Perrin, 1930, in-8°, ii-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, broché, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
Perrin, 1932, in-8°, (8)-451 pp, 6 pl. de portraits et gravures hors texte (dont le frontispice et une planche double), 5 plans et une illustration à pleine page dans le texte, reliure demi-basane fauve éditeur, dos à faux-nerfs orné de fleurs de lys et d'un symbole révolutionnaire, tête dorée, couv. conservées, bon état
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
Flammarion, s.d. (1939), pt in-8°, 157 pp, 8 pl. de gravures hors texte, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Toute l'Histoire)
"Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
Sans lieu [Monaco], Editions André Sauret, 1967, gr. in-8°, 350 pp, préface de André Castelot, nombreuses planches hors texte en noir et en couleurs d'après des documents d'époque, pleine reliure maroquin carmin à encadrement doré, dos à nerfs, caissons filetés fleuronnés dorés, contreplats et gardes de papier marbré, tête dorée, sous étui bordé de cuir, bon état (Coll. des Douze Meilleures œuvres historiques). Tirage unique à 1030 ex. sur vergé d'Arches
"« N'empruntant rien qu'aux documents officiels et aux témoignages autorisés, négligeant à dessein les émouvantes et suspectes légendes sous lesquelles disparaît trop souvent la trame de cette douloureuse histoire », l'éminent historien G. Lenotre nous offre, dans ce remarquable ouvrage, une solution nouvelle de ce que Louis Blanc appelle "le Mystère du Temple" : « solution partielle, dit il, mais inattendue » et qui présente cet avantage d'une connexité rigoureuse avec ce que l'on sait de l'histoire du Temple. On peut ainsi, semble-t-il, dégager les points saillants de cette étude : M. G. Lenotre établit que ce n'est pas précisément la Convention, mais la Commune qui a réclamé qu'on lui remit la famille royale. Sous les révolutionnaires, Chaumette et Hébert, commissaires de la Commune, cachaient des hommes. Ces hommes, dont il trace le vivant portrait, l'historien les retrouve, les démasque. Il montre que, comme la plupart de leurs contemporains, ils ne croyaient pas à la perpétuité du régime révolutionnaire, qu'ils prévoyaient un rétablissement de la royauté et qu'en s'emparant du Dauphin ils s'assuraient un otage. Après d'obscures machinations, le renvoi de Simon, dont la femme soignait affectueusement le Dauphin, est décidé. Le départ de Simon coïncide avec la disparition de l'enfant royal puisque, depuis ce jour, la Dauphine qui logeait à l'étage supérieur, qui l'apercevait de temps à autre, qui l'entendait jouer et chanter, ne l'a plus jamais vu ni entendu. La substitution était faite. Par suite, tous ceux qui prirent le pouvoir voulurent s'emparer du Dauphin : Robespierre, Barras comprirent qu'il y avait eu substitution ; peut-être au surplus, celle-ci avait-elle été double. C'est pourquoi, malgré l'ordre bienveillant du Directoire de réunir le Dauphin et la Dauphine, jamais le frère ne fut mis en présence de sa soeur. Qu'est devenu l'enfant royal ? M. Lenotre ne prétend pas éclairer définitivement le mystère. Mais il examine le cas de Mathurin Bruneau et de Hervagault et il laisse entendre que ce dernier pourrait bien avoir été le vrai dauphin. Et peut-être, ce malheureux, mort à Bicêtre où on l'avait interné comme fou, était-il le duc de Normandie, « le dernier roi légitime de France »..." (Le Figaro, 1921) — "Une étude magistrale, s'appuyant notamment sur le dépouillement des archives du Conseil général de la Commune. Malgré quelques interprétations contestables, l'ouvrage demeure une référence." (Jean-Baptiste Rendu, L'énigme de Louis XVII, 2011)
P., août-octobre 1899. Grand in-8, rel. de l’époque, demi-percaline verte, dos titré, couv. conservées, pp. 482-658, texte sur 2 colonnes, fig. en noir dans le texte.
Trois numéros hors-série dirigés par l'historien Otto Friedrichs, fervent partisan de la cause de Naundorff. Première couverture déchirée, sinon bon état général. Rare complet des 6 fascicules. - Frais de port : -France 6,9 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
Albin Michel. Non daté. In-8. Broché. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 233 pages. Gravure en noir et blanc en frontispice. Illustré de nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte. 1er plat détaché. Cahiers détachés.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
Préface de Jules Lemaître. Intro. et notes de M. Vitrac et A. Galopin. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
1928 Paris, Emile-Paul, 1928, in 12, broché, VI- 267 pages.
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P., Fayard (Collection "L'Histoire Illustrée"), 1953, in 8°, cartonnage souple de l'éditeur, jaquette illustrée en couleurs. Bel exemplaire.
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P., Fayard, 1960, petit in 8° broché, 309 pages ; 2 illustrations hors-texte et un plan ; couverture illustrée.
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1887 Paris, Firmin-Didot, 1887, plaquette grand in 8° brochée, XI-76 pages ; couverture défraîchie et effrangée, dos fendu.
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[LOUIS XVII] - Collectif - Rédacteur en chef : M. Otto Friedrichs.
Reference : 13343
(1899)
1899 P., La Plume, 1899, 3 fascicules reliés en 1 vol. petit in-4° (255 x 185 mm) 1/2 Bradel dos vélin, titre et date en queue dorés, pièce de maroquin brun mosaïquée en long portant des jeux de filets et fleurons dorés, filet doré bordant les plats de papier marbré, tête dorée, couvertures des 3 fascicules conservées ensembles en début d'ouvrage (PIERSON), pagination continue de 481 à 658.Vélin légèrement sali, renfort sur certaines couvertures, rousseurs en première garde, bel exemplaire parfaitement relié par Pierson par ailleurs.
Rare réunion des 6 fascicules sur la Question Louis XVII, parus en 3 numéros doubles, soutenant la thèse de Naundorf comme étant l'ancien dauphin, censé avoir survécu à sa détention à la prison du Temple. Portrait de Louis XVII imprimé en orange en frontispice et nombreuses vignettes en noir dans le texte.
1951 Paris, L'Auteur, 1951, in 12, broché, 351 pages ; portaits hors-texte.
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1990 Paris, Orban, 1990, in 8° broché, 392 pages ; couvetrure illustrée.
Avec des plans et des fac-similés hors-texte. ...................... Photos sur demande ..........................
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Albin Michel, s.d. (1907), pt in-8°, iii-233 pp, préface de Jules Lemaître, 69 gravures dans le texte et hors texte, 3 plans, généalogie de la branche aînée des Bourbons in-fine, reliure demi-basane bordeaux, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. illustrée conservées (rel. de l'époque), bon état (Coll. Nouvelle collection de mémoires historiques)
Mémoires historiques sur Louis XVII, par Jean Eckard (pp. 5 à 151), suivis de l'Abrégé de l'histoire des infortunes du Dauphin, par Naundorff (pp. 153 à 218), et d'un appendice sur quelques autres faux Dauphins. (Parois, 365 et 781)
P., Editions de Navarre, 1954, in 8° broché, 359 pages ; couverture illustrée (petite tache au plat supérieur).
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1949 Sarlat, Michelet, 1949, in 8, broché, 145 pages
Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé sur le faux titre. ...................... Photos sur demande ..........................
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Paris, H. Darangon, Libraire-éditeur 1911 In-8. Broché, couverture imprimée, frontispice sous serpente, 407 pp., notes bibliographiques en bas de page. Bon exemplaire.
Exemplaire enrichi d’un envoi de l’auteur au Dr. Cabanès. Bon état d’occasion
P., Société anonyme La Plume, 1899, gr. in-8°, 180 pp, 36 illustrations comprenant des reproductions de gravures du temps, des médailles et des portraits, un en-tête par Emil Causé, un portrait du duc de Normandie en frontispice, lettre autographe de Naundorff, texte sur 2 colonnes, reliure demi-percaline bleu-nuit, dos lisse avec titre doré et filets à froid, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), coupes frottées, bon état
On joint 20 coupures de presse des années 1900 à 1950, certaines avec photos, sur Naundorff et la question Louis XVII.
1900 Pris, Société "La Plume", 1900, in 8° broché, 179 pages ; texte sur deux colonnes ; couverture illustrée (plat inférieur effrangé et détaché).
Avec 36 illustrations. ...................... Photos sur demande ..........................
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P., Hachette, 1968, in 8° broché, 416 pages.
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P., Hachette, 1952, in 8° broché, 586 pages ; couverture légèrement fanée.
Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé sur la faux-titre. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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P., Perrin (Collection "vérités et Légendes"), 1988, in 8° broché, 276 pages ; illustrations hors-texte ; couverture illustrée.
Bel exemplaire. PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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P., Flammarion, 1951, in 12, broché, 299pp. ; illustrations.
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1954 Paris, Fayard, 1954, in 12, broché, 301 pages.
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P., Floury, 1937, in 4° broché, 28 pages de texte suivies de 41 documents hors-texte, en noir et en couleurs, chacun avec sa serpente légendée (le 42ème "document" est l'illustration de couverture) ; quelques petites salissures marginales ; couverture rempliée illustrée (un peu fanée).
Bon exemplaire de ce rare ouvrage, tiré à 1040 exemplaires numérotés (le notre porte le n°469) ; un ex-libris a été collé sous la justification du tirage, au verso du faux-titre. ...................... Photos sur demande ..........................
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