Bureaux de la légitimité Toulouse, Bureaux de la Légitimité, 1885. In-8 relié demi-toile noire, plats cartonnés, 240 pages. Des passages soulignés au crayon mais s'effaçant très facilement. Bon exemplaire dans une reliure modeste, rare.
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Rotterdam, H. Nijgh, 1846-1848, 3 tomes en 4 vol. in-8°, 653, 460 et 1039 pp, (pagination continue pour les 2 parties du tome III), un portrait lithographié en frontispice, 3 tomes reliés en 4 volumes in-8, reliures demi-veau glacé vert, dos lisses ornés de 4 fleurs de lys (rel. de l'époque), dos uniformément passés, qqs rousseurs, bel exemplaire
Edition originale, de toute rareté (Parois, 493). Gruau fut l'ami et le conseiller de Näundorff à partir de 1836 ; on impute à son influence les manifestations ostentatoires de Näundoff et la création d'une nouvelle religion, "la doctrine céleste".
Couverture souple. Broché. 301 pages.
Livre. Editions Arthème Fayard, 1954.
Fayard Fayard 1954, In-8 broché, 299 pages. Bon état.
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Revue de 98 pages, format 205 x 275 mm, illustrée, brochée couverture couleurs, bon état
Dossier "Louis XVII, du nouveau"
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P., Ollendorff, 1888, in-12, x-338 pp, 9 gravures hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés, encadrements à froid sur les plats (rel. de l'époque), dos uniformément passé, bon état (Parois, 518)
"On sait quel chercheur infatigable est le Comte d'Hérisson. Après avoir successivement étudié la chute du second empire dans le « Journal d'un officier d'ordonnance », la campagne de Chine dans le « Journal d'un interprète », la police de la Restauration dans le « Cabinet noir » et le procès de Trianon dans la « Légende de Metz », l'éminent historien aborde aujourd'hui cette période de notre histoire qui est toujours d’une si poignante actualité : La Révolution Française. Dans « Autour d'une Révolution », le comte d'Hérisson publie, avec cette impartialité qui donne à ses œuvres une valeur toute exceptionnelle, une série de documents sur les grands hommes de 89. Les révélations les plus inattendues sont données tant sur les gros bonnets du parti républicain que sur les têtes couronnées : Danton, Robespierre et Mirabeau, le due d’Orléans, Louis XVIII (alors comte de Provence) et Louis XVI lui même, sont tour à tour mis en scène et jugés avec une sûreté de touche dont on peut d'autant mieux faire l'éloge que c'est aux prédictions presque divinatoires de Mallet du Pan que le Comte d’Hérisson a emprunté les plus terribles de ses documents. « Il n’y aurait qu'à recueillir ses articles et ses brochures pour avoir une histoire complète de la Révolution » a dit M. Taine en parlant de Mallet du Pan. Le tour attrayant que le comte d'Hérisson a donné à ces documents, en les réunissant dans son livre, est un charme de plus pour le lecteur, car on trouve dans « Autour d'une Révolution » des renseignements qui, pour être présentés sous une forme séduisante, n'en sont pas moins d’une importance considérable pour l'établissement défìnitif de la vérité historique." (La Cultura, 1889)
P., Ollendorff, 1888, in-12, x-338 pp, 9e édition, 9 gravures hors texte, reliure percaline noire, dos lisse avec titres dorés (rel. de l'époque), bon état, ex-libris Marcel Dunan (Parois, 518)
"On sait quel chercheur infatigable est le Comte d'Hérisson. Après avoir successivement étudié la chute du second empire dans le « Journal d'un officier d'ordonnance », la campagne de Chine dans le « Journal d'un interprète », la police de la Restauration dans le « Cabinet noir » et le procès de Trianon dans la « Légende de Metz », l'éminent historien aborde aujourd'hui cette période de notre histoire qui est toujours d’une si poignante actualité : La Révolution Française. Dans « Autour d'une Révolution », le comte d'Hérisson publie, avec cette impartialité qui donne à ses œuvres une valeur toute exceptionnelle, une série de documents sur les grands hommes de 89. Les révélations les plus inattendues sont données tant sur les gros bonnets du parti républicain que sur les têtes couronnées : Danton, Robespierre et Mirabeau, le due d’Orléans, Louis XVIII (alors comte de Provence) et Louis XVI lui même, sont tour à tour mis en scène et jugés avec une sûreté de touche dont on peut d'autant mieux faire l'éloge que c'est aux prédictions presque divinatoires de Mallet du Pan que le Comte d’Hérisson a emprunté les plus terribles de ses documents. « Il n’y aurait qu'à recueillir ses articles et ses brochures pour avoir une histoire complète de la Révolution » a dit M. Taine en parlant de Mallet du Pan. Le tour attrayant que le comte d'Hérisson a donné à ces documents, en les réunissant dans son livre, est un charme de plus pour le lecteur, car on trouve dans « Autour d'une Révolution » des renseignements qui, pour être présentés sous une forme séduisante, n'en sont pas moins d’une importance considérable pour l'établissement défìnitif de la vérité historique." (La Cultura, 1889)
P., Ollendorff, 1887 in-12, viii-350 pp, reliure demi-toile chagrinée verte à coins, dos à 5 nerfs, titres dorés, couv. (salies) conservées, bon état
D'après les papiers du baron Mounier, secrétaire de Napoléon, puis directeur général de la police sous la Restauration (Parois, 517). — "L'auteur s'est surtout fait connaître par deux ouvrages qui ont fait sensation, “Le Journal d'un Officier d'ordonnance” et “Le Journal d'un interprète en Chine”, dans lesquels il rapporte des faits encore inconnus et intéressants sur des événements politiques importants ; les documents qu'il publie dans son livre “Le Cabinet noir” ne sont pas moins curieux. Ce cabinet, où le secret des lettres était violé sans vergogne, était l'un des plus puissants moyens de police secrète sous les gouvernements monarchiques de la France. Le baron Mounier, qui fut secrétaire de Napoléon Ier et plus tard directeur de la police sous Louis XVIII, s'est constitué dans cette position une collection de documents importants, et c'est un extrait de ces documents que publie d'Hérisson. Ceux qui concernent le fils de Louis XVI, le duc de Berry, Napoléon Ier et Marie Louise sont d'un intérêt particulier. – La question de savoir si Louis XVIl est mort au Temple ou si on l'a laissé s'échapper n'a pas encore été tranchée par l'histoire. L'historien Chantelauze, qui a beaucoup étudié ce problème, est d'avis que le malheureux enfant est mort en prison ; D'Hérisson cherche à prouver, par les pièces qu'il a publiées, que Louis XVII n'est mort qu'en 1846 et que Naundorff n'était pas un imposteur. Il appuie son opinion sur une lettre du docteur Martin, dans laquelle celui-ci déclare que la duchesse d'Angoulême, en mourant, avoua au général La Rochejacquelein que son frère n'était pas mort, et que ce secret l'avait accablée toute sa vie. – Dans son étude sur Napoléon Ier, l'auteur prouve que ce dernier est né le 7 janvier 1768 et non le 15 août 1769, et qu'il a pris l'anniversaire de son frère pour le sien afin de pouvoir entrer à Brienne. Habitué de bonne heure à la duplicité, il montra plus tard le plus détestable manque de sens moral. Ses relations coupables avec sa sœur Pauline et avec la fille de sa femme, Hortense Beauharnais, qu'il donna plus tard en mariage à son frère, sont des faits avérés, et Pauline elle-même en a fourni les preuves. – La lecture de ce livre est aussi piquante qu'attirante." (K. Wilhelmi, Franco-Gallia, 1887)
1936 Paris, Editions Figuière, 1936, In douze, 383 pp, broché, illustrée par une photographie de la pierre tombale de Louis XVII,
Sous forme de pièce de théâtre.
Un ouvrage de 126 pages, format 120 x 175 mm, relié cartonnage et percaline, publié en 1908, Emile-Paul Editeur (Paris), bon état
Solution du problème...
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Paris, Dujarric et Cie, s.d. [1903] ; in-16 ( 19 x 13 cm). XIII-130 pp. Pleine toile rouge, titre doré en long sur pièce de titre rouge. De la bibliothèque Naundorf : supra-ex-lbris doré sur le premier plat "Prince René Louis-Charles de Bourbon (Naundorf)". Signature autographe "Ch. R. Louis de Bourbon" sur le faux-titre. Très bon état.
Préface par Albert Savine. Comment le cachet de Louis XVI est arrivé dans les mains du Comte de Provence, frère du roi, devenu Louis XVIII ? Le récit de son séjour au Temple par Madame Royale, "relu, corrigé et recopié" par le même Louis XVIII.
Paris, Emile-Paul, 1911 petit in-8, VII-188 pp., broché.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Couverture souple. Broché. 16 x 22 cm. 126 pages. Rousseurs.
Livre. Illustrations d'après les aquarelles de Conrad. Editions Arthème Fayard (Collection : Modern-Bibliothèque. N° 8), Vers 1910.
Couverture souple. Broché. 16 x 22 cm. 126 pages. Rousseurs.
Livre. Illustrations d'après les aquarelles de Conrad. Editions Arthème Fayard (Collection : Modern-Bibliothèque. N° 8), Vers 1910.
Couverture souple. Broché. 16 x 22 cm. 126 pages. Rousseurs.
Livre. Illustrations d'après les aquarelles de Conrad. Editions Arthème Fayard (Collection : Modern-Bibliothèque. N° 8), Vers 1910.
Couverture rigide. Reliure toile verte de l'éditeur. Couverture conservée. 126 pages. 17 x 24 cm.
Livre. Illustrations d'après les aquarelles de Conrad. Editions Arthème Fayard (Collection : Modern-Bibliothèque. N° 8), Vers 1906.
PUF, 1924, gr. in-8°, 196 pp, bibliographie, broché, papier jauni, état correct. (Parois, 619)
L'auteur admet comme hypothèse de départ l'assassinat de Louis XVII en janvier 1794. L'essentiel de l'ouvrage est consacré aux faux dauphins : Hervagault ; Charles de Navarre, dit Mathurin Bruneau ; Richemont ; Werg dit Naundorff. En annexe est reproduit le dossier de Louis-Charles Bourlon à Vienne.
Paris, Les Presses Universitaires de France 1924 In-4 25,5 x 15,5 cm. Broché, couverture grise, aurzur & titre en noir sur le dos et le premier plat de couverture, 196 pp., notes en bas de page, bibliographie, pièces annexes, table des matières. Couverture ternie, dos fragilisé.
Bon état d’occasion
Paris. PUF. 1924. In-8. Br. 196 p.Bon état intérieur. Qlques rousseurs sur la couv.
Perrin.1927.In-8 relié.451 p.Très belle reliure noire,avec tète dorée.Dos à 5 nerfs avec caractères dorés.
1921 Paris, Librairie Académique Perrin, 1921, In huit, 451 pp, dos fendu, page de couverture détachée sinon bon état intérieur,
.
Paris, Perrin, 1921 petit in-8, 451 pp., frontispice, planches, broché. Couverture salie.
- - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Perrin, 1930, in-8°, ii-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, broché, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
Perrin, 1932, in-8°, (8)-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, reliure demi-basane fauve éditeur, dos à faux-nerfs orné de fleurs de lys et d'un symbole révolutionnaire, tête dorée, couv. conservées, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)