Un ouvrage de 445 pages, format 240 x 150 mm, illustré, broché couverture couleurs, publié en 1978, Editions Robert Laffont, collection "Vécu", bon état
Biographie de la Comtesse de Paris
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Un ouvrage de 280 pages, format 155 x 240 mm, illustré, broché couverture couleurs, publié en 1981, Editions Robert Laffont, collection "Vécu", bon état
Tome II des souvenirs de la Comtesse de Paris
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Un ouvrage de 199 pages, format 140 x 225 mm, illustré, broché, publié en 2005, Plon, bon état
Enquête sur le patrimoine de la famille d'Orléans
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Un ouvrage de 301 pages, format 140 x 215 mm, illustré, relié cartonnage, publié en 1959, Editions France Empire, bon état
Une semaine à Louveciennes
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Paris, libr. de France F. Sant' Andrea, 1931. (20 juin.) In-4, broche,58 p., gravures dans le texte et hors texte.Illustré de reproductions photographiques.
belle couverture illustree,rare;bon état
Un ouvrage de 121 pages, format 180 x 230 mm, illustré, broché couverture couleurs, publié en 1956, Plon
Réalisé à l'époque du grand-père de l'actuel Comte de Paris (Jean de France)
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Eugène Dufeuille, journaliste politique, dirigea le bureau politique du duc d’Orléans de 1894 à fin 1898, après avoir été au service du comte de Paris pendant 11 ans, il a pris la succession de Paul-Gabriel Othenin de Cléron, comte d’Haussonville (1843-1924), qui, de 1891 à 1894, a été le représentant officiel du comte de Paris auprès des comités et de la presse monarchique et a dirigé son bureau politique. Il a publié plusieurs ouvrages : l'Anticléricalisme avant et pendant notre République, Réflexions d’un monarchiste, etc. Longue et très intéressante correspondance entre deux intimes des « Orléans » riche de détails et d’informations où se trouvent dévoilé la politique, l’exil, les mondanités et le quotidien. Janvier 1891. Il relit « Bossuet » et de la philosophie allemande. Il le rejoint dans sa pensée sur Auguste Comte. « Sa religion est ridicule. Elle est de plus inconséquence. Aussi n’ai-je jamais été son adepte. J’estime et j’ai toujours estimé qu’il n’y a rien au dessus de la religion du Christ… ». Ce choix, il en assure de « sa bonne foi. Mais si j’ai des doutes sur son origine, je n’en ai pas sur son efficacité, et je suis tout prêt en ce qui concerne la France, à en dire ce que le Prince vient d’en écrire Paulo majora Calamus ! (sic)… ». Mars et avril 1892. Il lui donne des nouvelles d’Hausonville et lui relate le mariage de sa seconde fille. Il lui indique que le marquis d’Harcourt se rendra à Lisbonne pour aller chercher la comtesse de Paris, que le comte de Paris partira de Gibraltar, accompagné d’André Buffet, et qu’il restera à Villamanrique, « l’état de santé de la duchesse de Montpensier s’étant amélioré. ». Le duc d’Orléans est à Lisbonne « qu’il a gagné à cheval en compagnie de Schneider. ». Il lui précise la situation à Paris, « Ici rien que vous ne puissiez deviner. Loubet est au dessous de tout et les désordres dans les églises pour être moins terrifiants que la dynamite sont à mon sens, plus graves. Je ne crois pas que la leçon profite au Pape si haute qu’elle soit. Les catholiques, qu’on avait voulu unir, n’ont jamais été aussi divisés. ». Mai 1893. Il lui apprend que des difficultés se sont présentées à « Stowe », indépendantes de celles prévues, qui l’obligeront certainement de battre en retraite, « sauf avis contraire du Prince… ». Il aurait bien voulu épargner cette situation au Prince, « mais si l’on doit la vérité aux Princes, c’est surtout quand ils sont exilés… ». Décembre 1895. Il est ravi d’apprendre que la comtesse de Paris, est heureuse d’être à Madrid. « Ses joies ne sont pas surabondantes et ses serviteurs ne peuvent que ressentir très vivement celles que de très rares occasions lui apportent. Il lui apprend que le jeune prince Henri, « a mené à bien un voyage aussi difficile que les résultats scientifiques et géographiques en paraissent être intéressants. Il annonce son retour dans le courant février et c’est à Bombay que l’on peut lui écrire… ». Quant à Paris, « c’est de plus en plus la décomposition. Nous sommes en plein Panama. … et la République parlementaire nage au sein de la boue. Quoi qu’il fasse, M. Félix Faure devra vider les lieux… ». Octobre 1902. L’arrivée du roi du Portugal étant imminente, il était bien persuadé que son ami serait rapidement de retour à Randan. Février et avril 1903. « Les manœuvres de la Marquise secondées par la complicité amoureuse de la fiancée actuelle et la faiblesse du tuteur on réussi. J’en éprouve une peine égale à la vôtre. Le jeune homme ne serait pas le joueur que la voix publique proclame incurable, il n’y aurait rien à dire. On pourrait même avancer qu’à beaucoup d’égards la pupille aurait trouvé chaussure à son pied. Je me suis jamais fait d’illusion sur la moralité du marquis de B, mais vraiment dans mes prévisions les moins indulgentes, je ne serais jamais allé jusqu’à supposer qu’il choisirait la famille royale et son ami d’enfance pour y placer un beau-fils dont il ne savait que faire. On ne vend pas à un ami un cheval vicieux… ». Son retour à Villamanrique l’a ravi, « après une absence de treize ans ». Janvier et décembre 1905. Il revient de l’Angleterre. « Le Prince a été le très aimable compagnon que vous savez quand il le veut être. Il était seul à Londres. Je l’y eusse préféré avec la Princesse et je regrette son absence aussi prolongée. Je ne dis pas que le mari s’en plaigne mais s’il est bien de la montrer une fille dévouée, il ne l’est pas moins d’être une Epouse assidue…». En juin il a dû se consacrer aux corrections des épreuves de sa plaquette et au roi du Portugal, qui est à Paris. « Il me semble bien que l’Auguste et considérable époux de la princesse Amélie gagne beaucoup à être connu. ». Quand il verra Dupuy, il lui dira « un mot » de l’entourage du duc de Montpensier. « un entretien est plus sûr qu’une lettre, mais je puis vous donner quelques renseignements sur l’entourage féminin de Madame la duchesse d’Orléans. La paix, me dit-on, y serait fort troublée…». Décembre 1909. La mort de la princesse Marie (Marie d’Orléans, fille de Robert d’Orléans, duc de Chartres) lui a causé plus de chagrin que de surprise. « J’incline donc à supposer avec vous, que la pauvre princesse a succombé à une grippe infectieuse ». On lui a remis un mot du duc de Guise, de sa maison de Copenhague, « le Prince m’y parle de sa douleur et de celle de Madame la duchesse de Chartres qui sont tout ce que vous pouvez deviner. Le frère et la sœur étaient très liés et le duc de Guise avait conservé la reconnaissance la plus émue de ses années de séjour dans sa maison de Copenhague […] Par discrétion et aussi un peu par manque de courage, je n’ai pas demandé à Mgr de duc de Chartres, de me recevoir. J’ai peur de son chagrin avec en plus le profond sentiment de mon impuissance…». Le petit fils du comte de Paris est à Paris. Il a été reçu avec un très bon accueil, « et a laissé partout une excellente impression » ((Il s’agit du jeune roi Manuel II, qui succèdera à son père assassiné lors de l’attentat du 1er février 1908, par des révolutionnaires. Son frère perdra également la vie et lui ne sera blessé qu’au bras). Sa mère, la reine Amélie est avec lui. « Puisse cet accueil être de quelque allègement dans sa douleur à la Reine Amélie qui est, comme vous le savez très apprécié et très plainte à Paris.. ». Enfin, il lui signale que le duc de Montpensier vient de publier un livre et le conforte concernant les troupes non licenciées de Ferrer. « Je pense que le gouvernement à l’œil ouvert et qu’il prend les précautions nécessaires […] Toutefois, mieux vaut être averti et tous les fanatiques ne réussissent pas leur coup. Ici, le parti révolutionnaire socialiste international fait ce qu’il peut pour galvaniser le cadavre de cette canaille de Ferrer, mais l’agitation ne rend pas. Le public est aujourd’hui édifié sur la moralité du "héros". Je suis porté à croire que s’il avait eu moins d’argent à la disposition du parti, sa mort aurait passé inaperçue comme celle des autres condamnés de Barcelone. Egalité, où est tu ? ».
Charmant témoignage imprimé, adressé en remerciements, suite au mariage en première noce de leur fils le prince Henri d’Orléans, comte de Clermont, le 5 juillet 1957, avec la duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg. « Profondément touchés des sentiments que vous avez exprimés à l’occasion du mariage du Prince Henri avec la Duchesse Marie-Thérèse de Wurtemberg, nous vous en remercions de tout cœur. ».
Paris Grasset 1987 1 vol. broché in-8, broché, 260 pp. Envoi de l'auteur à Jean Mauriac.
Paris Fayard 1983 1 vol. broché in-8, broché, 135 pp. Envoi de l'auteur à Jean Mauriac.
Paris : Michel Lévy, 1874 -1890 Sept volumes in-8, demi-basane rouge de l'époque, dos lisse orné de filets dorés.
SANS l'Atlas. Volumes 5-7 insolés. Ex-dono autographe de l'auteur sur le premier volume. Edition originale. En septembre 1861, lassés de l'inaction à laquelle les condamnent leur statut d'exilés, le comte de Paris et son frère, petite-fils du roi Louis-Philippe, décident d'accompagner aux Etats-Unis leur cousin le duc de Penthièvre, qui désire suivre les cours de l'École de marine américaine. Sur place, les princes s'enthousiasment pour le mouvement anti-esclavagiste et ne tardent pas à s'engager dans la guerre de Sécession. Nommé officier d'état-major du commandant en chef des armées fédérales, Georges McClellan, le comte de Paris combat les Sudistes à la bataille de Gaines' Mill, le 27 juin 1862. De cette expérience, il tira une Histoire de la Guerre civile en Amérique, intéressante source historique de ce conflit.
Paris, Calmann Lévy, 1884. In-12, (2) ff., 297 pp., broché. Quelques petites rousseurs.
Paris, Albin Michel, 1999, broché, 15x24 cm, 229 pages. 8 pages d'illustrations hors texte. Un arbre généalogique.
Bon état.
Paris Henri Lefévre 1947 Paris Henri Lefévre 1947, In-8 broché, 223 pages. Bon état.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Marcel Jullian 1979, grand Marcel Jullian 1979, grand In-8 reliure de l'éditeur, 367 pages. Trés bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Éditions du Chaney, 2000. ENVOI DE L'AUTEUR. In-8, broché, 247. Très bon exemplaire
Lot possible avec les deux autres ouvrages de Philippe de Montjouvent : - Éphéméride de la Maison de France de 1598 à 1848 (réf HIS3997M) - Le Comte de Paris et sa descendance (réf HIS3998M) 60€ les 3
Éditions du Chaney, 1998. In-8, broché, 478 pages. Bon exemplaire
Lot possible avec les deux autres ouvrages de Philippe de Montjouvent : - Le Comte de Paris, Duc de France et ses ancêtres (réf HIS3996M) - Éphéméride de la Maison de France de 1539 à 1848 (réf HIS3998M) 80€ les 3
Un ouvrage de 480 pages, format 160 x 240 mm, broché
Auteur d'études sur les dynasties royales et les institutions de la France sous l'Ancien Régime, Philippe de Montjouvent dresse dans cet ouvrage fort documenté, un portrait de l'ancien Comte de Paris et de chacun de ses 11 enfants, 40 petits-enfants et 29 arrières-petits-enfants
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Éditions du Chaney, 1999. In-8, broché, 477 pages. Bon exemplaire
Lot possible avec les deux autres ouvrages de Philippe de Montjouvent : - Le Comte de Paris, Duc de France et ses ancêtres AVEC ENVOI (réf HIS3996M) - Le Comte de Paris et sa descendance (réf HIS3998M) 80€ les 3
Un ouvrage de 162 pages, format 205 x 128 mm, broché, publié en 1975
Présentation de la pensée et des idées du Comte de Paris
Phone number : 04 74 33 45 19
Couverture souple. Revue complète. 36 pages. 26 x 34 cm.
Périodique. Point de vue, 2 juin 1978.
( Politique ) - Henri d'Orléans, Comte de Paris - Isabelle d'Orléans-Bragance.
Reference : 12046
(1937)
Pars, Les Oeuvres Françaises, 1937. In-12 broché de 186 pages au format 19 x 12 cm. Couverture illustrée. Dos resté carré. Plats et intérieur frais, malgré de très rares rousseurs aux bords de quelques pages. Un des quelques exemplaires hors commerce, imprimés sur alfa, réservés aux amis de l'auteur. Edition originale, enrichi d'une cordiale dédicace autographe de Henri d'Orléans, Comte de Paris et de son épouse, Isabelle d'Orléans-Bragance, Comtesse de Paris. Cette dernière est sur une carte aux armoiries de la famille.
Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres
Un ouvrage de 234 pages, format 145 x 225 mm, illustré, broché, publié en 1999, Plon, bon état
La succession de l'ancien Comte de Paris
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Paris, Delhomme et Briguet Paris, Delhomme et Briguet, 1884. In-8 relié demi-toile, couverture contrecollée sur le plat de 177 pages. Bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Un ouvrage de 45 pages, format 170 x 230 mm, broché couverture illustrée, publié en 1936, Editions Denoël et Steele, collection "Célébrités d'Hier et d'Aujourd'hui", bon état
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