Paris Tallandier, coll. "Figures de proue" 1978 1 vol. broché in-8, broché, 629 pp. (petites rides au dos), illustrations en noir, bibliographie. Bon état.
Paris, Tallandier, 1978. Collection "Figures de Proue". Un fort volume broché de format in 8° de 634 pp.; cahiers photographiques reproduisant des documents anciens. Couverture illustrée, à rabats.
Dos un peu marqué. Sinon bon état; tampon ex-libris.
1896 TOURS, A. Mame - 1896 - In-4 - Broché - Couverture illustrée - Frontispice - illustrations Nb en texte HT PP protégées par serpentes - XXIV-630 pages -Déchirure en tête, accroc au 4 ème plat, sinon bon exemplaire - Réf; 24099
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P., Victor Retaux, 1898, 2 vol. in-8°, xxxix-326 et 354 pp, préfaces de la 1ère et de la 4e édition, notes bibliographiques, les 2 tomes reliés ensemble en un volume plein chagrin bordeaux, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés, encadrements à froid sur les plats, armes dorées au 1er plat, toutes tranches dorées (rel. de l'époque), bon état. Exemplaire très bien relié
L'Empire Romain ; Le monde germanique ; L'Eglise ; La chute de l'Empire Romain en Occident ; Progrès de l'Eglise ; Byzance ; Les Royaumes ariens ; La société barbare au sixième siècle ; Les Carolingiens ; Charlemagne. — "... A part quelques travaux d'érudition pure, il est difficile de dégager de l'oeuvre de Kurth (1847-1916) les résultats scientifiques, qui cependant sont considérables. Le rôle qu'il assigne à l'historien est de définir la signification prophétique des choses. Il aborde franchement – c'est là son originalité – l'histoire européenne, à rencontre de beaucoup de ses collègues, dont l'horizon était borné aux limites de la Belgique. Mais il ne voit dans les temps modernes que la continuation du moyen âge, qui, d'après lui, est dénommé ainsi à tort et constitue plutôt l'âge d'or de l'humanité. Aussi ses recherches ont-elles porté avant tout sur la période qui forme le début de cet âge et ont-elles eu pour but de montrer les effets de l'évangélisation sur les barbares, principalement au coeur de l'Europe médiévale. Kurth déploya une activité étonnante. Tout en s'intéressant aux littératures étrangères et nationales – outre la chaire d'histoire du moyen âge, il occupa celle des littératures étrangères – il prépara une oeuvre synthétique sur les “Origines de la civilisation moderne” qui eut un grand retentissement dans le monde catholique (1886) et qui obtint le prix quinquennal d'histoire..." (H. Van der Linden, Revue Historique, 1916)
Prague, Artia et Cercle d'Art, 1971, in-4° (26 x 32), 211 pp, 182 illustrations en noir et en couleurs hors texte, 19 ill. dans le texte, biblio, liste des localités, index, reliure pleine toile gris-clair, 1er plat illustré en noir, sans la jaquette, bon état
Editions du Cerf / Bibliothèque Nationale 1991, in-8 relié skyvertex de l'éditeur sous jaquette illustrée, 239 p. (bel état ; épuisé) La moitié de l'ouvrage est la reproduction de ce très beau manuscrit, l'autre moitié une étude d'un spécialiste d'histoire de l'art.
Würzburg, Holzner, 1964. In-8 broché, couv. rempliées, VII-194 pp., bibliographie, index. (Marburger Ostforschungen, 24).
Besitzstempeln, gut Erhaltung. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
HACHETTE. Non daté. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 240 pages. Augmenté de nombreuses photos en couleur et noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age
Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age
[Editions du Centre Nationale de la Recherche Scientifique] - LABANDE, Edmond-René ; FAVREAU, Robert ; MICHAUD, Jean ; LEPLANT, Bernadette
Reference : 62437
(1982)
1 vol. in-8 br., Editions du Centre Nationale de la Recherche Scientifique, Paris, 1982, 332 pp.
Bon exemplaire de cet ouvrage de référence désormais épuisé.
Genève, Mégariotis, 1978, in-8°, xxiii-381 pp, 41 pièces justificatives, reliure simili-cuir havane de l'éditeur, bon état (Réimpression de l'édition de 1892)
"Cet ouvrage est une thèse de l'Ecole des chartes qui repose sur des recherches étendues ; elle fait honneur à la fois à l'auteur et aux maîtres dont il a reçu les leçons. La commune de Beauvais s'est formée lentement, par développements successifs ; elle ne sort pas d'une insurrection victorieuse ; elle n'est point le fruit d'une concession gracieuse du souverain. L'évêque de Beauvais, des le début du XIe siècle, est maître et seigneur dans sa ville épiscopale et ne relève que du roi ; mais les bourgeois jouissent déjà de certaines libertés, de certains privilèges qui, peu à peu, se préciseront, prendront corps et se fixeront dans des chartes de coutumes. La royauté ne joue aucun rôle actif dans ce lent développement ; au XIIIe siècle, son intervention, sous saint Louis notamment, est plutot violente et maladroite ; plus tard, devenue plus habile, elle soumet la bourgeoisie de Beauvais à des persécutions savantes et bien conduites, qui doivent à son gré amener la ruine de la commune et l'abandon des libertés par les habitants. A Beauvais, ce résultat est plus lent à venir qu'ailleurs, et, jusqu'au XVIIe siècle, la ville gardera quelques-unes de ses franchises. Mais, dès le XIVe, l'autorité royale a pris pied dans la cité et, sous pretexte de réformer les abus, elle a mis des entraves au libre exercice du gouvernement communal. Sur toutes ces questions, sur le fonctionnement de la commune durant deux siècles, sur les droits respectifs des pairs et de l'évêque, on trouvera dans le livre de M. Labande beaucoup de très curieux renseignements. On peut citer entre autres le chapitre sur le développement du pouvoir épiscopal ; l'auteur montre fort bien comment il naît des le IXe siècle et comment le prélat parvient, au XIe, à évincer le comte." (A. Molinier, Revue Historique, 1893) — "L'histoire de Beauvais par M. Labande n'embrasse que la période allant des origines au commencement du XVe siècle, c'est-à-dire jusqu'à l'époque où l'autorité royale s'y implanta définitivement et remplaça l'administration municipale. C'est à partir du XIe siècle que les annales de cette ville deviennent surtout intéressantes, c'est-à-dire à dater du moment où les évêques acquirent le comté de Beauvais et où la charte communale fut concédée à cette ville. Si elle n'eut pas tous les privilèges politiques et judiciaires que l'on trouve dans d'autres localités plus favorisées, en revanche elle résista plus longtemps à toutes les causes ordinaires de ruine. Tandis que d'autres communes étaient absorbées par le pouvoir royal à la suite de leurs querelles et de leurs divisions intestines ou des dissensions qui s'élevaient entre elles et les juridictions voisines, il fallut tous les malheurs accumulés par la guerre de Cent ans pour diminuer seulement les privilèges administratifs et politiques de Beauvais. Aussi l'étude de l'organisation de cette ville était-elle intéressante, mais difficile, à cause de la dispersion des documents. M. Labande l'a abordée résolument et s'en est tiré à son avantage. Le volume qu'il offre au public fut d'abord présenté comme thèse à l'Ecole des chartes, et valut à son auteur l'honneur de sortir le premier. Dans la première partie, M. Labande fait connaître les différentes vicissitudes que subit la ville de Beauvais, depuis ses origines jusqu'à la fin du règne de Philippe le Bel, les relations de l'évêque et de la commune avec la royauté. La deuxième partie est consacrée aux institutions municipales. Nous apprenons successivement comment s'établit la commune, quelle était sa constitution, quelle était l'étendue de la juridiction des magistrats municipaux, quels furent les rapports de l'évêque et de la commune, et enfin ce que furent le commerce et l'industrie de Beauvais pendant le moyen âge. La troisième partie est le tableau de la décadence de la commune ; on assiste peu à peu à l'infiltration de l'autorité royale, d'abord dans les affaires militaires et dans les finances, puis à l'établissement d'un juge royal qui, après avoir connu de toutes les causes appartenant de droit au bailli de Senlis, finit par se trouver aux assemblées des trois corps de la ville, et par y exercer une influence prépondérante. Quarante et une pièces justificatives, la plupart très intéressantes, terminent cet ouvrage, qui fait réellement honneur à M. Labande." (Jules Viard, Revue des Questions historiques, 1893)
Monaco, 1910. In-4, br., XVIII-135 pp., 4 planches de fac-similés de lettres hors-textepl. Exemplaire sur Japon.
Ces lettres traitent essentiellement des affaires des seigneurs de Monaco, mais elles donnent aussi de nombreux renseignements sur les événements européens de 1524 à 1548. Couv. salie, dos fendu, intérieur frais, bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
P., Imprimerie Nationale, 1892, pt in-4°, xxiii-381 pp, 41 pièces justificatives, reliure demi-basane fauve mordorée à coins, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres dorés, 1er plat conservé, bon état. Edition originale. Bel exemplaire
"Cet ouvrage est une thèse de l'Ecole des chartes qui repose sur des recherches étendues ; elle fait honneur à la fois à l'auteur et aux maîtres dont il a reçu les leçons. La commune de Beauvais s'est formée lentement, par développements successifs ; elle ne sort pas d'une insurrection victorieuse ; elle n'est point le fruit d'une concession gracieuse du souverain. L'évêque de Beauvais, des le début du XIe siècle, est maître et seigneur dans sa ville épiscopale et ne relève que du roi ; mais les bourgeois jouissent déjà de certaines libertés, de certains privilèges qui, peu a peu, se préciseront, prendront corps et se fixeront dans des chartes de coutumes. La royauté ne joue aucun rôle actif dans ce lent développement ; au XIIIe siecle, son intervention, sous saint Louis notamment, est plutot violente et maladroite ; plus tard, devenue plus habile, elle soumet la bourgeoisie de Beauvais à des persécutions savantes et bien conduites, qui doivent à son gré amener la ruine de la commune et l'abandon des libertés par les habitants. A Beauvais, ce résultat est plus lent à venir qu'ailleurs, et, jusqu'au XVIIe siecle, la ville gardera quelques-unes de ses franchises. Mais, dès le XIVe, l'autorité royale a pris pied dans la cité et, sous pretexte de réformer les abus, elle a mis des entraves au libre exercice du gouvernement communal. Sur toutes ces questions, sur le fonctionnement de la commune durant deux siècles, sur les droits respectifs des pairs et de l'évêque, on trouvera dans le livre de M. Labande beaucoup de très curieux renseignements. On peut citer entre autres le chapitre sur le développement du pouvoir épiscopal ; l'auteur montre fort bien comment il naît des le IXe siècle et comment le prélat parvient, au XIe, à évincer le comte." (A. Molinier, Revue Historique, 1893) — "L'histoire de Beauvais par M. Labande n'embrasse que la période allant des origines au commencement du XVe siècle, c'est-à-dire jusqu'à l'époque où l'autorité royale s'y implanta définitivement et remplaça l'administration municipale. C'est à partir du XIe siècle que les annales de cette ville deviennent surtout intéressantes, c'est-à-dire à dater du moment où les évêques acquirent le comté de Beauvais et où la charte communale fut concédée à cette ville. Si elle n'eut pas tous les privilèges politiques et judiciaires que l'on trouve dans d'autres localités plus favorisées, en revanche elle résista plus longtemps à toutes les causes ordinaires de ruine. Tandis que d'autres communes étaient absorbées par le pouvoir royal à la suite de leurs querelles et de leurs divisions intestines ou des dissensions qui s'élevaient entre elles et les juridictions voisines, il fallut tous les malheurs accumulés par la guerre de Cent ans pour diminuer seulement les privilèges administratifs et politiques de Beauvais. Aussi l'étude de l'organisation de cette ville était-elle intéressante, mais difficile, à cause de la dispersion des documents. M. Labande l'a abordée résolument et s'en est tiré à son avantage. Le volume qu'il offre au public fut d'abord présenté comme thèse à l'Ecole des chartes, et valut à son auteur l'honneur de sortir le premier. Dans la première partie, M. Labande fait connaître les différentes vicissitudes que subit la ville de Beauvais, depuis ses origines jusqu'à la fin du règne de Philippe le Bel, les relations de l'évêque et de la commune avec la royauté. La deuxième partie est consacrée aux institutions municipales. Nous apprenons successivement comment s'établit la commune, quelle était sa constitution, quelle était l'étendue de la juridiction des magistrats municipaux, quels furent les rapports de l'évêque et de la commune, et enfin ce que furent le commerce et l'industrie de Beauvais pendant le moyen âge. La troisième partie est le tableau de la décadence de la commune ; on assiste peu à peu à l'infiltration de l'autorité royale, d'abord dans les affaires militaires et dans les finances, puis à l'établissement d'un juge royal qui, après avoir connu de toutes les causes appartenant de droit au bailli de Senlis, finit par se trouver aux assemblées des trois corps de la ville, et par y exercer une influence prépondérante. Quarante et une pièces justificatives, la plupart très intéressantes, terminent cet ouvrage, qui fait réellement honneur à M. Labande." (Jules Viard, Revue des Questions historiques, 1893)
Paris, Imprimerie Nationale, 1907 in-8, 88 pp., 20 planches, broché. Titre manuscrit au dos. Cachet.
LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Fayard Fayard, 1995. In-8 relié cartonnage souple éditeur de 512 pages. Très bon état
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Fayard, 1986 in-8°, 512 pp, 4 tableaux généalogiques, chronologie, sources et biblio, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état
"Aujourd'hui qu'il a quitté le monde, notre espérance s'est évanouie. Nous n'en conservons qu'une étincelle." Voilà bien le mot qui convient pour désigner le souvenir d'un homme devenu roi à treize ans – à la mort de Louis XI en 1483 – et mort accidentellement à vingt-huit. On l'a prétendu borné, capricieux, dépourvu de maturité politique. Pourtant, la façon dont il a obtenu le rattachement de la Bretagne à la France fut un chef-d'œuvre d'habileté et de tact, et les divers traités qu'il a signés avec les Grands assurèrent la paix intérieure au royaume. Son grand dessein – conquérir Naples pour, de là, organiser le "grand passage" et recouvrer la Terre sainte – fut certes une erreur, tout comme fut coupable sa négligence pour les affaires financières. Mais il se tira plutôt bien de l'entreprise italienne et donna à cette occasion à la France l'une de ses grandes victoires militaires (Fornoue) ; quant à la réforme du clergé, il venait d'en apercevoir la nécessité lorsqu'il fut fauché par la mort. Etait-il donc si facile d'y voir clair en ce monde si perturbé du tournant du XVIe siècle ? Louis XII et François Ier firent-ils mieux que Charles VIII, surent-ils méditer ses erreurs, résister au mirage italien et réorganisèrent-ils l'Eglise ? Rien, évidemment, ne nous permet d'affirmer que Charles VIII eût pu accorder sa destinée à son vouloir s'il avait vécu, mais tout nous incite à lui laisser le bénéfice du doute...
La Pierre Qui Vire, Yonne Zodiaque 1957 1 Un volume de format in 8° de 264 pp. pp. ; nombreuses planches hors texte en héliogravure ou en couleurs . Reliure de l'éditeur en pleine toile citron; titres en gris; jaquette illustrée.
Infimes défauts à la jaquette; sinon parfait état. Voir photos.
Couverture rigide. Brochure de 24 pages. 15 x 23 cm. Légèrement défraîchie.
Livre. 2e édition. Introduction de René Crozet. Nombreuses photographies. Editions Zodiaque (Collection : La nuit des temps), 1962.
Couverture rigide. Brochure de 24 pages. 15 x 23 cm. Légèrement défraîchie.
Livre. 2e édition. Introduction de René Crozet. Nombreuses photographies. Editions Zodiaque (Collection : La nuit des temps), 1962.
Paris, Vve. Morel, 1872, 1873, 1875 ; 3 volumes grand in-4 ; 5ff.-445pp. - 2ff.-461pp. - 2ff.-544pp. Frontispice couleurs et 79 planches lithographiées, la plupart en couleurs. Nombreuses vignettes et culs-de-lampe gravés sur bois, in-texte. Demi maroquin rouge à coins ; dos à 5 nerfs, filets à froid et fleurons dorés ; tête dorée.
TRES BEL EXEMPLAIRE, exempt de toute rousseur, papier parfaitement blanc. Cette présente édition fait suite à celle publiée entre 1862 et 1868 ; le texte en a été corrigé et augmenté, les illustrations sont cependant moins nombreuses mais de meilleur qualité. L'ouvrage avait été salué en son temps comme une somme incontournable pour la connaissance des arts "industriels" du Moyen Age ; il était en effet le premier à proposer une synthèse des connaissances, encore très récentes, sur les productions artistique s de cette période. C'est un bon complément au "Dictionnaire du mobilier" de Violet Le Duc. La Librairie sera fermée du 30 mai au 2 juin ; pendant cette période vous pouvez nous retrouver au Salon de la Bibliophilie, Place Saint-Sulpice à Paris.
Paris, Imprimerie Nationale, 1879 in-4, XXIV-423 pp., 4 pl. dt 2 en couleurs, percaline verte, monogramme au dos (rel. postérieure). Exemplaire de l'Athenaeum Library (ex-libris et cachet sec).
LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 33 01 43 26 71 17
Paris, Imprimerie Nationale, 1879 in-4, XXIV-423 pp., 4 pl. dt 2 en couleurs, demi-chagrin bleu marine, dos à nerfs, titre doré (reliure moderne). Dos passé.
Phone number : 33 01 43 26 71 17
P. Imprimerie Nationale, 1879. In-4°, toile rouge moderne, 424 pp., 4 planches dont 2 en couleurs, importante table. (Coll. des documents inédits sur l'Histoire de France.). Ex-libris ms H. Pinoteau.
Qqs annotations. Bon ex. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 11 € -Monde (z B : 18 €) (z C : 31 €)
Exemplaire de l'auteur numéroté "0" sur papier de hollande, signé par l'auteur, 1 vol. in-4 reliure de l'époque demi-chagrin vert, dos à 5 nerfs, Féret et Fils, Bordeaux, Libraires Associés, Paris, 1900, 1f., XIII-96 pp., 3 ff. n. ch. avec 6 planches hors texte (dont armoiries en chromolithographie), 2 ff. (affiche publicitaire pour l'ouvrage) et 1 f. (bulletin de souscription), 1 note manuscrite de l'auteur (copie d'un extrait de l'Histoire de France d'Henri Martin), et 2 comptes-rendus de l'ouvrage (coupures de presse)
Remarquable exemplaire de l'auteur, numéroté "0" et signé par celui-ci, sur beau papier de hollande. L'ouvrage fut inspiré à l'auteur par la découverte chez Jules Delpit d'une aquarelle représentant le château des Captaux de Buch. Gustave Labat commence son bel ouvrage par le récit d'un magnifique souvenir de jeunesse "Un voyage à Gujan-Mestras en 1835" mené par l'auteur aux côté de son ami Jacques-Emile Brives-Cazes sur les charettes de retour de Sage-Grandjeay, l'un des grands poissonniers de Gujan. Il fallait alors 15 heures pour rejoindre le bassin d'Arcachon depuis Bordeaux. Le château des Captaux de Buch se situait près de l'église Saint Vincent, et Gustave Labat se rappelle en avoir pu encore constater en 1848 les vallonnements laissés par les anciens fossés. Le titre de captal de Buch désignait les seigneurs régnant du Moyen-Age à la Révolution sur le territoire des paroisses de La Teste, Gujan et Cazaux (aujourd'hui communes de La Teste de Buch, Gujan Mestras et Arcachon). Bon exemplaire (un document rajouté postérieurement en fin d'ouvrage a été enlevé, la couverture d'une notice du docteur Lalesque sur Nicolas Brémontier est collé en garde, sans le texte, très bon état par ailleurs, ex-libris Gustave Labat).
, , 1985, 3 volumes in-4, 847 pp. illustrées de 187 planches hors-texte. Envoi et une carte autographe de l'auteur brochés (petite pliure aux 2 premiers plats et petite déchirure au 1er plat du 3e volume)
Tapuscrit de la thèse d'Alain Labbé, soutenue le 5 juillet 1985 dont le directeur de thèse était René Louis. L'auteur s'est proposé d'étudier dans quatre chansons de geste, particulièrement significatives : la Chanson de Roland, Girart de Roussillon, la Prise d'Orange et le Pélerinage de Charlemagne, l'architecture des palais et des jardins en tant que cadre de la présence souveraine
EUGENE ARDANT ET CIE. NON DATE. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Mouillures. 191 pages - coiffe en tête et pied abîmée - coins frottés - mouillures en pied dans l'ouvrage - illustration de Godefroy De Bouillon en noir et blanc en frontispice.. . . . Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age
edition revue. Classification Dewey : 940.1-Moyen-Age