( Marcel Pagnol ) - Norbert Calmels - Louis Amade - Raymond Castans - Gaston Bonheur - Albert Cohen - Jean Dutourd - André Roussin - Georges Simenon - Antoine Blondin - Maurice Druon - Tino Rossi.
Reference : 31212
(1967)
Crédit Commercial de France 1979. In-4 cartonnage éditeur, pleine toile bleue, à l’italienne, non paginé, au format 30,5 x 24,5 m. Couverture avec signature embossé, de Marcel Pagnol en fac-similé. Portrait photographique de Marcel Pagnol en frontispice. Hommages adressés à Marcel Pagnol, reproduits en fac-similés, dont : Louis Amade, Raymond Castans, Gaston Bonheur, Albert Cohen, Jean Dutourd, André Roussin, Georges Simenon, etc. Bien complet du tiré à part de 8 pages avec les textes des retardataires : Antoine Blondin, Norbert Calmels, Maurice Druon et Tino Rossi. Edition originale en très bel état général et en petit tirage.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Grasset | Paris 1958 | 14.50 x 19.50 cm | broché
Edition originale de la traduction française en vers établie par Marcel Pagnol, un des 32 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Couverture illustrée d'un bois d'Aristide Maillol. Légères traces d'insolation en tête et en pied du dos, agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions de la Différence | Paris 1982 | 20 x 27 cm | 2 volumes brochés sous étui plastifié
Edition originale. Exemplaire complet de son étui en plastique qui comporte de petits manques. Ouvrage illustré de reproductions d'oeuvres de Paul Delvaux. Envoi autographe signé de Marcel Paquet à Georges Raillard. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions de la Différence | Paris 1982 | 20 x 27 cm | 2 volumes brochés sous étui plastifié
Edition originale. Exemplaire complet de son étui en plastique qui comporte de petits manques. Ouvrage illustré de reproductions d'oeuvres de Paul Delvaux. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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24 planches hors texte. Catalogue des peintures , dessins et tapisseries.Très recherché. 1/2 basane havane, dos à nerfs, couvertures conservées, non rogné. Reliure moderne. très bon Paris Plon s.d. 1 volume in-8°.
édition originale
Fontaine | Paris 1946 | 11.50 x 14 cm | broché
Edition originale, un des 25 exemplaires hors commerce sur papier vert, tirage de tête avec 25 Arches. Couverture illustré par Mario Prassinos. Marges très légèrement et marginalement éclairices sans gravité. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Fontaine | Paris 1945 | 11.50 x 14 cm | broché
Edition originale, un des 250 exemplaires numérotés sur vélin blanc, seuls grands papiers après 25 vergé d'Arches et 25 hors commerce. Couverture illustrée par Mario Prassinos. Dos légèrement insolé comme généralement. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nouvelles éditions latines | Paris 1966 | 14.50 x 22.50 cm | broché
Edition originale, un des 25 ex numérotés sur pur fil, seuls grands papiers. Couverture illustrée. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Grasset pour le volume I Gallimard pour les suivants | Paris 1913-1927 | 12 x 19 cm | 13 volumes brochés
Édition originale pour chacun des volumes. Bel exemplaire deDu côté de chez Swann en édition originale de second tirage comportant toutes ses caractéristiques (premier plat à la date de 1913, présence de la table des matières, absence du catalogue in fine) ; exemplaire, en édition originale portant la mention de quatrième édition pour À l'ombre des jeunes filles en fleurs (portant le bon achevé d'imprimer du 30 novembre 1918); bien que portant le même achevé d'imprimé du 30 novembre 1918, les 128 exemplaires réimposés ne seront imprimés qu'un an plus tard, avec les grands papiers de la réédition de Swann ; pour les 11 volumes suivants, exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers avec les réimposés. L'édition originale complète deLa Recherche du temps perdu comprend les deux premiers volumes sur papier ordinaire avec les particularités mentionnées ci-dessus, puis des exemplaires de luxe pour les volumes suivants. Ces exemplaires de luxe sur pur-fil sont de même format que les deux premiers volumes. Restaurations avec manques comblés sur le dos et les plats du premier volume et du deuxième, dos du troisième volume bruni, petites déchirures ou légers manques sans gravité en pied de certains dos, second plat du cinquième volume partiellement insolé, quelques rousseurs sur la tranche du sixième volume, ex-libris manuscrits en angles supérieurs droits du premier plat et de la page de titre du premier volume. Cette collection complète de La Recherche comprend les titres suivants : Du côté de chez Swann, A l'ombre des jeunes filles en fleurs, Le Côté de Guermantes (2 volumes), Sodome et Gomorrhe (3 volumes), La Prisonnière (2 volumes), Albertine disparue (2 volumes) et Le Temps retrouvé (2 volumes). Bel ensemble tel que paru intégralement en édition originale. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1918 | 12.8 x 19.5 cm | Relié
Edition originale sur papier courant, premier tirage sans mention d'édition, comportant le bon achevé d'imprimer du 30 novembre 1918.Les 128 grands papiers ne seront tirés que six mois plus tard pendant l'été 1919. Taches claires en marges des gardes blanches, petits manques et pâle mouillure sur la page de titre et les pages suivantes, Un défaut naturel de papier en marge des pages 339-340, provoquant une pâle tache bleutée pris dans la trame. Reliure en demi maroquin vert sapin à coins, dos à cinq nerfs sertis de filets noirs, date dorée en queue, plats de papier oeil-de-chat, gardes et contreplats de papier peigné, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure de l'époque signée Huser. Rare exemplaire à grande marge de ce chef d'oeuvre de la littérature, premier prix Goncourt de la maison Gallimard. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1927 | 17 x 22 cm | broché
Edition originale, un des 129 exemplaires numérotés sur vergé Lafuma Navarre et réimposés au format in-quarto tellière, tirage de tête. Bel exemplaire tel que paru. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1927 | 17 x 22 cm | broché
Edition originale, un des 129 exemplaires numérotés sur vergé Lafuma Navarre et réimposés au format in-quarto tellière, le nôtre, un des exemplaires de passe non justifié, tirage de tête. Une minuscule tache en pied du second plat. Bel exemplaire tel que paru. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1927 | 17 x 22 cm | broché
Edition originale, un des 129 exemplaires numérotés sur vergé Lafuma Navarre et réimposés au format in-quarto tellière, tirage de tête. Trois petites déchirures et un pli en pied du premier plat et une déchirure en pied du dos ridé. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1954 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale, un des 515 exemplaires numérotés sur vélin pur fil, seuls grands papiers après 16 Japon et 85 Hollande. Infimes piqûres sans gravité sur le dos. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions de Fallois | Paris 1992 | 14 x 19.50 cm | broché
Edition originale, un des 50 exemplaires numérotés sur vélin pur chiffon de Lana, seuls grands papiers. Très bel exemplaire. Texte établi, présenté et annoté par anne Borrel et Jean-Pierre Halévy. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1920 | 14 x 19 cm | broché
Edition originale sur papier courant, fausse mention de troisième édition, complet du bifeuillet d'errata. Discrètes restaurations sur le dos, bel exemplaire tel que paru. Précieux envoi autographe signé de Marcel Proust au dramaturge Jacques Darval : "à Monsieur Jacques Darval / Hommage reconnaissant / Marcel Proust". Darval, de son vrai nom Louis Valeton,est l'auteur de plusieurs pièces de théâtre et d'un grand nombre de spectacles de revues de danse dans les années 1920. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. s. d. [ca 1907] | 12.60 x 20.40 cm | 3 pages sur un double feuillet
Lettre autographe signée de Marcel Proust, probablement adressée à Madame Catusse. La destinataire ainsi que la date de la missive ont été déterminées par Jean-Yves Tadié. Trois pages rédigées à l'encre noire sur un bifeuillet de papier blanc bordé de noir. Une pliure transversale inhérente à l'envoi. Sombre et admirable missive empreinte de mélancolie proustienne, alors que le futur auteur de la Recherche ressent plus que jamais les affres du deuil de sa mère dont le souvenir est ravivé au passage de la nouvelle année. L'écrivain à la générosité légendaire charge également sa fidèle confidente, Madame Catusse d'acheter un cadeau au couple Straus, dont l'épouse a inspiré le personnage de la Comtesse de Guermantes. La fin 1907, date présumée de cette lettre faisant allusion au Nouvel An approchant, marque le deuxième réveillon passé sans Madame Proust, décédée deux ans auparavant : « Le jour de l'an n'est qu'une occasion pour moi comme s'il était besoin d'occasions ! de me souvenir et de pleurer ». Ce sentiment a été évoqué l'année précédente dans une lettre à Anna de Noailles (« le jour de l'an a eu sur moi une puissance d'évocation terrible. Il m'a tout d'un coup rendu les mémoires de Maman que j'avais perdues, la mémoire de sa voix », février 1906). Ce moment fatidique agira sur Proust comme une pernicieuse madeleine, à la fois réminiscence sensorielle et conscience aiguë du manque de l'être aimé.Il débutera bientôt l'écriture de la Recherche afin de conjurer par les mots cette figure maternelle dont l'absence demeurera insoutenable. Pour l'heure, Proust est en prise à ses éternelles crises d'asthme « provoquées ou exaspérées par ces brouillards terribles » qui le forcent à la réclusion et même au silence : « le téléphonage m'est très périlleux. Et je suis aussi très fatigué pour écrire ». Il s'attelle à l'écriture d'une série de Pastiches pour le Figaro « qui n'étaient, en réalité, qu'un avant-dernier détour avant l'écriture de la Recherche » (George D. Painter). L'un de ces Pastiches portait sur l'escroquerie subie par le président de la maison De Beers, dont Proust possédait des actions. S'imaginant déjà ruiné, il mentionne ses revers de fortune en lettres capitales « VOUS AI-JE RACONTE PAR TÉLÉPHONE MES DÉSASTRES FINANCIERS ? ... » Amie de la mère de Proust, la destinataire Mme Catusse est un soutien précieux pour l'écrivain. La prolifique correspondance de Proust avec celle que Ghislain de Diesbach surnomme sa « Notre-Dame-des-Corvées » représente une ressource inépuisable de connaissances sur sa vie secrète, ses peurs et ses tergiversations. Proust l'appela affolé lors d'une crise d'aphasie dont fut victime sa mère peu avant sa disparition. Alors que son isolement se fait toujours plus grand après son installation au 102 boulevard Haussmann l'année précédente, Proust sollicite l'aide de celle-ci dans de nombreuses affaires, notamment l'achat de fameux cadeaux : « J'aurais voulu vous demander si vous n'avez par hasard rien vu pouvant convenir aux Straus, quoique cela me déplaît toujours de coïncider avec le jour de l'an ». Ce sentiment inspirera un passage de La Prisonnière fustigeant ces mêmes « cadeaux du premier janvier » offerts à Madame Verdurin : « objets singuliers et superflus qui ont l'air de sortir de la boîte où ils ont été offerts et qui restent toute la vie ce qu'ils ont été d'abord [...] ». Connu pour ses frénétiques démonstrations de prodigalité, Proust surmonte ici son aversion pour ces cadeaux de circonstance. Le moindre service rendu à l'écrivain donnait en effet lieu à d'extravagantes dépenses auxquelles les époux Straus n'échappent pas. Avocat de son état, Emile Straus avait sans doute assisté l'écrivain dans ses affaires de succession : « je sens que les services répétés que m'a rendus M. straus ne peuvent rester sans remerciements, puisque je crois qu'il n'accepterait pas d'honoraires. Si vous aviez vu par hasard quelque chose de très joli, dans quelque genre que ce soit,
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s. l. s. d. [1908 ou 1919 ?] | 11.60 x 17.80 cm | 4 pages sur un feuillet remplié
Lettre autographe signée de Marcel Proust à Maurice de Fleury, psychiatre et homme de lettres célèbre proche d'Émile Zola, qui a écrit un recueil de nouvelles ainsi que divers ouvrages médicaux sur la neurasthénie, l'insomnie, l'épilepsie. Quatre pages sur un double feuillet filigrané "Island Mill" bordé de noir. Traces de pli inhérentes à l'envoi. Publiée dans Kolb, VIII, n°32, p. 74-75. Superbe lettrevantantles mérites du pastiche littéraire, par l'un des plus grands écrivains du genre : Marcel Proust. L'écriture de la missivepeut coïncider avec la parution de sa série de pastiches sur l'Affaire Lemoine (escroquerie montée par un ingénieur français de ce nom, qui se prétendait capable de fabriquer des diamants authentiques), en première page du supplément littéraire duFigaroentre 1908 et 1909, ou bien dater de sa publication en volume, sous le titrePastiches et mélanges,en 1919. La lettre autographe est présentée sous une chemise en demi maroquin bleu nuit, plats de papier marbré à motif oeil de chat,contreplats doublés d'agneau beige, étui bordé du même maroquin. Proust remercie chaleureusement son ami Maurice de Fleury, «savant et écrivain», pour sa favorable réception de ses «petits pastiches»: «Votre double mérite devrait vous rendre doublement sévère : et vous excusez le pastiche, ce genre inférieur!», reconnaissant avec ironie la place encore précaire qu'occupait ce genre inhabituel, bien que populaire du temps de Proust. Le pastiche était davantage perçu comme une fantaisie stylistique ou même un exercice d'étudiant qu'une véritable création digne des belles lettres. L'écrivain le considère pourtant ici comme une rafraîchissante addition à la stricte hiérarchie des genres qui prévaut encore: « Manié pourtant par vos mains plus belles que les miennes, il me semble qu'il pourrait peut-être devenir comme une forme indirecte, plus discrète, plus frêle et plus élégante de critique littéraire. Des esprits très fiers pourraient s'y adonner, et des esprits très fins. comme le vôtre, très attraché par la grandeur, le sérieux, le devoir, aussi sage, pourrait s'y plaire, suivre ces jeux.»Proust revendique par ces mots l'intérêt du«pastiche critique», dontla tradition était déjà bien établie, agissant comme une analyse empirique du style d'un auteur. Depuis ses années à Condorcet, l'écrivain le pratique assidûment, avec,selon ses dires,plus ou moins de succès: «J'ai été aussi quelques fois à faire des pastiches de littérature médicale! Si j'avais pu les retrouver, ou les recommencer (mais tout cela est trop loin) je les aurais publiés si j'avais su que vous lisiez cela pour vous amuser. Je n'ai pas besoin de vous dire que jugé inimitable, vous n'y figuriez pas. Mais [] d'autres sont moins parfaits et joignaient à des qualités bien intéressantes, des petits défauts dont l'imitation et la caricature étaient possibles» Le pastiche aura de multiples vertus pour l'écrivain, et son usagel'aida sans nul douteà affiner son propre style. L'exercice dépassera bientôt les confins de la critique littéraire, comme le remarque Paul Aron: «Il n'est pas faux d'affirmer que la Recherche est un gigantesque pastiche du discours social fin de siècle.» Son grand uvre contiendra en effet des pastiches à divers degrés :leur manifestation la plus remarquable étant sans doute unevraie-fausse citationdu«journal inédit des Goncourt», passage écrit de toutes pièces par Proust qui apparaît dans Le Temps retrouvé. Exceptionnel témoignage de Proust à proposd'un important procédé de sacréation littéraire,qui nourrira les pages de saRecherche. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Gallimard | Paris 1978 | 12.7 x 20 cm | Broché
Edition originale, un des 81 exemplaires numérotés sur hollande, seuls grands papiers. Bel exemplaire. Préface de Philip Kolb. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1919 | 16.50 x 22 cm | relié
Edition originale, un des 70 exemplaires numérotés sur Lafuma de Voiron et réimposés dans le format in-quarto tellière, seuls grands papiers. Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à cinq nerfs, date dorée en queue, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée Ducluzeau. Ex-libris encollé sur un contreplat. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1919 | 16.50 x 22 cm | broché
Edition originale, un des 70 exemplaires numérotés sur Lafuma de Voiron et réimposés dans le format in-quarto tellière, seuls grands papiers. Dos et plats très discrètement restaurés. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Editions de la Nouvelle Revue Française | Paris 1919 | 13 x 19.20 cm | relié
Edition originale sur papier courant. Il y a eu 70 grands papiers réimposés. Reliure en demi maroquin bordeaux d'époque. Dos à nerfs janséniste. Tête dorée. Couvertures et dos conservés. Légers frottements. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nrf | Paris 1919 | 13 x 19 cm | broché sous chemise-étui
Edition originale sur papier courant en dépit d'une mention de troisième édition. Précieux envoi autographe signé de Marcel Proust à René Boylesve. Notre exemplaire est présenté dans une chemise-étui à rabats en demi maroquin kaki, dos lisse très légèrement éclairci avec indications bibliophiliques dorées en queue, plats de papier marbré, intérieur de papier vert amande. Mouillure angulaire très pâle affectant les premiers feuillets. René Boylesve découvre l'uvre de Marcel Proust en 1913, à l'occasion de la parution du premier volume de la Recherche. D'abord dérouté par l'écriture proustienne, il se montre bientôt dithyrambique: «Notre uvre, à nous, est ruinée par celle-là. Nous avons travaillé en vain. Proust supprime la littérature des cinquante dernières années.» (cité par GERARD-GAILLY Émile, «Note liminaire», dans BOYLESVE René, PROUST Marcel, Quelques échanges et témoignages, 1931, p.24). Quant à Proust, l'admiration à l'égard de son aîné évoquée dans notre envoi n'est pas feinte; ainsi quelques mois avant sa mort louait-il les romans de Boylesve, célébrant non seulement un «art en apparence si simple et qui dit tout» mais aussi «un perfectionnement suprême de technique» (PROUST Marcel, Correspondance, t.XX et XXI, 1991, p. 332 et 778). Les deux hommes n'étaient pas proches mais correspondirent à partir de 1917. En faisant parvenir à Boylesve un exemplaire de ses Pastiches et mélanges, Proust dut le ravir: quand il n'écrivait pas, Boylesve était bibliophile. Ainsi, à propos d'un autre de ses ouvrages, Proust eut cette délicate attention : «J'avais une hésitation en ce qui concerne votre exemplaire. D'habitude, ceux qui sont tirés pour moi sans marque d'édition, sont un peu mieux que les "originales". Cette fois-ci, le "mieux" ne m'apparaît pas; et comme je suis incapable de distinguer le "pur fil" du reste, je ne sais pas, des deux sortes d'exemplaires, ce qui est préférable. [...] Vous seriez mille fois gentil de me dire ce que vous voulez. C'est parce que je vous sais bibliophile que vous écris à propos d'un livre de moi, chose de peu d'importance [...].» (PROUST Marcel, op. cit., t.XXII, p. 156-157) Provenance: Bibliothèque Heilbronn (ex-libris). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1914-22, présentée par Philippe Kolb, édition originale, numéro 58 sur Hollande von Gelder, deuxième papier après 30 Japon, reliure en basane, 1955. Editions Plon. In-8. TBE.
Heugel & Cie Au Ménestrel | Paris 1896 | 28 x 37.50 cm | en feuilles sous couverture
Edition originale de ce rare fascicule, non justifié, et tiréà petit nombre sur vergé de Hollande. Illustré d'un portrait d'Albert Cuyp d'après Maurin. En feuilles sous couverture d'éditeur gris-vert imprimée en noir et rouge, 5 pages de musique lithographiée (Imp. Delanchy), timbre humide de l'éditeur au verso vierge du dernier feuillet. De très petits accrocs en en tête et queue du dos de la couverture souple, exemplaire de toute fraîcheur. Portrait poétique et musical du peintre néerlandais du siècle d'or Albert Cuyp, réalisé à quatre mains par Marcel Proust et Reynaldo Hahn qui accompagne les vers de l'écrivain par une mélodie aupiano. Il s'agit du premier des quatre portraits de peintres que Proust et Hahn admiraient au Louvre (ils consacrèrent les suivants à Paul Potter, Anton Van Dyck et Antoine Watteau). Les luxueux fascicules se vendaient séparément comme indiqué sur la couverture imprimée. Pour chacun d'entre eux, les vers de Proust spécialement composés pour l'occasion sontimprimés en caractères italiques sous des reproductions de gravures anciennes offrant le portraits des peintres évoqués. Les poèmes seront publiés la même année dans l'édition originale des Plaisirs et les Jours. Les mélodies de Hahn furent créées chez Madeleine Lemaire le 28 mai 1895, en présence de prestigieux spectateurs, dont la Princesse Edmond de Polignac, le comte Robert de Montesquiou, José Maria de Heredia auquel les poèmes étaient dédiés, le comte Primoli, ainsi qu'Anatole France. "L'interposition du poème entre la peinture et la musique a donc fait preuve d'un excellent conduit entre les arts grâce au fait que Hahn a respecté scrupuleusement l'esprit du poème tout en préservant son autonomie dans sa composition. Le lien entre la musique et la peinture se révèle après que les autres matériaux s'unissent entre eux ; c'est dans cette alliance que s'opère alors une étonnante complémentarité souhaitée sur la lumière apaisante d'Albert Cuyp" (Nicolas Vardon) Précieux exemplaire de toute rareté, une superbe manifestation de l'immense complicité artistique entre Marcel Proust et Reynaldo Hahn. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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