Editions De Trévise Paris 1959 In-12 ( 190 X 125 mm ) de 376 pages, broché sous couverture illustrée en couleurs. Edition originale française. Très bel exemplaire.
Plon, 1961, in-8°, 402 pp, traduit et adapté de l'américain par Bernard Heuvelmans ("Devils, drugs, and doctors: The story of the science of healing from medicine-man to doctor", 1929), 27 illustrations dans le texte, 28 gravures sur 32 planches hors texte, cart. éditeur, jaquette illustrée (lég. défraîchie), bon état. Edition originale française, ex. du SP
"Le professeur H. W. Haggard de l'Université de Yale, dans son ouvrage intitulé “Devils, Drugs, and Doctors”, nous décrit le développement de la médecine et la manière dont la science médicale s'est progressivement dégagée de la superstition médiévale et du charlatanisme. L'auteur n'a pas tenté d'écrire une histoire formelle de la médecine, mais s'est contenté de décrire la manière dont certaines des principales avancées ont eu lieu. Le livre est écrit dans un style clair et lisible, et est abondamment illustré. L'un des points les plus intéressants mis en évidence est l'intensité et la variété des oppositions rencontrées par chaque tentative de faire progresser la médecine. La plupart des réformes ont été vigoureusement combattues par une partie irréductible de la profession..." (The British Medical Journal, 1929) — "Le Dr Haggard présente de manière claire l'histoire de la science de la guérison depuis les débuts de l'homme-médecine dans l'antiquité jusqu'à aujourd'hui dans cet intéressant volume. La première partie est consacrée à la lutte contre la mort durant les couches, l'histoire de la profession de sage-femme et l'apparition des assistants masculins en obstétrique. La Bible (Gen. 3-16), "dans la douleur tu enfanteras", a fourni la base de l'opinion selon laquelle la douleur était ordonnée lors de l'accouchement, et que la prévention de la douleur pendant l'accouchement "était contraire à la religion et au commandement exprès de l'Écriture". La manière dont cette opinion a été dépassée et le début de l'utilisation des anesthésiques constituent une autre section instructive du livre. La découverte de l'anesthésie a complété l'art de la chirurgie moderne, car, jusqu'à cette découverte, la chirurgie avait été des plus cruelles et inefficaces. La cicatrisation superficielle des plaies a été la première forme de chirurgie. La chirurgie interne était peu connue jusqu'à la fin du XVIe siècle. Les fléaux et la peste ont longtemps été les ennemis jurés de l'humanité. Les fléaux buboniques, la lèpre, la fièvre jaune, la variole, la gonorrhée et le "mal français" ont causé d'innombrables problèmes à la société parce qu'on en savait si peu sur leur traitement jusqu'à une époque récente. L'auteur aborde ensuite la question de la sexualité en relation avec la pestilence. Non content d'aborder d'autres sujets très discutés, le Dr Haggard se plonge ensuite dans les domaines de la "magie blanche", plus connue sous le nom de thérapie hygiénique, de cures de médicaments et de guérison par la foi, et conclut en affirmant que les progrès de la médecine dépendent "de la mesure dans laquelle le courage intellectuel et l'humanité l'emportent sur la bigoterie et l'obscurantisme". Les illustrations contribuent à divertir le lecteur tout en montrant les progrès de la science médicale. Ce livre vaut la peine d'être lu." (James R. Curtis, Social Science, 1931)
Les Editions Georges Crès Paris 1920 In-12 ( 190 X 120 mm ) de 494 pages, broché. Petites pliures sur la couverture, tampon ex-libris sur le faux-titre, sinon bel exemplaire de l'Edition Originale de cette traduction. Très rare.
Paris, Olivier Perrin Editeur, 1962. In-4, 23,5 x 29 cm, en feuilles, couverture rempliée, frappée à l’or sur le premier plat, chemise et étui de soie rouge, 430 pages, très nombreuses illustrations in et hors texte en noir et en couleurs, non coupé. Ouvrage de référence. Préface de Julien Cain, introduction du professeur Léon Binet, importante bibliographie, index. Un des 23 exemplaires nominatifs hors commerce du tirage de tête (88 exemplaires tirés sur vélin teinté de Madagascar), celui-ci spécialement imprimé pour le Professeur L. de Gennes. Dos et étui légèrement décolorés, petites usures à l'étui.
EXEMPLAIRE SUR GRAND PAPIER
Cannes 24 novembre 1942, 14,7x10,6cm, une carte.
Carte autographe signée de Reynaldo Hahn adressée à Georges Hoog. Une dizaine de lignes rédigées à l'encre bleue. Intéressante carte évoquant l'opéraMireille:"Nous avons donné ici Mireille, la vraie Mireille, avec un éclat et un succès exceptionnels. J'attends patiemment le jour où ce chef-d'oeuvre pourra réintégrer, mais sans mutilations, le théâtre de l'Op. C." Composé par Charles Gounod d'après le poème provençal de Frédéric Mistral, l'opéra Mireille fut créé le 19 mars 1864 au Théâtre Lyrique. L'oeuvre fut remaniée à de nombreuses reprises et considéralement réduite. Il fallut attendre 1939 pour que la partition originale soit retrouvée, notamment grâce à l'aide de Reynaldo Hahn qui dirigea le 28 juin 1942 à Arles une représentation de la "vraie Mireille". - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. (Paris) s.d. (1898), 10x15,5cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Reynaldo Hahn, dandy, compositeur et grand amour de Marcel Proust (22 lignes à l'encre noire) à propos de la biographie que Léon Daudet a consacré à son père Alphonse en 1898. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Reynaldo Hahn félicite Léon Daudet pour la pertinence et la clarté rationnelles de la biographie : "... où l'on retrouve tout ce qui était définissable et analysable en Alphonse Daudet..." en regrettant tout de même qu'il n'ait qu'imparfaitement cerné l'auteur des Lettres de mon moulin : " ... ce que vous n'avez pu fixer c'est le mystère brûlant et doux qui émanait de lui, et qui s'est évanoui à tout jamais..." Afin de tempérer cette critique, il tient à remercier chaleureusement Léon Daudet d'avoir évoqué dans l'ouvrage son amitié avec Alphonse Daudet: "... je suis si fier de l'affection qu'il me témoignait..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. (Paris) 1923, 10x18cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Reynaldo Hahn, dandy, compositeur et grand amour de Marcel Proust (20 lignes à l'encre bleue) adressée à Marthe Daudet à propos de la mort tragique de son filsPhilippe qui se suicida à l'âge de 14 ans ; son père, Léon Daudet, accusant les milieux anarchistes ou la police de la Troisième République d'avoir maquillé ce "crime" en suicide. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Reynaldo Hahn s'excuse de ne pas être aussi disponible qu'il le voudrait pour ses amis et regrette d'avoir raté chez elle sa correspondante : "... à aller vous dire tout ce que je ressens si vivement..." mais réitérera sa tentative bientôt :"je tâcherai d'être plus heureux samedi après-midi..." Reynaldo Hahn tient à montrer, dans les épreuves que traversent la famille, tout son attachement à elle et sa communion d'esprit : "... toute la part profonde que je prends à votre chagrin et combien j'ai partagé vos émotions douloureuses..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., Monte-Carlo 24 Septembre s.d. (circa 1924), 13,5x20,5cm, une feuille recto verso.
Lettre autographe signée de Reynaldo Hahn, dandy, compositeur et grand amour de Marcel Proust (30 lignes à l'encre bleue depuis l'Hôtel de la Réserve de Monte-Carlo) adressée à Marthe Daudet, l'épouse du journaliste et écrivain monarchiste Léon Daudet, principal collaborateur de Charles Maurras à l'Action Française. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, l'encre de quelques lettres ayant bavé au verso. Depuis la mort de sa soeur, Reynaldo Hahn est inconsolable et se remémore les trop rares joies qu'il a vécues ces derniers temps. Il remercie Marthe Daudet qui a tempéré son abattement : "... que de tristesses depuis notre déjeuner à St Rémy ! C'est le dernier moment agréable que j'ai vécu depuis de longs mois, et je vous le dois..." Il se rappelle aussi les souffances de sa soeur défunte : "... c'est seulement à la fin qu'elle a connu quelque repos. Quel courage elle a montré depuis deux ans ! " et établit un parallèle avec la mort tragique de Philippe Daudet qui a ébranlé la famille Daudet : "... je pense bien souvent à lui (Léon Daudet) et à votre douloureuse épreuve." Le 23 Novembre 1923, circulant à bord d'un taxi, Philippe Daudet se suicida à l'âge de 14 ans, son père accusant les milieux anarchistes ou la police de la Troisième république d'avoir maquillé ce "crime" en suicide. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1937, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux envoi autographe signé de Reynaldo Hahn à Henri Béraud. Dos insolé, plats tachés, petites rousseurs affectant principalement les gardes. Provenance : de la bibliothèque rétaise d'Henri Béraud. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 25 novembre 1933, 11,4x14,5cm, une page sur une carte lettre.
Billet autographe signé de Reynaldo Hahn adressé à Madame Serge André et rédigé sur une carte-lettre de papier bleue à l'encre bleue.Pliure centrale inhérente à l'envoi. Dominique André est une poétesse, romancière et dramaturge. Elle a notamment publié sous le pseudonyme de Claude Isambert. Charmante missive de remerciements : "Merci, chère amie, de m'avoir envoyé ce bouquet de fleurs épineuses et embaumées de tant d'arômes divers." Le compositeur évoque également le recueil de poèmesCassandreque son amie publia la même année aux éditions du Divan : "Cassandre, si elle avait votre clairvoyancen'aurait pas votre philosophie triste et douce - ni votre esprit ! J'ai passé une heure mélancolique et charmante à respirer les émanations de votre pensée." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 14 décembre 1925, 10,6x15,7cm, une page sur une carte lettre.
Billet autographe signé de Reynaldo Hahn adressé à Madame Serge André et rédigé sur une carte-lettre de papier blanc à l'encre bleue.Pliure centrale inhérente à l'envoi. Dominique André est une poétesse, romancière et dramaturge. Elle a notamment publié sous le pseudonyme de Claude Isambert. Reynaldo Hahn décline une invitation de son amie : "Est-ce possible, chère Madame ! Vous m'invitez àgoûter! Hélas, je ne pense pas aller nulle part dans la journée ! Un soir à l'Escargot d'Oron avait projeté de se voir : Lacretelle devait me faire signe - que sais-je ?" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 6 avril 1931, 14,6x19,3cm, une page sur une carte lettre.
Billet autographe signé de Reynaldo Hahn adressé à Madame Serge André et rédigé sur une carte-lettre de papier blanc à l'encre bleue.Pliure centrale inhérente à l'envoi. Dominique André est une poétesse, romancière et dramaturge. Elle a notamment publié sous le pseudonyme de Claude Isambert. "J'ai trop tardé, chère Madame, à vous remercier de votre livre et du plaisir qu'il m'a procuré. Plaisiramer et trouble- mais rare. Ce qui est particulièrement remarquable en ces pages, c'est leur extrême distinction..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] 1864, 15,5x25cm, agrafé.
Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
La Revue des deux mondes, Paris 1854, 15x25cm, Agrafé.
Edition originale, extraite de la Revue des deux mondes. Rare. Sous couverture muette. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Extrait de La Revue des deux mondes, s.l. [Paris] (1854), 15,5x25cm, agrafé.
Edition originale. Sous couverture muette. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Editions des Quatre-Vents, 2000. Plaquette in-12, brochée, couverture illustrée par J.-C. Carrière, 62 pages. Edition originale. Exemplaire enrichi de cet envoi autographe : « Pour Françoise et Jean-Pierre / avec mon affection aussi douce / que ce Velouté / et l’amitié fraternelle / pleine de soleil et de bonheur / Victor » Complet du feuillet d’errata.
Lausanne, Payot, 1975. In-4 à l'italienne, pleine toile illustrée, rhodoïd. En belle condition. Illustré à toutes pages de croquis en noir.
Edition originale. "Je vous livre les plus pauvres (mais peut-être les plus aigües) de toutes mes images, mes croquis". R. H.
Lausanne, Payot, 1975. In-4 à l'italienne, pleine toile illustrée, rhodoïd. En belle condition. Illustré à toutes pages de croquis en noir.
Edition originale. "Je vous livre les plus pauvres (mais peut-être les plus aigües) de toutes mes images, mes croquis". R. H. - Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de Robert Hainard.
Neuchâtel, A la Baconnière, 1967. In-8, pleine toile titrée sous jaquette illustrée. Pli au rabat de la jaquette, pour le reste en belle condition.
Edition originale sur papier courant, illustrée de 28 reproductions (dont des photographies de sculptures) en noir et en couleurs.
Genève, éditions Gérard de Buren, 1943. Grand in-8 broché, couverture illustrée. Bien complet des 12 planches hors-texte annoncées. En belle condition, non coupé.
Un des 1200 exemplaires sur vélin de l'édition originale, non numérotés, après 520 qui l'étaient (numérotés, donc). Premier ouvrage de Robert Hainard, préfacé par Henri de Ziegler.
Genève, éditions Gérard de Buren, 1943. Grand in-8 broché, couverture illustrée. Bien complet des 12 planches hors-texte annoncées. Minuscule accroc au bord supérieur du premier plat, pour le reste en belle condition, non coupé.
Un des 1200 exemplaires sur vélin de l'édition originale, non numérotés, après 520 qui l'étaient (numérotés, donc). Premier ouvrage de Robert Hainard, préfacé par Henri de Ziegler.
Genève, Tribune Editions, 1983. In-4, cartonnage titré sous jaquette couleurs. Illustré de très nombreuses reproductions, la plupart en couleurs. En très belle condition.
Edition originale. L'un des plus beaux (si ce n'est le plus beau - de gustibus non est disputandum) livres de l'artiste.
Hermé / Tribune éditions, 1986. In-8 broché, couverture illustrée. Méchante tache au second plat, se reportant sur plusieurs feuillet (sans atteinte au texte et ne touchant aucune page illustrée). Illustré de photographies en noir et de quelques reproductions en couleurs d'oeuvre de Robert Hainard.
Edition originale.
Editions Melchior, 1991. Grand in-8 broché, couverture couleurs. Illustré de nombreuses reproductions d'oeuvres de Hainard, dont 12 en couleurs.
Editions Melchior, 1991. Grand in-8 broché, couverture couleurs. Illustré de nombreuses reproductions d'oeuvres de Hainard, dont 12 en couleurs. Pli au coin supérieur du second plat.
Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe signé de Robert Hainard.