Nouvelle édition revue. In 12 broché, faux-titre, portrait en frontispice (portrait de Castil-Blaze à 15ans par Clémence Ducreux) titre avec vignette, 389 pages, no coupé, Paris Firmin Didot & Cie 1930 Très bon état
Pasquier / Gandillot (Jean-Eric / Thierry)
Reference : 16376
(1993)
ISBN : 2908034530
Plume 1993 In 8 reliure sous jaquette, 175 pp, illustrations en couleurs
Récompensé par deux world press photo awards ( dont un pour les photos), Jean Eric Pasquier a pendant prés d’un an, vécu et capté le quotidien de la Comédie Française. Bon état d’occasion
Paris : Plume, 1993. In-4 (31 cm), cartonnage de l'éditeur toile noire, titres dorés sous jaquette illustrée en couleur, riche iconographie, 175 pages, 1178 gr.
Très bon état.
Paris, Em. Paul et Guillemin, libraires de la Bibliothèque Nationale, 1911, 1 br. in-8 de 56 pp. ;
Phone number : 06 80 15 77 01
13,8 cm X 21 cm, 150 pp + 6 planches d'illustrations N&B dont 1 en frontispice, couverture souple. Broché.
Protégé par une couverture en papier cristal. Des rousseurs. Bords frottés. Dos et bords insolés. Très bon état par ailleurs. Intérieur frais.
Pierre-Antoine-Victor Lerebours dit Pierre Victor (1791-1864), écrivain, tragédien, pensionnaire de la Comédie-française, élève du tragédien Talma.
Reference : 017255
Pierre-Antoine-Victor Lerebours dit Pierre Victor (1791-1864), écrivain, tragédien, pensionnaire de la Comédie-française, élève du tragédien Talma. L.A.S., sd [ca.1827], 1pŒ in-8. « Monsieur, Je ne m'attendais pas, après la lettre par laquelle vous m'avez écrit que Monsieur de La Rochefoucauld entendroit avec plaisir mes réclamations, qu'il les préviendrait en me signifiant les dispositions les moins bienveillantes. Ce que vous m'annonciez comme une proposition qu'il devoit me faire, il me l'a présenté comme une décision qui me confond. Un homme, un artiste, peut-il être traité ainsi ! Un entretien pour me congédier était inutile ; il eut suffi de m'écrire. J'ose encor compter sur la justice et sur votre bienveillance pour lui faire observer dans quelle position cruelle me jetteroit un arrêté aussi inattendu. Mais si j'étois trompé dans une espérance, je crois devoir vous prévenir que je me verrais réduit à la plus fâcheuse extrémité. J'ai l'honneur d'être avec une parfait considération, Monsieur, votre bien obéissant serviteur. PVictor ». Le vicomte Sosthènes de La Rochefoucauld (1785-1864), fut directeur des Beaux-Arts d'août 1824 à la révolution de 1830. Durant cette période, il y eut des plaintes contre plusieurs directions de théâtre, comme celui de l'Odéon. Cette lettre est probablement écrire fin 1826 ou début 1827, au moment de la mort de Talma, quand le baron Taylor, commissaire royal au Théâtre français se sépare de Victor. La Rochefoucauld n'apporte donc aucun soutien à Victor, ce dont il se plaint à son correspondant. Peu commun. [109]
Un ouvrage de 245 pages, format 235 x 295 mm, illustré, relié toile sous jaquette couleurs, publié en 1980, Editions Denoël, bon état
Phone number : 04 74 33 45 19
Pierre Rapenouille dit Lafon (1773-1846), fameux tragédien, sociétaire du théâtre français (Comédie-française), pensionnaire du roi.
Reference : 017886
Pierre Rapenouille dit Lafon (1773-1846), fameux tragédien, sociétaire du théâtre français (Comédie-française), pensionnaire du roi. L.A.S., Paris, 30 novembre 1825, 3p in-4. Au vicomte Sosthènes de La Rochefoucauld (1785-1864), directeur des Beaux-Arts. Très belle lettre au moment où le baron Taylor est devenu administrateur de la Comédie-française : « Monsieur le Vicomte, Lorsque au grand contentement de tous les amis de l'art dramatique, le théâtre français renait de ses cendres, prend un nouvel éclat et sort pour ainsi dire de ses ruines sous votre autorité protectrice et éclairée ; lorsque la bienveillance de notre auguste monarque permet à votre coeur d'exercer une justice distributive et des récompenses impartiales, qu'il me soit permis de ne pas élever en vain jusqu'à vous mes justes réclamations. Je les ai adressées à Mr Le Baron Taylor votre digne intermédiaire, afin de vous les présenter d'une manière exacte, claire, précise et motivée. Témoin continuel de la conduite de vos administrés au théâtre français, lui seul, Monsieur Le Vicomte, me parait digne d'être mon honorable interprète auprès de vous : mais jusqu'ici, et depuis votre retour surtout, je n'ai reçu aucune réponse écrite à la lettre que j'ai eu l'honneur de lui adresser. Mr Le Baron attend sans doute par un motif de réserve et de respect pour vous que je vous aie supplié de l'inviter à vous soumettre l'objet de ma demande et le but de mes bien longues espérances. J'ose donc, Monsieur Le Vicomte, invoquer votre bienveillant intérêt. Je me tiendrai trop heureux de m'en rendre digne par mes efforts constants à seconder la haute protection que vous accordez au théâtre français. Notre inappréciable et cher commissaire qui chaque jour justifie si bien le bonheur de votre choix suppléance, j'ose l'espérer, à l'insuffisance des témoignages et de l'expression des sentiments de haute considération, de dévouement sans bornes et de respect avec lesquels j'ai l'honneur d'être, Monsieur Le Vicomte, votre très humble et très obéissant serviteur Lafon, comédien ordinaire du Roi, professeur à l'école royale ». Très beau courrier. [409]
Pierre Rapenouille dit Lafon (1773-1846), fameux tragédien, sociétaire du théâtre français (Comédie-française), pensionnaire du roi.
Reference : 017887
Pierre Rapenouille dit Lafon (1773-1846), fameux tragédien, sociétaire du théâtre français, pensionnaire du roi. L.A.S., Paris, 22 septembre 1825, 2p in-4. Au vicomte Sosthènes de La Rochefoucauld (1785-1864), directeur des Beaux-Arts. « Monsieur le Vicomte, Pendant votre absence, j'ai contracté une union honorable et précieuse dans l'intérêt de mes enfants avec mademoiselle Marcher, dame de première classe et secrétaire du conseil de la maison royale de Saint Denis. Cette dame est faire pour servir de modèle à ma fille et la guider dans les voies de l'honneur, ce que vous en apprendrez, si vous daignez vous informer de la conduite de madame Marcher, vous convaincre de la solidité et du bonheur de mon choix. J'ai dû, Monsieur Le Vicomte, vous informer particulièrement de mon mariage, comme mon supérieur ; mais plus encore en raison de l'intérêt honorable que vous avez daigné me témoigner en tout temps. Il m'eut été bien doux et bien flatteur de vous voir ratifier l'honneur de votre signature mon contrat de mariage. Votre absence, Monsieur Le Vicomte, ne m'a pas permis de réclamer de vous cette première faveur, mais votre nom illustre donnerait de l'éclat à tous ceux qui sont déjà inscrits et serait regardé comme une bénédiction par mon épouse et par celui qui a l'honneur d'être avec le plus profond respect et la plus haute considération, Votre très humble et très obéissant serviteur Lafon, comédien ordinaire du roi, professeur de l'école royale. P.S. : mon notaire ne se présenterait chez Monsieur Le Vicomte que dans le cas où je serais honoré de son consentement ». On joint un portrait de Lafon dans le rôle de Dom Pèdre, dans Pierre de Portugal. Lithographie de F. Noël d'après Colin, pliée, rousseurs. [409]
Cliché Chalot, s.d. Tirage albuminé d’époque. Format cabinet.
Beau portrait de la comédienne (La Réunion, 1842 - Paris, 1919) née dans une famille de comédiens. Elle fit ses débuts sur scène à l’âge de 11 ans et travailla d’arrache-pied. Ses progrès furent loués tant par la critique que le public. En 1872 son talent est consacré lors de la reprise de la Dame aux camélias et elle ne cessa plus de remporter de grands succès. Elle intégra la Comédie-Française en 1884 et fut une des grandes Elmire de l’époque.
PIERSON Blanche - (Saint-Paul - La Réunion - 1842 - 1919) - Comédienne Française -
Reference : GF23500
1 page in12 + enveloppe - bon état -
Elle ne répète pas le lendemain - "Venez vers midi 1/2 - Voulez-vous?" - [Elle triompha dans le role titre lors de la reprise de La Dame aux Camélias en 1872 - Elle entra à la Comédie française en 1882] -
PIERSON Blanche - (Saint-Paul - La Réunion - 1842 - 1919) - Comédienne Française -
Reference : GF23501
Elle est revenue contente d'une visite et le remercie "Votre B."- [Elle triompha dans le role titre lors de la reprise de La Dame aux Camélias en 1872 - Elle entra à la Comédie française en 1882] -
PIERSON Blanche - (Saint-Paul - La Réunion - 1842 - 1919) - Comédienne Française -
Reference : GF23502
2 pages 1/2 in8 + enveloppe - bon état -
Importante lettre sur son intervention pour l'élection de Challemel-Lacour à l'Académie: Son médecin, qu'elle "aime infiniment" car il lui a sauvé la vie, la prie de faire une démarche auprès d'Alexandre Dumas (fils) pour "le rendre si possible sympathique à la candidature de Mr Challemel-Lacour à l'Académie"- Même sans espoir de réussir, elle veut bien tenter l'aventure mais ne voudrait pas "agacer Mr Dumas" car elle ignore ce qu'il pense de ce candidat: "Il se peut qu'il ne puisse pas le souffrir"...- [Paul Armand Challemel-Lacour (Avranches 1827-Paris 1896) sera élu cette année là au fauteuil de Renan] - [Blanche Pierson triompha dans le role titre lors de la reprise de La Dame aux Camélias en 1872 - Elle entra à la Comédie française en 1882] -
Paris, Gaultier, Magnier et Cie 1903 1 in -8 Broché 332 [p.p]
Bien conservé Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
A Paris, de l'Imprimerie Louis Cellot, 1768. 7 vol. in-8 (20,3 x 13,5 cm, longueur en rayon : 24 cm), reliure de l'époque veau blond, dos à cinq nerfs orné, pièces de titre et tomaison maroquin vert-olive, triple filet or encadrant les plats, filet sur les coupes, tranches marbrées. Illustré d'un portrait de l'auteur et des douze gravures de Gravelot illustrant les douze pièces de théâtre de Racine,en premier tirage et avant la lettre.
Le septième volume contient : Lettres de Racine à ses amis - Lettres de Racine et de Boileau - Lettres de Racine à son fils Jean-Baptiste - Lettres de Racine à Madame de Maintenon.
P., Ollendorff, 1887, in-12, 354 pp, un portrait de l'auteur gravé par A. Blanchard en frontispice, 6 illustrations, reliure demi-basane aubergine, dos lisse, titres et fleuron doré (rel. de l'époque), reliure abîmée, dos uniformément passé, coiffes arasées, un morceau du dos recollé, mors frottés, rousseurs éparses, état moyen
Souvenirs de Philoclès Regnier, entré à la Comédie-Française en 1831, sociétaire en 1835, retraité en 1871, doyen de 1865 à 1871. L'une des figures les plus attachantes de la troupe au XIXe siècle, acteur de talent, fin lettré, homme de théâtre dans tous les sens du terme, François-Joseph Philoclès Regnier de la Brière, dit Philoclès Regnier, est le fils de Madame Tousez, sociétaire de la Comédie-Française. Il fait de bonnes études chez les oratoriens, se destine à l'architecture, mais, après avoir échoué à un concours, il préfère monter sur les planches, qu'il a déjà connues à l'âge de quatre ans, figurant le Roi de Rome dans un à-propos donné à l'Odéon en 1811. Sans passer par le Conservatoire, muni seulement des conseils de Baptiste aîné, il fait le dur apprentissage de la vie de comédien de province, à Metz et à Nantes, avant d'être engagé au théâtre du Palais-Royal, dont le directeur se rend très vite compte qu'il fait fausse route et le pousse à entrer à la Comédie-Française où il débute en 1831... — Table : J. Boutet de Monvel. – Mademoiselle de Champmeslé. – Adrienne Le Couvreur. – Etat de la fortune de Molière. – Talma. – Sedaine.
Seconde série de la nouvelle période - Tome deuxième - XXIIIe année - 1er mai 1853 - 3e livraison - Paris. Bureau de La Revue des Deux Mondes - grand in-8 broché - 222 pages
assez bon état - Couv. tachée - Petite déchirure sur la couv., en bas du dos
Tome 64 - quatre-vingt-onzième année - 15 juillet 1921 - 15, rue de l'université-Paris - broché
assez bon état (couverture abimée)
E Fasquelle éditeur E Fasquelle éditeur, 1900. In-8 oblong, broché, noué par lacet rouge, de 15 pages sur beau papier vergé. Couverture façon vélin. Rousseurs en couverture, néanmoins peu courant
Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo.
Paris, Alexandre, 1821 – in-8, 316 pp – demi-rel. basane havane ornée d'ép. , tranches colorées
Vol. seul de ce bel ouvrage qui observe minutieusement le monde du théâtre du début du XIXème siècle et passe en revue ses acteurs les plus fameux (Floridor, Lekain, Baron, Dumesnil, Clairon, Talma, Larive, Mademoiselle Georges, Préville, Mademoiselle d'Angeville, Dugazon, Granger, Belcour, Grandval etc) . Très bon ex.
Typographie Jules-Juteau, rue Saint-Denis, Paris 1859, "Chez tous les Libraires", dos muet, broché, 55pp. couverture défraîchie avec manque en 2eme de couverture , état correct de l'ensemble, 240x150 .(p2) frais d'envoi pour la France inclus .
Phone number : 33 05 49 26 70 36
[Léon Gaucherel] - Sarcey, Francisque - Gaucherel, Léon (ill.)
Reference : 3822
(1876)
Paris Jouaust, Librairie des bibliophiles 1876 grand in-8 demi-reliure à coins Paris, Jouaust, Librairie des bibliophiles, 1876. 24,5 x 16,5 cm, grand in-8, 16 livraisons reliées en 1 volume (2 ff. - 15, 28, 27, 27, 19, 24, 24, 31, 20, 20, 27, 27, 28, 28, 27, 32 pp. - 2 ff. de postface paginés par erreur 29 à 32), 16 planches hors texte, reliure de l'époque de demi-maroquin rouge à coins, dos à 5 nerfs, tête dorée.
Edition originale de ces portraits de grandes figures de la Comédie française (Arnould-Plessy, Sarah Bernhardt, Bressant, Madeleine Brohan, Coquelin aîné, Sophie Croizette, Delaunay, Maria Favart, Fervre, Got, Clémentine Jouassain, Maubant, Thiron, Mounet-Sully, Laroche, Régnier, Suzanne Reichemberg, Blanche Barretta, Emilie Broisat). Une deuxième série sera publiée en 1884. Etiquette ex-libris du comédien Léon Brémont (1852-1939). Reliure un peu noircie mais un agréable exemplaire. (VICAIRE, VII, 357-358) Très bon
Paris : L'Harmattan, 2000. 284 p., annexes : 32 femmes dramaturges et leurs œuvres entrées au répertoire de la Comédie Française (1689-1954), 52 voix migrantes à Paris au 20e siècle
Hommage aux pionnières oubliées de l'histoire officielle du théâtre (Hrotsvit von Gandersheim, Aphra Behn, Soeur Juana Ines de la Cruz, Olympe de Gouges, George Sand, MarieLuise Fleisser) / Paris, capitale secrète du théâtre des femmes venues d'ailleurs (Karen Bramson, le "Matrimoine" de la Comédie française, Nathalie Sarraute, Ewa Pokas, Maria Szeliga) / Portrait d'une 50e de voix migrantes féminines (Européennes de l'est, Américaines, Issues de la colonisation française ou des pays francophones) / Fatima Gallaire / Le féminisme, strapontin du théâtre de femmes en Occident / Rôle de la langue dans l’œuvre migratoire / Modèle au féminin d'un théâtre de la différence.
Paris, Calmann-Lévy, 1934. In-12 de [8]-III-239-[5] pages, demi-maroquin tabac, dos à 5 nerfs avec titre doré, tête dorée, double filet doré sur les plats, gardes et plats de papier marbrés avec reflets dorés, couverture et dos conservés. Quelques tout petits frottements aux mors et aux coiffes. Deux coupures de presses relatives au décès de Léon Bernard collées en début, avant la couverture. Reliure signée Arné Asper.
Tragédie représentée à la Comédie Française en décembre 1933, sous l'impulsion et la direction de Émile Fabre, qui fut destitué suite à cette pièce, sous prétexte qu'elle provoquait chaque soir des manifestations contre le gouvernement. Notre exemplaire tout à fait exceptionnel comporte 9 envois autographes signés à Monsieur Coptier de l'auteur, de la troupe, soit Léon Bernard (Moenenius Agrippa), René Alexandre (Coriolan) et son épouse Gabrielle Robinne (qui fut l'une des première actrices filmées pour le cinéma muet), ainsi que d'autres collaborateurs à cette adaptation qui fit grand bruit, dont Raoul-Henry (des «Tragédiens associés»).
Paris, Calmann-Lévy, 1934. In-12 broché de [8]-III-239-[5] pages.
Tragédie représentée à la Comédie Française en décembre 1933, sous l'impulsion et la direction de Émile Fabre, qui fut destitué suite à cette pièce, sous prétexte qu'elle provoquait chaque soir des manifestations contre le gouvernement. Exemplaire agrémenté d'un envoi autographe " à Léon Savary avec la tendre affection de son ami très reconnaissant René-Louis Piachaud. Paris, ce 21 avril 1934.".