1966 Edition originale 1966. Impression sur papier rouge, 4p., 558x433mm, plis transversaux à peine marqués.(103774)
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Reference : 73103
fin XVe- début XVIe s. | 12.20 x 16.70 cm | feuillet sur parchemin
Fragmentsrectoverso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avecencadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle. Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrement divisé en bandeaux et losanges ornés de motifs floraux et rinceaux, lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques. La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte. On retrouve ici un fragment de l'Office des morts au moment de la première nocturne des matines. Au recto du feuillet : antienne "Dirige me" suivie du psaume cinq "Verba mea auribus percipe, Domine...". L'office des morts est un ensemble de prières dédié ausalut de l'âme des défunts. Plus que de la commisération, ce dévouement traduitla crainte constante des hommes médiévaux pour la mort. Écriture dite cursiva libraria sur deslongues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette graphie est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Reference : 73158
fin XVe- début XVIe s. | 12.20 x 16.70 cm | feuillet sur parchemin
Fragment recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle. Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrementdivisé en bandeaux et fleurs ornés de motifs floraux et rinceaux,lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques. La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte. On retrouve ici un fragment de l'Office des morts au moment des laudes. Au recto du feuillet : antienne "A porta" suivie du cantique "Ego dixi in dimidio dierum meorum...". L'office des morts est un ensemble de prières dédié ausalut de l'âme des défunts. Plus que de la commisération, ce dévouement traduitla crainte constante des hommes médiévaux pour la mort. Écriture dite cursiva libraria sur deslongues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Reference : 73161
fin XVe- début XVIe s. | 12.20 x 16.70 cm | feuillet sur parchemin
Fragments recto verso d'un livre d'heures manuscrit sur parchemin avec encadrements somptueusement enluminés à pleine page. Cette division en compartiments des ornements est représentative de la production des ateliers rouennais et parisiens au tournant du XVIe siècle. Deux pages enluminées sur un feuillet recto verso : encadrementdivisé en bandeaux et fleurs de lys ornés de motifs floraux et rinceaux,lettrines dorées peintes de rouge et bleu alternés et rubriques. La richesse de l'enluminure caractérise ces livres liturgiques destinés aux laïcs. Les livres d'heures étaient à l'époque des bijoux de piété, à la fois un instrument de la pratique religieuse et une revendication sociale affirmée par la richesse du travail des artistes. Véritable petit tableau, ce feuillet est extrait probablement d'un luxueux volume où chaque page était soigneusement peinte. On retrouve ici un fragment des psaumes pénitentiels, la fin du quatrième psaume "Miserere mei, Deus, secundum magnam misericordiam tuam..." et le début du suivant "Domine, exaudi orationem meam,et clamor...". Cette partie des livres d'heures sert d'ordinaire à demander le pardon pour ses péchés et à exprimer un repentir. Écriture dite cursiva libraria sur deslongues lignes. Témoin de la formalisation de l'écriture cursive à l'aube de la Renaissance française, cette écriture est emblématique de la production des copistes français pour les laïcs durant la période. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Catalogue de l'exposition qui s'est tenue au musée de la Parfumerie Fragonard à Grasse en 1995. Nombreuses reproductions en couleurs. Broché sous couverture illustrée Très bon Grasse Fragonard 1995 1 volume in-8°
édition originale
De la collection Les Métiers d'Art. Numéro hors série 49 de 1993. Riche illustration. Broché sous couverture illustrée Très bon Paris SEMA 1993 1 volume in-4°
édition originale
Reference : 14758
Voltigeur (1841) et Chasseur Tirailleur (1845) en feuille Bon Berlin XIXè 28 x 23 cm
édition originale
Reference : 14759
Officier et soldat d'Infanterie en feuille Bon Berlin XIXè 28 x 23 cm
édition originale
Reference : 14760
Grenadier en feuille Bon Berlin XIXè 27 x 35 cm
édition originale
Actes Sud | Marseille 1989 | 23 x 21.50 cm | broché
Edition originale de cette plaquette d'exposition s'étant tenue au musée Cantini à Marseille du 27 Février au 30 Avril 1989. Ouvrage illustré de reproductions d'oeuvres de Fred Deux. Premier plat comportant un léger accroc sans gravité en pied. Envoi autographe daté et signé de Fred Deux au journaliste, scénariste et producteur Pierre Dumayet, l'un des pionniers de la télévision française: "... ces pages où se trouvent les prières d'un drôle de croyant." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Reference : 14754
N° 88 de la Galerie militaire. Armée française (1840). Rehaussée et gommée. en feuille Très bon Paris Dero-Becker XIXè 30 x 23 cm
édition originale
Catalogue de l'exposition du Petit Palais à Paris en 2008.. Cartonnage d'éditeur aux plats illustrés. Très bon Paris Paris Musées 2008 1 volume in-4°
Édition originale
Catalogue entièrement illustré de l'exposition au Musée Louis Vouland à Avignon en 2007. Broché sous couverture illustrée. Très bon Avignon Musée Louis Vouland 2007 1 volume in-8°
édition originale
Catalogue entièrement illustré Broché Très bon Paris L'Insulaire 1999 47 x 35,5 cm
édition originale
Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légères traces de plis dans les coins inférieurs, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Très légères traces de plis aux coins, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Très légères traces de plis aux coins, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Déchirure avec manque en marge de gauche sans atteinte à l'estampe, légers plis dans les coins inférieurs, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Traces de plis dans les coins supérieurs, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Légère déchirure marginale sur le côté gauche, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Coins gauches très légèrement émoussés, sinon très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Très bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin & Cie | Épinal s. d. [circa 1890] | 39 x 49 cm | une feuille
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Importante déchirure en partie supérieure gauche restaurée, plis dans le coins inférieur droit avec déchirures, légers plis aux coins supérieur droit et inférieur gauche, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. ?À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort.Bel état, couleurs très bien conservées. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Pellerin | Épinal s. d. [circa 1880-1900] | 49 x 39 cm
Image d'Épinal, lithographie couleurs, grand format, imprimée sur papier fort. Bel état, couleurs très bien conservées.Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ces planches sont des constructions ou maquettes en carton, sur lesquelles un patron était imprimé. Ce patron doit être découpé puis assemblé pour construire divers objets ou scènes de vie. L'imagerie d'Épinal publia plusieurs séries de modèles à découper dont les "Grandes Constructions" au format de 39 x 49 cm, les "Moyennes Constructions" et les "Petites Constructions". De 1880 à 1908, des constructions furent éditées avec pour objets l'architecture, les costumes, les bateaux et divers véhicules. Durant cette même période, les théâtres de papier ou "théâtre chez soi" connurent également un grand succès. Ce modèle de jouet se développa et perdura jusqu'à la seconde Guerre Mondiale. ?Vendues autrefois par des colporteurs, les images d'Épinal doivent leur nom à Jean-Charles Pellerin, qui fut le premier imprimeur à éditer en série ce type d'image, et qui habitait la ville d'Épinal (Vosges). Les sujets sont très variés mais généralement tournent autour de la religion, de l'histoire (Révolution française, batailles, uniformes militaires), ou tirés de romans à succès. L'imagerie d'Épinal prend ses origines dans l'imagerie, art populaire né au XVème siècle destiné principalement au public illettré des campagnes. À l'origine, l'image est gravée sur une planche de bois et l'impression s'effectue à l'aide d'une presse à bras. Elle est ensuite mise en couleur au moyen de pochoirs. Au XIXème siècle, on réalise à partir des bois gravés des moulages en plomb : les stéréotypes, qui permettent d'augmenter la production. En 1820, on passe à la lithographie, qui induit un changement de style radical, des dessins plus fins. En 1900, la mise en couleurs se fait toujours au pochoir, grâce à une machine qui peut colorier 300 images à l'heure, l'Aquatype. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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