Copie ou traduction d'une lettre de Oberlin à propos de la mise en place de programme scolaire. Il critique vivement les choix de Roger Martin. 1 page in-4° Très bon Besançon 1887
1940, 150 x 94cm, Technique mixte sur papier, couleur encore vive, signature « π / 1-I-40», mention au verso «Pierre NEGRIER, Étudiant en Droit, 8 rue Th. Renaudot 8, POITIERS», (déchirures, pliures, salissures, scotch, manques), assez bon état malgré les défauts précités.
Phone number : 01 43 29 46 77
1940, 150 x 94cm, Technique mixte sur papier, couleur encore vive, signature « π / 1-I-40», mention au verso «Pierre NEGRIER, Étudiant en Droit, 8 rue Th. Renaudot 8, POITIERS», (déchirures, pliures, salissures, scotch, manques), assez bon état malgré les défauts précités.
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2 pages in-4, vers 1954. A l'image de l'univers obaldien burlesque, ce poème en prose farfelu évoque la famille comme un grand traffic d'influences : tout le monde déteint sur tout le monde : la personnalité, les gestes et même la couleur des vêtements, on peut donc en changer inopinément vingt fois par jour ! Petit portrait photographique joint.
Wien, Böhlaus 1969 407pp., in the series "Österreichische Akademie der Wissenschaften, philosophisch-historische Klasse" Band 263 (Veröffentlichungen der Kommission zur Herausgabe des Corpus der lateinischen Kirchenväter" Band I), stamp on titlepage, VG
6 cartes de visite avec texte autographe dont 2 signées. 1930 - 1936. En feuilles Très bon Paris
Manuscrit autographe signé adressée à Fernand Laplaud en 1930. À propos de Loti. Laplaud recherchait alors des témoignages sur le grand écrivain en vue du numéro spécial du Mercure de Flandre de 1931. Ce manuscrit a été publié pages 161 à 166 de ce numéro. On joint une carte postale autographe signée du même.. En feuilles Très bon Paris 1930 7 feuilles
Édition originale
s. l. [cachet de Seine-et-Marne] 15 Septembre 1901 | 12.50 x 17.60 cm | une feuille
Emouvante lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson.15 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier de deuil à encadrement noir, filigrané "JDL & cie", enveloppe jointe. "Merci de votre gentille lettre. je savais déjà par Alexandre [Natanson], combien vous aviez été inquiets de l'état de ma femme. C'est une joie délicieuse quand on a le cur tourmenté, de savoir qu'on a des amis comme vous, comme vous tous, les braves gens duRelai. Dites bien à votre femme que la mienne a été très sensible à son amitié... Et embrassez tout le monde avec effusion. Dites aussi à Olga [femme d'Alexandre Natanson] et à Misia [femme de Thadée] que nous les aimons tendrement, et à Alexandre, qu'il est un charmant ami." Long post scriptum sur la mauvaise santé de son épouse, l'ancienne comédienne Alice Régnault : "La journée d'hier n'a pas été bonne, et la plaie du bras présentait un aspect méchant. Aujourd'hui cela va un peu mieux. Mais c'est une chose à surveiller de très près. Les mouvements se font un peu plus facilement mais elle souffre toujours extrêmement la nuit, au moindre jeu des muscles". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. Le "Relai" correspond à un ancien relais de poste àVilleneuve-sur-Yonne acheté par Thadée Natanson en 1897 qui devint une destination pour tous leurs amis écrivains et artistes. On y croisait les peintres Nabis, Vuillard, Valloton, Bonnard ou Roussel ainsi que Toulouse-Lautrec. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Cormeilles-en-Vexin 22 août 1906 ou 1908 | 12.60 x 17 cm | une feuille
Amicale lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson.12 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier à en-tête "Cormeilles-en-Vexin(S.&O.)", enveloppe jointe. "Cher ami, J'avais bien pensé que cette vieille bonne femme qui tape si fort sur les matelas, avait du écorcher mon nom. Mais dans l'incertitude, car je pouvais penser aussi que vous étiez pris avec quelqu'un de très sérieux, [...]. Ceci mon cher Fred pour vous dire que je suis parti de chez vous, triste de ne pas vous avoir vu, voilà tout, et sans le moindre sentiment mauvais. Vous savez que j'ai pour vous une affection solide et je vous connais assez gentil pour moi, pour me permettre de supposer des sottises. [...]"" Avec un amusant post-scriptum : "Ne prêtez pas attention à ce gribouillage... L'auto a je ne sais pas quoi, j'y travaille.. et n'y fait rien de bon.. d'ailleurs.. Et mon mécanicien se prend la tête, à deux mains noires d'huile grasse [...]". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. [Paris] 1er Juillet 1903 | 13.80 x 18.30 cm | une feuille
Lettre autographe signée d'Octave Mirbeau adressée vraisemblablement à Léon Tonnelle, directeur de la revue Le Roman Romanesque. 12 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier gris à en-tête "68 avenue du bois de Boulogne". "Monsieur, je serais très heureux si vous vouliez bien reproduire dans Le Roman Romanesqueet aux conditions de la Société des gens de lettres, Sébastien Roch, publié chez Fasquelle et qui est un livre auquel je tiens particulièrement. Peut-être aussi, trouverez-vous dans Les vingt et un jours d'un neurasthénique quelques nouvelles que vous pourriez publier. En outre, je vous indique en outre, dans Les Contes de la Chaumière(Fasquelle) une nouvelle : Agronomiequi est presque d'actualité, puisque c'est d'elle que j'ai tiré le caractère de Lechat dans Les Affaires sont les affaires. [...]". Octave Mirbeau publiera son roman Le Calvaire dans le numéro 8 de la revue le Roman Romanesque paru en décembre 1903. Les titres mentionnés dans la lettre n'ont finalement pas été publiés. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Nice, Villa Ibrahim, chemin des Baumettes 8 Février 1901 | 12.50 x 17.60 cm | une feuille
Amicale lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson, quelques temps après son mariage.12 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier de deuil à encadrement noir, filigrané "JDL & cie", enveloppe jointe. "Je vous envoie, à votre femme et à vous, tous nos vux affectueux, et je voudrais pouvoir chanter en votre honneur un bel épithalame. Le malheur est que je ne suis pas poète. Mais nous somme vos amis et nous vous embrassons de tout notre cur. Nous avions espéré que vous viendriez passer quelques jours à Cannes et nous nous faisions une fête de vous avoir ici. Misia nous dit que vous avez renoncé à ce voyage. Comme c'est ennuyeux ! [...]". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1899 | 17.80 x 23.10 cm | 2 feuillets et un quart
Manuscrit autographe signé d'Octave Mirbeau pour son article "Au conseil municipal" paru dans Le Journal le 12 juillet 1899, 90 lignes à l'encre noire sur trois feuillets, correction manuscrite de l'auteur, indications typographiques au crayon bleu. Bavures dues à l'encre et au papier. Significatif de l'attitude dénonciatrice qu'entretient Mirbeau dans ses articles, ce manuscrit, critique du traitement indigne des artistes de génie par la société, est un dernier jet utilisé pour l'impression comme le signalent les lettres capitales qui délimitent les paragraphes. Les feuillets originaux ont été rencollés sur un papier vergé, ici des pages d'un ouvrage du XVIIIème siècle, Dissertatio Medica, pour faciliter leur manipulation. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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[1902] | 18.10 x 22.90 cm | 2 feuillets et un quart
Manuscrit autographe signé d'Octave Mirbeau, 99 lignes à l'encre noire sur 3 feuillets, correction manuscrite de l'auteur et une correction au crayon bleu de typographe. Manuscrit utilisé pour la composition et l'impression de l'article "Habitudes", publié le 20 avril 1902 dans le Journal, quotidien lancé en 1892 par Fernand Xau. Le début de la carrière de Mirbeau est essentiellement porté par le journalisme qui lui permet de publier et de gagner sa vie malgré son peu de penchant pour l'activité. Très vite redouté pour son activité pamphlétaire, Gustave Mirbeau,distillant une ironie piquantese dresse ici contre l'injustice institutionalisée par l'Etat et la société. Mené par l'écriture dense et efficace de Gustave Mirbeau, ce manuscrit est probablement un dernier jet comme le laissent penser la conformité des deux textes et les rares corrections apportées à l'original, notamment par le crayon bleu d'un typographe. Au dos du dernier feuillet se trouve une version antérieure des premières lignes de l'article. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. l. [Paris] [1897] | 13.50 x 18.30 cm | une feuille
Billet autographe signé d'Octave Mirbeau. 2 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, papier à en-tête "68 avenue du bois de Boulogne". "Alors, Monsieur, entendu, pour les Mauvais Bergers". Les Mauvais bergers correspond à la tragédie d'Octave Mirbeau, drame social incarné au théâtre de la Renaissance, le 15 décembre 1897, par Sarah Bernhardt et Lucien Guitry dans les rôles principaux. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Vichy 10 août 1906 | 11.60 x 18 cm | une feuille
Emouvante lettre autographe signée d'Octave Mirbeau, adressée au dramaturge et fondateur de la Revue Blanche, Alfred Natanson alors qu'il venait de perdre son père.18 lignes à l'encre noire sur un feuillet remplié, enveloppe jointe. "Mon cher Fred, Je ne vous ai pas écrit ; mais vous savez bien qu'il n'y a pas dans mon cur, la moindre indifférence. Thadée a dû vous dire combien nous avions partagé votre douleur. Thadéea dû vous dire souvent quelle amitié profonde, j'ai pour vous. Peut-être ne vous l'ai-je pas exprimée, telle que je la sens, mais je la sens fortement, et je voudrais bien que vous la sentiez aussi un peu. C'est un gros chagrin que de ne plus être aimé de ceux qu'on aime véritablement. Vous allez partir ; et vous faîtes bien de quitter cette maison où durant plus de six mois, vous avez assisté à l'horrible agonie de votre pauvre père. Tâchez de travailler pour notre joie à tous... et revenez avec une belle uvre[...]". Mirbeau a été particulièrement proche du groupe de la Revue Blanche, depuis le lancement de celle-ci à Paris en 1891. Mais c'est depuis l'affaire Dreyfus que s'est renforcée son amitié intime et durable avec les frères Natanson, Thadée, Alexandre et Alfred. Après des divergences de vue esthétiques sur l'Art Nouveau et les Nabis, Mirbeau retrouve finalement Thadée autour de 1900, dans une inclination désormais commune pour les jeunes peintres Nabis de la Revue Blanche, Bonnard, Vallotton et Vuillard. La Revue Blanche a joué un rôle essentiel en France, c'est ce que confirme l'historien Paul-Henri Bourrelier : "La plupart des écrivains, peintres, musiciens, hommes politiques, intellectuels les plus marquants de la fin duXIXeet du début duXXesiècle y ont collaboré ou l'ont côtoyée. Créée, financée et dirigée par les trois frères Natanson, jeunes Juifs polonais, avec la complicité enthousiaste de leurs condisciples du lycée Condorcet,La Revue blanchedevient vite un lieu de débat sur tous les sujets qui agitent la France. Elle mène des combats politiques sous l'impulsion d'anarchistescomme Fénéon, Mirbeau; de socialistes, tels Blum, G. Moch, Péguy; de dreyfusards et de fondateurs de la Ligue des droits de l'homme, comme Reinach et Pressensé." - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Octave MIRBEAU - [Tréviéres 1848 - Paris 1917] - Ecrivain français
Reference : 33482
1 page in12 - bon état -
Amusante lettre :Il ne restera définitivement à Paris qu'à la fin de novembre car: "Je suis en train d'édifier un chef-d'oeuvre et je vous avoue que les chefs-d'oeuvres ne vont pas vite" - Mais comme il est obligé de venir à Paris deux ou trois jours par moi, il lui fera signe "à chacun de ses passages" - Il le remercie aussi "pour son gracieux et utile envoi" qui lui a fait "un plaisir trés vif" -
manuscrit original - sans date (vers 1912) - 15 pages format 21cmX16cm - nombreuses corrections - on joint :La bonne aventure - 7 pages dactylographiées.Les deux textes sont probablement inédits.
ODINOT (PAUL) Remiremont, Vosges 1884 - Maroc 1958. En poste au Maroc de 1912 à 1930, cet officiter des Affaires Indigènes est un de ces lettrés de l'armée Française qui ont affiché publiquement leur désaccord avec la politique du protectorat. Voir Corine Cauvin Verner in Dictionnaire des orientaliste de langue Française de François Pouillon.
manuscrit original - 107 pages format 20cmX15cm - Destiné à être publié sous le pseudonyme de Jean Frapelle, manuscrit très travaillé nombreuses corrections. Le texte est sur le thème du suicide et commence ainsi : " Il existe dans un coin du monde une maison mystérieuse, que seuls les initiés peuvent découvrir. C'est la maison du silence. Là viennent mourir tous ceux que la vie a lassé..."
ODINOT (PAUL) Remiremont, Vosges 1884 - Maroc 1958. En pste au Maroc de 1912 à 1930, cet officier des Affaires Intigènes est un de ces lettrés de l'armée Française qui ont affiché publiquement leur désaccord avec la politique du protectorat. Voir Corine Cauvin Verner in dictionnaire des orientalistes de langue Française de François Pouillon.
1 page in-12 sur papier deuil, s.l.n.d. [1891]. "Comme je suis en deuil je n'ai pu assister à la première. Mais je vois que vous avez remporté une victoire éclatante."
N.Scheuring, Editeur ( Imprimerie Perrin & Marinet) In-8°, cousu, XX- 93 pages, reliure postérieure sobre ( C.Ruban à Villefranche) entoilée brique ornée d'une étiquette de titre noire et d'un fleuron doré sur la tranche, plats muets, exemplaire portant l'Ex-libris du second acquerreur de l'ouvrage, le premier étant selon toute vraisemblance Morel de Voleine signant en garde sa propriété (attesté) - Bel exemplaire dans une reliure sans grand apparat mais de belle facture, belle fraicheur de la pagination et coins bien piquants.
Rare exemplaire- Moniale chartreusine, prieure de la Chartreuse Notre-Dame de Poleteins (à Mionnay, Ain ; moniale à partir de 1286 au moins prieure à partir de 1288 au moins ; morte le 11 février 1310, ou peut-être 1311, elle écrivit en dialecte Lyonnais et en latin. Marguerite est la fille de Guichard, seigneur d'Oingt (Rhône) : le nom d'Oingt peut donc être considéré comme son patronyme.Les écrits de Marguerite d'Oingt sont surtout connus grâce au recueil fait à la Grande Chartreuse au XIVe siècle (Grenoble, Bibliothèque municipale, ms. 5785 R).Autres mss contenant les écrits de Marguerite (en tout ou en partie) : Grenoble, ms. 5786 R (XVIIe siècle ; version française) d'où semble venir cette édition ; Grande Chartreuse, ms. 66 b ou 7 ORNA 5 (XVIIe siècle ; version française) ; ms. provençal (voir <<Bibliographie des manuscrits littéraires en ancien provençal / Clovis Brunel, 1935, n° 185 . Très Bon Etat Franco de port France jusqu'à 30 euros. MONDIAL RELAY privilégié et pays suivants desservis : Portugal, Pologne, Espagne, Allemagne, Autriche, Pays Bas, Luxembourg, Italie, Belgique. Toutes les étapes de votre achat sont accompagnées. Achat, estimations et listages France / Suisse (sur rdv).
"1994. Paris Fondation ARCH Paris-Musées et Electa Musée du Petit Palais 14 octobre 1994 au 8 janvier 1995 - Broché 24 cm x 30 cm 301 pages photos couleur pleine page - Sous la direction de Yuri Pétrosyan textes de Oleg F. Akimushkine Anas B. Khalidov et de Efim A. Rezvan glossaire bibliographie - Etat neuf"
, Leuven, Peeters, 1988., Paperback, original wrappers illustrated in color, 20x26cm, 209 pp, Illustrated in color and b/w. ISBN 9789068311303.
Corpus van verluchte handschriften / of illuminated manuscripts. Texts, illustrations and Patronage. The stylistic development of the Mosan Psalter - Hours.Gothic Manuscript Illumination in the Diocese of Liege (c.1250 -c.1330). Volume 1.(Low Countries Series 3)Series: Corpus of Illuminated Manuscripts, 3
, Leuven, Peeters, 1988., 1988 Paperback, original wrappers illustrated in color, 20X26cm, Illustrated in color and b/w. Gothic Manuscript Illumination in the Diocese of Li ge (c.1250 - c.1330). Volume 2 VIII pages. 211-518 SERIES: Corpus of Illuminated Manuscripts, 3 ISBN 9789068311310.
Corpus van verluchte handschriften / of illuminated manuscripts. Texts, illustrations and Patronage. The stylistic development of the Mosan Psalter - Hours.Gothic Manuscript Illumination in the Diocese of Liege (c.1250 -c.1330). Volume 2.(Low Countries Series 3) Series: Corpus of Illuminated Manuscripts, 3
[Olivier Larronde] - Paul GUTH - [Ossun 1910 - Ville-d'Avray 1997] - Ecrivain français
Reference : 33449
3 pages 1/3 in4 - râtures et corrections - trés bon état -
Long et rare récit d'une visite que fit Paul Guth à Olivier Larronde een 1958 - S'il osait, il parlerait de "génie"- "un antichambre obscure", "rue de Lille", longue conversation sur l'enfance du poète, sa soeur Myriam, la rencontre avec Cocteau, Christian Bérard, Alberto Giacometti,... - "Olivier Larronde vit la nuit" - Il parle de son recueil "Rien, Voilà l'ordre", anagramme de son nom, paru chez Marc Barbezat: un des sommet de la poèsie française depuis la guerre - "Mes poèmes sont faits pour être faits, non pour être lus - Ils sont un exercice de moi-même" - Il lui donne cette définition de l'art: "L'art est un usage opportun de soi-même et des moyens qui vous sont offerts pour communiquer avec les autres" -