L'amitié par le livre, Besançon 1991 (2ème édition). Bel exemplaire broché, couverture ornée d'éd., gd in-8, 334 pages avec dessins, index et table.
Marie-Thérèse Chaduc Philippe Larralde Isabelle de Mecquenem
Reference : 1056
(2000)
ISBN : 2047293774
Bordas Formation des enseignants Enseigner 2000 Broché 328 pages Bon état Couverture coins légèrement frottés 397 g
Editions de l'Atelier 2002 192 pages in8. 2002. Broché. 192 pages.
Très Bon Etat de conservation
2004 Editions Face à Face - 2004 - 1 vol in-4 - broché - 111 pages - Illustrations en couleurs en et hors texte -
Bon état -
"1948. Paris A Mes Dépens s.d. (1948) e.o. ex. non justifié sur bouffant - Broché 12 cm x 16 cm 101 pages fac-similé du manuscrit - Texte de Marie-Thérèse (Cointre) - Léger accroc sur la couv. sinon bon état - Ce texte autobiographique sur la vie d'une prostituée pendant la Seconde Guerre mondiale parut dans la revue Temps modernes (numéro de décembre 1947) dans une version incomplète et expurgée de ses obscénités langagières. Le texte complet parut en volume quelques mois plus tard à l'initiative de René Bertele. Il fut imprimé clandestinement à Saint-Germain-des-Prés probablement chez Murater & Decker. La critique l'attribua aussitôt à Simone de Beauvoir qui s'en défendit elle y consacre quelques pages dans ""Le deuxième sexe""(Dutel)"
Editions Régionales de l'Ouest / Yves Floc'h 1992 21x30x1cm. 1992. Relié.
Très bon état propre frais
1986 Edition N° 1, 1986, 1 volume in-8 de 356 pages, broché.
Bon état. Couverture légèrement défraichie
Mercure de France. 1996. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 123 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Marie-Thérèse Davoux dite Mademoiselle Maillard (1766-1818), cantatrice célèbre de la fin du XVIIIe.
Reference : 012563
Marie-Thérèse Davoux dite Mademoiselle Maillard (1766-1818), cantatrice célèbre de la fin du XVIIIe. L.A.S., 25 octobre 1788, 3p in-4. « Mon Prince, Monsieur [Jean-Amable Foucauld dit] Saint-Prix m'a fait part de l'intérêt que vous avez bien voulu prendre à moi, et combien vous avez été indigné de l'atrocité du procédé de Monsieur [Antoine] Dauvergne. Pour ne pas vous ennuyer de la bassesse des détails de cette affaire, je crois suffisant que vous sachiez que l'académie remettre l'opéra de La Toison d'or à l'époque où je fus obligée de déclarer les motifs qui m'empêchaient de continuer mon service. L'opéra ne pouvant me faire doubler dans ce rôle, je me rendis à ses justes remontrances et ne consultant que mon zèle, je jouai le terrible rôle de Médée, je compromis ma santé, enfin je jouai trois fois ce rôle fatiguant. L'administration satisfaite de ces efforts me fait fit écrire par monsieur [Simon] de La Suze, son commettant, que je pouvais être tranquille, que le prisse le temps nécessaire au rétablissement de ma santé, que mes appointements me seraient payés, et que mes services passés et à venir me mettaient dans le cas de faire trêve à la loi, comptant sur cette promesse n'ayant pas besoin, je négligeai d'envoyer toucher chez le caissier le montant de mes appointements pendant trois mois et c'est alors que je vais reprendre mon service qu'il m'est annoncé par monsieur [Denis Papillon] de La Ferté que deux mois de mes appointements me sont retenus. Je vous avoie, mon Prince, que l'argent m'est absolument indifférent, mais qu'il est dur à un premier sujet d'être traité comme un simple figurant ; notez que mes appointements sont de cinq cent quatre-vingt-trois livres par mois et que quoi qu'on vous dise, la plus forte amende en ma position n'a jamais excédé dix louis. J'ignore le motif de cette singulière vexation mais ce que je me plais à savoir, c'est l'intérêt que vous prenez à moi et dont je suis et serai à jamais reconnaissante. J'ai l'honneur d'être avec respect, Mon Prince, votre très humble servante Maillard ». Nous apprenons beaucoup de détails par la correspondance d'Antoine Dauvergne à Denis Paillon de La Ferté conservée aux Archives Nationales et publiée par Benoît Dratwicki. Saint-Prix, comédien, fut le compagnon de Maillard (lettre du 1er août 1787). Il fut aussi militaire jusqu'en 1792. Toutefois, Dauvergne rapport que Saint-Prix aurait dit à La Suze, devant Maillard : « Ne l'écoutez pas, elle est folle » (23 février 1788) mais dit aussi « qu'il ne sera jamais à même de repousser » Maillard (13 décembre 1788). Ils étaient tous deux royalistes et cela valut notamment à Saint-Prix d'être arrêté avec douze autres acteurs (dont Maillard ?) le 2 septembre 1793. Concernant Maillard, on se rend compte que si Dauvergne est assez bienveillant vis-à-vis d'elle en 1785, parlant déjà de sa maladie qui l'empêchera probablement de chanter Iphigénie tout en doutant du certificat du médecin et en allant la visiter (11 juin 1785). Mais ensuite, le ton commence à changer quand Maillard refuse de reprendre un rôle et prétend avoir mal à la gorge (18 mai 1786), quand elle prétend que la demoiselle Gavaudan est jalouse d'elle (20 août 1786) et qu'elle impose le dessin de son habit de Médée (24 août 1786). Il met encore en doute la maladie de Maillard en novembre 1786 mais aussi à de nombreuses reprises dans les années suivantes. On voit donc déjà tout le contexte assez mauvais. Le 14 octobre 1788, Dauvergne parle de Maillard et de l'acteur Lainez qui réclament des appointements malgré leurs absences et fait part de son opposition car cela créerait un précédent avec les autres acteurs. Si les choses semblent s'apaiser ensuite, il réclame néanmoins une amende pour Maillard le 22 septembre 1789. Quel est ce prince auprès de qui elle demande un appui ? La Revue d'Art dramatique (Volume 15, 1889, p.268) mentionne des « attaches princières » sans précision mais mentionnant le duc de Soubise sans que cela ne corresponde puisqu
Librairie firmin-didot in8. Sans date. Relié.
très bon état de conservation annotation en page de garde (voir photo) intérieur assez propre . circa fin XIXè siècle
"" "GF1604 EDITION DE 1963. RELIE. ATTENTION COUVERTURE TACHEE. IMPORTANTE ROUSSEUR."
P., Nyon l'aîné et La Porte, 1781, in-8, cart. jaspé muet, tr. jaspées, 332 pp., 6 gravures hors-texte. (SS67)
"Un des ouvrages les plus réussis de Moreau le Jeune" (Cohen, 412) qui signale que cet ouvrage doit avoir "un portrait de Marie-Thérèse gravé par Cathelin, d'après Ducreux, deux portraits en médaillons gravés d'après Moreau par Gaucher en tête de la dédicace, et quatre figures par Moreau, gravées par Duclos, de Launay, Prévost et Simonet". Exemplaire modeste d'aspect, mais complet.
Paris, Les Presses Françaises, 1936, in-8, broché, 188 pages. Envoi de l'auteur à Gabriel Perreux. Légères rousseurs marginales. Bon état. Ex. non coupé.
Paris, Ed. Stock, 1936, in-12, Broché, 232 pages. Figures dans le texte.
Ed De La Seine Sans date.
Livre relié couverture cartonnée sous jaquette. En stock. Vendeur PRO Français. N'hésitez pas me contacter pour toutes questions ou photos supplémentaires. Expédition rapide et soignée sous enveloppe cartonnée ou à bulles
Le grand livre du mois 1993 241 pages in8. 1993. Broché. 241 pages.
french édition - quelques marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en bon état. Expédition soignée sous blister dans une enveloppe à bulles depuis la France
Robert Laffont. 1993. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 241 pages.. . . . Classification Dewey : 944.08381-Mitterrand
Classification Dewey : 944.08381-Mitterrand
Paris, Alain Lefeuvre. Collection Voyages - Aventures vécues., 1978, in-8, Broché, 280 pages. Illustré de photographies hors texte. Bon état.
Editions Herault 2001 2001. Broché.
Très bon état - L'ouvrage qui n'a jamais été lu peut présenter de légères traces de stockage mais est du reste en très bon état. envoi rapide et soigné dans un emballage adapté depuis France
Hachette 2003 455 pages 23x18x3cm. 2003. Broché. 455 pages. Chaque maison cache un secret les murs ont des oreilles mais la bouche cousue. Il faut poser longtemps la joue contre leur sein comme un docteur fiévreux pour les entendre respirer. A Dun-le-Palestel dans la Creuse la maison de famille du narrateur en a si gros sur le c?ur et tant à dire qu'on va la confesser pièce après pièce l'écouter se raconter souvenirs dérangés vérités arrangées les choses et les gens tels qu'ils furent les échos et les ombres qu'il en reste. Elle finira bien par lâcher cequ'elle sait. Elle sait l'histoire d'un père qui lui avait choisi de se taire
french edition - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état. Envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis France
P. Sers (1 janvier 1982)
Cartonné, comme neuf