Michel lévy frères 1865 in12. 1865. Relié.
Etat Correct couverture défraîchie bords assez frottés qq rousseurs à l'intérieur charnière défaite au niveau de la page 343
P., Editions de Monceau, 1947, 2 tomes, en feuilles, sous chemises cartonnées et étui de l'éditeur, 199 et 175 pp., non coupé.
Tirée à 250 exemplaires numérotés sur vélin du Marais à la Cuve.Orné de 2 frontispices et de 78 illustrations de André Edouard Marty coloriés au pochoir.
Couverture souple. 22 x 32 cm. Broché. 64 pages. Sans couverture. Rousseurs. Légèrement défraîchi.
Livre. Imprimé sur 2 colonnes, illustré de gravures sur bois. (Prime de l'Univers illustré). Imprimerie de Maurice Loignon et Cie (Collection : Extrait des oeuvres illustrées de Balzac éditées par Michel Lévy), Vers 1867.
CALMANN LEVY. Non daté. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 309 pages. Plats marbrés. Pièce de titre. Titre, roulettes et fleuron dorés sur dos marron.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Oeuvres de H. de Balzac. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Couverture souple. 48 pages. 21 x 27 cm.
Livre. Imprimé sur 2 colonnes. Aux bureaux du Siècle, 1856.
La joie de nos enfants 1928 in8. 1928. Cartonné. illustrations noir et blanc
Bon état bords frottés couverture insolée intérieur frais bonne tenue
"Collection Nelson avec jaquette N°202. sans date.. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 380 pages. ""Les chefs-d'oeuvre de la littérature"". Impression en caractères très lisibles sur papier de luxe. Reliure toile solide et élégante. Jaquette illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 843.2-Collection romans populaires avant 1960 avec jaquette"
Classification Dewey : 843.2-Collection romans populaires avant 1960 avec jaquette
1853 Paris Hachette 1853 1 in 16 Reliure Demi-Chagrin rouge à nerfs 370[pp] La Comédie Humaine
Etat de conservation excellent Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique.
Avec une introduction et des notes par Maurice Allem.Paris, Garnier Frères - non daté (1950) - ix et 321 pages.Reliure demi chagrin fauve à coins de l'époque. Dos à nerfs aux titre et auteur dorés. Signet. Petites taches au dos sans gravité. Pas de rousseur. Très bon état pour ce bel exemplaire, bien relié. Format in-12°(18x11).
Paris Librairie Nouvelle 1857 1 vol. relié in-12, demi-percaline tabac, dos orné de fleurons dorés, fer aux armes sur le plat supérieur, 358 pp. Ex-libris gravé. Bon état.
Paris Garnier Frères 1944 In 16 Collection " Classiques Garnier " Avec une introduction et des notes de Maurice Allem . Couverture usagée Intérieur comme neuf , non découpé . - 328 p. , 400 gr.
Couverture souple Très Bon État .
Paris, Garnier Frères, 1944, in8, br. 326pp
Très bel ex. A l'état de neuf.
Paris, Editions Monceau, 1947. 2 tomes reliés en 1 volume in-8. Reliure demi maroquin bleu-vert à coins, dos à nerfs orné de filets, couvertures conservées, tête dorée. (Hansf. Frostell).
Tirage limité à 250 exemplaires numérotés sur vélin du Marais à la forme. Ouvrage illustré de 2 frontispices et 76 compositions mis en couleurs au pochoir.
Une des œuvres-clés de Balzac, pénétrée d'occultisme. Paris, Hippolyte Souverain, 1842. 2 volumes in-8 de 327 pp., 336 pp. Demi-chevrette rouge, dos lisses ornés de filets dorés et de fleurons noirs, entièrement non rognés. Reliure de l'époque 225 x 137 mm.
Édition originale rare. (Clouzot 30). Elle faisait défaut à la collection romantique de Maurice Escoffier. Vicaire, I, 217; Rahir, La Bibliothèque de l’amateur, 306; Catalogue Destailleur 1379. Une des œuvres-clés de Balzac, pénétrée d'occultisme. Balzac qualifiait de "privilégiée" l'histoire d'Ursule, "sœur heureuse d'Eugénie Grandet". Le roman ouvre les Scènes de la vie de province : une jeune fille parvient à triompher de la machination ourdie contre elle visant à la spolier. Ce portrait de jeune fille fut dédié par Balzac à sa nièce, Sophie Surville. La première partie d’Ursule Mirouet, « Les Héritiers alarmés », nous présente la bonne société de Nemours ou plutôt les quatre familles bourgeoises apparentées les unes aux autres qui, sous la Restauration, dominaient la petite ville. Minoret-Levrault, maître de poste, est une espèce d’Hercule stupide, dominé par sa femme, l'inquiétante Zélie; le couple vit pour son fils, Désiré, jeune dandy qui fait ses études de droit. Le docteur Minoret, ancien disciple des encyclopédistes et athée convaincu, a fait retour à sa ville d'origine, où il achève dans la retraite sa brillante carrière d'ex-médecin de l'Empereur. Le docteur n'a pas d'enfant, et ses neveux, dont le maître de poste, pensent qu'ils se partageront son héritage. Mais Minoret amène dans sa maison une orpheline, Ursule Mirouet, fille d'un chanteur, lui-même enfant naturel d'un organiste. Ursule est sa nièce et il l'élève comme sa fille, dirigeant lui-même son instruction avec l'aide de ses vieux amis, le curé Chaperon, le juge de paix Bongrand et le vieil officier de Jordy. En grandissant, la petite Ursule s'aperçoit que son oncle et parrain, ne partage pas sa foi, elle en éprouve une vive douleur. Le vieux docteur, brouillé depuis longtemps avec un ancien camarade qui s'est lancé dans l'étude du magnétisme, reçoit soudain de ses nouvelles. Son ami lui demande de le revoir à Paris. Minoret se rend au rendez-vous et assiste à une séance d'expériences magnétiques au cours de laquelle une voyante lui expose, point par point, les menus gestes de sa filleule restée à Nemours. De retour dans sa maison, le docteur constate que les dires de la voyante étaient scrupuleusement exacts. Ébranlé dans ses convictions, ému par la souffrance que cause à Ursule devenue une jeune fille son impiété, le vieil athée se convertit brusquement. Cet événement imprévu sème le trouble parmi les héritiers : Minoret ne va‑t‑il pas laisser ses biens à l’Église, pis encore, faire de sa filleule héritière ? Aussi entoure-t-on le vieillard de manœuvres et de suspicion. Mais le docteur est bien davantage troublé par une découverte qu'il vient de faire ; Ursule est amoureuse d’un jeune voisin, Savinien de Portenduère. Peu après, le jeune homme est mis en prison pour dettes; sa mère, veuve et pauvre, ne peut rien pour lui, et c'est le docteur Minoret qui avance l'argent nécessaire à sa libération; il va lui-même le tirer de prison. C’est au tour de Savinien de tomber amoureux de la belle Ursule. L'indulgent docteur Minoret est prêt à donner son consentement à cette union, si Savinien rachète sa conduite passée ; mais la fière Mme de Portenduère reste intraitable, son fils n'épousera pas une orpheline, fille d'un « capitaine de musique », lui-même fils naturel. Aussi Savinien quitte-t-il Ursule pour s'engager dans la marine lors de la conquête de l'Algérie. Il en revient gradé et glorieux, toutefois sa mère ne veut pas céder. Devant cette attitude, le docteur se voit obligé de fermer sa porte à Savinien. Cette première partie n'est que le prélude du drame qui s'ouvre avec la mort du docteur (IIè partie, « La Succession Minoret »). Les dispositions du vieillard avaient été prises, il avait dissimulé des titres au porteur pour sa filleule, laissant à ses héritiers légaux leur part normale d'héritage. Sur son lit de mort, le docteur remet à Ursule la clé qui ouvre le cabinet où se trouve caché l'argent qu'il lui destine ; mais la jeune fille, troublée, se laisse distancer par un des héritiers, le maître de poste Minoret-Levrault, lequel, dissimulé près de la chambre mortuaire, a tout entendu. Minoret-Levrault s'empare du magot et tout le monde s'étonne qu’Ursule n'ait reçu qu'une somme insignifiante. La jeune fille, en butte à la persécution des héritiers, se retire dans une petite maison avec une servante ; tout espoir d'épouser Savinien de Portenduère est maintenant perdu pour elle. Mais la présence d'Ursule dans la ville gêne Minoret-Levrault, qui n'a avoué à personne, pas même à sa femme, son larcin. Il demande à l'ignoble Goupil, clerc de notaire satanique et repoussant, de l'aider à chasser la jeune fille. Celui-ci commence alors une campagne de lettres anonymes qui fait planer la terreur sur la pauvre fille et la conduit bien près de la mort. Mais comme Minoret-Levrault qui s'est constitué une immense fortune ne paie pas suffisamment les services rendus par Goupil, celui-ci décide de se venger. Il avoue être l’auteur de la machination mais il n'a été qu'un instrument entre les mains de Minoret-Levrault. Les vieux amis du docteur, qui continuent à protéger Ursule et Savinien, demeuré fidèle, se demandent quelle raison a pu pousser Minoret-Levrault à vouloir à tout prix le départ d’Ursule. Celle-ci revoit son oncle en rêve, et le mort lui dévoile dans tous ses détails l'infamie de Minoret-Levrault. De présomption en présomption, on parvient à découvrir le vol. Le fils ainé de Minoret-Levrault meurt dans un accident qui avait été annoncé par le défunt à sa filleule; sa femme devient folle, quant à lui, durement éprouvé, il devient un vieillard blafard et dévot qui s'efforce de racheter son acte. Ursule épousera enfin Savinien et ils vivront dans le château acquis par le maitre de poste que celui-ci leur a abandonné. Il est à peine besoin de souligner la naïveté de l'intrigue, dans laquelle le magnétisme, les manifestations supra-terrestres, les apparitions jouent un très grand rôle. Balzac se laisse aller ici à ses convictions profondes sur la réalité des phénomènes occultes. Dans cet étrange mélodrame, d'ailleurs fort poignant, l'innocence est persécutée, mais elle recevra la récompense dont elle est digne, et les méchants seront châtiés. Seulement Ursule Mirouet est aussi un très émouvant récit des rapports entre un vieillard et une jeune fille, évocation pleine de délicatesse, inspirée par une connaissance délibérément optimiste du cœur humain, et, en contraste, une analyse impitoyable des mœurs provinciales et des malhonnêtetés, qui vont parfois jusqu'au crime, et auxquelles peuvent se laisser entraîner des bourgeois qui aspirent à une succession et estiment avoir des droits sur un héritage. Rarement Balzac est allé aussi loin dans sa rigueur et dans sa haine pour la bourgeoisie provinciale et pour les germes malsains qu'elle suscite, entretient et développe. Très bel exemplaire relié par Wagner, entièrement non rogné, pour Balzac lui‑même. Dans un article paru dans le Courrier balzacien, Thierry Bodin souligne combien "les exemplaires personnels de Balzac sont très rares. Ils ont été dispersés pour la plupart lors des ventes avant et après décès de Madame de Balzac [Madame Hanska] en mars et avril 1882." Les reliures ont toutes été exécutées soit par Spachmann, soit par Wagner, soit par les deux artisans lorsqu'ils travaillaient ensemble, selon les directives de l'écrivain. "Aussi se présentent-ils de façon à peu près uniforme : dos lisse en basane rouge (orné de quelques filets dorés et fleurons à froid) aux coutures assez souples qui permettent une bonne ouverture du livre, celui-ci non rogné, à pleines marges, et largement protégé par des plats plus grands revêtus de papier marbré, les gardes étant toujours de papier blanc sur lequel il serait possible d'écrire" (Thierry Bodin). Provenance : Honoré de Balzac - Madame Hanska, veuve d'Honoré de Balzac, dans la vente de laquelle environ 2 500 volumes furent proposés en lots (Paris, 25 avril 1882); Auguste Lambiotte (Cat. I, 1976, n° 48, reprod. pl. XII) ; Pierre Bergé, 14 décembre 2018, n° 904 (estimé 38 000 – 50 500 € frais inclus)
CALMANN LEVY. 1880. In-16. Relié demi-cuir. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Déchirures. 358 pages. Reliure de bibliothèque : étiquette de code sur la coiffe en-tête et tampons sur la page de titre et dans quelques marges. Mouillures. Débroché, nombreuses pages se détachant avec accrocs et déchirures en marges. Coins et coupes des plats de couverture, frottés.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Paris, Alexandre Houssiaux éditeur, Francis Guillot, succ., sans date (1924). 20 volumes in-8, demi chagrin marine, dos à nerfs, plats de couverture conservés.
Réimpression de la célèbre édition Houssiaux, augmentée dun volume de correspondance (ici le tome 20). Bel exemplaire, très frais.
Paris, Furne, Dubochet et Cie, J. Hetzel et Paulin, puis Houssiaux (volumes 17 à 20), 1842-1849 (volumes 1 à 17) et 1855 (volumes 18 à 20). 20 tomes en 20 volumes, COMPLET. In-8 13 x 21,5 cm. Reliures de lépoque en demi-chagrin vert sapin, dos à 4 nerfs soulignés de filets dorés, sertis de filets à froid, triples caissons ornés en encadrement dun décor romantique doré, titres et tomaisons dorés, plats de papier marbré, gardes et contreplats en papier marbré. 507 pp, 2 ff. (note et table des matières) ; 457 pp., 1 f. ; 476 pp., 1 f. ; 557 pp., 1 f. ; 492 pp., 1 p. ; 509 pp., 1 p. ; 491 pp., 1 f. ; 570 pp., 1 p. ; 531 pp., 1 p. ; 449 pp. ; 1f. ; 588 pp. ; 1 p. ; 531 pp., 1 p . ; 728 pp. ; 476 pp., 1 p. ; 662 pp., 1 p. ; 620 pp., 1 p. ; 650 pp., 1 p. ; 659 pp., 1 p. ; 423 pp., 1 p. ; XVI (préface), 440 pp. Collection complète de la Comédie humaine, première édition collective, première édition illustrée et édition originale de nombreux textes. Intitulée « uvres », cette célèbre édition, remaniée, « lune des plus importantes de la littérature française » (Clouzot), ne devait compter que 17 volumes, selon le contrat de Balzac avec ses éditeurs ; cependant, après la mort de lécrivain en 1850, Houssiaux succéda à ses confrères et prit linitiative de rajouter 3 volumes, publiés en 1855. Une préface de 16 pages (ici reliée au début du dernier volume) est signée de George Sand. Lensemble contient 145 planches hors-texte, sur les 154 annoncées et rarement présentes (manquent, comme souvent, celles des tomes XIII et XVII, livrées après limpression de notre exemplaire et non inclues dans la reliure) : il sagit de gravures sur bois réalisées « par les meilleurs artistes contemporains de lauteur », selon Clouzot, tels que Bertall, Daumier, Gavarni, Johannot, Meissonier, Nanteuil, etc.
Coiffes supérieures souvent abîmées (frottées, émoussées ou absentes), quelques frottements sur les dos et les coupes, dos légèrement insolés, mors du premier plat du volume 20 partiellement fendillé (reliure néanmoins solide), de pâles rousseurs fort rares dans lensemble, sinon bel et agréable exemplaire de cette précieuse collection qui demeure, dans sa première forme, un véritable « monument » de littérature et dédition, prisé des bibliophiles et amateurs éclairés. Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding.
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Ullstein Verlag. 1947. In-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 335 pages. En allemand.. . . . Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand
Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand
Paris La Jeune Parque, coll. "Le cheval parlant" 1947 1 vol. Broché in-8, broché, couverture rempliée, non coupé, 415 pp. Edition originale de ce recueil de textes choisis par Jean-Louis Bory et précédés d'un essai : "Balzac et les ténèbres". Exemplaire du service de presse avec un très bel envoi de Jean-Louis Bory à Justin Saget, alias Maurice Saillet. En excellent état.
Paris, Delloye et Tresse, 1840 ; in-8 de [4] ff. 247 pp., cartonnages à la bradel vert bouteille, titre doré sur le premier plat.
Drame représenté au théâtre de la Porte Saint-Martin le 13 mars 1840. À la date de l'originale, avec mention de seconde édition. Un avis précise que Balzac, malade, n'a pu rédiger la préface. Elle ne sera publiée que dans la troisième édition.- Rousseurs. Carteret, I, 76.
Paris, Delloye, Tresse, 1840. 1 vol. in-8°, percaline marron, titre doré au dos, tranches marbrées. Reliure du XIXe s. Dos et partie sup. du premier plat insolés. (3) ff., 247 pp. Très rares rousseurs.
Deuxième édition parue très peu de temps après l'originale. Elle comprend également le feuillet d'avis qui précise que Balzac souffrant d'une "indisposition très grave" n'a pas pu écrire la préface qui sera fournie plus tard en échange de ce feuillet. La préface de Balzac (très courte) a été publiée dans la 3ème édition, également datée de 1840. Cette pièce, commandée par Harel, fut composée par Balzac avec l'aide de Théophile Gautier de Laurent-Jan et d'Edouard Ourliac. Bon exemplaire, très frais intérieurement. Vicaire II, 214; Carteret I, 75.
Phone number : 02 47 97 01 40
P., Maison de Balzac, 1974, in 8° broché, 68 pages non chiffrées ; nombreuses illustrations ; couverture illustrée.
136 numéros décrits."Les notices de ce catalogue ont été rédigée par Mlle Jacqueline Sarment, Conservateur à la Maison de Balzac".PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................
Phone number : 04 77 32 63 69
Editions du Pacifique, 1996, in-8°, 56 pp, préface de Pierre Janin, postface de Jacques Dumarçay, 8 pl. de gravures et photos hors texte, biblio, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Cahiers d'Asie)
"Par un Balzac qui, comme chacun sait, n'a jamais mis les pieds en Asie, un petit texte paru pour la première fois en 1832, dans la "Revue de Paris", et devenu presque introuvable (la dernière réédition datant de 1947). Ce texte, disons-le tout de suite, est loin de décevoir. Il s'agit en fait d'une charge ironique dirigée contre les récits de voyages et autres « romans maritimes » qui commençaient alors à prendre, en France et en Europe, une réelle importance. Balzac est délibérément moqueur à l'endroit des voyageurs dits « scientifiques ». L'auteur évoque tour à tour, avec talent du reste, une série de onze « clichés », qu'il n'est pas inutile d'énumérer ici : 1) les femmes (blanches et fatales...) ; 2) les bengalis (oiseaux charmeurs...) ; 3) les volcamerias (fleurs superbes...) ; 4) le thé (mais c'est en fait un prétexte pour parler surtout de vin...) ; 5) l'upas (ou arbre-poison) ; 6) le tigre ; 7) l'arbre-fougère ; 8) les singes (qui ne sont qu'une caricature de la société humaine) ; 9) les « bizons » (c'est-à-dire en fait les buffles...) ; 10) les crocodiles (que l'on juge et punit comme des hommes) ; et pour finir, 11) les Chinois (qui, comme on s'en doutait déjà, ne sont que de fieffés voleurs...)." (Denys Lombard, Archipel, 1996)