., planches, index, bibliographie, demi-basane fauve, dos à nerfs, couvertures et dos conservés (reliure de l'époque). Les couvertures d'origines ont été inversées. Bon exemplaire.
LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Les Belles Lettres, 1931 2 vol. gr. in-8, XXXVIII-715 pp. et XVI-131 pp., planches, index, bibliographie, broché.
LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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L'escampette. 1997. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 139 pages.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
P., A. Colin (Collection "Kiosque"), 1959, in 12 broché, 227pp. ; bibliographie ; illustrations ; qq. rousseurs.
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Armand Colin, Paris 1959. In-12 (18x11). 223 pages. Broché, couverture jaune illustrée.
42 illustrations la plupart à pleine page. En annexe : Bibliographie, colporteurs et auteurs de canards, éditeurs et imprimeurs de canards. Bon état.