Sort by
Previous 1 ... 53 54 55 56 ... 61 66 71 76 ... 80 Next Exact page number ? OK

‎Malliarakis Jean-gilles‎

Reference : 111451

(1982)

‎Yalta et la naissance des blocs‎

‎Albatros 1982 in8. 1982. Broché. 252 pages. Bon Etat intérieur propre‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR12.00 (€12.00 )

‎MALOIRE Albert ‎

Reference : QWA-6375

‎Le Forez dans la guerre 1939/1945. La vie quotidienne sous l'occupation ‎

‎Horvath, 1986, in-8 br., 183 p., illustrations photos, carte, envoi de l'auteur, très bon état. ‎


‎Témoignage d'un résistant. Voir le sommaire sur photos jointes. ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR15.00 (€15.00 )

‎Mann Klaus Ruffet Jean‎

Reference : 69040

(2006)

ISBN : 2246457327

‎Le volcan : Un roman de l'émigration allemande 1933-1939‎

‎Grasset & Fasquelle 2006 19x12x3cm. 2006. Broché. 554 pages. Bon Etat‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR12.70 (€12.70 )

‎ MAN Paul de / HAMACHER Werner / HERTZ Neil / KEENAN Thomas.‎

Reference : 1408

‎WARTIME JOURNALISM, 1939-1943. ‎

‎Edited by Werner Hamacher, Neil Hertz et Thomas KeenanUniversity of Nebraska Press, 1988‎


‎Un volume In-4°, broché, 400 pages, reprenant en fac-similé les articles de Paul de Man. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 47 01 20

EUR30.00 (€30.00 )

‎Manson Jean‎

Reference : 100061704

(1980)

‎De la résistance à la déportation : le système concentrationnaire nazi‎

‎ 1980 in8. 1980. Broché. 174 pages. Bon Etat intérieur propre la coiffe du haut est frottée‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR9.70 (€9.70 )

‎[MANUSCRIT].‎

Reference : 225694

‎[Correspondance passive d'André Grosdidier].‎

‎Versailles et Rebourseaux [Yonne], 2 septembre 1939 - 9 août 1940 78 pièces in-8 ou in-12, en feuilles. ‎


‎Important et émouvant dossier qui réunit les lettres envoyées pendant la "drôle de guerre" à André-Henri Grosdidier, dans le civil boucher chez un dénommé Mussard à Viroflay, mais à l'armée caporal-chef, puis sergent dans la 3e Compagnie du 8e Régiment de Zouaves. Cette unité devait, avec la 12e division d'infanterie motorisée, être détruite lors de la bataille de Dunkerque. Né à Boynes le 28 juillet 1918, André mourut d'ailleurs au combat lors du repli de son régiment sur Dunkerque le 27 mai 1940 à Péronne-en-Mélantois (Nord). Il est inhumé au cimetière de Péronne (à gauche, allée centrale).Abondantes, pleines de détails, centrées presque exclusivement sur les difficultés de la vie quotidienne, ces lettres émanent pour la plupart des deux parents d'André, qui écrivaient séparément (mais le père bien davantage que la mère), et elles scandent de façon très souvent poignante les étapes de l'entrée du pays en guerre depuis la déclaration jusqu'au début de la Campagne de France. Recevant peu de lettres de leur fils aîné parti dès le 21 août 1939, M. et Mme Henri Grosdidier, qui partagent leur temps entre Versailles où se situe leur résidence principale (5, rue Joffre), et une maison de campagne à Rebourseaux (dans l'Yonne) où vit apparemment la mère de Madame, expriment le plus souvent leur extrême angoisse et une sollicitude matérielle, touchantes dans les menus détails qu'elles revêtent. Le père (né le 7 janvier 1894), un ancien de 1914-18, blessé et désabusé de la guerre, exerce apparemment comme représentant pour une maison de laines et de bonneterie en gros appelée G. Regnault, la mère travaille également, apparemment dans un commerce. Il y a deux autres enfants, Monique (qui demeure avec sa grand-mère à Rebourseaux), et Gilbert (14 ans alors).Signalons donc quelques autres correspondants : la grand-mère maternelle d'André, L. Rivière (lettres du 10 septembre, du 26 octobre 1939) ; son frère Gilbert (lettres du 8 novembre, du 16 décembre, sur son apprentissage de l'anglais à l'école).1. Septembre 1939 : 14 lettres ou billets du 2 septembre au 30 septembre. La première (2 septembre) est encore empreinte de fortes illusions : "Mais malgré tout, et dans mon âme et conscience j'ai idée que nous aurons pas la guerre et qu'un bon génie nous sauvera tous de cet affreux cauchemar". Cet espoir se dissipe très vite : "Cette fois la ficelle a cassé et nous ne voulions pas croire que cela pouvait arriver ; il nous faut nous rendre à l'évidence .."2. Octobre 1939 : 11 lettres du 4 octobre au 31 octobre (dont une très longue du 28, émanant du père). Elles abondent cette fois en nouvelles de la famille et des relations professionnelles du père, dont les tournées se diversifient (en sus de la Seine-et-Oise, il roule en Eure-et-Loir et dans le Loiret). Toutes les femmes de la famille sont mobilisées pour tricoter des effets chauds à destination du soldat André. La vie s'organise pour tous en fonction de la guerre et des contraintes qu'elle implique. L'annonce officielle par Daladier des permissions de décembre mobilise toutes les espérances.3. Novembre 1939 : 13 lettres du 4 novembre au 30 novembre. Le ton des missives se fait moins grave, voire parfois guilleret. Par exemple, le récit du père sur les occupations familiales du dimanche 5 novembre vaut le détour comme instantané de la vie d'une famille populaire française ... (nous recommandons le menu du repas de midi). Les nouvelles se refont intimes : travaux d'abduction d'eau dans la résidence de Reverseaux inondée par de fortes pluies, achats de tissus et de poulettes. Un quiproquo sur le bénéficiaire d'une citation à l'ordre de l'armée tint également en haleine la famille (une photo floue dans un journal laissait penser qu'il s'agissait d'André ..., mais "j'aime mieux que tu ramènes tous tes os que la Croix de guerre", opine le père).4. Décembre 1939 : 12 lettres du 2 décembre au 26 décembre. Avant les fêtes, c'est le recul permanent de la "perm" d'André qui alimente toutes les correspondances : annoncée au départ pour Noël, elle a été repoussée au 25 janvier, puis à fin février. Le père s'épanche un peu sur "sa" guerre : "Jamais un seul instant je n'ai douté en 14 qu'il pourrait m'arriver quelque chose. À tout moment, j'ai toujours eu confiance dans la destinée, et je crois fermement qu'il en est de même chez toi." La sollicitude des colis est plus forte que jamais, et ils sont envoyés non seulement par les parents, mais par les employeurs, les amis, etc. La très longue lettre de Henri la veille de Noël (7 demi-feuillets écrits recto-verso) condense toute l'émotion née du fils absent, spécialement au moment des fêtes de fin d'année. 5. Janvier 1940 : 7 lettres du 1er janvier au 29 janvier. Le jour de l'an est marqué par la rencontre entre le père et un capitaine du 8ème Zouaves en permission, qui donne quelques nouvelles (générales et vagues). La situation matérielle devient plus compliquée : d'un côté, les prix de l'alimentation montent, et les bouchers sont contraints de fermer du dimanche midi au mercredi ; de l'autre, le père a moins de travail car moins de marchandises à transporter. Sur le tout, le mois de janvier est glacial et tout le monde est plus ou moins malade.6. Février-mars 1940 : 13 lettres du 2 février au 26 mars. Le mois de février fut celui de la permission tant attendue d'André, qui eut lieu bien tardivement (entre le 11 et le 24 février d'après la lacune de la correspondance), et bien sûr elle parut bien courte à la famille ("Nous étions déjà habitués mettre la clef sous le paillasson, ou à t'attendre pour le dîner, ou le déjeuner. Ta mère commençait à s'organiser pour faire de la tisane, poser des ventouses ou faire des cataplasmes, et vlan, quand le permissionnaire commence à s'installer, c'est là qu'il commence à ramasser son masque, sa musette, les bandes Mollet, et tout et tout, et se prépare au départ"). Le mois de mars s'égrène lentement entre nouvelles du petit moral d'André et visites de camarades en permission à ses parents.Une lettre du 17 mars nous apprend que, en dépit de plusieurs démarches administratives, le père est également mobilisable pour la défense passive à partir de la première quinzaine d'avril, contraignant la mère à chercher un travail pour assurer le quotidien des autres enfants.7. Avril-mai 1940 : 5 lettres du 12 avril au 23 mai 1940. Il y eut une seconde permission d'André (cf. infra), mais la correspondance n'en fait pas état. En revanche, les deux dernières lettres ont été envoyées alors même que la Bataille de France faisait rage (16 et 23 mai) ; la dernière, assez pathétique et rédigée en pleine débâcle, n'est sans doute jamais parvenue à son destinataire : "Notre pays est depuis quelques jours en bonnes mains, guidés par des hommes énergiques de hautes valeurs. Tout notre espoir va vers eux et nous [sommes] convaincus que nous aurons le mot final (...). Ici notre petite vie est toujours pareille ; on s'efforce de continuer notre petit rouleau malgré tous les tourments."Comme nous l'avons dit, André était en réalité mort le 27 mai lors de la catastrophique retraite sur Dunkerque. Mais son sort ne fut connu de ses proches que bien plus tard, comme l'attestent les documents suivants, annexés au dossier, et qui retracent les étapes de l'enquête menée auprès des différentes autorités par Henri Grosdidier pour retrouver son fils, d'abord considéré comme prisonnier :I. Une lettre de Henri du 9 août 1940, retournée avec le papillon dactylographié "Veuillez attendre d'autres informations. Les prisonniers ne donnent leur adresse qu'au bout d'un certain temps, et eux-mêmes". Elle exprimait encore un espoir : "J'ai déjà fait maintes démarches. Jusqu'alors maintenant aucune n'a abouti. Nous avons la ferme conviction que tu es prisonnier, mais où ?"II. Un billet daté de Hazebrouck du 26 août 1940 : "C'est avec regret que je me vois contrainte à vous dire qu'il m'est impossible de vous donner les renseignements demandés (..). Votre fils n'est probablement pas passé dans notre ville".III. Enfin, une lettre au crayon de bois émanant de Raymond Baly, prisonnier de guerre au Stalag VI A (sis à Hemer dans le Kreis d'Iserlohn). En date du 13 avril 1941, elle communique aux parents d'André les circonstances de sa mort : "Et c'est avec grande peine je me joins à votre douleur depuis que j'ai quitté votre fils le sergent Grosdidier (...). Votre fils a été blessé au côté, je ne me souviens pas lequel et est décédé sans souffrances dans mes bras le 27 mai à 4 heures du matin. J'ai fait les derniers services au cimetière de Péronne (Nord). Cher Monsieur, j'ai connu votre fils André à Mourmelon le Grand qui est venu comme caporal-chef à la 3e Compagnie 8e zouaves. Nous avons fait les manoeuvres de Sissonne ensemble. Et c'est en revenant de permission d'avril qu'il fut nommé sergent à mon groupe et nous sommes partis en Belgique". LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎[MANUSCRIT] ‎

Reference : 222879

‎Journal de trois évacués Raymonde, 22 ans. - Simone, 19 ans. - Henri, 15 ans‎

‎S.l.n.d. (septembre 1939) cahier in-8, [9] ff. n. ch., réglés et couverts d'une écriture moyenne et lisible (environ 20 lignes par page), avec un dessin volant au crayon de bois, légendé ("Notre home [sic]", décrivant le logement des trois jeunes gens), broché sous couverture muette bleue. Deux premiers ff. détachés. ‎


‎A l'arrière dans la "Drôle" de Guerre".Curieuse petite relation écrite sur cahier d'écolier, sans doute par Simone (elle écrit "Raymonde et moi", parle de Henri comme de "Riri") : elle court du 2 au 11 septembre 1939 (le mardi 12 est annoncé, mais ne comporte pas de texte), et narre tout au long les péripéties de l'évacuation d'une probable fratrie au sein d'un groupe d'une cinquantaine de personnes (dont 40 Polonais) relégués dans le village de Saint-Vitte (il s'agit de la commune du Cher, et non de la Haute-Vienne, le bourg le plus proche étant Saint-Amand, la ville Bourges). Les événements ressortissent d'un quotidien minuscule rythmé par les repas, les heures de coucher, le lavage matinal avec de l'eau ramenée de la pompe ou d'un puits, les altercations avec une mégère locale qui refuse de s'occuper des "étrangers", etc. Un passage dans un château difficile à localiser (château de "Fougerolles"), où les jeunes gens reçoivent l'hospitalité d'une généreuse comtesse chargée de sept filles agrémente un peu un séjour difficile, et qui s'interrompt brusquement avec le 11 septembre.Il semble qu'il manque quelques feuillets entre le jeudi 5 septembre et le 8 : la narration est incohérente entre les ff. 5 et 6. Le contexte est celui de l'évacuation des populations civiles de la "zone rouge" de la ligne Maginot. Ce plan avait été mis en place pour préserver les civils en cas de guerre et d'occupation, et surtout pour laisser le champ libre aux mouvements des troupes. Son application en septembre 1939 concerna principalement 530 000 Alsaciens, 280 000 Lorrains et 130 000 Francs-Comtois pour l'est de la France, mais aussi 865 000 Nordistes et 140 000 Ardennais pour le nord. Cependant il concerna aussi, dans le sud-est, la Haute-Savoie, la Savoie et les Alpes-Maritimes. En l'absence d'indication de lieu de départ, il est impossible de déterminer exactement de quelle région provenaient nos trois jeunes, mais la présence de nombreux Polonais dans le train d'évacuation laisse à penser qu'il s'agit plutôt du Nord. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR150.00 (€150.00 )

‎[MANUSCRIT] [BRINGARD (Raymond)]‎

Reference : 211989

‎[Journal intime]‎

‎S.l., 1936-1944 15 cahiers in-8, couverts d'une écriture moyenne et lisible, sur papier réglé, abondantes biffures et ratures dans les premiers cahiers, brochés. ‎


‎Long journal tenu par un adolescent, puis un jeune homme dont la famille vit à Argentan (Orne). Ce Raymond Bringard sur lequel on n'est guère renseigné par ailleurs passe son baccalauréat en juin 1939, et en 1940 ; il serait donc né en 1923 ou 1922. Après l'épisode de l'Exode, il se trouve pendant les années de guerre suivre les cours de l'Ecole des mines de Nancy. Il fait un voyage à pieds à Argentan une fois le territoire libéré (septembre 1944) pour trouver sa ville natale entièrement dévastée, puis retourne à Nancy.Les nouvelles internationales et leur répercussion sur la politique intérieure, déjà très présentes avant la guerre (notamment la guerre civile espagnole) finissent par envahir la presque-totalité du champ à partir de septembre 1939, les événements et notations familiaux passant clairement au second plan.Raymond Bringard fit d'ailleurs lui-même une présentation synthétique de son travail dans la lettre du 23 août 1944 annexée à notre ensemble (cf. infra), et ces quelques phrases méritent d'être reproduites pour l'intelligence de toutes ces pages :"J'ai tenu de 1935 à 40 mon journal intime. Chaque jour, j'y jetais toutes mes pensées, j'y annotais mes joies et mes souffrances. Je crois y avoir tout mis. Ce doit être un miroir fidèle du moi que j'étais à cette époque-là. Puis mon esprit a évolué. Des événements sont survenus qui m'ont enlevé à mes rêveries, qui ont occupé tout mon temps. J'ai pensé aussi que tenir un journal de sa vie, c'était un peu freiner cette vie, lui enlever de son dynamisme. Et j'ai abandonné mes cahiers. Ils ne furent plus alors qu'une chronique de la guerre de septembre 39 jusqu'à maintenant. Et aujourd'hui je regrette de n'avoir pas consigné intégralement mes pensées de jeune homme".D'après le paragraphe précédent, manqueraient donc l'année 1935 et la première moitié de 1936 :I. Du jeudi 19 juin au jeudi 31 décembre 1936 : 16 pp., puis pp. 12-90 pp., avec quelques coupures de presse et pièces imprimées insérées (Classement de la première étape du Tour de France et version latine du baccalauréat de l'Université de Rennes, p. 14 ; programme de la fête du 10 juillet 1936 à Argentan, p. 16 ; discours du sous-préfet d'Argentan, p. 17 ; nouvelles de la guerre civile en Espagne, p. 60, etc.).II. Du 1er janvier au mardi 23 mars 1937 : 80 pp. (= pp. 91-170).III. Du 25 mars 1937 au jeudi 30 décembre 1937 : pp. 171-263 (le f. 253-54 a été retiré), avec quelques pièces imprimées (programme d'un concert, p. 213 ; Carte des manoeuvres de l'ouest, 14-17 septembre 1937, p. 227). A la fin du cahier, trois pages sont consacrées à la famille de l'auteur : "Et pour clore l'année 1937, je m'en vais faire une rétrospective sur toute la famille" (en fait, surtout celle de sa mère, née Lacroix).IV. Du 1er janvier au 28 décembre 1938 : pp. 265-374. Avec un menu pour un repas de mariage du 26 février, 5 cartes postales, et deux itinéraires d'excursions à vélo contrecollés (du 16 au 21 juillet vers Avranches ; et du 3 au 14 août, vers Le Havre et Honfleur). Cette fois-ci, l'année se termine par un exposé "de mon esprit et de mon avis sur la religion" (guère favorable, évidemment).V. Du 3 janvier au 5 août 1939 : pp. 375-434. Avec 4 ff. d'épreuves du baccalauréat de juin 1939, et un itinéraire d'un nouveau voyage en vélon, contrecollé en regard de la dernière page (20-31 juillet, vers Saint-Brieuc, Paimpol, Rennes).VI. Du samedi 12 août au dimanche 24 décembre 1939 : pp. 435-490. Avec de très nombreuses coupures de presse, contrecollées ou volantes.VII. Du lundi 25 décembre 1939 au lundi 10 juin 1940 : pp. 491-527, [12] ff. demeurés vierges.VIII. Du dimanche 23 juin au 9 octobre 1940 : pp. 529-607, [13] pp. n. ch. Rédigé à Fontenay-le-Comte (sans doute gagné à la suite de l'Exode).IX. De Pâques 1941 à novembre 1942 : pp. 621-655. Nombreuses coupures de presse.X. Du mardi 10 novembre 1943 au lundi 6 mars 1944 : pp. 656-672, puis la pagination cède la place à une foliotation : 673-710. Les dernières pages sont consacrées à un tableau de la Russie soviétique.XI. Du 12 mars 1944 (écrit 1943 par erreur) au samedi 2 septembre 1944 : [] ff. n. ch. Entre les deux premiers feuillets, fiche de lecture d'un texte de Georges Lamirand, datant de 1932 (Rôle social de l'ingénieur).XII. Du mercredi 20 septembre 1944 au lundi 11 juin 1945 : [36] ff. n. ch., quelques coupures de presse.XIII.-XIV. Deux cahiers de correspondance active avec une jeune personne, que les hypocoristiques initiaux ("Ma petite fiancée chérie", "Ma petite enfant chérie", "Petite fille chérie à moi", etc.) identifient avec une certaine clarté comme la petite amie du sieur Bringard : le premier volume court du 23 août au 8 septembre 1944 ([29] ff. n. ch.) ; le second du jeudi 23 novembre 1944 au vendredi 9 février 1945 ([20] ff. n.ch.).XV. Un cahier de correspondance active, qui répond aux deux précédents. En effet, si les hypocoristiques demeurent de règle, ils changent de sexe ("Petit garçon chéri", "Petit minet"), et le volume contient les lettres de la fiancée à son Raymond du 18 novembre 1944 au 13 janvier 1945 ([11] ff. n. ch., avec un dessin naïf sur la couverture représentant en bas une jeune fille en contemplation d'un feu de bois, le tout surmonté de l'insigne de l'Ecole des mines de Nancy).On joint : 1. Deux lettres fiévreusement enamourées d'une certaine Jeanne, follement éprise de notre Raymond, et en proie aux affres des amours adolescentes (sans date, mais relatives sans hésitation aux tout premiers cahiers).2. Deux très longues lettres d'Yvette Bringard à son frère (du 28 janvier et du 24 avril 1945), pour des nouvelles essentiellement familiales. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR500.00 (€500.00 )

‎[MANUSCRIT]. GROSDIDIER (André).‎

Reference : 225695

‎[Correspondance active].‎

‎12 janvier 1938 - 13 mai 1940 54 pièces in-4 ou in-8, en feuilles. ‎


‎Important et émouvant dossier qui réunit les lettres, généralement longues, envoyées avant et pendant la "drôle de guerre" par André-Henri Grosdidier, dans le civil boucher chez un dénommé Mussard à Viroflay, mais à l'armée caporal-chef, puis sergent dans la 3e Compagnie du 8e Régiment de Zouaves. Cette unité devait, avec la 12e division d'infanterie motorisée, être détruite lors de la bataille de Dunkerque. Né à Boynes le 28 juillet 1918, André mourut d'ailleurs au combat lors du repli de son régiment sur Dunkerque le 27 mai 1940 à Péronne-en-Mélantois (Nord). Il est inhumé au cimetière de Péronne (à gauche, allée centrale).Les destinataires sont ses deux parents, qui vivent à Versailles, à l'exception d'une missive adressée à sa cousine Marie (cf. n° 33). La séquence temporelle couverte par cette correspondance correspond aux débuts de son service militaire (peloton effectué à Mourmelon, déjà à l'époque grand camp d'exercices), bientôt transformé en service d'active par suite des mobilisations (partielle le 23 septembre 1938, générale le 1er septembre 1939), puis de la déclaration de guerre. L'essentiel tourne, on ne s'en étonnera pas, autour des soucis du quotidien, et les colis envoyés par la famille tiennent une place d'autant plus importante qu'ils sont bien garnis et très copieux. C'est dans ce genre de petits détails que l'on peut reconstituer au plus près l'étonnante période d'inactivité et d'incroyable ennui, d'indiscipline et de combines aussi, qui a précédé l'offensive de mai 1940.[Avant la guerre :] 1. De Mourmelon [Marne], le 12 janvier 1938 : André, intégré au "peloton" (équivalent des "classes" ultérieures) pour devenir caporal, change de chambrée. - 2. De Mourmelon, le 15 mars 1939 : sur la proximité d'un examen, sur les exercices de tir. - 3. De Mourmelon, le 8 avril 1939 : André s'habitue à sa nouvelle compagnie. Reçu dix-huitième du régiment à l'examen, il effectue sa première garde. - 4. De Mourmelon, le 12 avril 1939 : André touche un nouveau paquetage, et se prépare à un déplacement imminent. - 5. De Mourmelon, le 6 mai 1939 : sur le retour du capitaine de la compagnie ("Notre capitaine est revenu, il aurait mieux fait de rester où il était. Pourtant, il ne faut pas que je me plaigne, car depuis qu'il est revenu, je l'ai pas apperçu une fois"). - 6. De Mourmelon, le 16 mai 1939 : sur les manoeuvres à venir. - 7. De Mourmelon, le 22 mai 1939 : sur un gros rhume et sa prochaine permission. - 8. De Mourmelon, le 7 juillet 1939 : sur le défilé du 14 juillet auquel le régiment participera (mais pas la compagnie d'André). - 9. De Mourmelon, le 11 juillet 1939 : sur une escapade à Reims du dimanche précédent, pour aller voir une course automobile, et sur les prochaines manoeuvres à Sissonne. - 10. De Mourmelon, le 15 juillet 1939 : ennui majeur au camp à cause de l'absence de la plupart des compagnies du régiment (qui se trouve à Paris pour le 14 juillet). - 11. De Sissonne [Aisne], le 25 juillet 1939 : sur le trajet à pieds de Mourmelon au camp de Sissonne ("Nous sommes partis de Mourmelon mardi matin à pieds. Nous avons fait 85 ks en 3 étapes, nous avons cantonné deux nuits. La marche n'était pas des plus faciles ; j'en ai bavé comme un Russe"). - 12. [De Mourmelon], le 23 août 1939 : lettre de retour de permission.[Une fois la guerre déclarée :] 13. Du 14 septembre 1939 [vers Siercq-les-Bains, Moselle] : les opérations de guerre ont commencé ("Depuis quatre jours, nous sommes en première ligne, nous sommes comme les lapins dans des trous. Le secteur est assez calme. Ce matin, nous avons progressé de 1 km sans aucun coup de fusil. Les Boches ont déménagé hier soir sous l'avance du 3e bataillon. Jusqu'ici il n'y a pas eu de casse chez nous"). - 14. Du 15 octobre 1939 : billet sur l'ordinaire en campagne. - 15. De Soupir [Aisne], le 19 octobre 1939 : sur l'amélioration du service du courrier, et l'interdiction faite désormais aux familles de venir visiter les zouaves dans la zone des armées. - 16. De Soupir, le 21 octobre 1939 : l'ennui s'installe ("Avec leur coup de ne pas donner de perm, il commence à y avoir pas mal de cafareux et pas mal de types qui se cuitent"). - 17. De Soupir, le 27 octobre 1939 : réception d'un généreux colis. - 18. De Braye-en-Laonnois [Aisne], le 1er novembre 1939 : sur le déménagement depuis Soupir (Braye se situe à seulement six kilomètres). André a quartier libre en ce jour de la Toussaint, et il fait connaissance avec d'autres camarades. - 19. De Braye-en-Laonnois, le 6 novembre 1939 : "On se croirait presque en temps de paix". - 20. De Braye, le 19 novembre 1939 : porte essentiellement sur les travaux de la maison de campagne de ses parents (à Reverseaux, dans l'Yonne). "Par moments, je voudrais avoir dix ans de plus pour savoir si un jour j'arriverai à quelque chose. Tu me dis qu'il y aura une pièce pour ma femme et mes gosses, je suis bien content en ce moment de ne pas être marié comme certains, et même de n'avoir aucune attache". - 21. D'Obréchies [Nord], le 20 novembre 1939 : le nouveau séjour d'André,à dix kms de la frontière belge, ne le réjouit guère, comme on peut le lire : "Nous sommes maintenant dans la région du Nord, et dans un vrai trou. Nous sommes dans un pays de deux cents habitants (...) et je crois même que les habitants sont ravitaillés par les corbeaux en hiver". - 22. D'Obréchies, le 26 novembre 1939 : installation dans une grange glaciale, colis (dont un très généreux de Mme Mussard, patronne d'André) et projets de permission. - 23. D'Obréchies, le 28 novembre 1939 : envisage l'invasion de la Belgique (mais "nous n'en sommes pas encore là"). - 24. D'Obréchies, le 1er décembre 1939 : "Nous faisons des travaux à 4 kms de la frontière belge, tout baigne dans l'eau, c'est très intéressant, nous suivons les traces du Zouave de l'Alma. De la façon dont nous sommes placés, si la Belgique se trouvait envahie, nous nous trouverions en première ligne pour changer ..." - 25. D'Obréchies, le 4 décembre 1939 : sur un dimanche passé au cinéma de Ferrières-la-Grande. - 26. D'Obréchies, le 8 décembre 1939 : sur une prime de 105 francs versée pour le séjour sur la ligne. - 27. Du 12 décembre 1939 : sur l'installation d'une cantine de compagnie, dont André assure la tenue. - 28. Du 17 décembre 1939 : sur la poursuite de ses activités de cantinier ("Je ne suis pas guerrier pour deux sous"). - 29. De Sars-Poteries [Nord], le 23 décembre 1939 : sur le nouveau déménagement et le cantonnement dans une ancienne verrerie en démolition, endroit lugubre et en partie effondré. - 30. De Sars-Poteries, le 27 décembre 1939 : voeux de bonne année et repas de Noël ("Le 24 soir et 25 qu'est-ce qu'il y a eu comme viande saoûle .."). - 31. De Sars-Poteries, le 1er janvier 1940 : sur un prochain changement de cantonnement. - 32. De Sars-Poterie, le 3 janvier 1940 : réception de colis ; tristesse du jour de l'an. - 33. De Sars-Poterie, le 4 janvier 1940 [à sa cousine Marie] : voeux et nouvelles du cantonnement (lettre transmise par la destinataire à la mère d'André, désormais "Madame veuve Grosdidier" en juillet 1962). - 34. De Sars-Poteries, le 8 janvier 1940 : André repasse chef de groupe et s'ennuie de plus en plus ("Malgré que le pays soit mieux que les autres, il me dégoûte de plus en plus. L'on ne peut pas sortir sans se retrouver dans un bistro, c'est tout ce qu'il y a dans le pays comme distraction. Il y a cinq ou six épiceries, l'on n'y trouve que ce que nous n'avons pas besoin, ils manquent de tout"). Multiplication des punitions et consignes. - 35. De Sars-Poteries, le 9 janvier 1939 : sur la prochaine remontée en ligne. - 36. De Sars-Poteries, le 11 janvier 1940 : sur une prise d'armes au QG anglais d'Arras où le 8e Zouaves est intervenu. - 37. [De Sars-Poteries], le 15 janvier 1940 : "Je ne sais pas trop quoi vous raconter aujourd'hui tellement c'est toujours pareil". - 38. De Levergies [Aisne], le 22 janvier 1940 : nouveaux déplacements et cantonnements, le groupe s'occupe à faire des crêpes. - 39. [De Levergies], le 24 janvier 1940 : froid, neige et colis ("C'est tout de même révoltant de voir des embusqués se plaindre. Je serais Daladier, je les mettrais à la gamelle et quinze sous par jour comme les copains, et j'estime qu'ils n'auraient même pas le droit de se plaindre, car ils auraient encore l'avantage de coucher et d'être chez eux pendant leurs heures de loisir"). - 40. Du 25 janvier 1940 : réception de colis. - 41. Du 29 janvier 1940 : réception de nouveaux uniformes. - 42. Du 1er février 1940 : "Je ne vois rien d'extraordinaire à vous dire, notre vie est toujours calme et uniforme". - 43. Du 4 février 1940 : détail du repas du dimanche (sardines, asperges, civet de lapin, purée et deux tartes). - 44. Du 29 février 1940 : reprise de la correspondance après une permission de dix jours. - 45. Du 15 mars 1940 : chute de neige et rhume. - 46. Du 18 mars 1940 : André réagit avec étonnement à la nouvelle que son père, ancien de 1914 (et né en 1894) pourrait de nouveau être mobilisable. - 47. Du 21 mars 1940 : sur une manoeuvre de nuit. - 48. Du 26 mars 1940 : colis et marches. - 49. Du 4 avril 1940 : sur une permission très proche. - 50. Du 20 avril 1940 : sur un supplément de solde de 2.50 francs par jour. - 51. Du 1er mai 1940 : sur sa nomination comme sergent, et son premier repas au mess.[Une fois commencée l'offensive des Ardennes :] 52. Du 10 mai 1940 : sur la suppression de toutes les permissions (la percée allemande est de ce jour). - 53. Du 11 mai 1940 : "Nous sommes tranquilles en ce moment. Le temps passe assez vite, nous jouons à la belote, au jaquet, un peu à tout quoi". - 54. Du 13 mai 1940 : "Nous sommes toujours dans le même pays pour le moment. Je ne sais pas si nous y moisirons encore longtemps. Nous sommes pénards : plus d'exercices, rien, c'est du vrai repos, boire, manger, dormir, nous allons engraisser".Cette missive au contenu incroyablement insouciant semble bien être la dernière de l'infortuné sergent auquel ne restaient que 15 jours de vie. Une phrase surlignée d'encre violette a beau préciser : "Sommes en état d'alerte depuis jeudi". Ses parents ne devaient plus avoir de nouvelles. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎Marais Pierre‎

Reference : 100079958

(1994)

‎Les camions à gaz en question‎

‎Polémiques 1994 16x24. 1994. Broché. 225 pages. Très bon état (TB)‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR45.00 (€45.00 )

‎MARATRAY J.-P. ‎

Reference : QWA-17830

‎La semaine tragique de Manlay (Côte-d'Or), 27 juillet - 3 août 1944 - D'après les notes du Lieutenant-Colonel Beaujard, maire de Manlay ‎

‎Mâcon, Impr. Perroux et Fils, 1946, broch. in-12 (11,5 x 17), 48 p., avant-propos du Lieut.-Colonel Camille Beaujard, 4 planches photo., bon état. ‎


‎ Lors de la Seconde Guerre mondiale, les Allemands siègent à proximité des habitations, sur la montagne de Bard. En juillet 1944, la Résistance attaque leur fortin et fait des prisonniers. Les forces allemandes exigent leur libération. Celle-ci est refusée et, le 31 juillet, le village de Manlay est bombardé en guise de représailles et fut en grande partie détruit puis pillé. Ce Journal de bord précise les raisons et les conditions de cette tragédie. ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR25.00 (€25.00 )

‎Marc Blancpain‎

Reference : 14434

(1941)

‎OFLAG VIA‎

‎1941 Aux dépens des POG Reliure cartonnée éditeur, 80p. Bon état, quelques rousseurs.‎


‎Vu par Morel Fatio. ‎

Phone number : 04 76 97 79 28

EUR130.00 (€130.00 )
Shipping price: €4.00

‎MARCHETTI Stephane‎

Reference : 83476

(1982)

ISBN : 2880011493

‎Affiches 1939-1945 / Images d'une certaine France‎

‎Lazarus 1982 in-4. 1982. Cartonnage éditeur - jaquette. 178 pages. Belles illustrations Bon Etat‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR17.00 (€17.00 )

‎MARCHETTI Stéphane ...//... Stéphane Marchetti.‎

Reference : 775

(1982)

‎Images d'une certaine France. Affiches 1939-1945.‎

‎Lausanne, Edita, 1982, 1 volume, in-4, reliure éditeur, 178 p. Première édition. Très nombreuses illustrations en noir et en couleur d'affiches d'information ou de propagande de l'époque. Reliure éditeur, pleine toile bleue sous jaquette illustrée en couleur.‎


‎ Très bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

Yves Oziol - Clermont-Ferrand

Phone number : 04 73 91 84 71

EUR60.00 (€60.00 )

‎MARCHETTI Stéphane ...//... Stéphane Marchetti.‎

Reference : 6399

(1982)

‎Images d'une certaine France. Affiches 1939-1945.‎

‎Lausanne, Edita, 1982, 1 volume, in-4, cartonnage souple éditeur, 178 p. Première édition. Très nombreuses illustrations en noir et en couleur d'affiches d'information ou de propagande de l'époque.‎


‎ Superbe exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

Yves Oziol - Clermont-Ferrand

Phone number : 04 73 91 84 71

EUR40.00 (€40.00 )

‎Marechal De Castelanne‎

Reference : 99009

(1895)

‎Journal du marechal de castelanne /tome 1+ 2‎

‎Plon 1895 in8. 1895. Reliure demi-basane. 477+515 pages. Etat Passable reliure usagée premier cahier détaché heliogravures‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR35.00 (€35.00 )

‎Marechal Paulus‎

Reference : 100084654

(1962)

‎Stalingrad‎

‎Meilleur livre d'histoire 1962 in12. 1962. reliure pleine toile rouge sous rhodoid. 286 pages. Bon Etat intérieur propre‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR7.00 (€7.00 )

‎MARIA Roger ‎

Reference : QWA-12662

‎De l'accord de Munich au Pacte germano-soviétique du 23 août 1939 ‎

‎L'Harmattan, 1995, gr. in-8 br. (15,5 x 24), 314 p., . coll. "Recherches et Documents / La Seconde Guerre mondiale", très bon état. ‎


‎L'ouvrage de Roger Maria doit être considéré comme une contribution critique à l'analyse du Pacte germano-soviétique, qui reste une des questions les plus controversées de l'histoire des origines de la Seconde Guerre mondiale. L'auteur s'est fait un devoir de produire, au-delà de son importante documentation que l'on retrouvera dans sept annexes, les arguments qui vont parfois à l'encontre de sa propre interprétation de cet insolite Pacte de non-agression, aussi bien dans sa préparation et les protocoles secrets qui l'accompagnaient, que dans ses conséquences et ses contradictions. Evénements sur lesquels on peut comprendre qu'une évaluation unanime ne petit être acquise. Le débat reste ouvert. (L'éditeur) Deux réflexions à propos du Pacte germano-soviétique : " Du côté des Soviets, il faut dire que c'était une nécessité vitale de maintenir les armées allemandes sur des bases de départ aussi éloignées à l'Ouest que possible (...) Aujourd'hui leurs frontières passaient beaucoup plus loin à l'Est que lors de la précédente guerre. Il leur fallait occuper les Etats baltes et une grande partie de la Pologne par la force ou par la ruse avant d'être eux-mêmes attaqués. La politique qu'ils pratiquaient dénotait un grand sang-froid et elle était même, en l'occurrence, réaliste ait plus haut point. " (Winston Churchill) (Mémoires) " Les diplomates britanniques et français ont traité le gouvernement soviétique avec une telle désinvolture que nous aurions, nous travaillistes, agi comme Staline et signé l'acte du 23 août 1939. " (Du leader travailliste Clement Attlee). Voir le sommaire sur photos jointes. ‎

Librairie de la Garenne - Clichy-la-Garenne

Phone number : 01 42 70 11 98

EUR20.00 (€20.00 )

‎MARIELLE Jean / SAGNES Jean ...//... Jean Marielle / Jean Sagnes.‎

Reference : 10546

(1993)

‎Pour la république, le vote des quatre-vingts à Vichy le 10 juillet 1940.‎

‎Paris, Centre National de Documentation Pédagogique, 1993 1 volume, in-8 (23,7 cm), cartonnage souple éditeur, 78 p. Seconde édition. Edité par le Comié en l'honneur des quatre-vingts parlementaires du 10 juillet 1940. Notes en bas de pages, vote de chaque député, photographies des 80 parlementaires. Dos légèrement jauni.‎


‎Envoi gratuit en lettre recommandée avec assurance (France seulement). Bel exemplaire. ************* Remise 20 % pour toute commande supérieure à 100 €, envoi gratuit en courrier suivi et assurance à partir de 30 € d'achat (France seulement).‎

Yves Oziol - Clermont-Ferrand

Phone number : 04 73 91 84 71

EUR25.00 (€25.00 )

‎Marie-louise Vidal De Fonseca‎

Reference : 78676

(1984)

ISBN : 2221044657

‎Ces betes qui ont enchante ma vie‎

‎Robert Laffont 1984 24x15x2cm. 1984. Broché. 341 pages. Etat Correct‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR4.00 (€4.00 )

‎MARILIER (M.)‎

Reference : 224946

‎Maquis au Val de Saône. Contributions à l'histoire de la résistance en Côte-d'Or (juin-septembre 1944). Témoignages recueillis.‎

‎Dijon, chez l'Auteur et Librairie Damidot, 1947; in-8, 190 pp., ill. in-t., 1 planche, broché. ‎


‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR50.00 (€50.00 )

‎MARQUE (Paul)‎

Reference : 224444

‎La Ligne Maginot aquatique. Celle qui résista en 1940 dans la trouée de la Sarre.‎

‎Sarreguemines, Pierron, 1989; in-8, 272 pp., planches, broché. Qqs soulignures au feutre rouge. Ex-libris Collection Ulrich. ‎


‎ LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR30.00 (€30.00 )

‎Marseille Jacques Bénichi Régis‎

Reference : 64047

(2004)

ISBN : 2262021775

‎Les 100 dates de France en guerre : 1939-1945‎

‎Librairie Académique Perrin 2004 28x20x2cm. 2004. Relié. 221 pages. Très Bon Etat‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR7.50 (€7.50 )

‎MARSHALL (George C.)‎

Reference : 216769

‎Comment la guerre fut gagnée en Europe et dans le Pacifique. Rapport.‎

‎Paris, Service des éditions de l'armée, 1946; in-4, 126 pp., texte sur deux colonnes, ill. in-t., broché. Cachet (annulé). ‎


‎La couverture a pour titre : Les opérations en Europe et dans le Pacifique de juillet 1943 à juin 1945.On joint du même : Bataille de Normandie, extrait du rapport. 6 feuillets dactylographiés. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR80.00 (€80.00 )

‎MARTINET (Jean-Claude)‎

Reference : 149356

‎Histoire de l'Occupation et de la Résistance dans la Nièvre. 1940-1944‎

‎La Charité sur Loire, Delayance, 1978 gr. in-8, 354 pp., index, biblio., ill. et croquis h.-t., broché. ‎


Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR40.00 (€40.00 )
Previous 1 ... 53 54 55 56 ... 61 66 71 76 ... 80 Next Exact page number ? OK
Get it on Google Play Get it on AppStore
War 39/45
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !