Paris, E. Bernard, 1885 - 1886 ; 3 tomes in-8, brochés ; 479, (5) pp., 16 planches dépliantes ; 514, III pp., 6 planches dépliantes ; 440, III, (4) pp. (catalogue de libraire) et plus de 1500 figures dans le texte.
Ouvrage rare. Le fer dans la construction : Couvertures, escaliers, menuiseries et serrureries, fondations. II. La pierre et la brique dans la construction. Murs en briques. Moëllons et pierres de tailles. Arc, voûtes ; baies, moulures, exécutions. III. Le bois dans la construction.Bon exemplaire.
Phone number : 06 60 22 21 35
deux volumes in 8 demi-cuir marron raciné à quatre nerfs,pièces de titre chagrin marron,fers, filets dorés.142,164 pages.291 héliogravures.Couvertures couleur de germaine Petit conservées.Arthaud 1933
New York Peter Smith 1933 1 vol. relié in-8, cartonnage illustré, jaquette illustrée, non paginé, 144 gravures sur bois à pleine page. Sixième tirage de septembre 1933. Premier roman graphique sans parole illustré par la gravure sur bois du dessinateur américain Lynd Kendall Ward (1905-1985), fortement influencé par le travail de Masereel. Dos de la jaquette un peu usé, avec de petits manques en tête et en pied. Légère décoloration de la tranche supérieure. Sinon exemplaire frais, peu courant avec sa belle jaquette illustrée. Exemplaire provenant de la bibliothèque d'Alain Resnais.
Lyon Lugdunum 1944 1 vol. broché in-12, broché, 276 pp. Edition originale de ces deux nouvelles illustrées de 35 dessins par l'auteur. Petit accroc au dos, papier un peu jauni, sinon bon état général.
Paris, aux dépens d'un groupe d'amateurs, 1949. In-4 en feuilles, couverture rempliée. Album composé de 12 burins originaux, montés sous passe-partout, présenté par Warnod d'origine alsacienne. Tiré à 220 exemplaires numérotés, celui-ci l'un des 30 hors commerce sur vélin.
Bel exemplaire enrichi d'un envoi de l'artiste et d'une carte de voeux lithographiée.
Paris, Editions de la Fanfare de Montparnasse, 1925. In-4° broché. Edition originale. 35 dessins de Jules PASCIN, au trait, coloriés à la main, dont 4 en double page et un frontispice.
Amusant ouvrage aux ravissantes illustrations de Jules Pascin. La couverture, malheureusement, est un peu passée.
A Paris, de l'Imprimerie de H. L.Guérin & L. F. Delatour, 1760. 1 vol grand in-4 de XIX-144 pp., maroquin rouge, triple filet doré d'encadrement sur les plats, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin vert, dentelle intérieure, tranches dorées (reliure de l'époque).
Un titre frontispice, une vignette de titre, treize vignettes dont une de dédicace, six culs-de-lampe et deux planches gravés par Watelet d'après Pierre.Édition originale. Bel exemplaire sur papier fort.Provenance : Biblothèque de Nicolas-Jean Hugou de Bassville (1753-1797), membre de la mission diplomatique de la République française conduite par Joseph Bonaparte à Rome, il fut massacré, en compagnie du général Duphot par la populace ameutée par le clergé (27décembre1797). Le traité de Tolentino imposa au gouvernement pontifical de verser une indemnité à sa famille.Bibliothèque de Mr le comte François Potocki (ex-libris). « Le comte François était fils du comte Vincent et d'une comtesse Mycielska. Son père, le comte Vincent, avait épousé en troisièmes noces Hélène Massalska, divorcée princesse de Ligne (voir Lucien Perey, Histoire d'une grande dame). Le comte François lui-même épousa successivement : 1° Sidonie de Ligne; 2° Caroline Kofïler, une Polonaise, malgré son nom allemand. Le comte François (1788-1853) était un érudit et un connaisseur; il avait réuni une nombreuse collection de beaux objets de tout genre, dont hérita sa seconde femme (ils n'avaient pas d'enfants). Plus jeune de trente ans que son mari, elle se remaria, mais n'eut pas d'enfants. Elle mourut vers 1885 ; le reste des collections du comte François fut vendu après sa mort ».Cohen - De Ricci, 1051.
Précieux exemplaire, conservé dans ses belles reliures de l’époque, cité par Cohen (col. 1056) provenant des bibliothèques du Comte Greffulhe et d’André Langlois avec ex-libris. Paris, Audran et Chereau, [1726-1728]. 2 volumes in-folio de : T. I / (4) ff. gravés (frontispice dessiné et gravé par Boucher, épitaphe, et autoportrait de Watteau gravé par Boucher), et 101 planches portant 132 sujets numérotés. Sans le titre, la Vie (2 ff.) et la préface (un f.), gravés, jamais reliés dans l'exemplaire (voir ci-après) ; T. II / 121 planches portant les sujets numérotés de 133 à 350 et 1 gravure non numérotée entre la 270 et 271. Sans le titre et le f. d’Avertissement. Veau marbré, triple filet à froid encadrant les plats, dos ornés de filets, fleurons, et étoiles, pièces de titre et tomaison de maroquin rouge et noir, tranches dorées. Reliure de l'époque. 495 x 325 mm.
Edition originale et premier tirage « de ce précieux recueil » (Cohen, col. 1064), l’un des plus beaux et des plus rares livres illustrés français de tous les temps. « Cette édition, la seule bonne, est fort rare ». (Cohen, col. 1064). Sander, Illustrierten franz ö sischen Bücher des 18. Jahrhunderts, 2042 ; Berny, Livres anciens, romantiques et modernes, III, …, 90 ; Esmerian, XVIIIe siècle, livres illustrés, 107. Précieux et célèbre exemplaire cité par Cohen (col. 1056) provenant des bibliothèques du Comte Greffulhe et Jacques Langlois. Le « recueil Julienne », le plus beau et le plus rare des recueils de gravures du XVIIIe siècle, fut composé par les soins de l’ami et protecteur de Watteau, Jean de Julienne, lequel s’entoura peu de temps après la mort de Watteau d’une trentaine d’artistes reconnus dans le but de propager l’œuvre de son ami. L’entreprise de publication s’étendit sur une douzaine d’années. Les quatre volumes (dont les Figures de différents caractères sont consacrés aux dessins et l’Œuvre à ses peintures et ornements) furent imprimés chez lui, à la manufacture des Gobelins. Le travail de gravure débuta en 1717, soit quatre ans avant la mort d'Antoine Watteau. Les Figures de différents caractères furent mises en vente en 1726 et 1728 (et l’Œuvre en 1735). Julienne fit appel aux plus grands artistes du temps : quinze graveurs travaillèrent aux Figures de différents caractères, dont Jean Audran (131 pièces), Cochin père, Nicolas Silvestre, Laurent Cars et François Boucher alors âgé de dix-neuf ans, qui grava 105 pièces. Jean de Julienne lui-même, son ami le comte de Caylus et peut-être Montullé, cousin germain de Julienne, ont enfin gravé une quinzaine de pièces. Au total, 352 gravures immortalisant les dessins de Watteau : outre son autoportrait, la plupart sont des études de personnages pour ses tableaux de scènes galantes ou de comédie italienne, mais aussi d’artisans de petits métiers, de femmes dans leur vie quotidienne, et de personnages exotiques. Le goût personnel de Julienne, aquafortiste amateur, influe sur la technique des graveurs. C'est à l'eau-forte qu’eurent recours ces derniers pour obtenir une atmosphère aux valeurs claires, évanescentes que ne pouvait traduire le burin. Le succès de l’ouvrage fut considérable et les gravures accrochées dans tous les intérieurs français, ainsi qu’en Angleterre et en Allemagne. Quelques années après la parution des Figures de différents caractères en 1726-1728, les deux volumes de l’Œuvre de Watteau virent le jour en 1735 ; le Comte Greffulhe possédait initialement ces quatre volumes : Les Figures en 2 volumes in-folio, et L’Œuvre en 2 volumes grand in-folio. Il est cité par Cohen dans sa description de L’Œuvre parmi les rarissimes exemplaires connus (col. 1056). L’ensemble des volumes fut titré L’Œuvre au dos, raison pour laquelle les deux volumes des Figures portent ici ce titrage, et explique l’absence (d’origine) des titres, de la préface et de la Vie de Watteau, lesquels furent remplacés par le frontispice de Boucher, relié ici en tête du T. I mais habituellement en tête du T. II. Ce superbe exemplaire du Comte Greffulhe compte parmi les rares conservés dans leur élégante reliure de l’époque bien conservée. L’exemplaire passa ensuite dans la bibliothèque André Langlois, une des provenances les plus distinguées pour les beaux livres du dix-huitième siècle. En mai 2000, il y a 16 ans un exemplaire de ces deux volumes de Figures de différents caractères en reliure anglaise restaurée était vendu 350 000 F (environ 53 300 €) (Réf : Livres précieux – mai 2000, n° 140).
Selon Cohen, ce recueil vaut 30 fois le prix des Fables de la Fontaine illustrées par Oudry en 4 volumes in-folio, Paris, 1755-1759. A Paris, Fixé à cent exemplaires de pres épreuves. Imprimez sur grand papier.2 volumes grand in-folio, vers 1735.261 planches gravées. - Vol. 1 : 1 titre gravé, 1 f. de texte gravé, 1 frontispice gravé. 38 planches ; Figures de mode, dessinées et gravées à l’eau forte par Vatteau (sic). Paris : Duchange et Jeaurat, s.d. : 1 titre gravé, 11 planches ; Figures Françaises et comiques, nouvellement inventées par M. Watteau. Paris, Duchange et Jeaurat, s.d. : 1 titre gravé, 7 planches. Autres vues. Paris Duchange, Gautrot et Joullain, s.d : 52 planches dont 8 doubles.- Vol. II : Œuvres des estampes gravées, d’après les tableaux et dessins de feu Antoine Watteau. Quatrième et dernière partie. Paris, Gersaint, s.d. : 1 titre gravé et 153 planches.Soit un total de 261 gravures.Reliure en veau marbré, triple filet doré en encadrement sur les plats, dos à nerfs et caissons ornés, pièce de titre rouge et tomaison citron. Reliure de l’époque.Provenances : Comte Henry Greffulhe (1848-1932) (ex-libris gravés à ses armes) ; André Langlois (ex-libris).637 x 468 mm.
Edition originale.« Ce somptueux recueil en deux volumes est un des livres les plus beaux et les plus rares du XVIIIe siècle. Des cent exemplaires qui furent tirés, à peine une trentaine existe encore aujourd’hui (en 1910, il y a 109 ans) les autres ayant été cassés par les marchands d’estampes. » (Cohen).Il est à observer que le Tome I contient uniquement des pièces à regarder en hauteur et le tome II des pièces à regarder en largeur. Quand il y a deux pièces sur la même planche, au tome I, ce sont donc des pièces en largeur au tome II, des pièces en hauteur.- [Avec] : WATTEAU, Antoine. Figures de différents caractères de Paysages & d’Etudes dessinées d’après nature, par Antoine Watteau. Peintre du Roy en son Académie Royale de peinture et Sculpture, Gravées à l’Eau-forte par des plus habiles Peintres et Graveurs du temps, tirées des plus beaux cabinets de Paris.A Paris, chez Audran, graveur du Roy en son Hôtel royal des Goblins et chez F. Chereau, graveur du Roy, rue Saint-Jacques, aux deux pilliers d’or, Roland scrips. F. Baillieul l’aisné sculpsit, s.d. (vers 1735).2 tomes reliés en 1 volume grand in-folio.Tome I : (7) ff. gravés (titre, portrait de Watteau par lui-même gravé par Boucher, Vie, 2 ff. ; épitaphe, 2 ff., préface 1 f. et 132 sujets sur 101 planches.Tome II : (3) ff. (titre, avertissement, frontispice par Boucher) et 120 (ou parfois 121) ff. contenant les sujets 133 à 350.Reliure en veau marbré, aux armes de Samuel Bernard (OHR, 1043), triple filet doré en encadrement sur les plats, dos à nerfs, caissons ornés, pièce de titre et de tomaison en maroquin rouge, roulette sur les chasses, tranches rouges.Provenance : Samuel Bernard, comte Coubert (1651-1739). Reliure armoriée de l’époque.509 x 337 mm.Edition originale de ce précieux recueil publié par les ordres de M. de Julienne qui, selon Mariette, grava lui-même les n°221 et 222. Les aquafortistes des autres planches sont Jean et Benoît Audran, Boucher, Cars, Caylus, Cochin, Desplaces, Lépicié, Sylvestre et Carle Vanloo.Cette édition, la seule bonne est fort rare. Cartonné, non rogné, 1 500 fr. OR, catalogue Fontaine 1874, n°2493.En veau ancien, 2 500 frs Or Bulletin Morgand (1891), n°20348.En demi-reliure de Pagnant 3 000 frs Or, Bulletin Morgand (1899), n° 35457 ; en feuilles, 3 500 frs Or ibid. n°36821.Soit de 18 000 à 23 000 F Or pour les deux œuvres en 1912 selon Cohen soit 30 fois la valeur de la grande édition des Fables de La Fontaine illustrées par Oudry en 4 volumes in-folio, Paris 1755-1759 dont un bel exemplaire de premier tirage en maroquin se vend aujourd’hui 30 000 €.L’œuvre de Watteau est le plus rare des recueils de gravures du XVIIIe siècle.Il a été formé par les soins de Jean de Jullienne, ami et protecteur de Watteau, et tiré chez lui, à la manufacture des Gobelins, à cent exemplaires.Nous résumons brièvement, d'après les précieuses recherches de MM. Dacier et Vuaflart (Jean de Jullienne et les graveurs de Watteau), l'historique de cette magnifique entreprise. Le travail de gravure débuta en 1717, soit quatre ans avant la mort d'Antoine Watteau, et se continua jusqu'en 1735.Pour ces gravures, M. de Jullienne sut faire appel aux meilleurs artistes du moment : Jean Audran, Desplaces, Dupuy, Cochin père, Edme Jeaurat, Benoît Audran, fils de Jean, Siivestre, Laurent Cars, Bernard Lépicié, Carle Vanloo, Trémolières, François Boucher, alors âgé de dix-neuf ans, Jean de Jullienne lui-même, son ami le comte de Caylus et un anonyme qui signe M et pourrait être M. de Montullé, cousin germain de Jullienne, Tardieu, Maurice Baquoy, Louis Crépy, Nicolas de Larmessin, Thomassin, Jean Moyreau, Gabriel Huquier, spécialiste des arabesques, Bernard Baron, François Joullain, les frères Liotard, de Genève, Aveline, François Chédel, Jacques Ph. Le Bas, Marie-Jeanne Renard du Bos, Louis Jacob, Etienne Fessard, soit en tout trente-six artistes.Watteau lui-même a gravé dix pièces qui furent retouchées par les graveurs professionnels.« En 1716 Watteau céda aux instances de Crozat et vint s'installer chez le célèbre collectionneur. Crozat possédait, rue de Richelieu, au coin des boulevards un magnifique hôtel avec parc. Il avait à Montmorency un château somptueux. Watteau bénéficia de ce luxe, mais pas longtemps. La brillante société qui fréquentait chez le financier lui prenait beaucoup trop d'instants qu'il eut préféré consacrer aux commandes dont il était surchargé. Il quitta Crozat pour aller chez Sirois dont il accepta l'hospitalité, défendant qu'on fit connaître sa demeure à ceux qui la demanderaient. » « C'est à partir de cette époque que Watteau se libéra des manières et des influences précédentes et trouva définitivement et l'esprit et la technique qui allaient constituer cette poésie qui est si particulière à son œuvre. Quant à l'esprit, il abandonne les scènes de mascarades du répertoire de Gillot, et se consacre désormais aux manèges de l'amour, depuis les jeux retenus des premières rencontres : « La proposition embarrassante », jusqu'aux ultimes passes d'armes : « La surprise ». Il aime aussi à décrire les plaisirs de la musique : « Les Charmes de la vie ». Il isole parfois des personnages dans le but d'approfondir leur portrait psychologique : « La Finette » et « L'indifférent », tous deux au Louvre, « Le donneur de sérénades » de Chantilly.Mais c'est peut-être encore plus la technique picturale nouvelle qui constitue la grande originalité de l'art de Watteau dans sa brève maturité : d'une part il ne met plus en scène des personnages détachés devant un fond de décor, au contraire, par une touche hachurée, il fait un tout des personnages et de l'espace dans lequel il se meuvent ou se situent, s'imbriquant dans les herbes, les branchages, la brume légère. S'il avait été auparavant sensible aux exemples des peintres de genre flamands, la pratique des collections de Crozat lui permet de découvrir ses véritables sources avec le sens de la grande décoration, l'aisance du dessin, des raccourcis, des arabesques élégantes, chez Véronèse, et le sens de la pâte picturale généreuse et sensuelle, la traduction voluptueuse de la lumière dorée enveloppant les beaux corps chez Titien. Cependant, il n'avait toujours pas peint son morceau de réception pour l'Académie, qui l'avait accueilli en quelque sorte sur parole, et qui commençait à s'impatienter.Ce fut en 1717 que Watteau lui présenta enfin « L'embarquement pour Cythère », qui lui valut aussitôt le titre de « peintre des fêtes galantes ». Ce titre bien que justifié ne traduit que le côté le plus anecdotique du talent de Watteau. En fait on aurait pu mieux le dire « peintre de la nostalgie des fêtes galantes », ce qui aurait traduit plus justement le climat poétique propre aux prétendues fêtes de Watteau. En outre, par-delà le sujet, si prenant soit-il, c'est bien plus le rythme de la composition, la gamme colorée, chaude et dorée, la technique, légère et nerveuse, par petites touches spirituelles, entrecroisant les tons, le dessin, alerte, éblouissant, des personnages et du paysage, l'accord, la fusion, entre êtres et choses, acteurs et décor, personnages et nature, qui créent la poésie chez Watteau. »Précieux exemplaire de l’un des plus beaux livres illustrés par un peintre au XVIIIe siècle.Les exemplaires complets de toutes leurs planches, comme celui-ci, sont rarissimes : du tirage originel à cent exemplaires en 1735, un nombre infime a échappé aux marchands d'estampes qui ont souvent préféré vendre les gravures à part. (Cohen-de Ricci, col. 1053-1065).
Le Havre Le Volcan 1990 1 vol. relié Ed. française. in-8, cartonnage illustré, 171 pp., nombreuses reproductions en noir et en couleurs. Très bon état.
Paris, Creuzevault, 1948. In-4° en feuilles, couverture illustrée, chemise et étui. Illustré de nombreuses pointes-sèches originales par Hermine David. Tirage limité à 240 exemplaires, celui-ci sur pur chiffon.
Bel exemplaire.
1889 Paris, Garnier frères, 1889, in 4 de IX-91-(3) pp., cart. d'éditeur de toile à fleurettes polychromes et décor de fleurs et insectes dorés sur le 1er plat (signé Magnier), tranches dorées, bon ex.
Ouvrage illustré de 8 compositions en chromotypographie par F. LIX hors-texte et de nombreuses vignettes gravées sur bois en culs-de-lampe.
Crété, le gérant : F. Tinesse. 31,5 x 23,5 cm, pp. [449] à [464], 7 illustrations en couleurs en pleine page (couverture incluse), ainsi que des vignettes et encadrements en noir, broché, couverture originale. Fascicule entièrement illustré par Gerda Wegener. Les illustrations représentent : Le troubadour (premier plat de la couverture), Trois cents soldats, Malbrough, La chanson de Roland (double page), Auprès de ma Blonde, Fanfan la Tulipe, Chant des Girondins (deuxième plat de la couverture). Gerda Wegener, née Gottlieb (1886-1940), était une artiste peintre et dessinatrice danoise très en vogue à Paris et Copenhague dans les années 1910. 1930. Elle collabora avec plusieurs revues : La Vie parisienne, Fantasio, Rire, La Baïonnette etc. et illustra une dizaine de livres (spécialement pour les éditeurs Briffaut et Piazza), ouvrages aujourd'hui très recherchés. A sa propre notoriété s'ajouta celle de son mari, Einar Wegener, qui mena sous le nom Lili Elbe une vie de femme mondaine et d'artiste. Il devint d'ailleurs, après plusieurs opérations, la première femme transsexuelle connue de l'histoire médicale. Après leur séparation, Gerda Wegener conclut une seconde union qui fut de courte durée. Suite à ces échecs affectifs et face à la menace d'une guerre en Europe elle retourna au Danemark, mais tomba très vite dans l'oubli. Elle termina sa vie en dessinant des cartes postales pour subvenir à ses besoins. Papier bruni. Exemplaire non rogné, minimes accrocs dans les marges. Très bon exemplaire de ce fascicule fragile.
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Electa, Milano, 1962.
16 Planches en noir dans le texte, 80 Planches en noir horse texte, 32 Planches en couleurs. Couverture rigide, 62 pp. Tres bon etat.
Nürnberg, Christop Weigel, o.Jahr (1695). (2 Theil:) Christoph Weigel, Kupfersticher in Augsburg, 1695. Folio. Contemp. ful calf.,raised band, titlelabel with gilt lettering. Spine richly gilt. Spine ends worn. Spine rubbed. Loss of leather at upper compartment. Titlepage to the second part have letters engraved. (4),101110 (108 a. 109 lacks ?) leaves. Recto of leaves each with 4 engraved illustrations, verso with text. With in all with 826 (of 831) engraved illustrations, each measuring 13x9 cm. One illustration removed affecting the text on verso. A few tears to leaves. Some margins a bit frayed. Some scattered brownspots mostly marginal. The engravings in clear impressions.
First edition. - Brunet V:1428. According to Brunet the engraved illustrations are the same as in an edition of the bible, Frankfurt, 1696 in 7 volumes.- Graesse VII:429.
Paris Ernest Leroux 1904. In-8 broché 240pp. Orné de 44 illustrations et cartes dans le texte ou à pleine page, la plupart d'après des photographies. Bel exemplaire bien complet.
Géographie du Maroc, Casablanca, Marrakesh, la M'halla et le Sultan Mouley Abd-El-Aziz, le Makhzen, l'armée.
Stockholm, Sigfrid Flodins förlag, u.år (1872). Lille kvartformat. (14x12 cm.). Orig. helshirt i form a leporello. Forpermen forgyldt. titel og det svenske rigsvåben. komplet med 23 kromolitograferede plancher samt kromolitograferet titelblad. Litograferet og trykt hos Schlachter & Seedorff.
Centre national des arts plastiques, Paris 1985, 22x31cm, broché.
Edition originale de ce catalogue d'exposition des oeuvres d'Hugh Weiss au Centre national des arts plastiques du 30 Avril au 30 Mai. Bel exemplaire illustré de reproductions d'oeuvres d'Hugh Weiss. Texte de Gérald Gassiot-Talabot. Provenance : de la bibliothèque de Georges Raillard, fameux critique d'art, ami et spécialiste de l'oeuvre de Joan Miro et d'Antoni Tapies. Notre exemplaire est enrichi d'un dessin original signé d'Hugh Weiss représentant un visage d'homme. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Edizioni Roberto Peccolo, Livorno 1995, 20x26cm, broché.
Edition originale trilingue de ce catalogue d'exposition des oeuvres d'Hugh Weiss à la Galeria Peccolo de Livourne. Bel exemplaire illustré de reproductions d'oeuvres d'Hugh Weiss, petites traces d'éraflures sur le premier plat. Texte de Meyer Raphaël Rubinstein. Envoi autographe signé d'Hugh Weiss à Georges Raillard enrichi d'un dessin original représentant un visage d'homme de profil. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Couverture rigide Les Franc-Montagnard - Société jurassienne d'Emulation 1997 Saignelégier-Porrentruy 28,5x23,5 cm
Reliure cartonnée d'éditeur argent imprimée en rouge, dos avec titre, jaquette illustrée en couleur - 243 pp. Les recettes du célèbre cuisinier jurassien, étoilé Michelin, qui fait la part belle aux produits régionaux. Belles illustrations couleur d'Armand Stocker. Bel état.
1900 Paris, Ch. Delagrave, s.d. (vers 1900), in 4 de (8)-324-(4) pp., cart. d'éd. toile bleue illustré d'un phare doré, d'un ancre, des étoiles et du titre en argent, tranches dorés, bel ex.
Ouvrage illustré de très nombreuses dessins de GINOS en noir et blanc dans le texte.
Philadelphia Lippincott and Co 1857. Petit et fort in-8 2 feuillets non chiffrés VI-XXIV 26-415pp. Cartonnage éditeur de toile brune, dos lisse, plats ornés de motifs à froid. Orné en frontispice du tombeau de John Fitch, 1 vignette sur le titre, 1 figure à pleine page, 22 figures dans le texte. Cartonnage défraîchi, quelques rousseurs. exemplaire bien complet.
Paul Augustin Normand, en 1933, rédigea aussi une étude sur l'inventeur Américain du navire à vapeur. Il est probable qu'il tira certaines informations de cet ouvrage. (4017)
Ramsay 1982 1 vol. broché petit in-4, sous couverture de papier fort sur fond noir (pastiche de roman policier), non paginé. Edition originale française dans une traduction de Barbara Kamir. Ensemble de documents en fac-similé et dactylographiés, archives diverses, photographies légendées et coupures de presse, imitant à merveille un dossier d'enquête policière (avec la résolution de l'énigme dans une enveloppe fermée in-fine). Excellent document.
Leipzig, Schumann, [1898]. In-folio reliure éditeur pleine toile beige, titre doré au dos, titre et décor polychrome au plat sup. [Behr & Hörich], [2] ff., 317 pp., [1] f., 20 planches et 20 fig. dans le texte, le tout gravé sur bois, texte encadré d'un filet vert.
Bonne condition. - Frais de port : -France 7 € -U.E. 13 € -Monde (z B : 23 €) (z C : 43 €)
Couverture rigide Wilhelm Braumüller 1904 Wien-Leipzig 23x16 cm
Reliure d'éditeur pleine toile bordeaux avec illustration contrecollée au premier plat, titre et numéro de bibliothèque au dos - (VIII), 125 pp. + 17 planches, dont certaines dépliantes. Tampons de bibliothèque sur le faux titre + tampons du Dr R.-A. Reiss, célèbre professeur de police scientifique, auteur notamment de la Photographie judiciaire. Très bon état.