Manuscrit en 1 vol. in-8 reliure demi-chagrin noir, dos à 4 nerfs, 1868-1869, circa 260 pp.
Beau manuscrit de catéchisme, orné de nombreux jolis billets de catéchisme de la paroisse de Saint Porchaire.
Livre de Compte de Desaugiers, 1 vol. in-4 reliure vélin de l'époque, 1753-1800, 92 ff. (presque tous manuscrits) : "Livres pour pairor ma mère me layant abandonné le premier aoust mille sept cent cinquante trois et setient réservé la rcolte de la ditte année, je mettrais par le present livres tout l'argent qu'il me coûtera pour les réparation, comme aussi tout celuy qu'il me raportera le plus juste qu'il me sera possible aux augiers ce 18 septembre 1753". On relève au hasard les paiements des journées d'homme, à Bernadeau pour les barriques, pour le port du bateau de "11 thonneaux souchette", etc... Un feuillet joint daté de 1793 évoque aussi les lieux-dit de Querie [ Comb ] et La Bertine.
Intéressant livre de compte d'un propriétaire d'un vignoble des Côtes de Bourg (Gironde) dans la seconde partie du XVIIIe siècle. Etat satisfaisant (rel. frottés et plusieurs ff. débrochés).
Sologne bourbonnaise,, (début XIX°s.). in-folio (24x 36 cm), 94 folios papier vergé, réglé, filigrane "D C". Reliure de l'époque demi-parchemin vert, coins, dos lisse muet, étiquette sur le plat, lacets.
Livre de comptes manuscrit à l'encre brune, fine écriture soignée, très lisible. Première entrée à la date du 11 octobre 1811, dernières écritures en mars 1814. 9 onglets : Mon portefeuille ; Caisse ; Produit de la terre des Pontus ; Mr Jaladon receveur général de l'Allier à Moulins ; Terre des Pontus ; Fonds particuliers ; Entretien de la maison ; Caisse de service courant ; Mr Varambon receveur général de la Creuse. Il s'agit sans doute de Charles-Pierre Desbatisse, propriétaire en Sologne Bourbonnaise, qui indique avoir reçu la terre des Pontus de son père. - Étiquette du plat grattée, bon état par ailleurs.
29 août 1935, à Ladoué : “... pour avoir bien voulu placer mon torse en bronze dans votre musée du Luxembourg et de l’avoir installé dans la plus belle place que j’aurais pu rêver ...”
13 avril 1927 : à A. Moreau, l’écrivain auxerrois ; longue critique de l’ouvrage “Le fou” que Moreau vient de publier “ Il était difficile d’aller ensuite dans la voie ouverte par Balzac ...” Au même, en-tête du "Journal" : Je l'ai signalé à Le Cardon
Manuscrit In4 relié plein maroquin dos à 4 nerfs filets sur les plats reliure signée Liliane Lavigne-Gayon active en 1937
manuscrit signé 6 pages In8 avec repentir et 5 dessins originaux collés signés de Maximilien Luce (1861-1949) joint 2 lettres signées de lucien Descavestrès bel exemplaire
Lettre autographe signée par Lucien Descaves. Datée de Paris le 25 janvier 1933. En-tête du Journal. en feuille Très bon Paris 1933
édition originale
1 page in12 - bon état -
Il est souffrant et doit garder la chambre - Il propose de remettre un repas prêvu -
1 page in12 - bon état -
Il propose de changer un rendez vous à déjeuner de samedi à lundi ou mardi -
1 page in8 - En tête: Le Journal -
Avant de reprendre son service au Théatre de Paris, il souhaite le remercier pour l'avoir remplacé avec un "soin consommé" -
À Abel Moreau sur papier à en-tête de la “Société des gens de lettres” et de la “Comédie-Française”.
Lettre Autographe Signée d'Émile Deschamps datée de Versailles 1869. Il qualifie son correspondant de grand poète, regrette de ne pouvoir lui "serrer les mains à Argenteuil" etc.4 pages format in-16°(13x10). Très bon état. La lecture est rendue difficile par le grand âge d'Émile Deschamps et probablement la maladie. Belle lettre de l'ancienne collection A. Baron, assureur, puis syndic-liquidateur à Bourges.Émile Deschamps de Saint Amand, dit Émile Deschamps, (1791-1871), est un des 99 poètes ayant contribué au Parnasse contemporain, avec huit poèmes dans le premier recueil (1866) et trois dans le deuxième (1871).
1909 : “La bienveillance est une parie de la justice”.
, , [1829 ca]. 22 fiches manuscrites de différents formats (entre 9 x 14 cm et 13 x 20 cm) sous chemise, titre manuscrit à l'encre du temps.
Aperçu du travail monumental et minutieux de François-Joseph Deschiens (1769-1843) pour l'édition de la Collection de matériaux pour l'histoire de la Révolution de France, depuis 1787 jusqu'à ce jour - pièce maîtresse de la bibliographie révolutionnaire. Les feuillets sont généralement de petits formats, rédigés d'une fine écriture souvent lisible, de quelques mots en haut de page à de courtes listes nominatives. Parmi celles-ci, un index alphabétique numéroté de 54 journalistes (4 pp.) renvoie au catalogue imprimé publié en 1829 chez Barrois : ces notes rédigées par Deschiens le furent donc après impression en guise d'addenda ou marginalia. Liste des titres ou incipit des fiches : Journaux 1830-1841, Journal du commerce, Dans l'esprit des journaux mai 1817, Le Batave ou le Nouvelliste étranger, Jugement du tribunal révolutionnaire (3 pp.), Moniteur ce journal a commencé le 24 9bre 1789, Le Géant vert, Liste des Journaux lors de leur suppression le 28 nivose an 8 (73 titres recto verso) Journal Royal aparu le 1er 8bre 1814, (Index alphabétique de) Saint Aignan à Saint Cricq, Sartory à Sauguier, Mémorial religieux, politique et littéraire, Journal général 7bre 1814, Chronique de Paris, Le Constitutionnel, Courrier, Journal des Arts & de la Politique, Journal des Débats, Basthelem, Le Miroir fevrier 1821, L'Aristarque français.
3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...
DESFORGES - (Pierre Jean Baptiste CHOUDARD dit - Paris 1746 - 1806) - acteur et auteur dramatique français
Reference : GF21558
1 page in8 + adresse au dos -
Il sollicite une revanche:"Veuillez donc vous arranger pour me la donner le 28 de ce mois à quatre heures après-midi. Vous serez attendu à la table de l'amitié reconnaissante.." - Il pourra jeter un coup d'oeil sur la manière "dont [il] costume [sa] Métastase à la française" -
in 12 broché couverture illustrée en couleurs faux-titre, titre,118 pages 1 feuillet de table des matières illustrations en couleurs et vignettes de Andrée SIKORSKA éditions du monde nouveau 1924 envoi de l’auteur envoi de l’illustrateur,très bon état
in 12 carré broché,couverture illustrée couleurs, 126 illustrations dans ethors-texte(en couleurs)de Andrée SIKORSKA plus couverture,Editions du monde moderne 1925 très bon état envoi manuscrit de l’auteur
Sans lieu, , 1710. Manuscrit in-folio (37,5 x 25 cm) de (24) ff. à l'encre noire, texte encadré, maroquin rouge, dos à nerfs orné à petits fers, triple filet doré d'encadrement sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Un précieux manuscrit illustrant la gestion financière sous Louis XIV : l’année 1710 et les réformes de Nicolas DesmaretzCe manuscrit exceptionnel, calligraphié avec une virtuosité remarquable et enrichi de scènes allégoriques finement dessinées à la plume, constitue un témoignage rare de l’administration financière du royaume de France à une période charnière du règne de Louis XIV. Daté de 1710, il dresse un bilan précis des revenus ordinaires et extraordinaires du roi, des dépenses de la couronne, et des affaires financières extraordinaires, dans un contexte marqué par les réformes initiées par Nicolas Desmaretz, alors contrôleur général des finances.Un contexte de crise et de réforme fiscaleNicolas Desmaretz, marquis de Maillebois (1648-1721), contrôleur général des finances de 1708 à 1715, hérita d’une situation économique désastreuse. La France, épuisée par la guerre de Succession d’Espagne et la grande famine de 1709, faisait face à des besoins financiers colossaux. Ce manuscrit témoigne de la mise en œuvre partielle des idées novatrices de Vauban sur l’impôt sur le revenu, évincées en 1707. Parmi ces réformes figure la dîme royale, l’un des premiers impôts proportionnels, qui prélevait un dixième des revenus de toutes les propriétés et faisait l’objet d’un recalcul annuel, succédant à la capitation instaurée en 1695.Une structure en trois volets détaillés et allégoriquesLe manuscrit, composé de trois sections principales, mêle données financières et représentations symboliques des vertus royales :1, Revenus ordinaires et extraordinaires du Roi pour 1710 : Cette partie présente une carte détaillant les baux, impositions, et recettes générales par région, incluant les Pays d’élection et les Pays d’État. Elle offre une récapitulation exhaustive des fonds collectés et des observations sur les revenus pour l’année.2, Projet de dépense pour 1710 : Après une description des dépenses des Maisons royales, cette section inclut une carte des dettes de l’État, mettant en lumière l’ampleur des obligations financières liées aux guerres et aux restes impayés des années antérieures.3, Dépenses de la Guerre : Un volet précis détaille les coûts liés à l’infanterie, à la cavalerie et aux dragons, ainsi que les frais annexes comme le pain de munition, le fourrage et la paie de campagne.Chaque partie est introduite par un titre ornemental, louant des allégories telles que la Force, la Justice et l’Abondance, et agrémentée de vignettes et de cul-de-lampes d’une qualité artistique exceptionnelle.Un chef-d’œuvre attribué à Charles GilbertL’exécution de ce manuscrit a été attribuée à Charles Gilbert (1642-1728), maître calligraphe au service de la couronne et successeur du célèbre Nicolas Jarry. Gilbert fut maître à écrire de Louis de France, duc de Bourgogne, et de nombreux autres membres de la cour. Ses œuvres, souvent commandées pour des rapports officiels ou des commémorations, se distinguent par leur raffinement esthétique et leur précision. Ce manuscrit reflète la maestria de Gilbert, avec ses multiples encadrements, ses lettrines élaborées, et ses motifs ornementaux d’une grande finesse.Un manuscrit aux dimensions historiques et artistiques majeuresUn exemplaire de ce type, portant les armes de Nicolas Desmaretz, a été vendu lors d’une vente publique à Paris en 2003, témoignant de la rareté et de l’importance de ces documents.Ce manuscrit ne constitue pas seulement une pièce d’orfèvrerie calligraphique, mais aussi une source essentielle pour comprendre les défis financiers du règne de Louis XIV, les réformes administratives de Nicolas Desmaretz, et l’interaction entre art et pouvoir à l’aube du XVIIIe siècle.
Lettre autographe signée datée du14 janvier 1932, adressée à un «Gouverneur Général» à propos de la Légion d’Honneur. Victime d’une violente crise de paludisme, Jean d’Esme n’a pu présenter ses vœux au Gouverneur Général. «Dès que j’irai mieux, j’irai vous voir au Grand Palais. D’autant que, si vous le voulez-bien, je vous demanderai l’appui que vous m’avez si cordialement promis pour cette fameuse Légion d’Honneur pour laquelle j’ai déjà été quatre fois proposé – dont la première par vous. Je sais que Gaston Rageot vous a vu à ce sujet – et qu’il a vu également Paul Raynaud [ sic ]… Or, cette fois - tout dépend de vous – puisqu’il s’agirait de me faire passer dans la promotion de l’Exposition Coloniale – à laquelle j’ai – vous le savez, bien des titres (par les collections que j’ai exposées, les articles que j’ai écrits, et toute mon œuvre purement coloniale). Or, en la circonstance, nul n’est plus puissant que vous [… ]
Spécialiste du roman colonial, l’écrivain et journaliste Jean d’Esme (1894-1966) est né à Shanghaï. Son roman le plus fameux, «Les Dieux Rouges» se déroule en Indochine. Cet intéressant autographe provient de la collection de Claude Seignolle, qui a joliment indiqué de sa main sur la chemise le conservant: «Jean d’Esme, écrivain de voyages et sa Légion d’honneur rétive»…
Paris Aux Editions du Sagittaire, chez Simon Kra 1927 In-12 Broché Ed. originale
EDITION ORIGINALE. En frontispice, fragment autographe du manuscrit de Desnos. Un des 965 exemplaires numérotés sur vélin de Rives. Très bon 0
1 page in8 + enveloppe -
Il ne dispose de rien et il est dans le midi - "Gravures et dessins sont chez Marcel Gredac (?) à .... Paris, qui est ma galerie" -
DES PERIERS (Bonaventure), COMBET-DESCOMBES (P.) (images de), AUDIN (M.) (texte manuscrit de)
Reference : 1309456
[Lyon]: Edition de Cumin et Masson, 1918 in-8, 22 ff. (dont frontispice), 2 illustrations hors texte, texte calligraphié. Demi reliure percaline verte à coins, pièce de titre, légères usures, bel exemplaire. Tiré à 58 exemplaires numérotés sur japon des Manufactures impériales.
Nostre Dame en l’Isle. Images de P. Combet-Descombes, texte calligraphié par M. Audin. ([Lyon]: Edition de Cumin et Masson, 1918) [M.C.: Littérature française, poésie, Lyon]
Carte de visite par laquelle il recommande son ami le sculpteur Marcel Gili auprès de Ladoué, conservateur du Musée d’Art moderne.
19 août 1941, à Ladoué : il précise qu’il n’a pas réalisé son autoportrait mais qu’il pourrait prêter celui de Dunoyer de Ségonzac pour l’exposition de 1942 ... “Je n’ai jamais fait mon portrait ...”