Rouart Lerolle, Paris 1931, 13,5x18,5cm, broché.
Edition originale sur bouffant, il n'a été tiré que 50 Japon. Joint un billet d'entrée au spectacle timbré et oblitéré. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Edité par Grasset - coll. Les Amis des Cahiers Verts, 1928, 1 volume de 145x190 mm environ, vii-7 pages, broché sous couverture rempliée. Edition originale numérotée (N° 29/90) sur Hollande, enrichie de 3 portraits de l'auteur par Jean Marchand. Bon état malgré un dos légèrement insolé avec petits frottements.
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Editions Lapina, Paris 1930, 16,5x23cm, broché sous étui.
Edition en grande partie originale, un des 49 exemplaires réimposés et numérotés sur Japon impérial, tirage de tête après 1 Japon unique et 19 vieux Japon. Rare et bel exemplaire. Ouvrage illustré d'un portrait de l'auteur par Edmond Marie et de 4 eaux-fortes originales hors-texte ainsi que de nombreux dessins in-texte de Paul Valéry. Bel exemplaire bien complet du double état de la gravure du portrait, de l'épreuve du cuivre barré et de la suite des eaux-fortes ainsi qu'il l'est stipulé à la justification du tirage. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez L. Giraud-Badin, Paris 1929, 20x25cm, broché.
Edition originale parue à 2900 exemplaires, le nôtre, un des exemplaires sur Alfa. Une pliure en tête du premier plat, petites rousseurs sur les tranches. Contributions littéraires d'Henri Michaux "Le fils du macrochéphale", André Suarès "Fiorenza", Paul Valéry "Petite préface aux poésies de T'Au Yuan Ming", T'Au Yuan Ming "Oraison funèbre sur sa mort, traduction de Liang Tsong Taï"... Commerce, revue littéraire fondée par Marguerite Caetani, se présente sous la forme de vingt-neuf "cahiers trimestriels publiés par les soins de Valéry, Fargue et Larbaud" entre 1924 et 1932. Sa publication s'inscrit dans la tradition concurrentielle des revues françaises des années 1920 et ne se contente pas de mettre en avant les auteurs les plus en vue de la littérature française : elle joue un rôle de "découvreur" de jeunes talents et déterre les textes capitaux oubliés. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Calligrammes 1988,ouvrage publié avec le concours du centre national des Lettres, édition originale.Broché in-8,70 pp., texte et dessin par Paul Valet, ouvrage non coupé.Couverture légèrement piquée.E01-Gal-3.
P., Grasset, 1947 ; in-12, broché. 240pp.-2ff. Couverture illustrée d'une vignette en noir. Pli angulaire. Bon état
Edition originale sur papier ordinaire (après 32 sur Alfa - achevé d'imprimé du 22 mai 1947).
P., Les Cahiers Nobles, 1959, in-4°, (72) pp, broché, qqs rares annotations stylo, bon état. Edition originale tirée à 2222 ex. numérotés (Les Cahiers Nobles n° 18). (Saffroy, I, 6762)
A. Joanin & Cie, Paris 1904, 15,5x24cm, relié.
Edition originale. Reliure en demi basane menthe, dos lisse orné de filets à froid et de fleurons dorés, plats de papier marbré, un petit manque de peau sur le deuxième plat, gardes et contreplats de papier à la cuve, reliure de l'époque. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Amyot, Paris 1871, 15,5x24,5cm, 3 volumes brochés.
Edition originale. Un petit manque angulaire sur le premier plat du premier volume, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
sd Collection "Les Joies de la paix" N°4 - L'un des 525 exemplaire de l'édition originale, sur papier Bouffant Fleur d'Alfa 90gr. - Sans date - In-8, feuillets libres sous jaquette papier - Sans pagination - Exemplaire N°138 - Ce fascicule est orné de deux reproductions, "Je vais avec les vraies petites filles..." (aquarelle) et "Le chat dormait comme un bébé" (dessin) - Lithographie de chez Mourlot, Paris - Typographie de chez Desquand, Bourges - Avec un envoi et dédicace de l'auteur en page de garde
Bon état - Menus frottements
Chez Sébastien Marbre-Cramoisy, à Paris 1678, in-12 (9x15,5cm), (2) 370pp. (1), relié.
Édition originale, rare. Reliure en plein veau blond glacé XVIIIe. Dos à nerfs richement orné. Pièce de titre en maroquin rouge. Fente en tête au mors supérieur. Deux coins émoussés. Légers frottements. Nom d'un possesseur biffé en page de titre. Note ancienne en page de garde à la plume. Bel exemplaire, bien relié. Ces Lettres paraissent peu après la première édition de La Princesse de Clèves (1678), et elles sont d'une importance cruciale pour l'histoire des Belles-Lettres. Valincourt commence par retracer l'histoire de l'oeuvre, qui était bien connue avant d'être publiée. Il en fait un compte-rendu détaillé, suivant la nouvelle pas à pas, à l'aide de considérations historiques et critiques. Si l'ouvrage de Valincourt est assez laborieux, paraphrasant la nouvelle à l'aide d'un postulat réaliste et interrogeant les possibilités psychologiques, stylistiques et narratives, il n'en reste pas moins qu'on dispose de peu de document de ce genre : un témoignage contemporain sur un livre emblématique de la littérature française. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris : A. Grus,- Lyon BENACCI sd (milieu XIXe s.) - - in-folio broché,tiré d'un recueil factice,5p.
bon état
Paris , Henri Lefebvre éditeur d'art, 1965, Grand in huit, 46 pp, broché, couverture beige
1/500exemplaires numérotés, avec le portrait par Reine Cimière, édition originale.
S.n., s.l. s.d. (circa 1911), 14,5x20cm, broché.
Edition originale de cette plaquette imprimée à tout petit nombre. Envoi autographe signé de l'auteur au poète Alexandre de Saint-Léger. Une toute petite tache sans gravité sur le premier plat, sinon rare et agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Flammarion, Paris 1955, 12x19cm, broché.
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Un accroc en pied du dos légèrement passé, petites déchirures marginales sans manque sur le premier plat. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1912, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Paris 1913, 14x22,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photos sur www.Edition-originale.com -
H. Champion, Paris 1912, 16,5x25cm, broché.
Edition originale imprimée à petit nombre de ce tiré à part de 'La revue des bibliothèques'. Envoi de L. Vallée. Une très légère mouillure affectant le dos en pied et le premier plat marginalement, agréable état intérieur. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Librairie Stock, Delamain et Boutelleau, Paris 1927, " Le Cabinet Cosmopolite" n°15, traduit de l'Espagnol par Maurice E. COINDREAU, préface de Jean de la NIBLE, broché, 225pp. quelques rousseurs en couverture, bon état intérieur, 190x120 . (p3)
Exemplaire tiré dans le format in-18 Grand Jésus sur Alfa Satiné d'Outhenin-Chalandre numéroté 2350/2700 .
Phone number : 33 05 49 26 70 36
Paris, Librairie Stock, Delamain et Boutelleau, "Le cabinet cosmopolite - Nouvelle série", 1927 1 volume In-18 grand jésus (12,8 x 19cm) Broché sous couverture au 1er plat orné en rouge d'encadrements et du logo de l'éditeur. Xp., 1 feuillet, 225p., 1 feuillet. Dos jauni, avec fente de charnière du dessus recollée; large mais très claire et très discrète tache sur le 1er plat.
Edition originale de la 1ère traduction, par Maurice Edgar Coindreau (1892-1990), de "Divinas palabras", tragi-comédie en prose publiée en 1920 par l'écrivain espagnol Ramon del VALLE-INCLAN (1866-1936): un "don Juan rustique et truculent, personnage épique, sensuel et magnifique qui, dans des paysages de légendes, avec ses concubines, ses chiens, ses bâtards et ses fripons de fils mène une vie splendidement baroque et dévergondée" (Jean Camp, in "La Littérature espagnole des origines à nos jours", "Que-sais-je ?"); préface de Jean de LA NIBLE. Tirage à 2750 exemplaires: 1 des 2700 sur alfa satiné, justifié n°174.