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‎Jacques LE ROUX - Jean-Pierre GEAY‎

Reference : 85903

(1975)

‎Malgré le temps‎

‎Deswarte Garnier | Lyon 1975 | 15.50 x 21 cm | broché‎


‎Édition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur B.F.K. de rives, tirage de tête. Ouvrage illustré de 4 compositions originales de Jacques Le Roux qu'il a signées au crayon de papier. Bel exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR150.00 (€150.00 )

‎Jacques LOEPER‎

Reference : 24292

(1943)

‎Les sécretions internes du cancer du sein‎

‎Jouve & Cie | Paris 1943 | 16 x 24 cm | broché‎


‎Edition originale. Envoi autographe de Jacques Loeper à un confrère. Ouvrage illustré de 6 planches photographiques hors-texte. Dos passé, sinon agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques-Louis HÉNON‎

Reference : 89157

(1838)

‎Notice sur l'Oxalide de Deppe‎

‎Barret | Lyon 1838 | 19 x 27 cm | Broché‎


‎Edition originale imprimée à petit nombre de cet extrait des Annales des sciences physiques et naturelles, d'agriculture et d'industrie de Lyon, I, 1838, elle est illustrée de 3 planches lithographiées hors-texte dont une repliée. (cf Stafleu, II, 2645. Pas dans Pritzel.) Angle supérieur droit du premier plat restauré. Intéressant exemplaire, enrichi d'un envoi autographe de l'auteur en tête du premier plat : "Hommage à M. Lemaire. Offert par l'auteur". Il pourrait s'agir du botaniste Charles Lemaire (1800-1871), auteur de la Flore des serres et des jardins de l'Europe, et spécialiste des Cactus, plantes dont l'origine est quasi-exclusivement américaine. Petites déchirures et manques smarginaux sur les plats, rousseurs. Rare. * L'Oxalide est une plante ornementale originaire du Mexique, dédiée au naturaliste et explorateur allemand Ferdinand Deppe (1795-1861), qui explora le pays entre 1824 et 1829 et rassembla d'importantes collections d'histoire naturelle pour le Musée de Berlin. Apportée en Angleterre en 1827, cette plante fut introduite en France en 1833 et y fleurit pour la première fois l'année suivante. La présente monographie contient la description du végétal, sa culture, les usages, y compris en gastronomie, puis la bibliographie. Docteur en médecine, botaniste et homme politique lyonnais, Jacques Louis Hénon (1802-1872) était à l'époque directeur de la pépinière départementale du Rhône. Intéressant exemplaire, enrichi d'un envoi sur la couverture : "Hommage à M. Lemaire. Offert par l'auteur". Il pourrait s'agir du botaniste Charles Lemaire (1800-1871), auteur de la Flore des serres et des jardins de l'Europe, et spécialiste des Cactus, plantes dont l'origine est quasi-exclusivement américaine. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques-Louis MOREAU‎

Reference : 36212

(1803)

‎Histoire naturelle de la femme, suivie d'un traité d'hygiène‎

‎Chez L. Duprat Letellier | à Paris 1803 | 12 x 20 cm | 3 volumes reliés‎


‎Edition originale, illustrée de 11 planches dont 7 dépliantes (anatomie, sexe hermaphrodite, hottentote...). Reliure en pleine basane racinée d'époque. Dos lisse orné de caissons à la grotesque. Pièce de titre et de tomaison en maroquin beige. Roulette à froid d'encadrement sur les plats. Mors supérieur fendu en tête du tome I, et inférieur en queue et tête. Un manque en tête du tome III. Assez bon exemplaire, frais. Sans préjugé pour l'époque, et jugeant les choses essentiellement en naturaliste, constatant et rapprochant les faits à sa connaissance, cette histoire de la femme, non seulement à travers l'histoire mais selon les nations (les hotentots sont souvent étudiés) est fascinante à plus d'un titre, notamment parce que l'auteur ne tombe jamais dans un naturalisme pur mais interroge toujours le rapport d'un fait à l'ensemble des composantes de l'être féminin, composantes autant sociales, vestimentaires, culturelles que traditionnelles et physiques,. Le traité d'hygiène formant le troisième volume est un traité physiologique, Moreau analysant les conséquences de cette physiologie sur le comportement, la sensibilité et les particularités féminines. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques Louis VIALLA DE SOMMIÈRES‎

Reference : 89864

(1820)

‎Voyage historique et politique au Monténégro, contenant l'origine des Monténégrins, peuple autocthone ou aborigène, et très peu connu ;‎

‎Alexis Eymery | Paris 1820 | 12.8 x 20.4 cm | 2 volumes reliés‎


‎Edition originale de cet ouvrage rare, qui forme la toute première description en langue française de ce petit canton encore englobé théoriquement dans la domination ottomane - en fait, largement autonome -, et qui paraissait aussi exotique aux Occidentaux du début du XIXe siècle que les coins les plus reculés de la Chine. L'ouvrage est illustré de 13 planches coloriées, dont une grande carte dépliante, deux planches de botanique, deux planches de fêtes, trois vues d'église, et 5 planches de costumes. (cf. Atabey 1286. Lipperheide 1443. Manque à Blackmer et à Colas.) Reliures en demi basane fauve, dos lisses ornés de filets, guirlandes et fleurons dorés, pièces de titre de basane rouge, pièce de tomaison de basane noire, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches mouchetées, reliures de l'époque. Mors fragilisés, charnières frottées fendues, rousseurs éparses. Jacques-Louis-Claude Vialla, dit de Sommières parce qu'il était né dans ce village du Gard (1764-1849), avait été gouverneur de Cattaro (dans les provinces illyriennes alors françaises) entre avril 1811 et avril 1812. C'est à ce titre qu'il reçut en octobre mission officielle d'approcher le Vladika (Prince-évêque) Petar Ier de Monténégro (règne de 1781 à 1830), ancêtre des Pietrovitch-Niégosch, afin de le gagner à la cause de l'Empire. Ce fut la première fois qu'une ambassade occidentale officielle abordait ces régions très isolées, vivant en partie en autarcie, et sa relation, due à la nécessité pour l'auteur de gagner sa vie (la Restauration l'avait placé en demi-solde) est riche de détails intéressants. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MAC CARTHY‎

Reference : 88732

(1819)

‎Voyage à Tripoli, ou relation d'un séjour de dix années en Afrique, contenant des Renseignemens et des Anecdotes authentiques sur le Pacha régnant, sur sa famille, et sur différens personnages de distinction de la cour de Tripoli, ainsi que des Observations sur les moeurs privées des Mores, des Arabes et des Turcs‎

‎P. Mongié aîné | Paris 1819 | 12.5 x 22 cm | 2 volumes reliés‎


‎ Édition originale de la traduction française. réalisée sur la seconde édition anglaise et illustrée de 7 planches hors-texte et d'1 carte dépliante (Gay 1496 bis.) Reliures en demi-basane fauve, dos lisses ornés de frises et de motifs typographiques dorés, pièces de titre de maroquin marron pour le premier, de maroquin rouge pour le second, quelques restaurations et frottements sur les dos et sur les mors, plats de papier à la cuve, coins émoussés, quelques accrocs sur les coupes, reliures de l'époque. Quelques rousseurs, ex-libris encollés sur les contreplats dont les noms ont été proprement grattés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MADAULE‎

Reference : 33211

(1961)

‎Le drame albigeois et le destin français, essai historique. ‎

‎Grasset | Paris 1961 | 14 x 19.50 cm | broché‎


‎Edition originale, un des ex du service de presse. Envoi de l'auteur. Agréable exemplaire complet de son prière d'insérer. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MADAULE‎

Reference : 31593

(1963)

‎Les juifs et le monde actuel‎

‎Flammarion | Paris 1963 | 12 x 18.50 cm | broché‎


‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Iconographie. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MAGNIN‎

Reference : 54650

(1914)

‎La Matinée de printemps. Costumes tailleur de Doucet (pl.36, La Gazette du Bon ton, 1914 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Avril 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MAGNIN‎

Reference : 84699

(1914)

‎La Matinée de printemps. Costumes tailleur de Doucet (pl.36, La Gazette du Bon ton, 1914 n°4)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Avril 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MAGNIN‎

Reference : 89443

(1914)

‎La Matinée de printemps. Costumes tailleur de Doucet (pl.36, La Gazette du Bon ton, 1914 n°4)‎

‎Paris Avril 1914 | 19 x 24.50 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MAGNIN‎

Reference : 54701

(1914)

‎Quel chapeau faut-il mettre ? Robe d'après-midi de Doeuillet (pl.71, La Gazette du Bon ton, 1914 n°7)‎

‎Lucien Vogel éditeur | Paris Juillet 1914 | 18 x 24 cm | une feuille‎


‎Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR100.00 (€100.00 )

‎Jacques MALLET DU PAN‎

Reference : 70010

(1798)

‎Essai historique sur la destruction de la ligue et de la liberté helvétique‎

‎de l'imprimerie de Spilsbury et se trouve chez l'auteur | à Londres 1798 | 13.50 x 21 cm | broché‎


‎Edition originale d'une suite de cinq numéros du Mercure anglais (publié par Du Pan lui-même), avec une préface et des additions. Il y eut en fait 3 éditions à la date de 1798. L'ouvrage dresse un tableau de l'oppression qu'exerça la jeune république française issue de la Révolution sur la confédération helvétique, qu'elle chercha à annexer au territoire français. Exemplaire présenté dans son brochage d'origine aux couvertures grises et muettes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques-Marie, comte de FOLMON ROUZET‎

Reference : 89342

(1814)

‎Explication de l'énigme du roman intitulé: Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans - Exemplaire du roi Louis-Philippe‎

‎Chez les marchands de nouveautés | Vérédishtad [Paris] s. d. [ca 1814] | 14 x 22.3 cm | 4 volumes reliés sous deux étuis‎


‎Édition originale, très rare. "Aucun exemplaire de ce livre imprimé aux frais de la duchesse d'Orléans avant 1814 ne fut distribué de son vivant (Tourneux, Bibl. de l'hist. de Paris pendant la Révolution fr., IV, 21752) Cf Quérard, VIII, 258. Brunet, II, 1136. Tourneux, 21572. Quelques feuillets brunis ou roussis. Reliures à la bradel en plein cartonnage aubergine à l'imitation du maroquin à long grain, dos lisses éclaircis ornés de filets, frises et fleurons dorés, chiffres couronnés dorés en têtes des dos, entièrement non rognés, coiffes légèrement affaissées, quelques accrocs aux coins des tomes 3 et 4, reliures de l'époque. qqs ff. un peu brunis. L'ouvrage est une réplique au libelle infamant de Montjoie, Histoire de la conjuration d'Orléans (1796), qui sera réimprimé et condamné sous le règne de Louis-Philippe. Il a été rédigé par un personnage controversé, homme politique et conventionnel originaire de Toulouse, Jacques-Marie Rouzet de Folmon (1743-1820). Kuscinski (Dict. des conventionnels, pp. 540-541) note que Rouzet avait accompagné la duchesse douairière d'Orléans dans son exil, après l'avoir fait sortir de la prison du Luxembourg. Ils rentrèrent tous deux en France en 1814, et "au dire de Mme Cavaignac, il aurait fini par l'épouser, ce qui aurait presque complètement brouillé la mère avec ses enfants. Rouzet a été enterré à Dreux dans les caveaux de la chapelle de la famille d'Orléans." Provenance : Précieux exemplaire relié pour Louis-Philippe duc d'Orléans, avec son chiffre couronné doré en tête des dos et le cachet de la Bibliothèque du roi, Palais royal sur les pages de titre. La garde du premier volume porte cette indication manuscrite : "à l'armoire des médailles, par o[rdre] du Roi", autrement dit la réserve des livres précieux, ou tenus secrets, de la bibliothèque royale. Rare et agréable exemplaire en cartonnage du temps, entièrement non rogné, bien complet des 3 ff. d'errata reliés à la fin. Les deux derniers tomes ne sont pas coupés. L'ensemble est conservé dans deux étui-boîtes modernes en demi-maroquin à long grain bordeaux, dos lisses ornés de filets. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MARITAIN‎

Reference : 76736

(1939)

‎Quatre Essais sur l'Esprit dans sa condition charnelle‎

‎Desclée Debrouwer & Cie | Paris 1939 | 14 x 20.50 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 10 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête. Décharges de papier adhésif en têtes et en pieds des gardes, sinon agréable exemplaire à toutes marges. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MARITAIN‎

Reference : 77764

(1926)

‎Réponse à Jean Cocteau‎

‎Stock | Paris 1926 | 13.50 x 19 cm | 2 volumes brochés‎


‎Edition originale, un des 30 exemplaires numérotés sur Japon, tirage de tête. Une déchirure recollée en pied d'un mors, dos légèrement bruni. Exemplaire à toutes marges. Envoi autographe signé de Jacques Maritain à mademoiselle Delamain, la fille de son éditeur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MARTIN‎

Reference : 2999

(1952)

‎Moïse, homme de Dieu‎

‎Decroix & Johanet | Paris 1952 | 15 x 24.50 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 250 ex numérotés sur Marais, seul tirage. Illustrations de Pierre Bollaert. Très bel envoi pleine page de l'auteur, une trace de mouillure en pied du premier plat. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MASSOULIER‎

Reference : 4105

(1926)

‎Dans la peau d'Annette‎

‎Nrf | Paris 1926 | 17 x 23 cm | broché‎


‎Edition originale, un des 109 ex numérotés sur Lafuma Navarre et réimposés dans le format in-quarto tellière, tirage de tête. Bel exemplaire malgré une très légère ombre sur le premier plat de couverture. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MAUPAS - (1899-1956), Secrétaire général du Conseil d'État, Spécialiste des questions de droit international.‎

Reference : 46674

(1940)

‎Le III à Reich et son Armée de Jacques MAUPAS - (1899-1956), Secrétaire général du Conseil d'État, Spécialiste des questions de droit international.‎

‎ 1940 PARIS, les Editions internationales , 1940 - Edition Originale -In-8 - Broché - Couverture illustrée -230 pgages - L'ouvrage, portant la date de 1940, n'a été effectivement publié qu'en 1944 - Bel exemplaire‎


‎ - Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

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‎Jacques MERCIER‎

Reference : 31594

(1970)

‎Parti pris pour Israël‎

‎Robert Laffont | Paris 1970 | 12 x 18.50 cm | broché‎


‎Edition originale dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MESRINE‎

Reference : 87298

(1976)

‎"...Enfin cela est un gros poids d'enlevé pour toi. Tu te retrouveras chez toi dans un décor que tu as aimé" Lettre d'amour autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis et adressée à sa compagne Jeanne Schneider pour qui il vient de trouver un logement après sa prochaine libération‎

‎Fleury-Mérogis 21 Septembre 1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 21 septembre1976, 68 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Une pliure horizontale inhérente à la mise sous pli, une petite déchirure en marge droite de la missive au niveau de la pliure. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, s'est arrangé avec sa mère pour qu'elle cède, à son départ de la région parisienne, son appartement de Clichy, à Jeanne Schneider après sa possible liberté provisoire : "J'ai eu un très agréable parloir avec maman. J'ai au moins une bonne nouvelle à t'annoncer. Pour Clichy c'est d'accord... Comme elle va vivre presque tout le temps à la montagne tu auras l'appartement pour toi. Je paierai le loyer. Elle a tout de suite dit d'accord après mon explication... [...] Je me doute de ta joie, de savoir que tu pourras vivre à Clichy - si près de notre papy... toujours présent de par l'amour que nous avons pour lui. Je suis certain que cette petite nouvelle te remonte le moral." Sa fille Sabrina l'inquiète et il pressent qu'il devra se montrer sévère vis à vis de ses écarts de conduite :"De Sabrina rien ! Il y a une chance pour qu'actuellement elle me prépare un "douze" je ne peux t'en parler sur lettre... mais j'ai l'impression que la puce me ment sur certaines choses... elle prend peut-être une route où il va me falloir la plus grande fermeté. J'ai demandé à maman de vérifier si elle va bien à l'école." Des nouvelles de son "filleul" le célèbre braqueur Jean-Charles Willoquet, avec qui il organisa son évasion de la prison de la Santé où ils s'étaient connus, le rendent plus fier : "J'ai reçu la photo du plus jeune détenu de France à savoir mon filleul "Willy Willoquet" dans sa cour de promenade. c'est émouvant et triste à la fois !" La situation de son jeune protégé coupé de tout contact avec ses proches et les gens qui l'aiment, lui rappelle sa propre situation personnelle et les avanies de l'existence isolée d'un prisonnier : "Je me demande comment va réagir Martine quand on va lui enlever ? Enfin c'est le destin qu'elle a choisi et accepté. Elle paie cher le prix de l'amour... Vous le payez toutes "très cher"..." Afin de vite effacer cette morose et implacable vérité, Jacques Mesrine plonge dans l'humour potache et se moque affectueusement des défauts physiques de son amour : "J'espère que la bonne nouvelle va te rendre ton sourire. eh ! la mémé... boutons sur la gueule... ou pas ! Je t'adore... il ne fallait pas flirter avec "voyou" ! C'est lui qui t'as passé cela (sic) nanou d'amour, ton viejo pirate monte à l'abordage de tes lèvres.. et... !! tu coules ! " Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle il fait montre de toute l'intense affection qu'il porte à sa compagne et des forts sentiments dont il entoure les gens qu'il aime. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MESRINE‎

Reference : 84669

(1976)

‎"Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais me défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat !" Lettre autographe écrite depuis la prison de la Santé datée et signée de Jacques Mesrine adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour‎

‎Paris 12 Octobre 1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 12 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine alors incarcéré à la Santé se montre d'une grande tendresse et se dévoile sous un autre jour, celui de l'amoureux affectueux et attentionné : "Bonsoir petite fille...tu aimes bien jouer "au St Bernard", tu ne changeras jamais à ce sujet. C'est toi qui a 7 ans 1/2 de taule et tu dois remonter le moral des "gamines" qui ont joué du calibre !" Il encense et s'étonne un peu de la dévotion de sa compagne pour un couple de jeunes criminels : "Tu me parles d'une sentence de 20 ans pour elle ! tu rigoles ou quoi... elle ne peut pas prendre plus de 8 ans je la vois plutôt avec 5 ou 6, si les choses s'arrangent. Son mari avec 20 ans au maximum." et tente de lui transmettre tout son optimisme, sa pugnacité et de lui remonter le moral : "Tu sais, ma puce; quand tu m'écris que la cause de Michou, est une cause perdue d'avance je ne te comprends plus. Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais me défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat !" Jacques Mesrine évoque également son amour des courses hippiques tout en se targuant d'être un spécialiste des paris : "Oui j'avais joué "Dernier tango" mais seulement à la place. J'avais 2000frs dessus, je gagne donc 6000frs. Ce n'est pas de la chance, mais un savant calcul. Il m'arrive de perdre mais avec ma méthode, je suis obligé d'être gagnant... Forécement pour la suivre il faut un certain capital. J'ai mis plus d'un an à faire tous les calculs de probabilité. Cela doit me rapporter à peu près 7000frs par mois. Net d'impots (sic)..." Il ironise sur sa situation de prisonnier disposant de beaucoup de temps pour échaffauder ses stratégies de gains pécuniaires : "J'ai aussi mis au point une méthode pour le jeu de baccara. Que veux-tu... j'ai le temps de calculer un tac de choses (sic !) Tu me comprends ? ... L'administration aussi ! (resic). " mais déplore son impossbilité à poursuivre l'écriture de l'Instinct de mort : "... je suis actuellement incapable d'écrire une page de mon bouquin... je ne sais pas comment tourner ce passage-là... enfin je vais bien trouver la solution." Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute d'espoir et d'avenir et toute empreinte d'une certaine innocence: "Nanou d'amour. Votre futur "z'époux" qui pour l'instant n'est que votre "vieil amant" pose ses lèvres sur les tiennes en une douce caresse amoureuse... Te quiero & EL VIEJO." Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le découvre animé d'une grande bienveillance, d'un tendre amour pour son aimée et... les courses hippiques. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MESRINE‎

Reference : 84900

(1976)

‎"j'ai eu la visite du juge Madre. Tu aurais rigolé, car il a eu droit à tout mon vocabulaire..." Belle lettre autographe datée et signée de révolte de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis adressée à sa compagne Jeanne Schneider‎

‎Fleury-Mérogis 2 Décembre1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 2 Décembre 1976, 65 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se sent mal et démuni loin de sa compagne et de toute chaleur humaine : "Ce soir je suis très mal foutu... il est 19 heures et je me couche juste après la fin de ta lettre... de rien de grave... juste une grande fatigue (à rien faire)" En bon père, Jacques Mesrine se réjouit du bonheur de sa fille : "Je suis heureux que sa veste lui plaise... de plus c'est la mode... son Loïc chéri ne va plus la reconnaître..."et ne se montre pas plus étonné et plutôt amusé que sa fille veuille embrasser la religion juive : "Comme cela la puce veut prendre la religion juive... encore une idée à elle... oui je sais elle a fait croire à ses copains qu'elle était juive... car eux l'étaient...si cela l'amuse je la laisse libre... mais ça démontre aussi un dédoublement de personnalité..." L'ennemi public N°1 évoque avec une certaine fierté sa dernière confrontation avec son juge, farouche revanche de l'insoumis contre l'univers pénitentionnaire qui broie les hommes : "Aujourd'hui j'ai eu la visite du juge Madre. Tu aurais rigolé, car il a eu droit à tout mon vocabulaire... il en perdait la parole (j'ai pris mon pied (sic)) A un moment il me dit "mais c'est quand même moi qui commande... Réponse de ton bibi : "Ici pédé" c'est moi ton patron". Il était vert et les flics se marraient comme des perdus." et contre toute soumission à une quelconque forme de pouvoir ou de violence : "Le pire que l'on puisse faire à un juge, c'est lui enlever toute autorité devant les autres et crois moi il l'a bien compris. Il était venu avec 5 anti-commandos... L'un avait la bombe de gaz à la main... au cas où? Loin d'être impressionné... cela me rend con..." L'éternel indigné achève sa lettre par un beau témoignage de tendresse pour sa bien-aimée : "Là ma puce je vais prendre mon lit en marche...Ton vieux voyou pose ses lèvres sur le tiennes en une douce caresse d'amour. je t'adore petite fille... car nous sommes réellement le "couple" et plus encore. Bonne nuit chaton." Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine toute empreinte de révolte et d'insoumission. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MESRINE‎

Reference : 84675

(1976)

‎"J'ai reçu une lettre de Betty qui me remercie, car je lui ai offerte une mobylette. Pourquoi me diras-tu ? Tout simplement parce que j'aime voir les enfants heureux et je crois que leur bonheur m'est nécessaire. Cette môme me plaît de par sa mentalité..."" Lettre autographe écrite depuis la prison de la Santé datée et signée de Jacques Mesrine adressée à sa compagne Jeanne Schneider qu'il surnomme Nanou d'amour‎

‎Paris 11 Octobre 1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du lundi 11 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la Santé, couvre de cadeaux les personnes qu'il aime car il veut leur bonheur : "Comme cela j'ai payé une mobylette à mes trois gamines. Toi ce sera une quatre roues (sic)." Il fait montre de toute son affection pour une jeune fille prénommée Betty qu'il semble plus chérir que sa propre fille Sabrina : "Peut-être que je recherche en Betty ce que je ne trouve pas en Sabrina et que Mury m'a refusé ! Tu sais mon ange ; à 15 ans j'aurais tellement aimé avoir un copain de 40 ans à qui je puisse tout dire, qui sache m'aider ou m'offrir mon rêve. Peut-être que ce cadeau, je me le fais à moi-même..." pour laquelle il n'a plus aucune confiance, s'estimant trahi : "Mais on ne devient jamais l'ami de quelqu'un qui vous juge. Pas plus que pour Sabrina ! qui elle m'a trompé dans ma confiance donc dans mon amour... Quand on use les sentiments, ils ne redeviennent jamais les mêmes." L'ennemi public N°1 est tout à la fierté de sa relation avec Jeanne Schneider basée sur la franchise : "C'est peut-être pour cela que je me suis toujours refusé à te mentir - quitte à te faire souffir. Je n'ai aucun passé...mais un seul présent "Toi". C'est peut-être cela qui fait que notre amour dure depuis 10 ans " Jacques Mesrine bascule ensuite dans les considérations matérielles, si importantes pour un prisonnier : "J'ai reçu ton linge. Je ne risque pas d'avoir froid cet hiver. Le polo est très bien." avant de fustiger l'inhumanité du régime carcéral et son indifférence à la souffrance : "Mais nous n'avons rien à attendre des juges et si ma lettre au président a été ferme, c'est le genre de lettre qu'il comprendra mieux que le style ventre à terre..." En éternel indompté, Jacques Mesrine ne cesse de préconiser la lutte contre l'administration pénitentiaire : "On ne se défend pas en mettant sa tête dans le sable comme l'autruche ! Dès l'instant où l'on prend une arme dans la main... il faut s'attendre à payer ! que Michou le comprenne ce n'est pas le moment d'être "bébé" mais celui d'être femme..." Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute empreinte d'un humour optimiste : "Ton vieux tigre pose de doux bécots sur tout ce qui est toi. Bonne nuit chaton et un moral d'acier est de rigueur ok. Je t'adore (chanceuse) & Ton mystère Jacques !! "Te adoro A toi seule." Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le voit toujours aussi pugnace et où on le découvre déçu par sa fille, pris d'affection pour une jeune fille qu'il voudrait considérer comme sa propre enfant, et toujours aussi amoureux de sa compagne. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Jacques MESRINE‎

Reference : 84739

(1976)

‎"Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal. C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits" Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine écrite depuis la prison de Fleury-Mérogis adressée à sa compagne Jeanne Schneider alors incarcérée et qui pourrait être prochainement libérée‎

‎Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso‎


‎Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 21 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit d'avoir pu s'entretenir au parloir avec sa bien-aimée également emprisonnée: "Quel très agréable parloir, tu étais en plus très féminine dans cet ensemble qui est bien dans ton style de femme... même le double du prix car il me plaît" et tente de la rassurer afin qu'elle ne perde pas toute pugnacité contre le régime carcéral qui broie les détenus : "Mais si par malheur un nouveau refus te touchait n'aies pas cette mauvaise réaction que tu m'as dite car ceux qui t'entourent et t'ont aidée ne méritent pas de payer l'injustice des autres. Il te faudrra faire face comme toujours. Car les portes s'ouvriront un jour et tu le sais." En patriarche protecteur, Jacques Mesrine s'inquiète du désespoir qui pourrait la frapper elle et sa fille Murielle placée à la DASS : "Mais pour toi je m'en fais énormément, car tu as une limite... et je crois que tu l'as atteinte ! ou presque... Au sujet de Mury et de cette juge bidon... nous verrons pour la retirer de la Dasse... je préfère payer ses études et madame Chevallier et tout son entretien s'il le faut. Si tu sors ! Dis-moi... que de femmes à entretenir... j'ai intérêt à faire des heures supplémentaires (sic)" L'ennemi public N°1 évoque la prochaine liberté de Jeanne Schneider en lui intimant de ne plus retomber dans la criminalité : "...Si tu sors interdiction formelle de t'occuper de moi sur un plan que nous comprenons très bien tous les deux. Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal" Jacques Mesrine loue la droiture de sa compagne, clef de voûte de leur union forte à travers la privation de liberté : "C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits. C'est ce qui fait que je t'aime, avec toi pas de surprises désagréables ; tu es "blanc-bleu" et pour moi tu as bien la valeur du diamant. C'est la seule pierre qui est plus dure que l'acier (sic)... mais moins dure que moi (resic)" Il termine cette missive par cette note d'humour traduisant la terrible réalité intrusive du système pénitentiaire : "Et si mon colis de Noël est préparé par toi... l'administration va le passer aux rayons X" mais aussi par ces tendres mots : "De doux décots se posent sur tes lèvres... geste d'amour qui nous unit depuis toujours et pour longtemps... EL VIEJO Bandido !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le découvre protecteur et avide de liberté pour sa compagne et pour qui la franchise doit être érigée en règle de vie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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