- Photographie 4 x 7, 5 cm. Notice biographique collée au dos.
Photo. Né à Bordeaux en 1841. Photo Reutlinger. Félix Potin, Début XXe. Vers 1900.
LA PENSEE UNIVERSELLE. 1983. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 109 Pages. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
Trente et un dessins de Maurice Mendjizki, poème de Paul Eluard, 1 vol. in-4 br., Paris, 1950, 6 ff. et 31 planches
Bon exemplaire, dédicacé par Maurice Mendjizki "au camarade B..., fraternellement".
Alphonse Lemerre. 1870. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos abîmé, Intérieur frais. Plaquette de 13 pages. Tampon sur le 1er plat (ex-libris).. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Dite par Mlle Croizette, de la Comédie-Française. Classification Dewey : 841-Poésie
Dentu et cie 1887 in12. 1887. Broché. nouvelle édition augmentée de soixante douze poèmes indédits
dos fendu couverture très défraîchie ternie livre jauni présence de rousseurs intérieur globalement propre texte net
Imprimerie Nationale & E. Fasquelle, éditeur. 1903. In-4°, reliure demi-basane marron à coins, tête dorée, couvertures conservées. VIII + 340 pages. E.O.
Reliure très légèrement usagée ; bon exemplaire (ce qui est rare pour cet usuel).
Sandoz et Fischbacher. 1876. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 403 pages - dos fendu, ouvrage désolidarisé - coiffes abîmées - papier jauni - plats jaunis avec des rousseurs - gravure en noir et blanc sous serpente en frontispice.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
Paris, Gauthier, 1807 in-8, 57-[2] pp., avec un frontispice, demi-basane verte modeste, dos lisse muet (reliure de l'époque). Coupes et coins très défraîchis.
En dépit d'une production abondante, surtout dans le domaine de la poésie commémorative, on ne sait que peu de chose de l'auteur, sinon qu'il était originaire de Gentilly.Ouvrage rare. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Savenay, Imprimerie Ch. Haize, 1913, grand in 8° en feuilles , 12 feuillets non chiffrés imprimés au recto, réunis par un ruban rose (cassé), sous couverture rempliée ; des rousseurs.
Exemplaire enrichi d'un envoi autographe signé, au verso du plat supérieur. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Couverture souple. Broché. 216 pages. Tache en marge de quelques pages.
Livre. Librairie scientifique et littéraire, 1903.
MENGOZZI Alessandro (& ISRAEL OF ALQOSH & JOSEPH OF TELKEPE)
Reference : X112117
(2000)
Leiden, 2000 Complete in 2 volumes : x,278 + 327pp. + 3pp. theses, 24cm., Doctoral Dissertation (Universiteit Leiden, the Netherlands), stamp at verso of title page, text is clean and bright, [Introduction and notes in English, Text edition in Syriac], weight: 1.1kg., X112117
A Jene (Jena) , Chés Jean Jacques Bauhofer, L’an 1673, pt. in-8vo, 8 ff. + 157 p., marge supérieur coupée courte (coupe une fraction de numéros de qqs pages, ainsi que du bandeau en-tête des pages préliminaires), cartonnage récent, tranches jaspées rouge.
Outre les choses mentionnées dans le titre, ou peut dire que cet ouvrage est très amusant. Brunet III/1963 et Graesse IV/636 donnent une édition de ce livre publiée également sous la date de 1673, et dont le titre et l'adresse différent dans quelques détails de la nôtre, par exemple: "Par J.-M. A" et "A Ienes, chez Jean Jacq. Bauchofêr". Graesse: "Banchofer". Barbier -; Weller -.
Phone number : 41 (0)26 3223808
1921 1 Gravure sur bois en couleurs, Paris, Les Cent Bibliophiles, 1921, in-8, 25.1 x 16.2 cm..
Couverture du menu du 15 Juin 1921 pour les Cent Bibliophiles. Une femme nue lit dans une prairie tout en dégustant un pique-nique. Manque le menu.
Chez l'artiste, 1971 - Un volume sous chemise toilée illustrée en relief et en couleurs et sous jaquette muette, sous emboitage, de (22) pages en feuilles (19,2x27cm) in-quarto brochés, comprenant 6 empreintes gravées à froid dont trois coloriées. Texte manuscrit, en allemand, par l'artiste de ce livre adapté d'un poème de Francis Ponge - tirage limité à 20 exemplaires signé par l'artiste - bon état -
Liestal, Landschäftler A.-G., o. J. (ca. 1930). 12°. 61 (2) S. Goldgepr. Orig.-Leinenbd.
Mit Namenszug auf dem Vorsatz.
Guillemot - Nicolle Paris 1809 In-8 ( 215 X 135 mm ) de IV-369-VIII pages, demi maroquin rouge, dos à nerfs janséniste, tête dorée ( Reliure de l'époque ). Portrait gravé en frontispice. Le présent recueil de blasons ou poèmes élogieux comprend quelques écrits rares qui n'avaient jamais été publiés. On y trouve quelques écrits "fort libres", exemplaire paginé 1-64, 53-148 comportant les blasons "les plus licencieux". Nerfs légèrement frottés, bon exemplaire, non rogné imprimé sur papier vergé. Barbier I, 438 b Quérard, Supercheries, I, 965 c Quérard, La France Littéraire VI, 51.
Paris, Guillemot, Nicolle, 1809 ; in-8°, pleine basane fauve de l'époque, dos orné de larges palettes dorées, de roulettes dorées et de 2 fers à l' abeille dorés, titre doré sur pièce rose, tranches jaunes mouchetées de bleu; viii pp.(faux-titre et titre et, Glossaire et étiquette à l'usage des brochages reliés en fin d'ouvrage), IVpp.(avertissement),369pp.,4pp. (table) ; quelques piqûres en début et fin mais bon exemplaire bien relié.
Seconde édition augmentée d'un Glossaire. L'auteur, né en Lorraine en 1752, fut employé aux Manuscrits de la Bibliiothèque Royale. Comme l'indique l'auteur dans son avertissement " le mot blason est employé dans le même temps en deux sens opposés , blame et éloge… ". Avec notamment tous les blasons et contre-blasons de l'anatomie du corps. (Cf. Pia,Tome I- 125). (Reu-CO1)
Paris, chez l'auteur, 1903; in-12, br., couv. rouge imprimée. 40 pp., 5 ff. -EDITION ORIGINALE rare, non mise dans le commerce. Les trente-six quatrains à Madame, recueil confidentiel quelque peu érotique, avait également paru en 1903. Ce petit volume donne les dédicaces en vers que Mérat inscrivit sur les 36 exemplaires de certains amis comme H. Beauclair, A. Paysant, A. de Lorgeril, R. Gineste, P. de Frick, Th. Maurer, J. Murray, R. Samuel, J. Uzanne, F.A. Cazals, F. Régamey, E. Blémont et quelques autres.Né à Troyes en 1840 dans une famille d’avocats, Mérat fit carrière à Paris, où il se lia avec Verlaine et Léon Valade. Il publia son premier recueil Avril, Mai, Juin en 1863 en collaboration avec ce dernier. En 1866 il participa au Parnasse Contemporain . “Il est, dit E. Des Essarts, un peintre de genre et de paysage, encadrant ses tableaux dans les quatrains de la stance et du sonnet. Il a semé des chefs-d’oeuvre dans tous ses recueils et déployé dans son art une certitude, une souplesse qu’aucun autre n’a dépassé” - Walch I 224 - Antologie Lemerre II 414 - Badesco, Génération poét. de 1860, II pp. 1035-1072.UN DES TRÈS RARES EXEMPLAIRES SUR PAPIER VERT.
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 88 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1873. Un volume 9,5x17cm broché de 38 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 141 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris, chez l'auteur, 1903; in-12, br., couv. verte imprimée. 40 pp., 5 ff. ÉDITION ORIGINALE rare, non mise dans le commerce. Les trente-six quatrains à Madame, recueil confidentiel quelque peu érotique, avait également paru en 1903. Ce petit volume donne les dédicaces en vers que Mérat inscrivit sur les 36 exemplaires de certains amis comme H. Beauclair, A. Paysant, A. de Lorgeril, R. Gineste, P. de Frick, Th. Maurer, J. Murray, R. Samuel, J. Uzanne, F.A. Cazals, F. Régamey, E. Blémont et quelques autres. Né à Troyes en 1840 dans une famille d’avocats, Mérat fit carrière à Paris, où il se lia avec Verlaine et Léon Valade. Il publia son premier recueil Avril, Mai, Juin en 1863 en collaboration avec ce dernier. En 1866 il participa au Parnasse Contemporain . “Il est, dit E. Des Essarts, un peintre de genre et de paysage, encadrant ses tableaux dans les quatrains de la stance et du sonnet. Il a semé des chefs-d’oeuvre dans tous ses recueils et déployé dans son art une certitude, une souplesse qu’aucun autre n’a dépassé” - Walch I 224 - Antologie Lemerre II 414 - Badesco, Génération poét. de 1860, II pp. 1035-1072.
Introduction par Ernest Prévost - Paris : Alphonse Lemerre, 1906. Un volume 14,5x20,5cm broché de XL et 361 pages. Portrait photographique de l'auteur, sous serpente - Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Couverture légèrement poussiéreuse avec un manque de 2x3cm au coin inférieur de la quatrième de couverture sans atteinte au texte; sous papier cristal. Edition originale de l'unique anthologie des oeuvres de Mérat.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1907. couverture originale des Poèmes de Paris de 1880 réemployée pour cette nouvelle édition dont l'intérieur est légèrement plus grand : un volume 14,5x20,5cm broché de 275 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde (("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire à grandes marges, broché; sous papier cristal. Edition originale collective des deux recueils principaux de l'auteur, parus en 1877 et 1880.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Paris : Alphonse Lemerre, 1904. Un volume 11,8x18,5cm broché de 80 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.