S.N. S.L. (Mexique) 1941 In-12 ( 165 X 115 mm ) de 111 pages, broché sous couverture illustrée. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ) publiée anonymement au Mexique. Très bel exemplaire enrichi d'un double bel envoi autographe signé de ETIEMBLE. De toute rareté.
Gallimard Paris 1992 In-8 ( 205 X 140 mm ) de 337 pages, broché. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Très bel exemplaire enrichi d'un bel envoi autographe signé de ETIEMBLE sur une carte collée sur la première garde.
Christian Bourgois Editeur Paris 1988 In-8 ( 200 X 120 mm ) de 283 pages, broché sous couverture illustrée en couleurs. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Très bel exemplaire enrichi d'un très bel envoi autographe signé de ETIEMBLE sur 2 pages.
Arléa Paris 1994 In-8 ( 205 X 140 mm ) de 94 pages, broché sous couverture illustrée. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Très bel exemplaire enrichi d'un double bel envoi autographe signé de ETIEMBLE.
Gallimard, 1976, 466 p., broché, édition originale sur papier ordinaire (service de presse), avec un envoi de l'auteur, haut et bas du dos émoussés, un coin corné, intérieur prorpre.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Gallimard, 1982. In-8, broché, non coupé, 451 pp.
Edition originale. Un des 32 exemplaires numérotés sur Arches, seul tirage en grand papier. Bel exemplaire. N° 1. Photos sur demande.
PUF - Ecrivains Paris 1984 In-8 ( 215 X 135 mm ) de 159 pages, broché sous couverture rempliée. Edition originale sur papier d'édition ( pas de grands papiers annoncés ). Bel exemplaire enrichi d'un très bel envoi autographe signé de ETIEMBLE. Il semblerait que cette édition ai été pilonnée à la demande d'ETIEMBLE.
Arthur Rousseau | Paris 1902 | 17 x 25.50 cm | broché
Edition originale. Petits manques en tête du dos et, angulairement, sur les plats marginalement passés, agréable état intérieur. Rare. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
1821 Couverture muette - Edité par Paris, chez Adrien le Clere, 1821 - 35 pages - bon exemplaire
- Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Adrien Le Clere | Paris 1821 | 13.50 x 21 cm | broché
Edition originale. Exemplaire présenté sous couverture muette bleue d'attente. Agréable exemplaire, une gravure encollée au verso du second plat de la couverture muette. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
1932 PARIS, Perrin, 1932 - In-8 - broché - Couverture illustrée - tirage limité à 500 exemplaires, celui-ci sur vélin - Frontispice & planches HT - Nombreuses gravures dans le texte - traces d'humidité - 156 pp.- Notes complémentaires du propriétaire du livre avec ex-libris mauscrit Y. de JKerangat, 1933 - Réf. 7213
- Livraison a domicile (La Poste) ou sur simple demande en Mondial Relay.- ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le surcoût du au nopmbre de livres achetés ou du poids de ceux-ci. - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Paris 1698 | 24.7 x 36 cm | 2 volumes brochés
Très rare édition (cf. Saffroy III, 35 251.) Exemplaire dérelié, une pâle mouillure en marge gauche de la page de titre, quelques petites rousseurs sans gravité. Cette pièce parue séparément a été ensuite insérée au premier volume de la célèbre Histoire généalogique de la maison d'Auvergne (1708). Ayant occasionné la controverse, est présenté à la suite et détaché du premier volume : [BALUZE, MABILLON et RUINART ] : Procez verbal. Contenant l'examen & discussion de deux anciens cartulaires & de l'obituaire de l'église de saint Julien de Brioude en Auvergne, de neuf anciens titres compris en sept feüillets de parchemin, & de dix autres anciens feüillets aussi en parchemin, contenant des fragmens de deux tables, l'une par ordre des chiffres, & l'autre par alphabet, lesquels ont esté destachez d'un ancien cartulaire de la mesme église. Le tout pour faire voir que Géraud de la Tour, I. du nom, duc de Guyenne & comte d'Auvergne, comme il paroist par la table généalogique qui suit. imprimé à Paris chezThéodore Muguet, 1695, titre, 22 pp. (cf. Saffroy III, 35 252.) Cette pièce, rédigée à la demande du cardinal de Bouillon, a également été insérée dans l'Histoire généalogique de la maison d'Auvergne. * Il s'agit de la première passe d'armes du grand érudit dans la controverse en faveur de l'ancienneté de la maison de Bouillon, à l'occasion de laquelle il se compromit par amitié pour son ancien condisciple de Sorbonne le cardinal de Bouillon, orgueilleux au possible de son ascendance : en 1695, il lui avait demandé, ainsi qu'à dom Jean Mabillon, le fondateur de la diplomatique, et à dom Thierry Ruinart, d'évaluer l'authenticité de documents du XIIIe siècle émanant des archives du chapitre de Brioude et qui pouvaient permettre aux La Tour de faire remonter les origines de leur famille au IXe siècle en la rattachant aux anciens ducs d'Aquitaine par les comtes bénéficiaires d'Auvergne. C'était en effet une époque de surenchère entre les premières familles du Royaume pour se constituer une généalogie prestigieuse. C'est un proche du cardinal, un certain Jean-Pierre de Bar, ancien secrétaire du généalogiste royal et conseiller Jean du Bouchet, qui se chargea de transmettre les pièces incriminées au cardinal. Les faussaires étaient habiles, car ils réussirent à duper les trois érudits les plus fameux de France, dont Baluze lui-même, qui, cités comme experts, émirent à l'unanimité un rapport favorable le 23 juillet 1695 (cf. pièce infra). Mais le cardinal de Bouillon avait de nombreux ennemis et une guerre de libelles, tant manuscrits qu'imprimés, commença. En mars 1698, Baluze tenta de mettre en forme l'ensemble de sa défense, sans pour autant réussir véritablement à convaincre. L'affaire suivit alors deux voies distinctes. D'un côté, la justice s'en prit aux faussaires, que la police avaient identifiés. Deux ans plus tard, en 1700, Jean-Pierre de Bar et ses complices furent arrêtés et, après une investigation longue et minutieuse, de Bar fut déclaré coupable en 1704. De l'autre, Baluze ne changea pas pour autant son opinion, convaincu que les documents incriminés étaient vrais ... - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Bonvalot-Jouve | Paris 1908 | 16.50 x 25 cm | relié
Edition originale. Reliure en demi maroquin havane, dos à cinq nerfs sertis de filets dorés orné de triples caissons dorés agrémentés de motifs typographiques à froid enrichis d'incisions de chagrin vert, filet doré sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, couvertures conservées, tête dorée, élégante reliure de l'époque non signée.Rousseurs affectant quasi exclusivement les pages de garde. Bel et rare exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris, Aguste Mie, 1832 1 volume in-8 (21 x 13,5 cm) de (1)-XIV-389-(1) pages. Reliure de l'époque demi-basane maroquinée caramel, dos lisse à faux-nerfs ornés dorés et à froid, fleurons à froid, plats de papier raciné, tranches marbrées. Quelques légers frottements à la reliure, en bel état. Intérieur avec quelques rousseurs habituelles, la deuxième moitié du volume en est quasi exempte. Beau papier chiffon. Édition originale. "Ce que je prévoyais est arrivé : la colère du pouvoir m'a forcé de comparaître devant les tribunaux ; mais les juges du pays ont condamné mon accusateur. Cependant, mon but ayant été d'être utile en éclairant la masse du peuple, ma tâche n'est point encore accomplie : il me reste à donner à mon ouvrage la plus grande publicité. J'en fais donc une seconde édition à 10.000 exemplaires, au plus bas prix possible, afin que les citoyens les plus pauvres puissent en faire l'acquisition. [...]"(extrait). Cette première édition, qui valut un procès à son auteur, est bien complète des débats parlementaires sur l'Italie, la Pologne et la Belgique. Ce dijonnais, fils d'un maître-tonnelier, né en 1788 et mort à Saint-Louis (Missouri, USA) en 1856, était un théoricien politique français, classé parmi les socialistes utopiques par Karl Marx et Friedrich Engels, qui lui opposent un socialisme scientifique. Il se définissait lui-même comme "communiste". Il participe activement à l'insurrection de juillet 1830. Élu député de la Côte-d'Or en juillet 1831, il fonde en septembre 1833, Le Populaire, un journal ultra-démocratique dans lequel il attaque avec violence le gouvernement de Louis-Philippe. Interdite deux ans plus tard, la publication reparaît en mars 1841, encore plus virulente que dans la première version. Condamné en 1834 à deux ans de prison pour délit de presse, il préfère se réfugier en Angleterre, où il fréquente notamment Martin Nadaud (1815-1898)4, le maçon de la Creuse en passe de devenir député. Grâce à l’apport de ce dernier et de réformistes anglais, dont Robert Owen (1771-1858), philanthrope communisant, il poursuit sa formation politique. Lors de ce séjour, il découvre également les conditions déplorables dans lesquelles travaillent les ouvriers dans les usines britanniques. C'est en 1840, à Londres, qu'il écrivit l'ouvrage pour lequel il est le plus connu, Voyage en Icarie (publié pour la première fois sous ce titre en 1842 et sous son véritable nom), description d'une cité idéale. Il fonda en 1848 une communauté utopique du même nom, Icarie, sur les bords de la rivière Rouge, au Texas. Elle sera active jusqu'en février 1895 (dissoute par défaut de colons suffisants pour assurer la production). La société idéale de Cabet est basée sur cet axiome : « La passion aveugle pour la liberté est une erreur, un vice, un mal grave. » Pour Cabet c’est l’intérêt supérieur de la communauté auquel doivent se soumettre toutes les volontés et toutes les actions. Agréable exemplaire en reliure de l'époque décorative de l'édition originale peu commune.
Phone number : 06 79 90 96 36
Librairie Gosselin | Paris 1865 | 10.50 x 16.50 cm | relié
Edition originale. Agréable état intérieur sans rousseur. Reliure en demi chagrin rouge, dos à quatre fins nerfs sertis de pointillés dorés et orné de doubles filets dorés et de filets noirs, petites traces de frottements sur le dos, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, coins émoussés, reliure de l'époque. Notre exemplaire est bien complet de la photographie originale d'Etienne Carjat encollée en frontispice de l'ouvrage. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Goupil & Cie | Paris 1880 | 24 x 33 cm | une feuille
Photoglyptie issue de la Galerie contemporaine. Portrait de Zola à l'âge de 35-40 ans. Feuille cartonnée sur laquelle on a contrecollé une photoglyptie de 19x24cm. Légende en bas du carton : Galerie Contemporaine, 126 boulevard de Magenta. Phot. Goupil et Cie. Cliché Carjat, 10, rue Notre-Dame de Lorette. Une minuscule pastille blanche dans la barbe. Très bel état. Proche d'un tirage au charbon par ses tons chauds et profonds, la photoglyptie est un procédé photomécanique complexe de reproduction phographique dont l'édition usa durant environ 20 ans, de 1875 à 1895. Cherchant une image idéale et esthétique des hommes célèbres, les plaques étaient toujours retouchées et repeintes, pour gommer une ride disgracieuse ou un défaut trop gênant, lustrer les cheveux, etc. C'est ainsi que la photographie et l'estampe se rejoignent dans une représentation nouvelle. La Galerie Contemporaine devint une maison d'édition qui vendait les images des hommes contemporains, ces images furent assemblées en 8 volumes in-folio par Paul de Lacroix mais continuaient à se vendre à part au siège de la Galerie Contemporaine. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
P. Duménil | Paris 1836 | 12.80 x 20.50 cm | 3 volumes reliés
Edition illustrée de 164 planches sur acier en fin de chacun des volumes. Plus de 500 animaux sont représentés puisqu'il y a plusieurs figures par planches. Chéloniens ou tortues : 5 planches. Sauriens ou lézards : 12 planches. Batraciens : 6 planches. Ophidiens ou serpents : 21 planches. Poissons : 115 planches. Cétacés : 5 planches. La page de titre annonce 150 planches. Reliure, cartonnage d'attente bleu marine décoré de l'éditeur. Dos lisse décoré à la grotesque, de multiples filets fins s'entrelaçant et dessinnant des sphères et une succession de losanges et de vagues. 4 cartouches bruns dont 2 rectangulaires pour l'auteur et l'éditeur, un losange pour la tomaison et un ovale pour le titre. Plats orné d'un napperon en dentelle ety un grand ovale central brun pour le titre, au dos l'imprimeur : Firmin Didot frères. Frottements, notamment aux coiffes, mors et coins. Rousseurs pâles éparses. Bel exemplaire conservé dans son rare cartonnage d'origine. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
L'immobilière de construction de Paris | Paris 1966 | 26 x 32.50 cm | en feuilles sous chemise et étui
Edition originale strictement hors commerce imprimée à 600 exemplaires sur chiffon de Mandeure et illustrée de 24 planches en héliogravure d'après divers documents. Texte d'Etienne Dennery. Etui en pleine peau bordeaux comportant de légères éraflures, dos de la chemise éclairci et de même peau bordeaux, l'ensemble réalisé et signé par Hermès. Notre exemplaire est imprimé pour Jack Francès. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Vieilh de Boisjoslin | Paris 1829 | 9 x 14 cm | Un volume in-18 relié
Troisième édition en partie originale rare. Reliure en demi chagrin noir, dos à quatre nerfs, épidermures sur les plats, coins emoussés, reliure légèrement postérieure. Rousseurs, une pâle mouillure en pied des premiers feuillets. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Mai 1898) | 34.50 x 24.50 cm | une feuille et une serpente
Rare lithographie originale en couleurs, exécutée par Etienne Dinet pour L'Estampe Moderne, série numéro 13 publiée en mai 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Japon à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, tampon numéroté du tirage de luxe au dos,légère trace du tampon de la gravure précédente au recto ; gravure précédée d'une serpente légendée du nom de l'artiste, du titre, et d'un texte. Lithographie inspirée d'un extrait d'Eugène Fromentin,reproduit sur la serpente de l'estampe. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899, L'Estampe moderne se constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues comme Les Maîtres de l'Affiche et tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur le plus prestigieux des papiers: le Japon. Epais, soyeux, satiné et nacré, il contribue à faire de chaque page une uvre à part entière. Sa qualité d'absorption de l'encre et son affinité avec les couleurs en font également le support idéal de ces très belles lithographies. L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Imprimerie Champenois pour CH. Masson H. Piazza | Paris (Mai 1898) | 34.50 x 24.50 cm | une feuille
Rare lithographie originale, exécutée par Etienne Dinet pour L'Estampe Moderne, série numéro 13 publiée en mai 1898. Une des50 épreuves de grand luxe tirées sur Chine à grandes marges, signature de l'artiste dans la planche, timbre à sec de l'éditeur représentant un profil d'enfant en marge inférieure, contrecollée sur un feuillet de papier vélin avec au dos le tampon numéroté du tirage de luxe, pâles rousseurs marginales. Lithographie inspirée d'un extrait d'un des récits de voyage d'Eugène Fromentin. Magnifique publication mensuelle française éditée entre mai 1897 et avril 1899,L'Estampe modernese constitue de chromolithographies inédites qui, contrairement à d'autres revues commeLesMaîtres de l'Afficheet tel qu'il est stipulé sur les serpentes, ont été réalisées spécialement par chaque artiste pour la revue. Ce sont ainsi 100 estampes qui paraissent au total, couvrant les courants artistiques majeurs de la fin du XIXème siècle: Symbolisme, Art Nouveau, Préraphaélites, Orientalistes et Belle Epoque. Chaque livraison de quatre estampes est tirée à 2000 exemplaires vendus 3,50F et 100 sur papier Japon proposés à 10F. Henri Piazza prévoit également un tirage confidentiel de très grand luxe: 50 exemplaires sur Japon à grandes marges et 50 en noir sur Chine au prix considérable de 30F. Cette estampe d'un beau format est superbement imprimée sur l'un des plus prestigieux papiers: le Chine. «Malgré toutes ses qualités, le papier de Chine, trop inconsistant, doit sa réputation, non pas à sa propre beauté, mais bien à ses affinités particulières avec l'encre d'impression. Son tissu, lisse et mou tout ensemble, est plus apte qu'aucun autre à recevoir un beau tirage. Cette propriété fait rechercher le papier de Chine pour le tirage des gravures...» (Anatole France). L'intérêt des collectionneurs français pour les affiches artistiques s'amplifie au début des années 1890. Octave Uzanne, pour qualifier cette fièvre invente le terme d'«affichomanie». L'affiche, à l'origine populaire et placardée dans les rues de la capitale, devient alors objet d'art et son support éphémère se fait précieux et voué à la conservation. Piazza décide de soustraire l'affiche à sa vocation publicitaire et de l'élever au rang d'uvre d'art à part entière au même titre que le livre illustré de luxe. Il compose ainsi une collection prestigieuse d'uvres entièrement originales, par les artistes européens les plus en vue du moment: Georges de Feure, Eugène Grasset, Henri Detouche, Emile Berchmans, Louis Rhead, Gaston de Latenay, Lucien Lévy-Dhurmer, Gustave-Max Stevens, Charles Doudelet, Hans Christiansen, Henri Fantin-Latour, Steinlen, Ibels, Engels, Willette, Henri Meunier, Evenepoël, Bellery-Desfontaines, Charles Léandre, etc. Bel exemplaire dans le style orientaliste. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris Octobre 1913 | 19 x 24.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à gauche de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. * Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
S. n. | Paris 1912 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
S. n. | Paris 1913 | 14 x 22.50 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signature en bas à gauche de la planche. L'une des premières revues de mode françaises, parue quelques temps avant la fameuse Gazette du bon ton et réunissant les grands artistes français de la mouvance Art déco. Le Journal des dames et des modes est une revue trimensuelle de mode française illustrée créée en 1797. Sa publication est stoppée en 1839 avant d'être reprise en juin 1912 sous l'impulsion de Tommaso Antongini, le secrétaire, ami et biographe de Gabriele d'Annunzio. Elle disparaîtra en août 1914 à l'aube de la Première Guerre mondiale. La revue était tirée à 1279 exemplaires ce qui en fait, pour l'époque, une publication relativement confidentielle. Les 186 planches, d'une grande finesse, sont gravées sur papier fort puis coloriées au pochoir. Elles représentent, la majorité du temps, des femmes, mais aussi des hommes et des enfants. Les modèles ne sont pas, à la différence de ceux de la Gazette du bon ton dont la publication verra le jour quelques mois plus tard, ceux des couturiers de renom mais sont le fruit de l'imagination des illustrateurs eux-mêmes. Les pochoirs sont, la plupart du temps, exécutés par George Barbier, mais d'autres artistes collaborent à la revue: Léon Bakst, B. Berty, Bernard Boutet de Monvel, Roger Broders, Jan van Brock, Umberto Brunelleschi, H. Robert Dammy, Étienne Drian, Abel Faivre, Marie-Madeleine Franc-Nohain, Xavier Gosé, Paul Iribe, Kriegck, Victor Lhuer, Pierre Legrain, Charles Martin, Fernand Siméon, Ismael Smith, Armand Vallée et Gerda Wegener. Nombre de ces illustrateurs seront également associés à La Gazette du bon ton. Leurs travaux, emblématiques du mouvement Art déco, soulignent l'influence de l'orientalisme et des costumes des ballets russes tout en les inscrivant dans les activités quotidiennes des Français aisés de l'époque. Dès la préface du premier numéro de 1912, Anatole France déclare: « Au bout de soixante-quinze ans, il renaît. Il renaît par les soins de quelques esprits ingénieux et artistes. Il renaît pour les curieux (s'il en est encore) que ne contentent pas les journaux de modes tirés à plusieurs milliers et illustrés par la photographie.Et si les éditeurs nous rendent très exactement, dans son format, avec son papier, son impression, ses procédés de gravure et de coloris, le vieux classique des modes d'autrefois, c'est qu'ils entendent le continuer agréablement et devenir les classiques charmants de la mode d'aujourd'hui et de demain. » - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85