LYON CHEZ AUGUSTE BARON 1830 Une plaquette in-8 brochée de 40 pages , la couverture est plus ou moins tachée , bon état intérieur . Bon Couverture souple
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Carcassonne. Hérisson. 1791. In-4 sans couverture, 3 pages. Petits accidents marginaux sans perte de texte, document exempt de rousseurs, non rogné, tel que paru.
Carcassonne. Heirisson. 1791. In-4 de 2 pages. Document sans couverture, petit bandeau sur bois en tête, tel que paru, non rogné. très bon état. Signature autographe du Secrétaire du dsitrict de Castelnaudary Perier (?).
L'Evêque aura la liberté de choisir les Vicaires de son église cathédrale, dans tout le Clergé de son diocèse, à la charge par lui de ne pouvoir nommer que des prêtres qui auront exercé les fonctions ecclésiastiques, au moins pendant dix ans; et les Vicaires une fois nommés ne pourront être desttitués ni par l'Evêque qui les aura choisis, ni par son successeur que de l'avis de son conseil, & par une délibération qui y aura été prise à la pluralité des voix & en connaissance de cause.
Paris, Imprimerie d'un Royaliste, 1790 ; in-8, broché ; 59 pp.
EDITION ORIGINALE rare dont l'auteur est resté anonyme ; il y défend ses thèses avec une bonne érudition théologique, des arguments logiques et des sarcasmes piquants. Une petite tache au titre, sinon bon exemplaire.
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[Révolution française / Dijon / Bourgogne / Claude-Antoine Prieur-Duvernois dit Prieur de la Côte-d'Or] - Viardot
Reference : 2149
(1791)
1791 Tract de 1 p. in-8 (20,5 x 12 cm), slnd [Dijon, 1791].
Peu commun. Un peu défraîchi.
RELIE ENSUITE : Opinion de M. Salle, député du département de la Meurthe, sur les événements du 21 juin 1791, prononcée à la tribune de l’Assemblée à la séance du 15 juillet. RELIE ENSUITE : Opinion de M. Barnave, prononcée à la séance du 15 juillet. Ensemble in-4, broché ; Bourg, Imprimerie C.C.G. Philipon, (1791) ; 16 ; 15, (1 bl.) ; 20 pp.
La question est gravée : la Révolution doit-elle s’arrêter là et garder la Monarchie ou doit-elle abolir celle-ci ? Bon exemplaire à toutes marges.
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Mise en ordre & augmentées par Monseigneur Jean D'Aranthon D'Alex, et nouvellement par Monseigneur Jean-Pierre Biord, ses successeurs dans le même Evêché.Anneci, De l'imprimerie de J. B.Burdet,1778.In-12(17x10cm)relié plein veau d'époque, dos à faux-nerfs orné de caissons dorés et de fleurons, tranches rouges.XXIJ,388pp.+1f de Fautes à corrigés+10pp. de Formule. Blason de la page de titre.
Bon état
[Paris], Garnery, s.d. (1790) 2 fascicules in-8, titre, 6 pp. ; 8 pp., déreliés.
Pour l'auteur des deux pamphlets des plus violents, l'Assemblée des aristocrates s'identifie avec la Société des amis de la Constitution monarchique (qui était née de la réunion du Club de 1789 et du Club des Impartiaux) ; elle tenait ses séances au couvent des Capucins-Saint-Honoré, et était considérée comme l'antithèse vivante des Jacobins (Société des amis de la Constitution). Évidemment, cela ne lui porta pas chance : elle fut dissoute en juin 1791.Tourneux II, 9718 (pour la première partie). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phillips And Fardon London 1806 [London]: Baltimore printed, London reprinted, and sold, by Phillips and Fardon.In-8 ( 215 X 135 mm ) de 47 pages, broché. Couverture absente. De toute rareté.
broché - 16x24,5 - 575 pp - 1903 - éditions PLON-NOURRIT et cie, Paris.Ouvrage couronné par l'Académie Française, grand prix GOBERT. 8ème édition.
Couverture légèrement défraichie.
Paris-L.L.N., Duculot (« Document»), 1992. grand in-8°, 389 pages, tabl. geneal., notes, index, broche, couverture illustree plast.
Bel exemplaire. [BE-2]
PUF, collection Que-sais-je ?, n*2022. 1994. Format poche.Tres bon etat.
PUF, collection Que-sais-je ?, n*2022. 1987. Format poche.Tres bon etat.
Londres, MDCCLXVII 1767 Tome 1er seul. In-8 22,5 x 14 cm. Broché, couverture d’attente, VIII-426 pp. Etat correct.
Le Règlement de la Médiation, accepté par le Conseil général de Genève en 1738, servira pendant trente ans de constitution. Bon état d’occasion
116. edition Paris, Firmin-Didot, 1847. in-8, 383 pages, broche a faire relie, avec son portrait en frontispice (tache) et un fac-similé depliant de l'art. 92 de la constitution de l'an VIII, bon exemplaire pour l'interieur, couverture abimee et dos dechire, A faire Relie. Taillandier et les anciens amis de Daunou (1761-1840) retrouvèrent dans ses papiers un ouvrage dont ce dernier n'avait rédigé que les deux premiers chapitres. Ils sont publiés dans cette présente édition (pp. 287-309) sous le titre Mémoires pour servir à l'histoire de la Convention nationale augmentés ? par rapport à la précédente de 1841 ? d'un autre texte resté inédit : des Extraits d'un mémoire destiné à ses commettants (pp. 310-61), rédigés alors que Daunou était en prison, qui renferment une histoire de la Convention jusqu'à la chute de Robespierre. Ces fragments seront repris par Barrière en 1848 dans sa Bibliothèque des Mémoires relatifs à l'Histoire de France pendant le XVIIIe siècle. Photos possible
Pas de frais de port
Paris, Baudoin, 1789. In 8, broché, couverture moderne, 7 pp.
"Un des principaux projets sur la Déclaration des Droits de l'Homme en société. L'article II dénie à ceux qui gouvernent la propriété du pouvoir; l'article XXII déclare que tout privilège est un désordre ; les derniers articles continuent dans la tradition de Montesquieu la codification de la séparation des pouvoirs."
Videcoq fils aîné, éditeur, 1849. 125 x 75 mm, demi-reliure cuir.
[15797]
Couverture souple. Broché. 36 pages.
Livre. Editions Guillaumin et Cie, 1901.
Vesoul, Ancienne imprimerie Cival 1923, in-8 broché, 300 pages.
Colombier, imprimerie William Henry, 1893, in-8vo, IV p. + 44 p., brochure originale.
Phone number : 41 (0)26 3223808
University of Notre Dame Press 1976 188 pages 14 224x1 778x20 574cm. 1976. Cartonné jaquette. 188 pages.
Bon Etat avec sa jaquette bords un peu frottés intérieur propre
A Moulins, de l'Imp. de Sébastien Bourchardon, rue de l'Égalité, 1795 ; in-8, 19 pp., non cousu.
La publication commence par un discours de Marie-Joseph Chénier (frère du poète André Chénier) contre les anciens tyrans (Louis XVI et Robespierre...), contre les émigrés rentrés clandestinement en France, contre les apôtres du fanatisme qui cherchent à renverser la République, contre les calomniateurs de tous genres. s'en suit un décret contre les émigrés. On trouve ensuite le discours de Jean-Baptiste Louvet [du Coudray], auteur avant la Révolution du roman "Les amours du Chevalier de Faublas" ; en 1795 il est membre de la Commission des Onze chargée de rédiger la constitution de l'an III, favorable au décret des deux-tiers, qui garantit que cinq cents des sept cent cinquante députés du Conseil des Cinq-Cents et du Conseil des Anciens soient d'anciens conventionnels. Dans son discours il prône la réduction de la liberté de la presse afin que les calomnies royalistes ne soient plus diffusées.
A Moulins, de l'imprimerie de S. Bouchardon, [1795] ; in-8. 18 pp.-1 f. bl., non cousus.
On ne sait pas grand-chose de Sébastien Bouchardon, il est installé en 1794 rue de l'Egalité à Moulins. On a conservé de lui que des impressions officielles commandées par la convention nationale entre 1794 et 1797. Le rapport de Baudin, fait suite à l'adoption par la Convention du principe des "deux tiers" des places d'électeurs réservées aux membres du Conseil des Anciens et du Conseil des Cinq-Cents pour élire la prochaine Constitution. Ce rapport va déclencher une insurrection royaliste le 13 Vendémiaire suivant (5 octobre 1795).
A Moulins, de l'imprimerie de Sébastien Bouchardon, [1795] ; in-8. 16 pp.-1 f. bl., non cousus.
Pierre Daunou était membre de la Commission des Onze chargée de « préparer les lois organiques de la constitution » ; il est élu membre du Comité de Salut public en août 1795 et la même année président de la Convention. Dans le présent rapport il exhorte les comités républicains de Paris et ses habitants à défendre le projet de Constitution contre les menaces royalistes. _On joint un autre rapport de Daunou, du 22 Fructidor an III (8 septembre 1794) concernant la loi condamnant les citoyens qui se réuniraient en comité central et prendraient des décisions non conformes à celles de la Convention nationale. 6 pp. in-8, imprimé à Moulins par les Associés Maine et Guinemant, 1794.
A Moulins, chez les Associés Maine et Guinemant, An III, [1795] ; in-8. 34 pp.-1 f. bl., non cousus.
"Le 4 floréal an III (le 23 avril 1795), la Convention nationale élit une Commission des Onze chargée de « préparer les lois organiques de la constitution ». Le député Baudin des Ardennes présente un rapport « sur les moyens de terminer la Révolution », dans lequel il préconise que les deux tiers des sièges au Conseil des Anciens et au Conseil des Cinq-Cents soient réservés à des membres de l'ex-Convention, soit 500 des 750 élus. Pour justifier ce décret des deux tiers, il explique que « la retraite de l'Assemblée Constituante vous apprend assez qu'une législature entièrement nouvelle pour mettre en mouvement une constitution qui n'a pas été essayée est un moyen infaillible de la renverser ». Le décret fut voté, avec la constitution, le 5 fructidor an III (22 août 1795). Décret et Constitution furent ensuite soumis à plébiscite, et adoptés, par le décret du 1er vendémiaire an IV (23 septembre 1795) portant la proclamation de l'acceptation par le peuple français de la constitution qui lui a été présentée par la Convention nationale".A la faveur de la suppression des Brevets et des lettres de Maîtrise lors de la Révolution française, se créent de nombreux ateliers d'imprimeurs-libraires souvent éphémères. Jean-Claude Maine reprend en 1794 l'imprimerie de Georges Boutonnet créée en 1790, dont il était le gendre depuis 1788. Il était originaire de Lyon. Il est d'abord qualifié de librairie (1790) et on le retrouve en janvier 1794, à 39 ans, exerçant la profession d'imprimeur. Il travaille en association avec Alexandre Guinemant en 1794 et 1795, puis avec Pierre François Vidalin de 1797 jusqu'à sa mort en 1798. Guinemant est originaire de Villeneuve-sur-Allier (Allier) om il fut baptisé le 1er avril 1757 ; il était le fils d'un chirurgien. En janvier 1788 il épouse à Moulins (paroisse Saint-Pierre), Gabrielle Deguise, fille d'un greffier ; il est alors qualifié de "secrétaire de l'intendance de Moulins". Il semble que son imprimerie soit rachetée par Toussain Desrosiers en 1804. (Dossiers BNF).