New York - Tokyo 1974 Weatherhill Hardcover 1st Edition
The Heibonsha survey of Japanes art, Momoyama Genre Painting Vol 17 235 x 185 mm, Hardcover, publisher's tape, dust wrapper 184 pg, fine condition
Dom, Petri Frambotti, 1674. In-4 (200x145 mm), relié plein vélin époque, charnière faible, (16), 391 pp, (29). Deuxième édition parue la même année que la première. Avec 59 figures de Médailles dont 48 recto verso, 4 figures de Blason dont l’une répétée une fois, 6 Initiales gravées et 2 Culs-de-Lampe dont l’un répété 3 fois et une belle Marque de l’Imprimeur à la fin : « À l’image de Minerve appuyée sur un olivier, avec une devise : Pacis opus ». L’ouvrage est divisé en 4 parties dont les 3 dernières consacrées en partie à Byzance et à l’empire Ottoman. Ouvrage peu commun.
[Les deux « Blasons » au tournant de 1941 pour Éluard.] - ÉLUARD (Paul)
Reference : 29075
(1942)
La Nouvelle Revue française, n° 324, 1er février 1941, et Fontaine, n° 15, septembre 1941. 2 vol. (145 x 225 ; 155 x 235 mm), p. 258-384, catalogue de février 1941 des ouvrages parus ; 92 p. et [6] f. Brochés. Édition pré-originale en revue. Un des exemplaires sur pur fil (n° 22) pour La N.R.F.
Réunion des deux « Blasons », poèmes-témoins de l'inflexion de stratégie éditoriale opéré par le poète : « Blason des fleurs et des fruits » paraît en février 1941 dans le Paris occupé au sein de La Nouvelle Revue française relancée en décembre 1940 par Pierre Drieu La Rochelle qu'ont imposé les autorités d'occupation en remplacement de Jean Paulhan ; « Blason des arbres » est publié en septembre de la même année à Alger dans Fontaine aux bons soins de Max-Pol Fouchet qui s'enthousiasme auprès de Louis Parrot le 21 août : « Grâce à vous, Fontaine va publier un admirable poème de Paul Éluard. Ce «Blason des arbres» me paraît supérieur à ce qui parut dans la «nouvelle» NRF. Il y a des moments bouleversants de «transparence». Permettez-moi de vous remercier mille fois, et de vous dire ma joie. » (Scheler, p. 76-77) Le dédicataire du « Blason des fleurs et des fruits », Jean Paulhan, dont le nom avait été biffé des épreuves et rétabli à la demande instante du poète, lui rappelait quant à lui cette publication contestable à la Libération : « à ce moment-là tu collaborais - comme le faisaient Gide et Valéry, comme Mauriac se déclarait prêt à le faire - à la revue. Tu as changé ensuite, comme eux - mais non pas, je pense, pour la même raison. Ç'a dû être, pour Gide et Valéry, les protestations de leurs amis ; pour toi, l'entrée en guerre de la Russie » (Correspondance, p. 185). Les deux « Blasons » au tournant de 1941 pour Éluard.