Gallimard NRF "Bibliothèque De La Pléiade" Paris 2011 2 volumes in-12 ( 175 X 110 mm ) de LXI-1608 et XXII-1896 pages, pleine basane havane, dos lisse orné de filets dorés sous jaquettes illustrées, rhodoïds et coffret-étui illustré. ( Présentation de l'éditeur ). Edition publiée sous la direction de Gilles PHILIPPE. Très bel exemplaire.
Pantheon Books, New York 1986, 13x21cm, reliure de l'éditeur.
Edition originale en anglais établie par Barbara Bray. Reliure de l'éditeur en plein cartonnage gris, exemplaire complet de sa jaquette illustrée. Bel exemplaire. Envoi autographe signé de Barbara Bray. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, 2006. In-8, broché, 165 pages. Edition originale en volume de ces cinq entretiens réalisés de juillet 85 à avril 86 et publiés à l'époque par L'Autre Journal. Neuf.
EDITION ORIGINALE
Les éditions de Minuit, Paris 1974. Vol. in-8 (13,5 x18,5cm), 221 pp., broché sous couverture blanche imprimée en bleu et noir, jaquette en couleur illustrée. ÉDITION ORIGINALE sur papier courant des entretiens entre Marguerite Duras et Xacière Gauthier, préfacés par celle-ci.
Exemplaire en très bon état, dos de la jaquette insolé.
Les Editions de Minuit, Paris Mai 1978, 13,5x22cm, broché.
Edition originale. Agréable exemplaire complet de sa jaquette jaune. Autres contributions de Catherine Weinzaepflen : "Nom : Djemal Nationalité : Arabe", Sergio Iglesias : "Dessins", Pierre Alix : "La dédicace enfumée", François Bouchard : "Approche d'un genre : le détective-novel (en 7 points)".. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Les Lettres Nouvelles & Julliard, Paris 30 Mai 1959, 14x20,5cm, agrafé.
Edition originale de ce numéro. Exemplaire légèrement gondolé en tête du premier plat. Contributions de Marguerite Duras "Hiroshima on amour" et "Resnais travaille comme un romancier", Robert Pinget "Simultanément", Georges Limbour "Les arts", Louis Massignon "La guerre sainte de l'Islam"... - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, P.O.L., 1990, in-8° (14 x 20,5 cm), 151-(5) pp, broché, bon état. Edition originale pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers (achevé d'imprimer du 11 décembre 1989)
Chez Les principaux libraires, Marseille 1874, 13,5x21,5cm, broché.
Edition originale. Petites taches sans gravité sur les plats, sinon agréable exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Alexis Eymery, Paris 1814, 14x21cm, broché.
Troisième édition, en partie originale, car revue, corrigée et augmentée. Une mouillure en pied de tout le corps de la brochure. Exemplaire présenté sous couverture d'attente qui comporte des manques et dans son brochage d'origine. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Lib. des Mathurins Dujarric & Cie, Paris 1902, 12x19cm, broché.
Edition originale. Notre exemplaire est présenté sous couverture muette d'attente de couleur rouille. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Imprimerie moderne, Agen 1903, 16,5x25,5cm, relié.
Edition originale imprimée sur vergé et à petit nombre. Reliure en plein chagrin marron, dos décoloré à cinq nerfs sertis de pointillés dorés et orné de doubles caissons dorés et décorés, date dorée en queue, roulettes dorées sur les coiffes, triples filets dorés en encadrement des plats,gardes et contreplats de papier à la cuve, encadrement d'une dentelle dorée sur les contreplats, doubles filets dorés sur les coupes, couverture conservée, tête dorée, reliure de l'époque. Gardes intégralement ombrées. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Imprimerie moderne, Agen 1907, 14,5x23,5cm, relié.
Edition originale imprimée sur vergé et à petit nombre. Reliure en demi basane marron à coins, dos décoloré à cinq nerfs sertis de pointillés dorés et orné de doubles caissons dorés et décorés, doubles filets dorés en encadrement des plats de papier marbré,gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, reliure de l'époque. Gardes intégralement ombrées. Rare. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris s.d. (vers 1860), 10,4x13,1cm, une feuille rempliée.
Lettre autographe signée du sculpteur Francisque Duret àAdolphe Saint Vincent Duvivier, chef du secrétariat de l'Ecole impériale des beaux-arts. "J'ai retenu Paul Armand, modèle arabe pour ma quinzaine à l'école et je prie Monsieur Duvivier de lui donner les instructions nécessaires et de prendre son adresse [...]" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 12 mai 1839, 13,1x20,1cm, une feuille rempliée.
Lettre autographe signée du sculpteur Francisque Duret à propos de l'acquistion par le musée du Louvre d'un exemplaire de sa célèbre statue, leVendangeur improvisant sur un sujet comique (souvenir de Naples), qu'il présenta au Salon de 1839. L'exemplaire du Louvre (R.F. 172), fondu d'après le modèle de 1839, a été présenté lors de l'Exposition universelle de 1855. 'Monsieur, Le fondeur de la statue en bronze que j'ai mise cette année au Salon, désire pouvoir mettre mon ouvrage à l'industrie, sourtout avant le 15 du mois; dernier jour accordé aux exposants [...] croyez cependant Monsieur, que si vous daignez lui accorder asyle dans quelque musée ou jardin royal, faveur qu'elle ambitionne par dessus tout, elle s'empressera de se rendre à vos ordres [...]". - Photos sur www.Edition-originale.com -
Au Jas du Revest Saint Martin, Robert Morel, collection Célébration, [1963]. In-12, pleine toile blanche. Dos à peine, mais vraiment à peine jauni.
Retirage réalisé pour un laboratoire non identifié mais dont le logo est frappé au second plat.
Editions Caractères, Paris 1972, 9,5x12cm, broché.
Edition originale sur papier courant. Ouvrageillustré de bois gravés de Georges Visconti. Dos très légèrement insolé, sinon agréable exemplaire. Envoi autographe signé de Bruno Durocherau journaliste, scénariste et producteur Pierre Dumayet, l'un des pionniers de la télévision française. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Bruxelles, Louis Musin, 1980. Grand in-8 broché de 164 pages, couverture illustrée à rabats. Petit accroc au bord supérieur du premier plat.
Illustrations en noir à pleine page de Bob Latour. Contes concoctés par l'auteur pour "contribuer à la perversion des foules", au tirage limité à 1500 exemplaires, non numérotés. Edition originale.
Paris, Editions G.L.D., [1964], 24 X 32 cm., relié, 150 pp. Edition originale, un des 4500 exemplaires reliés par l'éditeur en balacron. Nombreuses illustrations in et hors-texte en noir et couleurs. Jaquette usagée avec un manque important au recto. Sinon bel exemplaire.
Corrêa, Paris 1959, 14x19,5cm, broché.
Edition originale, sur papier courant, de la traduction française. Agréable exemplaire en dépit d'une petite tache marginale sur le second plat. Envoi autographe signé de Lawrence Durrell à Maurice Noël. Provenance : bibliothèque de Maurice Noël avec son amusant ex-libris encollé sur une garde et sa devise : "Adada sur mon bidet. Tout et rien ! " - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sommières 2 février 1979, 12,7x8,1cm, une carte de visite sous enveloppe.
Carte de visite autographe de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Quelques lignes à l'encre. Enveloppe jointe. L'encre a légèrement bavée, l'enveloppe ayant sans doute été mouillée. L'écrivain adresse cette carte depuis Sommières, sa retraite languedocienne, à son amante Janine Brun : "Janine est-ce que vos dates sont fixés [sic] ? Je ne sais pas si je suis de retour de Londres avant le 10 samedi - écris moi pour me dire - Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite.
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches et éraflures de papier. Note de la destinataire au verso. Durrell adresse une courte note de remerciements à sa jeune amante française : "Janine dear très touché par votre sollicitude Love and kisses, Larrry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
s.d. (circa 1970), 12,7x8,1cm, une carte de visite.
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir et comportant quelques taches. L'écrivain informe sa jeune amante française d'un imminent départ à Londres, où il venait fréquemment visiter son éditeur : "Je suis chez Alan Thomas. 16 Holbury St. Chelsea. Faites moi signe quand tu veux [sic] Love, Larry" . Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
29 juin 1978, 13,1x8,5cm, une carte de visite, enveloppe jointe.
Carte de visite autographe signée adressée à Jani Brun son amante française, rédigée au feutre rouge. Enveloppe jointe. L'écrivain est récemment tombé malade, et tente de revoir sa jeune amante à son retour dans sa maison de Sommières : " [...]"j'ai subi des "tests" à l'instant pour savoir si je suis éternel ou non - ou si le pneu est crevé quelque part... J'ai envie de toi un peu, un peu beaucoup ! Love, Larry". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
23 novembre 1977, 13x8cm, une carte de visite sous enveloppe.
Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Au retour de son premier séjour en Egypte depuis son départ d'Alexandrie en 1945, l'écrivain éprouvé adresse une courte missvie à sa jeune amante française : "tu sais que je suis en instance de div [sic] [...] je ne peut [sic] même pas me payé [sic] un secrétaire à ce moment -- je ne sais même pas si j'arriverai de [sic] garder la maison de Sommières. Ouf, quelle barbe. Love, Larry" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sommières circa 1970, 9,5x6,5cm, une carte de visite sous enveloppe.
Carte de visite dactylographiée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -