circa 1922-1923, dessin : 25,7x33,4cm, un feuillet encollé sur papier fort.
Barbier illustre le XVIIIe siècle galant Ensemble d'études préparatoires à la mine de plomb rehaussées à l'encre de Chinepar George Barbier, pour son ouvrageLes plus belles heures d'amour de Casanova (Paris, Crès et Cie, 1923). Un feuillet encollésur unefeuille de papier fort. La composition rehaussée à l'encreà gauche du feuillet est un croquis presque identique à une planche desplus belles heures d'amour de Casanova. Autour de celui-ci, Barbier a réalisé plusieurs croquis ducomique personnage de cette planche, reboutonnant ses pantalons. La scène du jeu de cartes en partie supérieure, rehaussée à l'encre, correspond à une vignette du même livre illustré, annonçant le chapitre duRoman de Bettine. Superbe ensemble d'études au traitremarquablement abouti,de la main du maître de l'illustration Art déco George Barbier,pour une planche de ses précieux ouvrages illustrés. - Photos sur www.Edition-originale.com -
circa 1920, dessin : 26x33,6cm, un feuillet encollé sur papier fort.
"L'Asie" et "L'Amérique" Quatre esquisses au laviset à la mine de plombpar George Barbier. Les deuxcompositions à droite du feuillet, sont desétudes préparatoires pour deuxestampes parues dans l'année 1921 duluxueux almanachArt déco La Guirlande des moissous le titre"L'Asie" et "l'Amérique". Un feuillet monté sur une large feuille de papier fort. Bel ensemble de croquis et d'études très aboutiesde la main du maître de l'illustration Art déco George Barbier, destinés à ses précieuxalmanachs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Chez Meynal, Paris 1920-1924, 44,5x31cm, en feuilles sous couverture de l'éditeur.
Édition originale bien complète de ses 21 compositions en couleurs gravées sur cuivre par H. Reidel et coloriées au pochoir d'après les dessins de George Barbier?: une sur la couverture, une sur le titre, 3 dans le texte et 16 hors texte. L'ouvrage fut tiré à 300 exemplaires, tous imprimés sur papier vélin. Notre exemplaire est présenté dans un étui en veau bleu, plats de papier à motif d'éventails, pièce de titre en veau bleu et titrée au palladium au centre du premier plat, doublure en velours d'agneau, étui signé Thomas Boichot. Timbre à sec en bas à droite de la page de titre. Rare et superbe exemplaire, complet de toutes ses planches, de ce magnifique et monumental ouvrage Art Déco qui nécessita quatre années de travail. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Mai 1914, 19x24,5cm, une feuille.
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1920, dessin : 26x33,4cm, Un feuillet encollé sur papier fort.
Maquette originale de la précieuse couverture en soie de La Guirlande des mois, 1921 Esquisse originale à l'encre bleueetla mine de plombpar George Barbier, du plat de couverture et du dos de La Guirlande des mois de 1921, à la montgolfière et la corne d'abondance,entouré de cinq autres charmants croquis de figures costumées, dont une très abondamment rehaussée à l'encre bleue.Un feuillet encollésur unefeuille de papier fort. Croquis très abouti de la future gravure sur soie qui ornera l'année 1921 de la célèbre Guirlande des mois, précieux almanach intégralement illustré par le maître de l'Art déco George Barbier. De nombreuses compositions au trait vif complètent cette admirable feuille d'étude. - Photos sur www.Edition-originale.com -
circa 1919, dessin : 25,1x34,9cm, un feuillet encollé sur papier fort.
Angelots, bouffons et élégantes : maquette originale de la page de titre, de la chemiseet de l'étui illustré deLa Guirlande des mois de 1920 Esquisse originale à l'encre bleue et noire etmine de plombpar George Barbier pour laGuirlande des mois de 1921. On y retrouve le croquis finalde la page de titre, rehaussé à l'encreavec une vignette représentant un petit angelot aux ailes de papillon, les dessins à l'encre desdeux plats de l'étui au bouffon en costume à grelots et à l'élégante représentée dans un tondo. A la mine de plomb, Barbier a également esquissé les deux silhouettes qui habiteront respectivement les plats de la chemise en papier recouvrant la reliure en soie de l'almanach. D'autres compositionsau trait vif peuplent cette ravissante feuille d'étude. Exceptionnel ensemble de maquettes et croquis réunis sur un feuillet, retraçant l'aventure éditoriale de George Barbier, maître de l'illustration de mode de l'ère l'Art déco qui conçoit intégralement toutes les facettes de ces précieux almanachs : typographie, habillage, planches et vignettes. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1918, dessin : 23,9x28,3cm, un feuillet encollé.
Le maître de l'Art déco prépare une estampe de La Vie Parisienne Dessin à la mine de plomb par George Barbier, travail préparatoire à l'estampeparue dans le numéro du 8 juin1918 dans La Vie Parisiennesous le titre"Amérique -Armorique. Mariage Transatlantique".Un feuillet à la mine de plomb montésur une large feuille de papier fort. Croquis très abouti de cette tendre composition d'un marin américain et d'une bretonne enlacés, par George Barbier, célèbre illustrateur de l'ère Art Déco. - Photos sur www.Edition-originale.com -
circa 1919, dessin : 25,1x34,9cm, un feuillet encollé sur papier fort.
Barbier publicitaire Ensemble de six esquisses à la mine de plomb rehaussée à l'encre de Chine et l'encre bleue pour une publicité cosmétique, vantant les mérites de la "Poudre discrète" de J.C. Boldoot à Bruxelles. Un feuillet encollé sur papier fort. Ce type de publicité se trouvait dans les pages de magazines de mode féminine auxquels Barbier a largement contribué, dont Le Journal des Modes, La Gazette du Bon Ton,La Vie Parisienne... Superbes croquis de travail remarquablement aboutisde George Barbier, maître de l'illustrationde mode, dont le style a laissé une marque importante dans l'esthétique des années folles. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1919, dessins : 11,5x11,3cm, deux feuillets encollé sur papier fort.
Encre originale rehaussée de blancpar George Barbier signée de ses initiales et datée 1919, intitulée "Reminiscere", représentant un cavalier sur un cheval cabré, accompagnée de son dessinprépratoire à la mine de plomb rehaussé à l'encre bleue.L'encre a été reproduite dansLes Artistes du livre. Georges Barbier(Paris, Henry Barbou, 1929). Deux feuilletsencollés sur unefeuille de papier fort. Superbe diptyque signé de la main du maître de l'illustration Art déco George Barbier, révélant le travail préparatoire et l'encre achevée. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris 1915, 37,6x24,2cm, une feuille.
Estampe originale en couleur tirée sur papier vergé, signée en bas à droite dans la planche. Robes de Callot, Jenny, Paquin, Martial et Armand, Doeuillet, Lanvin. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lucien Vogel éditeur, Paris Eté 1915, 36,5x24cm, une feuille.
Estampe double originale en couleur rehaussée à l'or, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Elle représente des modèles de Callot, Jenny, Paquin, Martial et Armand, Doeuillet et Lanvin. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
circa 1913, dessin : 21,8x31,7cm, Un feuillet encollé sur papier fort.
Danse orientale Esquisse originale à la mine de plombpar George Barbier. Il s'agit probablement d'une étude réalisée dans le cadre de la parution de ses Dessins sur les danses de Vaslav Nijinsky, préfacés par Francis de Miomandre (Paris, A la belle édition, 1913), similaire auxplanches 5, 6, et 7. Un feuillet encollésur unefeuille de papier fort. Superbe et sensuelle composition, qui rappelle les illustrations que Barbier a réalisées en hommage au "dieu ailé de la danse" Nijinski. Les costumes sont en effet proches de ceuximaginés par Bakst pour leballet Sheherazade, dans lequelNijinski interprète l'esclave d'or en 1910. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Neuchatel, Editions Messeiller, 12 novembre 1944 - Grand in octavo, broché, Vignette de Théodore Strawinsky, 61 pages, Edition Oroginale, l'un des 300 exemplaires sur vergé de Biberist ( N°47 ) après 10 hollande.Petite tache de café en bord de plat, sinon bel exemplaire.
Long et poignant poème dont la facture "classique" n'empèse pas la prose . Peu courant. N'hésitez jamais à nous joindre directement. Réponse immédiate pour d'autres titres non répertoriés sur LRB . Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 30 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques ( fractionnement possible) et virement acceptés. Nous accompagnons toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse pour vos propositions de ventes ( chiffrages et partages) .
Grasset, Paris 1913, 12x19cm, broché.
Edition originale sur papier courant, il n'a été tiré que 5 Hollande. Une reproduction d'un portrait de J. Drouet en frontispice. Exemplaire complet du catalogue de l'éditeur in-fine. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Calmann-Lévy, 1947. In-12, broché, 222 pp.
Edition originale sans grand papier. Exemplaire du S.P. Envoi autographe de l'auteur à l'écrivain Richard Borel. Photos sur demande.
Importante lettre datée du 21 décembre 1971 à la veille de l'adaptation de son roman Les Gens de Mogador. en feuille Très bon Avignon 1971
édition originale
Importante lettre à en-tête de la Compagnie du Peyrou (Montpellier) datée de 1947 à la veille de la publication de son roman Les Gens de Mogador. Elle fait une tournée théatrale en Algérie; projet de parfum avec Carven … en feuille Très bon Avignon 1947
édition originale
Importante lettre à en-tête de la Compagnie du Peyrou (Montpellier) . Elle signe alors de son nom Renée (Guérin). À propos de théâtre … en feuille Très bon Avignon 1947 ?
édition originale
Poème dactylographié et dédicacé d'Élisabeth Barbier, l'auteur des gens de Mogador. On joint une correspondance avec la maison d'édition Pierre Seghers refusant ces manuscrits … Le poème a été recollé au scotch. en feuille avec enveloppe. moyen Avignon 1942
édition originale
Editions du "Gargaillou", Chateauroux 1930-1931, 19,5x28,5cm, 5 volumes brochés.
Edition originale, un des 1500 exemplaires sur papier surglacé. Envoi autographe signé de Laurian Touraine enrichi de la signature d'Emile Barbillat à l'auvergnat Robert Garric : "... en gage de l'amitié qui unit Berry et Massif Central..." Ouvrage orné d'illustrations d'artistes berrichons, couvertures illustrées par Bernard Naudin. Rousseurs marginales sur les plats, premier plat du deuxième volume marginalement défraîchie, premier plat du cinquième volume défraîchi. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Librairie Furne,Jouvet et Cie 1883.Reliure percaline rouge plolychrome in-8 illustrée,352 pp.,Ouvrage illustré de 87 compositions par Emile Bayard, Couturier, Ch. Jacque, Adrien Marie Vogel, etc.. Tranches dorées,quelques claires rousseurs.Bon état.Édition originale.d05
Paris, Flammarion, 1919. In-12, demi-percaline à coins, couvertures et dos conservées, 290 pp.
Première édition (il a été tiré de cet ouvrage 250 ex sur Hollande). Photos sur demande.
Paris, Flammarion, 1926, in-12, broché, 246 pages. Edition originale. Un des 50 exemplaires numérotés sur vergé pur fil Lafuma (n°62), deuxième papier après 15 Hollande. Deux des trois récits du recueil appartiennent à la science-fiction (Versins).
EDITION ORIGINALE SUR GRAND PAPIER
Flammarion, Paris 1927, 12x19cm, relié.
Edition originale, un des 140 exemplaires numérotés sur vergé pur fil, seuls grands papiers après 60 vergé d'Arches. Reliure en demi chagrin rouge à coins, dos à quatre nerfs sertis de filets noirs, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque. Agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Librairie Ernest Flammarion 1927 In-12. Reliure d’époque demi-chagrin rouge, couvertures et dos d’origine conservés, dos à 4 nerfs ornés de roulette dorée, caissons ornés de cadres dorés, pièces d’auteur et titre maroquin noir, tête dorée. 249 pp. Bel exemplaire bien relié.
édition originale. 1 des 1000 exemplaires sur papier Alfa. Bon état d’occasion