Couverture souple. Broché. 282 pages.
Livre. Editions du Livre Français (Collection : Les classiques du XIX e siècle), 1947.
1947 Paris, Les Éditions du Livre Français ELF, 1947. Édition originale du texte d'André Gide. Un des 5 exemplaires lettrés (celui-ci "D") parmi 50 exemplaires sur vélin pur fil Lafuma filigrané, seul grand papier. In-12 broché de 283 pp., enrichi d'un envoi autographe d'André Gide. Couverture ornée de guirlandes de feuillages verts sur les deux plats. Une mouillure en coin du premier plat, des rousseurs sur les premiers et les derniers feuillets. Le reste du livre est en très bon état, non coupé.
Milano. Ulrico Hoepli, editore-libraio della Real Casa. 1921. In-8° broché. 166 pages. E.O. Très propre.
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Sans lieu [Lyon]. Editions Luxe, calme et volupté. 1988. Plaquette in-8° cousue. 14 pages. Edition en volume d'une étude parue dans le Commerce du 14 janvier 1845. 1/400 sur vergé ivoire, seul tirage.
Très propre. DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".
Tiré-à-part issu d'une revue non identifiée. 1969. In-8° agrafé. 16 pages sous couverture muette. Envoi de l'auteur au Pr. Pierre Jourda *. Très propre.
* Pierre Jourda (1898-1978) fut un éminent professeur de lettres, doyen de la Faculté des lettres de l'Université de Montpellier de 1936 à 1969. Seiziémiste de formation, il fut aussi un spécialiste reconnu de Stendhal, donnant plusieurs éditions critiques de ses uvres, participant à un grand nombre de colloques, produisant une impressionnante quantité d'articles. La ville de Montpellier garde vif le souvenir du Professeur Pierre Jourda ; dans le quartier des Beaux-Arts, une rue porte son nom. La relation d'amitié entre ces deux beylistes de premier ordre que furent Henri Martineau et Pierre Jourda, dura de 1928 à 1958, année de la mort de Martineau. Dans le volume " Hommage à Henri Martineau " qui constitue le dernier numéro de la revue " Le Divan ", Pierre Jourda évoque leur première rencontre - et ses nombreuses suites - dans la librairie du Divan, qui longtemps exista à l'angle des rues Bonaparte et de l'Abbaye (Paris VIe). DEMANDEZ NOTRE CATALOGUE "STENDHAL ET LES EDITIONS DU DIVAN".
Lyon, PUL, Presses Universitaires de Lyon, 1989, in 8° broché, 162 pages ; couverture illustrée.
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La table ronde. 1996. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 222 pages.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires
"Préface et notes par Jean-Baptiste Goureau. Collection ""La petite vermilon"". Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires"
Boulouris, aux éditions du Baniyan, 1965. In-4, 285 pp., en feuilles, couverture originale illustrée, chemise et étui de l'éditeur de toile verte (frottements à l'étui).
Édition illustrée de cette biographie napoléonienne rédigée par Stendhal. Un des 200 exemplaires sur vélin cuve de Lana comportant une suite des illustrations coloriées sur le même papier. Outre les planches à pleine page de Gradassi, le texte se déploie dans un encadrement de lauriers et d'aigles impériaux. Il est également orné de lettrines rehaussées à l'or, de culs-de-lampe et de vignettes du même artiste. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve.
André Vial Paris 1952 2 volumes in-8 long ( 225 X 145 mm ) de 249 et 249 pages, brochés sous couvertures imprimées rempliées, chemises et étui. 32 eaux-fortes en couleurs dans et hors-texte de GRAU-SALA. 1 des 1386 exemplaires numérotés sur vélin du Marais. Très bel exemplaire.
Couverture rigide. Reliure cuir. 357 pages.
Livre. Texte revue par Jacques Haumont. Gravures de l'Ecole néo-romantique. Editions Jean de Bonnot, 1971.
Paris Éditions du Trianon. Réceptions posthumes. 1932. In-12 (115 x 177 mm) dos et coins chagrin café, titre doré, plats jaspés, tête dorée, gardes bleues, couverture imprimée en bleu conservée, 82 pages, étonnante aquatinte de Joseph Hémard en frontispice. Bords de feuilles un peu piqués mais exemplaire non ébarbé, décharge du frontispice sur le titre, sinon bel exemplaire, un des 800 sur papier d'Auvergne fait à la main, dans une élégante reliure, en parfait état, de Françoise Demarsy qui a oublié de la signer.
P., PUF, 1982, in 8° broché, 261 pages ; des traits de crayon et de stylo en marge ; couverture illustrée.
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Pierre Larrive in4. Sans date. Broché.
sous papier de sopie couverture ternie intérieur propre circa 1956 - le livret comporte uniquementles pages titres frontispices et une ou deux premières pages des oeuvres
Genève, Editions du Milieu du Monde, collection Classique, sans date. Petit in-12, plein skyvertex souple, titre doré au dos, gardes décorées.
Exemplaire de la série verte de cette petite collection, imprimée par Kundig sur papier semi-bible.
Préface de M. Adolphe Paupe. Paris. Charles Bosse, libraire. 1909. Grand in-8° broché. 322 pages. E.O. sur papier ordinaire. [10 japon / 25 hollande]. Très propre.
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Jean de Bonnot 1971 In-8 reliure éditeur pleine peau rouge. Dos lisses avec titres et fers dorés, plats estampés à froid. 21 cm sur 14. Têtes dorées. Frontispices. Gravures de l’Ecole néo-romantique. Environ 400 pp par volumes. Bandeaux, culs-de-lampe et illustrations en noir et blanc hors-texte. Bon état d’occasion.
Titres contenus dans la collection : Le rouge et le noir (vol.1-2) - La Chartreuse de Parme (vol.3-4), - Lucien Leuwen (vol. 5-6), - Lamiel (vol.7), - Romans et nouvelles (vol.8-9), - Chroniques italiennes (vol.10). Bon état d’occasion
Paris, Emile-Paul, Sous le masque de la folie, 1919. 135 X 210 mm. demi-basane bleue, dos à nerfs, tr. bleues. 250 pp. Orné d'un frontispice. Ed. num. 1/81 ex. num. sur vélin bleu. Dos pâli.
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Paris, Sous le Masque de la Folie, Chez Emile-Paul Frères, 1919. Belle édition typographique. 250 pp in-8º. couvertures conservées,
dos passé,un des 1500 ex.num.velin Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Paris, Emile-Paul Frères 1919, 210x140mm, frontispice, VIII - 250pages, broché. Edition originale sur papier vélin blanc de Rives, numérotée n.° 397 / 1500. Bon état.
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Emile-Paul "Sous Le Masque De La Paris 1919 In-8 ( 215 X 145 mm ) de 250 pages, broché sous couverture imprimée bleue rempliée. Bel exemplaire de cette jolie édition, 1 des 1500 exemplaires numérotés sur vélin blanc de Rives ( N°1333 ).
ERNEST FLAMMARION. NON DATE. In-8. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Coiffe en tête abîmée, Papier jauni. 522 pages - tranche (gouttière) du 1er plat abimée - auteur, titre et filets dorés sur pièce de titre marron - plats jaspés - couverture conservées. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Précieux exemplaire du premier roman de Stendhal conservé dans son élégante reliure de l’époque ornée du chiffre C.F. en pied du dos. In-12 de (2) ff, viii pp., 244 pp. Qq. rares rousseurs en début de volume. Demi-basane fauve de l’époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés, pièce de titre de maroquin noir, chiffre doré C.F. frappé en pied du dos, tranches mouchetées. Reliure de l’époque.176 x 110 mm.
Seconde édition, « assez recherchée en raison de la grande rareté de l’originale » (Clouzot, p.257).Cordier, Bibliographie stendhalienne, n°71 ; Carteret, II, p.352.Elle renferme une curieuse préface de Monselet.« Cette édition a ceci de particulièrement singulier que la préface est un ‘éreintement’ sans miséricorde, et pourtant cette édition fut conseillée à Giraud par Monselet lui-même ! qui appelle Stendhal ‘diplomate avec un visage de droguiste’ ». Carteret, II, p. 352.« Premier roman de Stendhal (Henri Beyle, 1783-1842), publié en 1827. L’action se passe dans la haute société, sous la Restauration, à Paris, durant le règne de Louis XVIII. Octave de Malivert, âgé de vingt ans, tout juste sorti de l’école polytechnique, se fait remarquer par sa vive intelligence et la distinction de sa personne, mais aussi par un caractère extraordinairement fermé et lunatique, qui le pousse parfois à de véritables accès de fureur. Il n’éprouve de sincère amitié que pour une cousine qui est de son âge, Armance de Zohiloff, jolie jeune fille noble et pauvre, au caractère loyal et courageux, qu’il a rencontrée chez une de ses tantes, Mme de Bonnivet. Une cruelle équivoque vient interrompre cette tendre amitié :Octave, dont la famille a été ruinée par l’émigration,, reçoit du gouvernement royal deux millions de dédommagement ; Armance qui l’aime en secret, croit remarquer un changement dans ses manières après cette fortune imprévue, et trouvant là matière à mépriser le caractère de son cousin, elle se jure à elle-même de tenir son amour toujours secret, car elle ne veut point passer pour une vulgaire profiteuse aux yeux d’Octave et à ceux du monde. Octave, douloureusement frappé par cette froideur et entraîné, malgré lui, dans une série de succès mondains, ne réussira que très tard à dissiper cette erreur. [...] Le caractère d’Octave (qui malgré le titre du roman, en est le principal protagoniste) serait resté une énigme psychologique si Stendhal lui-même, dans une lettre à son ami et disciple Mérimée, ne nous en avait donné la clé, en révélant les raisons des scrupules dramatiques de son héros et sa défiance dans l’amour : Octave a toujours été impuissant. Le livre est aujourd’hui jugé de façons fort diverses : certains contestent sa valeur artistique, s’opposant en cela à des stendhaliens très passionnés qui voudraient l’élever presque au niveau des chefs-d’œuvre. [...] L’œuvre, en dehors de ses propres qualités, est particulièrement intéressante en ce qu’elle esquisse certains des thèmes qui s’affirmeront par la suite dans ‘le Rouge et le Noir’ et dans ‘la Chartreuse de Parme ‘.(Dictionnaire des Œuvres, I, p. 248-249).Précieux exemplaire du premier roman de Stendhal conservé dans son élégante reliure de l’époque ornée du chiffre C.F. en pied du dos.
Le dernier exemplaire d’Armance, « broché, mouillé, piqué, taché et sali » (ainsi décrit) fut vendu 73 000 € par Christie’s Paris le 25 juin 2009. Paris, Urbain Canel, 1827. 3 volumes in-8 de : I/ (1) faux-titre, (1) titre, viii pp., 177 pp. ; II/ (1) faux-titre, (1) titre, 191 pp. ; III/ (1) faux-titre, (1) titre, 243 pp. Demi-veau bleu glacé, dos lisses ornés de filets dorés, tranches jaspées. Elégantes reliures de l’époque. 170 x 100 mm.
« Edition originale extrêmement rare » (Claude Guérin) du premier grand roman de Stendhal, imprimé en 1827. « D’une grande rareté » (Carteret, II, 350). « Très rare, très recherché » (Clouzot). « Le plus bel exemplaire que Maurice Chalvet a vu dans sa longue carrière de libraire ». « Armance » est le premier roman de Stendhal (1783-1842), publié en 1827. L'action se passe dans la haute société, sous la Restauration, à Paris, durant le règne de Louis XVIII. Octave de Malivert, âgé de vingt ans, tout juste sorti de l'École polytechnique, se fait remarquer par sa vive intelligence et la distinction de sa personne, mais aussi par un caractère extraordinairement fermé et lunatique, qui le pousse parfois à de véritables accès de fureur. II n'éprouve de sincère amitié que pour une cousine qui est de son âge, Armance de Zohiloff, jolie jeune fille noble et pauvre, au caractère loyal et courageux, qu'il a rencontrée chez une de ses tantes, Mme de Bonnivet. Une cruelle équivoque vient interrompre cette tendre amitié : Octave, dont la famille a été ruinée par l'émigration, reçoit du gouvernement royal deux millions de dédommagement ; Armance, qui l'aime en secret, croit remarquer un changement dans ses manières après cette fortune imprévue, et trouvant là matière à mépriser le caractère de son cousin, elle se jure à elle-même de tenir son amour toujours secret, car elle ne veut point passer pour une vulgaire profiteuse aux yeux d'Octave et à ceux du monde. Octave, douloureusement frappé par cette froideur, et entraîné malgré lui dans une série de succès mondains, ne réussira que très tard à dissiper cette erreur. Lui aussi, en réalité, aime sa cousine, mais, se trompant lui-même, et ayant fait le serment solennel de ne céder jamais dans sa vie à l'amour sous peine de se juger le plus méprisable des hommes, il est persuadé qu'il souffre seulement « par amitié ». Le caractère d'Octave (qui, malgré le titre du roman, en est le principal protagoniste) serait resté une énigme psychologique, si Stendhal lui-même, dans une lettre à son ami et disciple Mérimée, ne nous en avait donné la clé, en révélant les raisons des scrupules dramatiques de son héros et sa défiance dans l'amour : Octave a toujours été impuissant. En réalité, le roman est tout entier fondé sur l'étude de la dissociation possible entre l'amour et le plaisir ; le charme d'une psychologie aventureuse digne du meilleur Stendhal l'anime ; mais la bizarre obstination de l'auteur à ne pas dévoiler une des données premières de l'intrigue introduit un je-ne-sais-quoi d'arbitraire dans le jeu des passions, malgré l'exceptionnelle finesse de l'analyse. L'œuvre, en dehors de ses propres qualités, est particulièrement intéressante en ce qu'elle esquisse certains des thèmes qui s'affirment par la suite dans Le Rouge et le Noir et dans La Chartreuse de Parme. Ne trouve-t-on pas dans ce roman l'analyse impitoyablement pittoresque et mordante de la société de la Restauration, le jeu subtil d'un amour d'abord inconscient mais qui se révèle invincible ? et déjà l'on peut dire que Stendhal applique ici sur le vif les principes et les théories de son essai De l'amour. N'y trouve-t-on pas, enfin, les premières ébauches de ces extraordinaires caractères d'adolescents que seront Julien Sorel et Fabrice del Dongo ? Quant à l’exquise beauté de l’exemplaire, il convient de lire la note inspirée par Maurice Chalvet, le plus grand libraire français des années 1960 : « Le grand libraire Maurice Chalvet a vu ces livres en septembre 1980. Il les a trouvés très séduisants. C’était le plus bel exemplaire qu’il avait vu dans sa longue carrière de libraire. Il m’en reparlait souvent pour me féliciter de cet achat. A son avis, et bien que non signées, ces petits livres avaient été reliés par un grand relieur. Le dernier paragraphe d’Armance est l’un des plus beaux qu’ait jamais conclu un récit. Armance est le roman de Stendhal que préférait Gide ». Claude Guérin jugeait ainsi le présent exemplaire : « Exemplaire à la bonne date, dans une fine reliure de l’époque et relié en trois volumes, ce qui est exceptionnel ; on trouve le plus souvent des exemplaires brochés ou reliés en un seul volume ». Cette édition originale compte parmi les plus rares de la littérature du XIXe siècle. L’on voit en moyenne un exemplaire apparaître tous les dix ans sur le marché public, médiocre le plus souvent. Le dernier était « « broché, mouillé, piqué, taché et sali » (ainsi décrit) ; il fut en cet état vendu 73 000 € il y a 8 ans (Ref. Christie’s Paris, 25 juin 2009).
Paris, La librairie nouvelle, 1855, in 16 de 1 fx-titre, 1 titre, 312-(2) pp., rel. d'ép. demi-percaline violine passée, rousseurs éparses, bon ex.
1re édition in 16 comportant "Le Philtre" en édition originale.