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Chansons et madrigaux : Chansons. Madrigaux. Camées.
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 88 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
L'Adieu.
Paris : Alphonse Lemerre, 1873. Un volume 9,5x17cm broché de 38 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Les Joies de l'heure : Choses passées. Le coin des poètes. Impressions et notes d'art. Deux peintres. Conseils du poète à lui-même.
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 141 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Oeuvres choisies (1863-1904) -
Introduction par Ernest Prévost - Paris : Alphonse Lemerre, 1906. Un volume 14,5x20,5cm broché de XL et 361 pages. Portrait photographique de l'auteur, sous serpente - Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Couverture légèrement poussiéreuse avec un manque de 2x3cm au coin inférieur de la quatrième de couverture sans atteinte au texte; sous papier cristal. Edition originale de l'unique anthologie des oeuvres de Mérat.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Poèmes de Paris - Au fil de l'eau (1877-1880) : Parisiennes. Tableaux et paysages parisiens.
Paris : Alphonse Lemerre, 1907. couverture originale des Poèmes de Paris de 1880 réemployée pour cette nouvelle édition dont l'intérieur est légèrement plus grand : un volume 14,5x20,5cm broché de 275 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde (("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire à grandes marges, broché; sous papier cristal. Edition originale collective des deux recueils principaux de l'auteur, parus en 1877 et 1880.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Quelques pages avant le livre : Pour les lettres. Autres vers oubliés. Epigrammes.
Paris : Alphonse Lemerre, 1904. Un volume 11,8x18,5cm broché de 80 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil en vers.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Vers le soir : Impressions et souvenirs. Intermède. Petit poème. Hommes et choses.
Paris : Alphonse Lemerre, 1900. Un volume 11,8x18,5cm broché de 238 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ce recueil couronné par l'Académie Française.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Vers oubliés : Chansons d'été - Fleurs d'avril -
Paris : Alphonse Lemerre, 1902. Un volume 11,8x18,5cm broché de 90 pages. Un timbre humide en page de titre et dernière page de garde ("Fonds Gaëtan Sanvoisin" - "sorti des inventaires"). Quatrième de couverture légèrement frottée sur 0,5x0,5cm sinon bel exemplaire broché; sous papier cristal. Edition originale de ces deux recueils de poèmes inédits écrits durant les années 1860 et 1870.
Jeune licencié en droit, Albert Mérat rencontre au début des années 1860, Paul Verlaine et Léon Valade à l'Hôtel de Ville de Paris où les trois poètes travaillent comme rédacteurs. Ils traverseront ensemble les grandes heures du Parnasse autour de l'éditeur Alphonse Lemerre notamment en 1866, lors de la publication du Parnasse contemporain. Avec Verlaine et François Coppée, Mérat appartient aussi au groupe des Batignollais puis à celui des Vilains Bonhommes, rejoint en 1871 par Rimbaud. Il édite en juillet 1863, en collaboration avec Léon Valade, Avril, mai, juin. En 1866, il publie sous son seul nom Les Chimères, remarqué par Sainte-Beuve et couronné du Prix Maillé-Latour-Landry. Jusqu'en 1880, il édite 8 recueils de vers, salués par la critique et ses amis poètes ("la nouvelle école, dite parnassienne, a deux voyants, Albert Mérat et Paul Verlaine", écrit Rimbaud en mai 1871 dans sa fameuse lettre dite "du voyant"). Verlaine rédige aussi un article élogieux sur Albert Mérat en 1892 dans Les Hommes d'Aujourd'hui. Bibliothécaire su Sénat, il n'édite plus de recueil de poésie durant 20 ans. Ce n'est qu'en 1900 que parait la seconde partie de son oeuvre toujours chez Alphonse Lemerre. Albert Mérat s'est suicidé en janvier 1909.
Chansons et Madrigaux.
1902 Paris, Lemerre, 1902; in-18° broché, couverture jaune imprimée en noir, titre en noir au dos; 88 pp., -(1)f. Envoi autographe signé de l'aureur Couverture défraichie (traces de mouillures), quelques rousseurs au texte.
L'auteur né à Troyes en 1840 mort Paris en 1909, était poète, traducteur, et fut sous-bibliothécaire au Palais du Luxembourg. (GrTab)
LE REVE DE L'ARPENTEUR. COLLECTION A L'ECOUTE DES SOURCES
Editions Saint-Germain-des-prés. 1984. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 37 pages.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
LA VIE AU TEMPS DES COURS D'AMOUR croyances, usages et moeurs intimes des XIe, XIIe et XIIIe siècles d'après les Chroniques, Gestes, Jeux-Partis et Fabliaux.
Paris A Claudin 1876. In-8 2 feuillets non chiffrés 379pp 2 feuillets non chiffrés (achevé d'imprimer, marque de l'éditeur). Demi chagrin bleu nuit, dos à nerfs rehaussés d'une roulette dorée, cadres de filets dorés dans les entrenerfs, reliure de l'époque. Titre imprimé en rouge et noir, texte orné de bandeaux, lettrines et culs de lampe. Quelques très rares et pâles rousseurs. Edition originale tirée à petit nombre non justifié, celui-ci 1 des exemplaires sur papier vergé. Bel exemplaire frais, complet, reliure en bon état décorative.
FONDS DE TIROIRS A LA LOUANGE DU MIRLITON.
L'ACTION INETELLECTUELLE. 1934. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 58 pages - Couverture illustrée d'un dessin en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Classification Dewey : 841-Poésie
Poètes de l'Univers.
1947 Paris, Skira, 1947, in 12, broché, 233 pages, couverture rempliée.
Joyce - Thomas Mann - Eliot - Rilke et Valéry.... ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
De Kempische harp - dichtbundel
Gent, Leliaert & Siffer 1889 157pp., Eerste uitgave, 21cm., ingebonden in moderne gecart. band met roodlinnen rug, goede staat, T106294
PARLATURA PAESANE.
Antologia della Poesia dialettale abruzzese. Volume I. Attraverso L'Abruzzo, Pescara, 1954. In-8 p., bross., pp. 202,(6). Tutto il pubblicato. In buono stato (good copy).
Le Fantastique Dans La Poésie Française
La Pibole 1980 15,5x22 162 pages - broché - etat correct
Satisfaisant
Haïkus. Mis en images par Catherine-Jeanne Mercier.
Paris, Editions du Seuil, 2003, in-4to, ca. 80 S., cartonnage original illustr.
(SLACES, NVVA)
Phone number : 41 (0)26 3223808
MERCIER DE COMPIEGNE (CLAUDE-FRANCOIS-XAVIER MERCIER, DIT. 1763-1800).
Reference : 3574
(1788)
MON SERRE-TETE, OU LES REVERIES D’UN PETIT COMMIS, BROCHURE COMME IL Y EN A TANT.
A FRIVOLIPOLIS. CHEZ MOI & CHEZ LES MARCHANDS DE NOUVEAUTES. 1788. IN-12 (10,5 X 16,5 X 1,5 CENTIMETRES ENVIRON) DE (8) + 141 ET (2) PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU MARBRE, DOS LISSE ORNE D'UN DECOR DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE. EDITION ORIGINALE. (BARBIER. III. 332). PETITS DEFAUTS EXTERIEURS, DONT MORS SUPERIEUR, SINON BON EXEMPLAIRE.
Mélanges.
Nantua, Imprimerie Auguste Arène, 1878 ; in-8, broché ; (4), 99 pp., (1 bl.), (4) pp. de table, (2) ff. blancs, couverture beige décorée imprimée en rouge et noir.
Edition originale rare avec envoi autographe signé de l'auteur sur la couverture. Contient : Toilette d'une Romaine ; L'Enseignement supérieur ; La Fête-Dieu (1875 et 1876) ; Fantaisie sur l'Horloge ; Inauguration du Chemin de Fer ; Lettre au rédacteur de l'Abeille ; Excursions de l'institution des Chartreux ; La salle d'asile de Nantua ; Un bal à la Sous-Préfecture et quelques Poésies. Dos passé, bon exemplaire.
Phone number : 06 60 22 21 35
Phone number : 33 (0)6 77 77 12 33
Anthologie de ses poèmes.
P., Calmann-Lévy, 1948, in 12 broché, 230 pages ; quelques très rares rousseurs.
...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Lazare le ressuscité suivi de Ponce Pilate.
P., Calmann-Levy, 1924, in 12 broché, 195 pages ; signature sur le titre.
PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Lazare le ressuscité, suivi de Ponce Pilate.
P., Calmann-Lévy, 1924, in 12 broché, 195pp. ; couverture fanée.
PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
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L'Enchantée.
P., Paul Ollendorff, (Imprimerie Typographique Souchier à Roanne), 1897 ; in-8. 209pp. Demi-chagrin bleu sombre, dos lisse sobrement orné, titre doré, tête dorée, couvertures et dos conservés. Bel exemplaire.
Edition originale.
Le poème de la Maison.
LYO, Ed. & Imp. du Sud-Est - 1951 - in-_ - broché - Couverture illustré d'un motif repoussé - Titre en rouge - Frontispice potographie de l'auteur - Illustrations-bandeaux en texte - 141 pages + Table - Très propre
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