Presses de la Cité, 1977, in-8°, 250 pp, préface de Michel Poniatowski, sergent au 1er bataillon de choc, 16 pl. de photos hors texte, cartes, annexes, broché, bon état (Coll. Troupes de choc)
Une unité créée en mai 1943 à Staouéli pour des opérations non conventionnelles, le 1er bataillon de choc est avant tout un réservoir d'agents des services spéciaux d'Alger, destinés à être infiltrés, débarqués ou parachutés en France occupée. C'est aussi une unité de type para-commando composée de volontaires aux multiples capacités opérationnelles. Ces hommes qui seront de tous les combats jusqu'en 1945 ont versé leur sang pour libérer la France. Le 1er bataillon de choc s'illustrera ensuite en Indochine, puis en Algérie, intégré au 11e choc. Il sera dissous en décembre 1963. Le chef de bataillon Raymond Muelle fait revivre au lecteur, par le petit bout de la lorgnette, l'épopée d'une unité mythique à laquelle il a appartenu, et l'invite à découvrir les facéties et tribulations d'un bataillon dont les hommes n'avaient décidément rien de conventionnel !
s. l., s.d., (1950), in-8vo, 47 p. + 1 photogr. en n./bl. de Hans Muheim, brochure originale.
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Anvers, La Vie Economique et Sociale, 1939. 16 x 23, 24 pp., broché, état moyen (couverture défraîchie).
"Extrait de ""La Vie Economique et Sociale"", du 15 novembre 1939."
Ath, 1958 263pp. + 29 grandes planches dépliantes hors-texte, 25cm., reliure cart. moderne et solide, cachet sur la p.d.t., bon état, [ce volume contient également: CROMBAIN R., Ath sous le régime espagnol au XVIIe siècle (pp.1-70) & CROMBAIN R., Jean IX de Mesgrigny, Ingénieur militaire et Directeur des Fortifications de Flandre 1628-1720 (pp.71-110)], B100317
1988 Editions Podzun-Pallas Verlag - 1988 - In-4, cartonnage vert avec titre doré au dos, sous jaquette illustrée - 224 p. - Nombreuses reproductions photographiques en N&B in-texte - Ouvrage en allemand
Bon état
Paris, Poignavant et Cie, s.d. 2 vol. in-8, 574 pp. et 599 pp., demi-basane verte, dos lisse, filets dorés Coins usés. Rousseurs. (rel. de l'époque).
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Paris, Poignavant et Cie, s.d. 2 vol. in-8, 574 pp. et 599 pp., demi-basane havane, dos à nerfs orné de filets dorés Manques aux coiffes, dos frottés et passés. Mors usés. Rousseurs. Feuillets de pré-titre et titre restaurés au tome I. Etiquette L. Froissart et ex-libris Jacques Jourquin. (reliure de l'époque).
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France empire 1972 In-12, broché à rabats, 252pp
Bon état d’occasion
Flammarion, 1928, in-12, 307 pp, broché, bon état (Coll. Bibliothèque de Philosophie scientifique)
Fernand Nathan, s.d. (v. 1970), in-12, 158 pp, traduit de l'anglais, 80 planches d'avions en couleurs (illustrations de John W. Wood), reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
Paris, Édition du Palais Royal, 1970 in-4, 215 pp., très nbses ill., table, bradel toile rouge, plat orné (reliure de l'éditeur).
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1833 Vimont, Guyot, Canel, Paris, 1833, seconde édition. Un volume in 8° reliure demi-papier imitant la basane, pièce de titre manuscrite, plats papier à la cuve ; exemplaire non rogné complet de ses marges. Un frontispice de tellier, VIII, 368 pages.
Rare roman sur l'histoire de la seconde chouannerie, suivi de notes historiques. Remises possibles sur les achats en lot, achetez plusieurs objets à la fois ! Reçoit sur rendez-vous pour consultation des ouvrages.
Cholet, Les Editions du Choletais, 1993, format 220x145mm, broché, 72 pages, quelques illustrations hors-texte, exemlplaire en bon état.
Réimpression en fac-similé de l'édition de 1845 parue chez Dentu à Paris...
YVERT & Cie. 1966. In-4. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 102pp. Nbreuses photos et illust couleur et n&b, dans le texte et en planches hors texte. Qq encars publicitaires.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 359-Marine militaire
Avant-propos de Dutilleul Classification Dewey : 359-Marine militaire
Paris, Alfred Ikelmer [Imprimerie centrale des chemins de fer de Napoléon Chaix], s.d. in-4, [4] pp. n. ch., avec une lithographie colorisée sur la première (composition patriotique avec deux drapeaux tricolores), musique notée, catalogue d'Ikelmer sur la dernière page, en feuille.
Ce chant dont le titre original était "Hymne de la liberté" était appelé le "frère de La Marseillaise" par les soldats républicains, dont c'était souvent le favori. Il avait été composé par Marie-Joseph Chénier (pour le texte) et Étienne Méhul (pour la musique) pour la fête du 14 juillet 1794. Napoléon Ier l'avait choisi en 1804 pour hymne national, et il continue de faire partie du répertoire de l'armée française.
Paris, E. Joullot, s.d. (vers 1915) in-8, [4] pp. n. ch., avec un portrait en médaillon (Suzanne Valroger) sur la première page, musique notée, catalogue des éditions Joullot sur la dernière page, en feuille.
Une des nombreuses chansons célébrant l'héroïsme des combattants de la Première guerre mondiale.Compositeur de second plan, René Mercier (1896-1973) est surtout connu comme chef d'orchestre. Il n'a jamais eu de très gros succès personnels, hormis quelques chansons : Elle s'était fait couper les cheveux, en référence à la garçonne des années 1920. En revanche, son chant patriotique Verdun ! On ne passe pas, écrit en pleine bataille (1916) reste un de ses grands succès, dû aux circonstances. De même pour Adieu, vieille Europe (1931), devenu un chant-culte de la Légion étrangère.Quant à Suzanne Valroger (1877-1947), la principale interprète mise ici en vedette, elle se rendit célèbre, avant la Première Guerre mondiale, au Petit Casino comme chanteuse à voix et pendant l'entre-deux-guerres, avant de retomber dans l'anonymat.
Paris, C. Joubert, s.d. (1913) in-8, [4] pp. n. ch., avec une illustration en noir sur la première, musique notée, catalogue de chansons militaires de Joubert sur la dernière page, en feuille.
Version présentant et la musique et le texte (Paul Cézano étant le pseudonyme de Guy de Binos). Lucien Fugère (1848-1935) qui inaugura cette adaptation était chanteur d'opéra (voix de basse), dont la carrière avait modestement débuté comme chansonnier au Bataclan en 1870.Quant à Robert Planquette (1848-1903), c'était un compositeur spécialisé dans l'opérette et l'opéra-comique, mais qui produisit aussi quelques marches militaires. Celle-ci, extrêmement célèbre, fut composée en 1870 et figure toujours au répertoire des armées françaises (elle est même la marche la plus jouée après la Marseillaise et le Chant du départ). Le texte évoque sur un ton martial l'Armée de Sambre-et-Meuse formée à la suite de la victoire française de Fleurus en 1794 sur les Autrichiens dans ce qui est aujourd'hui la Belgique. Dans ce dernier pays, la marche est souvent utilisée pour les défilés des écoles militaires belges à Bruxelles et Sint-Truiden.
Paris, Société d'éditions musicales, s.d. in-4, 3 pp. de musique notée, avec une lithographie bleutée sur la première (un groupe de poilus chantant) ; un feuillet volant (texte des 7 couplets), en feuilles.
Hugues Delorme est le pseudonyme de Georges François-Thiébost (1868-1942), journaliste et romancier, qui, avant la Grande guerre, avait participé avec Paul Delmet, Gaston Montoya, Jacques Ferny et Marcel Legay à la création de chansons populaires ou sentimentales chantées notamment dans les cabarets de Montmartre. Il passa tout naturellement au registre patriotique une fois le moment venu.Quant à Claude Terrasse (1867-1923), ce fut surtout un compositeur d'opéras et d'opérettes, considéré en son temps comme le successeur d'Offenbach.
Paris, L. Bathlot, s.d. in-8, [3] pp. n. ch., avec une illustration lithographiée de Donjean en première page (un fier soldat tenant les couleurs à son côté), musique notée, en feuille. Mouillure claire infra-paginale.
Une des nombreuses compositions patriotiques de Paul Déroulède (1846-1914) : "Nous irons où tu veux qu'on aille".À noter, le succès persistant, dès cette époque, du Grand Café Chinois-Théâtre Ba-ta-clan (appelé ultérieurement Bataclan tout court), qui s'imposa comme salle de spectacles de l'est parisien depuis son ouverture en 1864.
Paris, Émile Guéprotte, s.d. (vers 1911) in-8, [4] pp. n. ch. une illustration en noir sur la première page, musique notée, en feuille. Fragilité à la pliure, bords un peu effrangés.
La date de 1911 est celle du copyright de la chanson, due au parolier Armand Foucher (1872-1954), sur une musique composée par Adelmar-Fabulus (dit Charles) Sablon (1871-1929), spécialisé dans la chanson populaire (certaines de ses oeuvres furent chantées par Édith Piaf).Le texte exalte l'héroïsme et l'endurance des soldats de Napoléon pendant toutes les campagnes de l'Empire.
Paris, Alphonse Leduce, s.d. (vers 1870) in-4, 15 pp. de musique notée, avec une illustration lithographique sur la première, dérelié.
Tito Mattei (1839-1914) composa plusieurs centaines de pièces pour piano ; en dépit de ses engagements officiels (il fut pianiste du roi Victor-Emmanuel II), son succès demeura modeste. À partir de 1863, il vécut à Londres.
vierges, destinés à un Régt d'Infanterie. S. ARNAUD, graveur. Lyon Paris. L. COUSIN concessionnaire. Lyon. s.d. (2°moitié du XIX°siècle). 4 petits cartons (87 x 130mm) de couleurs différentes, illustrations à thèmes militaires dont 3 différentes, les 2 semblables étant sur cartons de couleurs différentes. Bel état. L'ensemble
Séduisante réunion de programmes vierges, finement gravés, destinés à recevoir 8 titres de musique.
COLUMBIA. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, Série Oeuvres Orchestrales, plaisir musical, haute fidélité. Batterie et Musique de la Garde Républicaine, direction: FRANCOIS-JULIEN BRUN.. . . . Classification : 410-33 Tours
Disque n° FCX 30068 Classification : 410-33 Tours
Paris, C. Joubert, Bruxelles, Jean-Baptiste Katto, s.d. (vers 1880) in-4, 8 pp. de musique notée, en feuilles, sous chemise illustrée en couleurs.
Édition originale de la transcription pour piano seul, effectuée par Arthur Turlet. Sans les paroles de Paul Cézano [= Guy de Binos]. Robert Planquette (1848-1903) était un compositeur spécialisé dans l'opérette et l'opéra-comique, mais qui produisit aussi quelques marches militaires. Celle-ci, extrêmement célèbre, fut composée en 1870 et figure toujours au répertoire des armées françaises (elle est même la marche la plus jouée après la Marseillaise et le Chant du départ). Le texte évoque sur un ton martial l'Armée de Sambre-et-Meuse formée à la suite de la victoire française de Fleurus en 1794 sur les Autrichiens dans ce qui est aujourd'hui la Belgique. Dans ce dernier pays, la marche est souvent utilisée pour les défilés des écoles militaires belges à Bruxelles et Sint-Truiden.
Paris, C. Joubert, s.d. in-8, [4] pp. n. ch., avec une illustration en noir sur la première page, musique notée, en feuille.
Créée en 1875 d'après le dépôt légal de la BnF, la pièce célèbre l'héroïsme et les morts comptabilisés après la guerre ("Tout est fini. - La guerre a tu sa grande voix. / On n'entend pus siffler le plomb ni les mitrailles ; / Les canons fatigués reposent leurs entrailles. / C'est le soir et la lune argente les grands bois. / Autour du feu, les soldats se racontent / Tous les dangers courus. / En silence ils se comptent, / Et cherchent des amis qui ne reviendront plus").Le parolier Gaston Villemer (1842-1892) a composé les paroles de nombreuses chansons revanchardes dans les années qui ont suivi la guerre franco-allemande de 1870-1871, toutes créées par Thérèse Amiati (1851-1889), divette spécialisée depuis la Commune dans le patriotico-larmoyant. À ce titre, elle fut longtemps considérée comme une des représentantes principales du genre "chanson patriotique", un emploi alors bien défini du café-concert, voire, un cran au-dessus, "la prêtresse consacrée" d'un chauvinisme très affirmé, largement partagé après 1870 par toutes les couches de la société.Le compositeur Charles Malo (1835-1914) donna aussi beaucoup dans le même genre.