Nrf | Paris 1930 | 17 x 23 cm | broché
Edition originale, un des 109 ex numérotés sur Lafuma Navarre et réimposés dans le format in-quarto tellière, tirage de tête. Très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard, 1932 In-8° de 254 pp., + (1)f.,
1/297 exemplaires sur papier vélin pur Lafuma-Navarre destinés aux Amis de l'Edition Originale. Seul grand papier. Le nôtre le étant le 142. "En Zulfu, le lecteur de Bedel trouvera une héroïne qui, paradoxalement, parvient à trouver en France le moyen d'échapper à la vague de, changements qui submerge l'ancien régime ottoman ! Belle occasion pour Bedel, de brocarder les effets pervers de ce Progrès que l'homme, en sa grande mégalomanie, ne parvient pas à maîtriser (comme dans Voyage de Jérôme aux Etats-Unis d'Amérique), et de prôner sa chère Touraine (particulièrement, dans Molinoff - Indre-et-Loire ou La Nouvelle Arcadie). C'est le porte-parole de l'auteur, Hubert, qui condamne ce qui est à l'origine de la destruction de l'environnement. Selon Amédée (alias Ahmed), le narrateur, " la science et la philosophie (sont) la véritable parure de la femme ". Aussi déplore-t-il que Zulfu, la fille de son maître, cache ses cheveux " sous une sorte de turban de soie noire " qui lui donne " l'aspect d'une femme des temps passés ", mais il doit bien reconnaître que, " ainsi parée, Melle Zulfu [est] bien jolie " AA124
Grasset | Paris 1913 | 11.50 x 18.50 cm | relié
Edition originale publiée sous le pseudonyme de Gabriel Senlis, un des exemplaires du service de presse imprimés sur vergé, il n'a été tiré de 5 Hollande en grands papiers. Reliure en demi maroquin orange à coins, dos à quatre nerfs orné d'un motif floral doré, nom de l'auteur et pièce de titre de maroquin bleu marine, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier gris, couvertures et dos conservés, tête dorée. Envoi autographe signé de Gabriel Senlis à Georges Normandy. Belle couverture illustrée en couleurs par J. Gosé. Quelques petites rousseurs sans aucune gravité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pour les amis du docteur Lucien-Graux | Paris 1930 | 14 x 19.50 cm | broché
Edition originale, un des 125 exemplaires numérotés sur vélin, seul tirage avec 25 Japon. Ouvrage illustré d'un frontispice et de lithographies originales de Maurice Berdon. Quelques piqûres affectant principalement les gardes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Seghers | Paris 1963 | 13.50 x 16 cm | broché
Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de l'auteur à Jacques Perrey. Une petite tache sans gravité sur la page de garde, une trace de pliure sur le deuxième plat. Iconographie, de la collection 'Cinéma d'aujourd'hui'. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Les éditions Prisma | Paris 1951 | 16.50 x 20 cm | reliure de l'éditeur
Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage sable, dos lisse, exemplaire complet de sa jaquette qui comporte de très légères déchirures marginales sans gravité. Très bel exemplaire. Préface d'Orson Welles, iconographie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Club Lorca | Barcelona 1967 | 14 x 18.50 cm | broché
Edition originale sur papier courant. Agréable exemplaire malgré le dos et les plats légèrement et marginalement insolés. Envoi autographe signé de Maurice Bitter à son ami le poète Charles Dobzynski, une précision manuscrite de Maurice Bitter page 17. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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GLM | Paris 1939 | 19.50 x 28.50 cm | en feuilles
Edition originale, un des 25 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête. Dos et plats très légèrement et marginalement insolés et décolorés comme généralement. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions le Cormier / Bruxelles 1949. In-12 broché non paginé au format 13,4 x 17 cm. Couverture rempliée avec titre imprimé. Dos carré muet. Plats et intérieur frais. Exemplaire non coupé. Superbe frontispice et 3 gravures hors texte par René Mels. Un des 20 exemplaires numérotés sur vélin ordinaire ( n° 65 ), réservés aux bibliothèques, après 190 sur vélin blanc. Edition originale en état proche du neuf, ornée d'une belle dédicace autographe, signée, de l'éditeur Fernand Verhesen, à Luc Decaunes. L'éditeur signe aussi au nom de l'auteur. Rare et belle provenance.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
1946 | 20.90 x 13.70 cm | en feuilles
Manuscrit autographe de l'auteur de seize pages et demi in-8 publié dans le numéro 20 (octobre 1946) de L'Arche et repris, légèrement retouché, dans La Part du Feu (1949). Manuscrit recto-verso complet, à l'écriture très dense, comportant de nombreux ratures, corrections et ajouts. L'Adolphe de Benjamin Constant, qui fut l'un des prestigieux collaborateurs du Journal des débats à l'époque de sa grandeur, intéresse Maurice Blanchot au moment même où celui-ci débute une relation passionnée avec Denise Rollin, ancienne maîtresse de Georges Bataille. Plus encore, «Adolphe ou le malheur des sentiments vrais» est un des rares textes de Blanchot ainsi consacré au désir amoureux: «On trouve presque à chaque page dans Adolphe la description des sentiments dont la cause a beau se renverser, tout les renvoie à eux-mêmes, tout en confirme la fatalité.C'est que le point est atteint où la diversité des évènements et tout l'infini du monde répètent inlassablement le mouvement en cercle dans lequel s'est enfermé le cur avide de vérité. » Afin d'étayer son analyse, Blanchot choisit de comparer l'approche de Constant à celle d'autres écrivains, et notamment à celle de Proustdans la Recherche : «[...] Proust ne désire pas cette absence comme le mouvement de toute communication, ainsi que le fait Constant: il ne la désire même pas, mais c'est elle qui lui rend un être désirable en le faisant souffrir de ne pouvoir l'atteindre.[...] Proust aime parce qu'il souffre, et il souffre de sentir tout ce qu'il y a d'absence dans une présence toujours fuyante; mais c'est aussi, à cause de cette absence, que cette présence fonde des rapports véritables. Constant commence à aimer lorsqu'un être particulier éclaire, aimante tout le vide qui le sépare des autres et que la possession est loin de restituer sous la forme de l'inconnu. Dès que, par un engagement trop exigeant, la possibilité de ses relations avec tous qu'il a voulu vivre avec une personne unique est épuisée, il étouffe, il succombe. Il a besoin d'être libre, mais il est toujours lié. » Le biographe de Blanchot verra dans cette conception d'Adolphe le reflet de ses propres sentiments à l'égard de Denise Rollin (BIDENT Christophe, Maurice Blanchot: partenaire invisible, p. 275). Belle étude sur la passion et le désir à travers l'uvre de Benjamin Constant. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. [ Paysage dimanche] | s. l. [Paris] s. d. [1945] | 11.50 x 22 cm | 3 pages 1/2 in-4
Manuscrit autographe de l'auteur de 3 pages et demie in-4 publiée dans le numéro 23 du 18 Novembre 1945 du Paysage Dimanche. Manuscrit complet à l'écriture très dense, comportant de nombreuses ratures, corrections et ajouts. Chronique littéraire de l'oeuvre d'André Dhôtel. On joint le tapuscrit complet. Lorsque l'apôtre du silence de la littérature parle du romancier de l'invisible, cela donne une étrange apologie d'une oeuvre « destinée à sauver [...] l'essence du romanesque, sa vie pure et secrète », « passionnante jusque dans sa monotonie, selon le rythme des plus belles histoires romanesques où il ne se passe rien, mais où l'imprévu est toujours imminent. » Entre avril 1941 et août 1944, Maurice Blanchot publia dans la "Chronique de la vie intellectuelle" du Journal des Débats 173 articles sur les livres récemment parus. Dans une demi-page de journal (soit environ sept pages in-8), le jeune auteur de "Thomas l'obscur" fait ses premiers pas dans le domaine de la critique littéraire et inaugure ainsi une oeuvre théorique qu'il développera plus tard dans ces nombreux essais, de "La Part du feu" à "L'Entretien infini" et "L'Écriture du désastre". Dès les premiers articles, Blanchot fait preuve d'une acuité d'analyse dépassant largement l'actualité littéraire qui en motive l'écriture. Oscillant entre classiques et modernes, écrivains de premier ordre et romanciers mineurs, il pose, dans ses chroniques, les fondements d'une pensée critique qui marquera la seconde partie du XXe. Transformé par l'écriture et par la guerre, Blanchot rompt, au fil d'une pensée exercée "au nom de l'autre", avec les violentes certitudes maurassiennes de sa jeunesse. Non sans paradoxe, il transforme alors la critique littéraire en acte philosophique de résistance intellectuelle à la barbarie au cur même d'un journal "ouvertement maréchaliste": "Brûler un livre, en écrire, sont les deux actes entre lesquels la culture inscrit ses oscillations contraires" (Le Livre, In Journal des Débats, 20 janvier 1943). En 2007, les Cahiers de la NRF réunissent sous la direction de Christophe Bident toutes les chroniques littéraires non encore publiées en volumes avec cette pertinente analyse du travail critique de Blanchot : "romans, poèmes, essais donnent lieu à une réflexion singulière, toujours plus sûre de sa propre rhétorique, livrée davantage à l'écho de l'impossible ou aux sirènes de la disparition. (...) Non sans contradictions ni pas de côté, et dans la certitude fiévreuse d'une uvre qui commence (...) ces articles révèlent la généalogie d'un critique qui a transformé l'occasion de la chronique en nécessité de la pensée." (C. Bident). Les manuscrits autographes de Maurice Blanchot sont d'une grande rareté. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1942 | 14.50 x 21 cm | broché
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux et émouvant envoi autographe signé de Maurice Blanchot à son frère, sa belle-soeur et ses neveux : "Qui m'a tué mon mort, c'est là ce que je demande. H. von Kleist" (citation de Penthésilée). Dos et plats légèrement et marginalement insolés sans gravité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1942 | 14 x 20.50 cm | relié
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Reliure en demi maroquin cerise, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos insolé conservés, tête dorée, élégante reliure signée de P. Goy & C. Vilaine. Très bel et précieux envoi autographe signé de Maurice Blanchot à son frère René et sa femme Inge : "Un bonze demanda un jour au bonze Sozan Daishi : Qu'est-ce quiest le plus précieux au monde ? / N'importe quoi, une charogne, latête d'un chat mort, répondit Sosan Daishi. / Pourquoi? Parcequ'on ne peut l'évaluer. Zenso Mondo. / Pour René et Inge en toute affection. Maurice."Bel exemplaire parfaitement établi d'une émouvante provenance. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1942 | 14 x 20.50 cm | broché
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux et bel envoi autographe signé de Maurice Blanchot à Gaston Gallimard : "... ce livre qui lui doit deux fois l'existence. / Quand je contemplai ceci, je soupirai et dis en moi-même : certainement l'homme est un balai. Swift" Un accroc restauré en tête du dos légèrement insolé, papier jauni marginalement sur certaines pages comme généralement. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1942 | 14.50 x 21 cm | broché
Edition originale, un des 13 exemplaires numérotés sur vélin pur fil Lafuma-Navarre, seuls grands papiers. Bel exemplaire tel que paru. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1942 | 14 x 20.50 cm | broché
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Très précieux et émouvant envoi autographe daté et signé de Maurice Blanchot à sa mère et à sa soeur : "Personne ne reçoit tant de Dieu que celui qui est entièrement mort. Saint Grégoire. Pour sa chère maman et sa vieille Marg, en toute affection. Maurice." Une petite déchirure recollée en pied du premier plat. Exemplaire complet de son prière d'insérer. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Les Editions de Minuit | Paris 1983 | 14.50 x 19 cm | broché
Edition en partie originale, un des 97 exemplaires numérotés sur Arches, seuls grands papiers. Rare et très bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1er Mai 1963 | 13.50 x 21.50 cm | broché
Edition originale. Autres contributions de J. Chardonne "Liaisons", A. Metraux & F. Schulman "Jeux du sexe et de la mort dans le Vaudou", J. Tanizaki "Le tatouage", R. Cailleux, R. Caillois "Ecorchés et squelettes"... Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1951 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale, un des 55 exemplaires numérotés sur pur fil, le nôtre portant le N°1, seuls grands papiers. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1951 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Agréable exemplaire en dépit du dos très légèrement insolé. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1951 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale, un des 55 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Bel exemplaire en dépit du dos très légèrement jauni sans gravité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. s.d. (ca 1965) | 10 x 7.50 cm | une feuille + une enveloppe
Bristol autographe de Maurice Blanchot à sa nièce Annick, 5 lignes à l'encre noire. Enveloppe manuscrite jointe. "Pour Annick (sur l'enveloppe), ce livre ne t'apportera rien de consolant, mais du moins reçois-le comme le témoignage de mon affection qui ne te manquera pas, aussi longtemps que vivre sera possible - et peut-être, au-delà, par le souvenir." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1953 | 12.50 x 19 cm | broché
Edition originale, un des 45 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Agréable exemplaire malgré deux décharges de papier adhésif avec infimes manques de papier sur la première garde. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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José Corti | Paris 1942 | 14.50 x 20.50 cm | broché
Edition originale, un des 350 exemplaires numérotés sur vergé d'Arches, seuls grands papiers. Rare et agréable exemplaire du premier essai critique et second livre de Maurice Blanchot après Thomas l'Obscur. Provenance : bibliothèque de Maurice Blanchot. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1981 | 11 x 18 cm | broché
Edition originale parue uniquement en format poche et pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers, un des exemplaires du service de presse. Emouvant et précieux envoi autographe signé de Maurice Blanchot à sa soeur Marguerite sur une carte encollée sur la première garde : "Chère Marg, ce livre qui n'est pas un livre mais qui te dit en ces jours si sombres, ma fidèle, ma profonde affection. Maurice." Enveloppe portant l'adresse de Marguerite Blanchot rédigée par son frère Maurice encollée sur la page de faux-titre.Marguerite Blanchot, organiste de renom à la cathédrale de Chalon, demeura toute sa vie dans la maison familiale, avec sa mère et sa tante. "Elle deviendra peu à peu, pour la famille, comme la mémoire des origines." Très proche de Maurice, elle correspond régulièrement avec l'écrivain qui lui témoigne une grande reconnaissance pour son dévouement envers leur mère impotente. Si l'intense affection de Blanchot pour sa mère et sa soeur transparait dans les dédicaces de celui-ci, on ne sait presque rien de leurs relations. Dans l'unique essai biographique sur Blanchot, Christophe Bident nous révèle cependant : "Marguerite Blanchot vénérait son frère Maurice. Très fière de lui, (...) elle attachait une grande importance à ses idées politiques (...). Elle lisait beaucoup (...) Ils se téléphonaient, correspondaient. A distance, ils partageaient la même autorité naturelle, le même souci de discrétion." Blanchot lui adresse en effet de nombreux ouvrages provenant de sa bibliothèque, maintenant avec elle un lien intellectuel continu. Une trace de pliure marginale en pied du premier plat. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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