A Paris, Pour Lucas Breyer, tenant la boutique au segond pillier de la grand’ salle du Palais, 1580., (27) ff, portrait gravé, 173 pp, (2) ff. In-8 en demi veau glacé bleu nuit daté en queue 1580
Un ouvrage de vulgarisation qui combat les préjugés et superstitions populaires liés à la science et à la médecine modernes. Le chap. XXII a par exemple pour titre : "Contre ceus qui iuget de la suffisance des medecins par le succes, qui et deu souuan à l'heur, plus qu'au sauoir". L'auteur liste également toute une série d' "erreurs populaires et propos vulgaires" qui ne manqueront pas d'amuser, citons notamment : "293. Pourquoy les fames s'anuyret mal aisemant, & les viehars facilemant.", ou encore "307. Et il vray, que la tristesse ampeche les fames de conceuoir ?"Le livre est écrit selon une très expérimentale (et curieuse) réforme de l'orthographe qui simplifie l'écriture.Cet exemplaire provient de la bibliothèque de Raspail, dont il porte le timbre humide sur la page de titre, ce qui est une rencontre signifiante compte-tenu des travaux de Raspail lui-même ; il publie notamment en 1845 son "Manuel de Santé à l'intention des milieux populaires".Un livre fort rare et fort curieux.
J. Jacques Pauvert, Paris, 1962. In-8 broché (27 x 19 cm), couverture jaune illustrée, 44 pages. Illustré de dessins. Numéro spécial consacré à un épisode mal connu de la jeunesse de Degas par J.M. Lhôte. -150g.L. Bon état.
J. Jacques Pauvert, Paris, 1963. In-8 broché (27 x 19 cm), couverture mauve illustrée, 48 pages. Illustré de dessins. Contributions de R. Queneau, M. Desbruères, P. Chaleix entre autres. Iconographie. -170g.L. Très bon état.
1960 Paris, Librairie Jean-Jacques Pauvert, 1960. Une revue In-8 brochée de 16 pages. Couverture illustrée. Intérieur propre. Illustré en noir dans le texte.Correct
Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
FORT-DE-FRANCE, Martinique, Librairie de Frédéric Thomas, Rue Saint-Denis, 1869 In 8 en demie basane miel, dos plat, pièce de titre bleue frappé or « Les bambous », quelques piqures intérieur. Imprimé à Nevers mais vendu au Fort-de-France en Martinique dans le Librairie de Frédéric Thomas.
Une intéressante transposition des fables de la fontaine en Créole, publié pour la première fois à la Martinique en 1846. Augmentée et réécrite sur les papiers laissés par l’auteur, Monsieur Marbot commissaire de la Marine.
LALANNE (Ludovic) ; (P.L. Jacob) ; (Fournel) ; (Privat d’Anglemont) (...)
Reference : 1803
Paris Delahays & Paulin, de 1845 à 1861, en demi-chagrin tabac, et noir pour le tome XX
Cette très amusante et rare série de curiosités et bizarreries, initialement annoncée en deux volumes, a été ici augmentée de dix volumes supplémentaires extraits de divers auteurs sur le même thème des curiosités et bizarreries. L’amateur a tomé cet ensemble de 1 à 20 selon un ordre qui lui était propre et dont voici le détail :T. I : Curiosités des traditions, des moeurs et légendes (Ludovic Lalanne)T. II : Croyances populaires au Moyen Âge (P.L. Jacob)T. III : Curiosités historiquesT. IV : Curiosités de l’histoire de France (P.L. Jacob)T. V : Procès célèbres de l’histoire de France (P.L. Jacob)T. VI : Curiosités judiciaires (Waréé)T. VII : Curiosités des inventions et découvertesT. VIII : Curiosités de l’histoire de l’art (P.L. Jacob)T. IX : Curiosité de l’archéologie et des beaux-artsT.X : Curiosités anecdotiquesT. XI : Curiosités philologiques, géographiques, ethnologiquesT. XII : Curiosités biographiquesT. XIII : Curiosités littéraires (L. Lalanne)T. XIV : Curiosités militairesT. XV : Curiosités théologiquesT. XVI : Curiosités théâtrales (Fournel)T. XVII : Curiosités d’économie politique (Louvet)T. XVIII : Curiosités de l’histoire du vieux Paris (P.L. Jacob)T. XIX : Paris anecdoctes (Privat d’Anglemont)T. XX : Curiosités bibliographiques (L. Lalanne)Une très rare petite bibliothèque portative pour briller en société à moindre frais.
Paris, Abel l'Angelier, 1584, [Précieux exemplaire de Jacques LACAN. Un des traités les plus ancien sur les hiéroglyphes donnant l’interprétation des songes et significations de rêves énigmatiques.] (4ff) ; 1-19ff ; (2ff) ; 20-112ff 2 parties en un volume in-4 en couverture d’attente avec le titre manuscrit de la main de Lacan sur le plat supérieur.
Pierre Langlois de Belestat ami et admirateur de Ronsard s’intéresse aux hiéroglyphes égyptiens, « car les égyptiens désireux de sauvegarder les secrets des mystères mettaient à la porte de leur temple des Sphinx voulant dire que toute théologie contient une parole énigmatique des secrets de sapience. »La signification des hiéroglyphes peut s’appliquer aux devises et aux rêves : « Ne voit-on pas encore sur toutes les entrées des temples que nos bons pères ont représentés une grande verge que tient un grand Saint Christophe (…). Ce qui peut être hiéroglyphiquement interprété qui est que : si nous voulons retrouver la parfaite sapience (…) il nous convient diligemment étudier pour que nous surmontions les rivières, c’est-à-dire certains mouvements et voluptueuses affections de l’esprit et par cette grande verge – le grand bâton de Saint Christophe – nous entendons la science sans laquelle il ne faut pas passer outre. »Pierre Langlois était médecin, cet ouvrage est extrêmement rare.En 1957 Jacques Lacan, s’exprime sur le sens du langage :« Voyez les hiéroglyphes égyptiens : tant qu’on a cherché quel était le sens direct des vautours, des poulets, de bons hommes, debout, assis, l’écriture est demeurée indéchiffrable. C’est qu’à lui tout seul, le signe vautour ne veut rien dire, il ne trouve sa valeur signifiante que pris dans l’ensemble du système auquel il appartient (…). Le psychanalyste n’est pas un explorateur de continents inconnus ou de grands fonds, c’est un linguiste : il apprend à déchiffrer l’écriture qui est là, sous ses yeux, offerte au regard de tous. Mais qui demeure indéchiffrable tant qu’on ne connaît pas les lois, la clef. »Rare et important ouvrage sur le monde des rêves et la symbolique des signes (1583 !) ayant appartenu au maître incontesté de l’interprétation du sens, des mots et des signes.Provenance : Jacques Lacan
A Londres, Chez John Adamson, 1781., 222 p. In-8, demi-basane, dos plat orné de fleurons. Ex-libris gravé. Large de marges. -
Pamphlet violemment anti-anglais reprenant le titre "L'Espion Anglois" d'un périodique alors très connu afin de faciliter sa diffusion. Peu commun.
Londres, et se trouve à Paris, Duchesne, 1752. 1752 In8 (9x16 cm) de frontispice et titre gravés; 215pp (1) ; 216 pp.Reliure en pleine basane bistre, XIXe, dos à nerfs orné, pièce de titre grenat, tête dorée. Quelques feuillets légèrement brunis, sinon bon exemplaire. Orné d'un frontispice et d'un titre entièrement gravé de Eisen. Seconde édition augmentée.
Amusante utopie qui a l’occasion d’un voyage aux enfers imagine des dialogues et rencontres improbables : Alexandre et Cartouche ; Horace et Jean Jacques Rousseau ; Sardanapale et Ladislas. La 1ère édition de cet ouvrage paru en 1749 sous le titre Voyage au séjour des ombres.Hartig et Soboul, Pour une histoire de l'utopie, p. 51 ; Quérard, La France littéraire IV-pp. 550- 551 ; Drujon, Les livres à clefs, col. 982.
Paris , Renouard, Paris , Renouard1804 ; petit in-8, demi basane fauve à coins. Reliure de l'époque. - 143 pages - EDITION ORIGINALE rare comme tous les recueils de ce poète hétéroclite connu surtout pour son extravagante Panhypocrisiade . A son sujet voir la longue et intéressante notice de G. Merlet : "" Tableau de la littérature française 1800 - 1815 (pp. 255-272). Relié à la suite du même : "" Epître à Talma "". Paris, Collin, 1807, 13 pp. EDITION ORIGINALE."
Bon etat.. 1 numero in-4 br., Jean-Jacques Pauvert, 1967,99p;, ill.HT
bon etat Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Berg 2009 Berg International, 2009, 669 p., cartonnage éditeur, environ 28x20cm. Infimes frottements sur les coins, bon état et intérieur très propre.
"La revue Bizarre, revue littéraire et artistique, formtent influencée par le surréalisme publie 48 numéros de 1953 à 1958. Fondée par Michel Laclos, éditée par Eric Losfeld puis, à partir de 1955, par Jean-Jacques Pauvert (...) Ce livre reprend en fac-simile une sélection des meilleurs pages de tous les numéros de Bizarre, chacun précédé d'une notice qui en précise le contenu complet, afin de donner au lecteur un aperçu du foisonnement intellectuel et artistique des 15 années d'existence de la revue (...)" Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Paris, Berg International, 2009, fort in-4, cartonnage couv. ill. en noir sur fond blanc et "moutarde" éd., 672 pp., très nb. photos, dessins et reproductions de documents anciens en coul. et en noir, Index, Table des matières, Une superbe réédition des numéros de la revue Bizarre depuis 1953 à 1968. Entre surréalisme et pataphysique, avec des "plumes" et des dessinateurs très connus. Les couvertures sont reproduites à l'identique, en couleurs. RARE anthologie. Très bon état
Anvers, Ex officina Plantiniana, 1604-1606., I : 223pp, (7ff) II : 77-[6]-1bl. pages. 6 ill. dont 5 à pleine page et 2 planches dépliantes. III : 136pp (3), (1bl). pages. 1 planche double et 14 gravures in texte, parfois 2 par page. IV : 96pp,... Quatre ouvrages réunis en un volume in 4 en plein vélin rigide à recouvrements agrémenté de lacets verts, dos au titre manuscrit à la plume.Certaines pages brunies inhérent au papier utilisé mais bel exemplaire dans une reliure ancienne.Le dernier traité De Cruce est une des plus curieuses traductions de Juste Lipse, il s’agit d’une étude sur toutes les manières d’appliquer le supplice de la croix dans l’ancienne Rome.L’ouvrage est illustré de 19 impressionnantes gravures sur cuivre : crucifixion collective accompagnée d’un bûcher, de bêtes féroces, empalé.Belle édition collective, la dernière publiée du vivant de Juste LIPSE, superbement illustré de gravures sur cuivre in et hors texte.
1818 Paris, chez Pillet, imprimeur-libraire, 1818, (3), 308 pp, (2). In-8 relié en demi basane vert bouteille, dos plat, orné de fleurons ; truffé d'une lettre autographe de l'auteur, frontispice dépliant.
Édition originale ornée de 7 gravures hors texte au trait de type caricatures anglaises fustigeant les folies révolutionnaires. A noter en frontispice la très curieuse estampe représentant la folie projetant sur un mur, à l'aide d'une lanterne magique, l'image d'une France tirée à hue à dia par un révolutionnaire et un royaliste.Lettre autographe truffée à en-tête du ministère de l'Intérieur "Je demande bien pardon à Monsieur Terenson de ne l'avoir pas plus tôt remercié des deux dits dithyrambes qu'il m'a envoyés et des dialogues très piquants qui s'y trouvaient".
1766, A Genève, 1766, Couverture rigide
425 pp., 1 (errata) In-8, pleine basane marbrée, dos orné de fleurons dorés, tranches rougies. Rousseurs uniformes. Charnière supérieure fendue, quelques frottements légers.(Reliure de l'époque).Seconde édition de cet ouvrage contenant de très curieuses réfutations du scepticisme de nombreux savants, ainsi qu'un examen des ouvrages de Rousseau, Voltaire, Diderot, Toussaint, Pernetti… La première édition avait vu le jour en 1762, avec le nom de l'auteur.
Paris, Imprimerie de Crapelet, Paris, Imprimerie de Crapelet1828 ; grand in-8, demi-maroquin vert, dos orné d’un décor romantique doré, non rogné. (Reliure de l’époque) XXIV pp., 119 pp.Remarquable édition donnée par le savant Gabriel Peignot. Peignot était séduit par Olivier Maillard auquel il consacrera une notice dans son Predicatoriana. Il voit en lui un des prédicateurs les plus singuliers du 15e siècle. À la fin de la lettre à l’imprimeur Crapelet (en début de volume), Peignot souhaite que “cette bagatelle ne fût tirée qu’à un petit nombre d’exemplaires, destinés seulement aux amateurs éclairés et dignes d’apprécier de pareils monuments...”, car le commun des lecteurs pourrait être choqué par l’extrême bizarrerie du style de Maillard.Tirage à 210 exemplaires. Celui-ci est un des 200 sur grand papier vélin, à toutes marges. - Deschamps. Bibliog. de Peignot n°49 - Voir Simonnet. Essai sur Peignot. 1863 pp. 109-111.
Paris, Gallimard, 2002, 23 x 31, 256 pages sous cartonnage éditeur et jaquette illustrée. Iconographie noir & blanc et couleurs.
Très bon état.
Circa 1968 Tapuscrit in 4 broché de 64 ff portant en page de titre « MARGARET (titre provisoire) / Scénario original de D. Medveczki et R. Topor » .
Scénario original inédit de premier jet d’un film de Diourka MEDVECZKI dont la réalisation prévue en 1970, fut abruptement abandonnée par le réalisateur qui décida de rompre tout lien avec la société. Étoile montante de la nouvelle vague Diourka Medveczki est un véritable météore qui ne produisit que trois œuvres durant sa courte carrière : « Paul » avec Bernadette Lafont, Jean-Pierre Léaud, Jean-Pierre Kalfon en 1969 ; « Marie et le curé » avec Bernadette Lafont et Jean Claude Castelli en 1968 et « Jeanne et la moto » Avec Isabelle Marcanton et Alain Fradisse en 1969. Les cahiers du cinéma reconnaissent alors « Un cinéaste dont on peut d’ores et déjà estimer qu’il est l’un des plus importants tournant en France », 1969. Il est vrai que l’œuvre a de quoi séduire, à mi chemin entre Pierre Buñuel et Jean Luc Godard son style est véritablement fascinant. Maniant un humour décalé, volontiers provocateur servi par une image aux plans audacieux et très construits. Compagnon de Bernadette de Lafont sa vie connaît un tournant au début des années 70, il divorce et traverse une crise existentielle qui l’amènera à choisir une vie d’ermite dans les Cévennes dans une maison en bois construite de ses mains et meublée de ses propres sculptures. Diourka est en effet sculpteur d’origine Hongroise qui connaît dans les années 60 une reconnaissance prometteuse, soutenu par Picasso à Valauris, il exprime une fougue et un talent que tous lui reconnaissent. C’est cet attrait pour les volumes qui l’amène au cinéma, il dit lors de son dernier entretien avoir voulu alors « faire un cinéma qui soit comme un bas-relief en mouvement ». « Margaret » désiré ardemment par la critique ne vit jamais le jour, ce film devait être l’aboutissement d’un cycle qui resta donc inachevé. Nous n’avons pas pu trouver de témoignage de la rencontre Topor-Diourka, mais à la lecture de cette très étrange histoire la réponse s’impose comme une évidence. La foisonnante imagination de Topor, son humour décalé rencontre avec Diourka une sorte d’alter-égo et nous ne pouvons que nous joindre à la cohorte des critiques se lamentant sur le fait que ce film énigmatique n’ai jamais vue de jour. En 2012, André S. Labarthe et Estelle Fredet ont rencontrés Diourka et ont réalisés un émouvant reportage « Diourka à prendre ou à laisser ». Est parut un coffret DVD regroupant ses trois films ainsi que le documentaire de André S.Labarthe et Estelle Fredet et le Documentaire « Bernadette Lafont exactement » 2007, que nous joignons à cet étonnant document. En quelques mots et sans déflorer la teneur du scénario voici un petit résumé de l’étrange histoire de « Margaret ». Sachez que le film se déroule dans une petite épicerie, qu’il y est question de vie étriquée, de séduction torride, de rats, et d’une petite fille qui dans ce monde désespérant apportera l’espoir d’une vie nouvelle. Diourka avait d’ailleurs imaginé ce rôle pour sa propre fille.
Paris, Ferenczi, 1921 ; in-12, broché ; (1) f., 252 pp., (1) f.
Roman sur quelques situations bizarres (Esotérique, aliénés, de moeurs, etc.) Exemplaire en bon état, le dos est légèrement passé.
Phone number : 06 60 22 21 35
Paris, A La Salle Des Pas-Perdus Et Chez René Pincebourde, 1870., 46 pp. In-4 broché. Couverture défraîchie.Avec une eau-forte d'Emile Benassit en trois états : noir, sépia, sanguine. ""Ce livre n'a pas été mis dans le commerce, il a été publié par souscription & tiré seulement à 225 exemplaires, numérotés à la presse"". L'un des 25 exemplaires sur papier timbré à 1 fr. la feuille, avec timbre humide ""timbre impérial"" (n°13). Envoi autographe de l'auteur. Rare.
Charles Moncelet fort d'une longue et pénible expérience de la vie de créancier décide de laisser à la postérité ce cri imprimé sur papier timbré à 1 franc la page, à l'adresse des générations à venir. L'ouvrage se divise en quatre parties : Avis de l'éditeur; La ballade du créancier ; Sonnet ; Une mauvaise paye ; Les nouveaux Djinns ; Autres tailleurs. Extrait de "Les nouveaux Djinns""Ciel! La porte et la fenêtreont cédés sous leur effort, Et le premier qui pénètreCherche en vain mon coffre fort. avant que je la vérouille, Dans l'armoire à glace ils fouillent (...) "Extrait de "Sonnet""Un tailleur me pressait pour un billet échu. Je n'avais pas les fonds. Grande était ma torture ! Un long voile timbré planait sur la nature, et dans l'opinion je me voyais déchu. Vers mon seuil s'avançais l'huissier au pied fourchu. (...)"" (...) Larves funèbres ! Laids pâtissiers ! Dans les ténèbres, Mes créanciers Me font comprendre - Surcroit d'esclandres ! - Qu'ils vont se rendreChez les huissiers. Moi, bon nègre, Pas vouloir Qu'un homme maigreEt tout noirExpertise, Verbalise, Dévalise Mon manoir. (...) "
Paris, chez l’éditeur rue Montmartre n° 154, au premier, Paris, chez l’éditeur rue Montmartre n° 154, au premier(1822) ; petit in-8, broché, couv. beige ornée. VI pp. (catalogue), 2 ff. (fx-titre et titre), 246 pp. - Frontispice dépliant gravé et colorié et 2e titre gravé et illustré d’une vignette.ÉDITION ORIGINALE. Quérard Supercheries II, 732 nous apprend que sous le pseudonyme de Le Joyeux de Saint-Acre se cache un certain J. M. Mossé, ou plutôt Moses, marchand de meubles et homme de lettres. La France Littéraire V, 330 précise qu’il est né à Avignon, d’une famille juive et mort à Paris en 1825. Il a beaucoup produit, un peu à la façon et dans le (non) style de Cuisin et vendait lui-même ses livres avec ses meubles et avait créé à cet effet un réseau de distribution chez les commerçants de province. Le petit catalogue en-tête ne concerne que les livres du même auteur-éditeur. Quérard précise encore que ce Moses avait été un temps employé dans les bureaux de la préfecture de l’Aube et qu’il avait essayé de faire paraître un journal à Carcassonne. En 1812 il était à Paris et donnait des articles au Mercure. Dans sa Bibliographie vauclusienne, Barjavel le nomme J. M. Mossé et le fait naître à Carpentras vers 1780 : “Israélite (...) enlevé à sa famille vers l’âge de 7 ans, par ordre du greffier de la rectorie qu’animait un faux zèle catholique (il suffisait alors, pour qu’un enfant israélite fut légalement arraché à ses père et mère que le premier venu eût affirmé l’avoir baptisé), ne fut rendu à ses parents et sur leurs réclamations, qu’à l’époque où fut proclamée l’émancipation politique de ses coreligionnaires (...) Mossé s’est suicidé à paris peu avant 1830” Barjavel II p. 204.
Paris, J.Hetzel 1843 168 ppin-4 en demi basane tabac dos à cinq nerfs, tranche de tête dorée. Reliure frottée, exemplaire très frais intérieurement. L'exemplaire est abondamment illustré des gravures étranges de Tony Johannot.
Le chef d'oeuvre de la littérature fantastique du XIXème siècle servit par les fantastiques illustrations (gravure sur bois Tony Johannot).
1864, IV, 68 planches. In-8 oblong, cartonnage éditeur orné d'une composition estampée et d'une figure. Rousseurs, légèrement déboîté.
Ouvrage typique du non-sens (limerick) très en vogue dans le monde anglo-saxon depuis les années 1840, grâce à l'auteur britannique Edward Lear. Abondamment illustré de compositions humoristiques. Publié à New York en réaction à la New York fair in aid of the Sanitary commission de 1864.