Paris, Editions Arc-en-ciel, (1952 et 1953). 6 forts vol. au format pt in-4 (213 x 157 mm) de 263, 235, 259, 260, 223 et 249 pp., en feuilles, sous couvertures titrées à rabats rempliés et étuis-chemises d'édition, dos lisses, ornés de filets dorés, pièces de titre cerise, titres et tomaison dorées.
Un des exemplaires numérotés du tirage sur vélin de chiffon des Papeteries du Marais. Premier tirage des 72 délicates eaux-fortes originales de Paul-Emile Bécat ; coloriées au pochoir par le soin des Ateliers Renson Fils. ''Elève des peintres Gabriel Ferrier et François Flameng, Bécat a exposé aux Salons des Artistes français à partir de 1913 et obtint le Grand prix de Rome. En 1933, il commence une carrière d'illustrateur à la pointe-sèche et se spécialise dans les textes galants. Ses nus, très soignés, sont recherchés''. (in Osterwalder). Les illustrations de Bécat ont été tirées par F. Nourisson sous la direction de l'artiste et enluminées au pochoir par les atelier Renson et fils. Le texte est serti d'une frise décorative d'encadrement, tirée en rose. Monod II, Manuel de l'amateur de livres illustrés modernes, 7777 - Osterwalder II, Dictionnaire des illustrateurs, p. 84 - Bénézit I, Dictionnaire des peintres, p. 558. Dos des chemises insolés présentant en outre quelques marques d'eau. Couvertures papier oxydées pouvant en outre présenter quelques piqûres. Quelques rousseurs pouvant affecter les premiers et derniers feuillets de quelques volumes. Trois feuillets de l'un d'entre-eux présentent une petite plissure angulaire. Du reste, ensemble en belle condition.
Paris, Prault, père, 1756. 8 parties en 4 volumes in-12 de [2]-115-[1]-128; [2]-134-114; 118-[2]126; [2]-128-131 pages, plein veau caramel, dos lisses ornés de filets et fleurons dorés, pièces de titre rouges et de tomaison (frottées) noires, tranches marbrées bleues, quelques coins un soupçon frottés.
Le dernier volume qui contient les septième et huitième parties a été publié par Henri Scheurleer, à La Haye. Le texte de Marivaux est en cinq parties, les trois dernières sont apocryphes et anonymes. Agréable exemplaire.
Paris, Veuve Guillaume, 1723. Petit in-8 (16.3 cm) 54, (5) pages. Broché, sous couverture factice muette de papier marbré. Tranches rouges. Infimes rousseurs, autrement très bel état. [ Édition originale ]. Cioranescu 18°, 42675.
« ‘Arlequin poli par l’amour’ marque le début de Marivaux comme dramaturge ». A Paris, chez la veuve Guillaume, 1723. Avec Approbation & Privilège du Roy.Petit in-8 de 54 pp., (1) f. pour l’Approbation et (2) ff. pour le Privilège.Plein veau brun, filets à froid autour des plats, dos à nerfs restauré, coupes décorées. Reliure de l’époque. 164 x 99 mm.
Edition originale très rare du premier succès de Marivaux. Tchemerzine, IV, 402.Seuls deux exemplaires sont répertoriés sur le marché public depuis plusieurs décennies dont un en reliure moderne de Stroobants. Arlequin poli par l'amour est née de la rencontre de Marivaux avec les comédiens italiens en 1720. C'est la pièce où, pour la première fois, s'expriment les grands thèmes qui alimenteront son écriture : la découverte de l'amour, l'expression de la jalousie, la méprise, la fidélité, le malentendu, la manipulation, la trahison...« ‘Arlequin poli par l’amour’ marque le début de Marivaux comme dramaturge ».Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, plus communément appelé Marivaux, naît en 1688 à Paris. Après des études de droit plutôt chaotiques, il obtient sa licence en 1720 et est reçu avocat, mais jamais il n'exercera : sa rencontre avec le philosophe Fontenelle, ainsi que sa fréquentation assidue du salon de la spirituelle et éclairée Mme de Lambert, l'ont en effet depuis longtemps persuadé de se consacrer à la littérature.Après un premier roman (Les Effets surprenants de la sympathie en 1712) et quelques incursions dans l'écriture parodique (notamment un Télémaque travesti et une Iliade travestie entre 1714 et 1716), il se tourne vers le théâtre. Il doit son premier succès à Arlequin poli par l'amour, joué par les Comédiens italiens de Luigi Riccoboni en 1720, dont il devient l'auteur attitré, et ce jusqu'en 1740.« En 1720, Marivaux donne sa première comédie parisienne, ‘L’Amour et la Vérité’. C’est un échec qu’il accepte aussitôt. Le genre allégorique n’étant pas à la mode, il confie quelques mois plus tard une nouvelle pièce aux Comédiens-Italiens : ‘Arlequin poli par l’amour’ est un succès. Marivaux est rassuré, mais il souhaite être représenté sur la scène la plus prestigieuse de France, celle des Comédiens-Français. Deux mois plus tard, il leur donne ‘Annibal’. Marivaux doit se rendre à l’évidence : la tragédie n’est pas un genre qu’il maîtrise et la pièce est un échec ».Il y a dans cette pièce l'inconscience éperdue et la naïveté insolente de la jeunesse, l'ambition de ses idéaux et la brutalité de leur désenchantement. Arlequin et Silvia ne sont pas loin de nous : entrant dans l'âge adulte, ils butent ensemble contre un monde dont ils ne tarderont pas à mesurer le danger et dont la fée, figure de pouvoir absolu, leur fera comprendre les règles. Car c'est également un regard sur notre monde que nous propose Marivaux : jusqu’à quel point accepte-t-on la soumission à un pouvoir en place ? Jusqu’où abuse-t-on de son pouvoir et jusqu'où en supporte-t-on les abus ? Il y a derrière la comédie les prémices d'une réflexion plus politique : la révolution, le soulèvement, la destitution, la fascination et le goût du pouvoir.« Marivaux présente dans cette petite pièce une réflexion sur le pouvoir : à se trahir les uns les autres, les puissants risquent de le perdre. Il y fournit aussi de manière plus voilée, des éléments pour penser l’accès du paysan ou du sauvage à la civilisation. La force symbolique de la pièce tient à ce télescopage du temps de l’apprentissage du langage et de celui de l’entrée dans la sexualité, événements habituellement séparés par un certain nombre d’années. L’imagination du lecteur a de quoi divaguer entre le paysan et le sauvage, entre l’enfant et l’adolescent en âge d’aimer. Et l’on pourrait s’amuser à reconnaitre, depuis le sommeil et l’interjection initiale d’Arlequin jusqu’au moment de l’échange de la bague avec la fée un véritable défilé des pulsions partielles, préludant à l’amour d’objet. La manière dont Marivaux traite son histoire peut conduire à un certain nombre d’énoncés peu conformes à la doxa en vigueur. » (F. Salaün, Pensée de Marivaux).Exemplaire à marges immenses en reliure ancienne.
. De l'imprimerie de Jules Didot aîné, imprimeur du Roi Paris, 1823, petit in-12 demi-chagrin maroquiné à grain long fauve, dos carré sans nerfs, jeu de filets, frises, roulettes et fers dorés, plats de papier caillouté, tranche jaspées. Reliure de l'époque. 1f.-495pp.-1f. de table. Contient : Notice sur Marivaux / La surprise de l'amour / Le legs / Les fausses confidences / Le jeu de l'amour et du hasard / L'épreuve. Légères rousseurs. Joli petit volume très bien relié à l'époque.
A Paris, chez Prault Père, 1739. In-12 de (4)-68 pp., demi-veau blond à coins, dos orné à nerfs, pièces de titre en maroquin brun (Thierry Sr de Petit-Simier).
Édition originale. Tchemerzine VII, p. 418.
A Paris, chez Prault Père, 1739. In-12 de (4)-65 pp., demi-veau blond à coins, dos orné à nerfs, pièces de titre en maroquin brun (Thierry Sr de Petit-Simier).
Édition originale. Tchemerzine VII, p. 418.
Paris : Prault, 1739 In-12, (4)-65 pages. Demi-toile du XIXe siècle (un peu tachée), pièce de titre noire au dos.
Première édition. Le privilège est à la date du 16 mars 1736. Après Le Trissin, Rotrou et Regnard, Marivaux reprend dans cette pièce le vieux thème des Ménechmes de Plaute. Tchemerzine IV, 418, a.
Paris Stock 1947 In-8 broché, couv. illustrée rempliée, frontispice gravé de Michel CIRY, bandeaux de Mario PRASSINOS, 598 pp. Tirage sur vélin chiffon du Marais, limité à 2250 exempl., celui-ci n° 548. Vingt-cinquième ouvrage de la collection Cent Romans Français.
Dos un peu bruni, bon état.
1755 Paris, Prault, 1755; 12 parties en 4 volumes in-12°, plein veau marbré de l'époque, do slisse orné de filets, fleurons et petits fers dorés, titre et tomaison dorés sur 2 étiquettes attenantes de maroquin vieux-rouge, tranches marbrées de bleu; (2), 351pp.; (2), 360pp.; 408pp.; 336pp. Cette édition renferme les 12 parties du texte, dont la dernière apocryphe. Ce texte étant paru sur plus de dix ans (à partir de 1731- 1742), il est très difficile de réunir les 12 parties dans leurs éditions originales(Cf. Tchémerzine).
Reliure frottée aux coupes et coins, très petit manque à une coiffe, rares rousseurs, petites traces de doigt à quelques feuillets, mouillures aux gardes du tome 1, traces de mouillures au Tome 3 affectant la marge supérieure des premiers et derniers feuillets, une tache d'encre en marge des 2 derniers feuillets du tome 4 a fragilisé le papier en marge de ces 2 feuillets. Il manque l'étiquette de titre et tomaison du tome 3. ( Reu-CO1)
P., Jouaust - Librairie des Bibliophiles, 1882. 3 vol. in-12, demi chagrin bleu, dos 5 nerfs, titres dorés, caissons ornés de fil. dor. et de motifs floraux dorés mosaïqués de rouge en leur centre, tranchefiles, signets, têtes dorées (Reliure de l'époque).
Toujours agréable impression Jouaust pour la Librairie des Bibliophiles, ici ex. sur hollande van Gelder non justifié. Tirage à petit nombre. 3 titres frontispices gravés de Adolphe LALAUZE. Cinquième titre de la collection "Bibliothèque des Dames". Légères transparences de rousseur sur les gravures des tomes 1 et 3, sinon, bel exemplaire dans une reliure de très bonne facture.
A Paris, chez Prault Père, 1733. In-12 de (4)-76-(4) pp., demi-veau blond à coins, dos orné à nerfs, pièces de titre en maroquin brun (Thierry Sr de Petit-Simier).
Nouvelle édition. Tchemerzine VII, p. 415.
ChezHenri Scheurleer, à La Haye 1756, in-12 (9x16cm), (8) 320pp. et (2) 315pp. (1), 8 parties reliées en 2 volumes.
Nouvelle édition. Les 8 parties ont chacune une page de titre. Pages de titres de la première partie et de la cinquième en rouge et noir. Roman paru pour la première fois entre 1734 et 1736, les trois dernières parties sont apocryphes et paraissent ici chez Scheurleer en édition originale. Reliures en plein veau brun d'époque. Dos à nerfs orné de fleurons et d'étoiles. Pièces de titre en maroquin rouge, et de tomaison en maroquin brun. Des restaurations aux mors et coiffes. Brunissures éparses. Bon exemplaire. A l'instar de La vie de Marianne, Le Paysan parvenu repose sur des mémoires, et l'ascension d'un jeune homme beau et de beaucoup d'esprit, mais pauvre et d'extraction paysanne. Ses qualités qui le rendront appréciables aux yeux des femmes lui permettront de faire son chemin dans la bourgeoisie et d'acceder à la réussite. Marivaux utilise les recettes du roman picaresque, jetant son personnage d'une aventure à l'autre. A la fin de la cinquième partie, Marivaux entretient son lecteur sur ce qui l'attend dans la sixième, mais l'auteur reviendra à l'écriture de la vie de Marianne, dont Le paysan parvenu semble être le parallèle masculin, et les trois dernière parties seront achevées par un inconnu. - Photos sur www.Edition-originale.com -
La Haye, Chez C. Rogissart & Soeurs. 1734. 2 vol. petit in-8 (155 x 92 mm.), 95-(1)-106-111-(1) et 94-92 pp. Reliure veau d'époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés, tranches mouchetées, les deux volumes sont appareillés (les dorures ne sont pas identiques), les dos sont frottés et épidermés, les coiffes restaurées, la pièce de tomaison du vol. 1 a été refaite, cachets de bibliothèques sur pages de titre et dans le texte du vol. 1, vol. 2 : page de titre restaurée en bordure, annotations au crayon gris.
Édition paru la même année que l'édition originale. Envoi hors de France : le tarif économique est réservé aux livres d'un prix maximum de 50 euros. Dans tous les cas, le prix du port est calculé selon la destination et le poids du colis.
Paris, Prault père, 1735-36. 5 tomes en 1 vol. in-12, veau moucheté, dos à nerfs orné, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges. Reliure de l'époque, coiffe sup. arrachée, coiffe inf. élimée. (2) ff., 115 pp.; (2) ff., 128 pp.; (1) f., 134 pp., (3) ff.; (1) f., 114 pp; (2) ff., 118 pp., (1) f. Quelques rousseurs et taches.[D19]
Cette édition passait pour l'originale jusqu'à ces dernières années. Elle correspond en fait à l'édition E de la bibliographie spécifique établie par Delofre dans son édition du Paysan parvenu (Paris, Garnier, 1969, p. LI). La vraie édition originale, qui semble rarissime, a la même collation (mais pas exactement la même composition) et fut imprimée en 1734-1735. Tchemerzine-Scheller IV, 413; Cioranescu, 42729 (tous deux présentent notre édition comme l'originale).
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Paris : Prault, et La Haye : Henri Scheurleer, 1756 Huit parties en deux volumes in-8. Veau marbré de l'époque, dos lisse fleuronné, pièces de titre et de tomaison de maroquin bordeaux et olive, filet à froid en encadrement sur les plats, filet doré sur les coupes, tranche marbrée bleue.
Coins émoussés, charnières et coiffes un peu frottées. Un des romans les plus audacieux de son temps. Cet exemplaire correspond à l'édition K de la bibliographie établie par Deloffre dans son édition du Paysan parvenu (Paris, Garnier, 1969), sauf pour la partie V, qui appartient à l'édition E. Chaque partie possède une page de titre propre. Les trois dernières sont apocryphes.Publié de 1734 à 1735, en cinq parties, ce roman de Marivaux fut très bien accueilli par le public ; la critique, elle, fut assez sévère. Ce n'est que depuis une trentaine d'années qu'on le considère comme l'une des œuvres les plus audacieuses de cette époque. Le succès européen du Paysan parvenu, pendant tout le XVIIIe siècle, est aussi attesté par une vingtaine d'éditions (en partie étrangères) et une demi-douzaine de traductions. (Dict. des litt. de lang. franç.)
La Haye : Pierre Derogissart, 1762 Trois tomes en un volume in-12, 141-(3)-207-(1)-212 pages. Basane marbrée de l'époque, dos lisse orné.
Coins émoussés. Publié de 1734 à 1735, en cinq parties, ce roman de Marivaux fut très bien accueilli par le public, ses nombreuses rééditions en attestent ; la critique, elle, fut assez sévère. Ce n'est que depuis une trentaine d'années qu'on le considère comme l'une des oeuvres les plus audacieuses de cette époque. Le succès européen du Paysan parvenu, pendant tout le XVIIIe siècle, est aussi attesté par une vingtaine d'éditions (en partie étrangères) et une demi-douzaine de traductions.
Paris : Veuve Duchesne, 1782 Deux volumes in-8, (2)-476-(2)-467 pages. Cartonnage doré rayé de noir du XIXe siècle.
Publié de 1734 à 1735, en cinq parties, ce roman de Marivaux fut très bien accueilli par le public, ses nombreuses rééditions en attestent ; la critique, elle, fut assez sévère. Ce n'est que depuis une trentaine d'années qu'on le considère comme l'une des oeuvres les plus audacieuses de cette époque. Le succès européen du Paysan parvenu, pendant tout le XVIIIe siècle, est aussi attesté par une vingtaine d'éditions (en partie étrangères) et une demi-douzaine de traductions.
La Haye, Derogissard, La Haye, Derogissard1762 ; 8 parties en 2 volumes in-12, veau blond marbré, dos à nerfs ornés, tranches marbrées. (Reliures de l’époque) 2 ff., 79 pp., 88 pp., 1 f. blanc, 94 pp., 1 f. blanc, 78 pp., 1 f., 79 pp. - 1 f., 100 pp., 1 f., 102 pp., 1 f., 103 pp.
1756 La Haye, Henri Scheurleer, 1756, 8 parties rel. en 1 vol. in 12 de (4) ff., 320 pp., (1) f., 315 p., (1) p. de catalogue du libraire, pages de titre séparées pour chacune des parties, rel. d'ép. plein veau brun, dos à nerfs orné de fers dorés, pièce de titre de mar. rouge, tranches rouges, habiles restaurations anciennes aux coins et coiffes, très petit manque à la coiffe sup., dos fragile, bon ex.
Les trois dernières parties sont apocryphes.
Rouen, Machuel, 1782. 8 parties en 2 vol. in-12 de 70, 76, 80, 68 pp. ; 69, (2)-72, 76, 75-(1) pp., basane marbrée, dos orné à nerfs, pièces de titre et de tomaison en maroquin rouge, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Édition rouennaise en huit parties à pagination séparée, sortie des presses de Pierre Machuel une première fois en 1780. Bon exemplaire. Épidermures sur le premier plat du tome II.
A Paris, chez Prault Père, 1733. In-12 de (4)-120 pp., demi-veau blond à coins, dos orné à nerfs, pièces de titre en maroquin brun (Thierry Sr de Petit-Simier).
Édition originale. Tchemerzine VII, p. 417.
Sans lieu ni date, (Paris, 1738?). In-12 (16.8 cm) 131, (1) pages. Broché, sous couverture muette factice de papier gris bleu. Exemplaire sans page de titre. Rousseurs par endroits. cf. : Cioranescu 18°, 42706. Quérard V, 544
Le feuillet d'approbation et privilège donne la date du 15 septembre 1738. Exemplaire sans la page de titre et les 4 pages de catalogue, mais avec la même pagination que l'original de 1738 chez Prault père. Cet exemplaire n'est nullement vendu comme l'original.
Paris, Chez les Libraires qui vendent les Nouveautés, an sixième, (1798). Petit in-4 (19.6 cm) 64 pages. Brochure sortie d'un volume relié. Sans couverture. Rousseurs.
A Paris, chez Prault Père, 1739. In-12 de (4)-131 pp., demi-veau blond à coins, dos orné à nerfs, pièces de titre en maroquin brun (Thierry Sr de Petit-Simier).
Édition originale. Tchemerzine VII, p. 416.