Malibu s. d., 10,5x15cm, une carte postale.
Carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre noir, au verso d'une photo d'une plage de Malibu. "Buttons hola ! L'amérique est plein de fric, de frustrées et d'ennui. Pourtant on est très bien traités et je joue un peu le rôle de Scott Fitzgerald à Malibu.". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Edimbourg 4 octobre 1980, 10x14,5cm, une carte postale + une enveloppe.
Suggestive carte postale autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre violet, au verso d'une reproduction de sculpture représentant un satyre, enveloppe jointe. "Buttons dear. J'arrive mardi pour deux nuits à Paris - au Royale. Si tu es libre de me joindre... faites moi signed. Suis fatigué après Athens, Londres, Edinburgh! Love. Larry Durrell." Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Montréal 11 mars 1968, 13,7x21,5cm, 2 pages sur un feuillet, enveloppe jointe.
Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées au stylo sur un papier à en-être du Ritz-Carlton Hotel de Montréal. Enveloppe jointe. Durant un déplacement à Montréal, l'écrivain adresse une longue missive à sa jeune amante française, qu'il a laissée à regret dans le Midi. Il donne un avis mitigé sur la ville et ses habitants : "la ville est très belle avec les lacs glacées [sic], la neige partout ; on mange bien et on chauffe bien [...] les Quebecois sont très gentils et hospitaliers mais je sens une lourdeur d'esprit qui me rappelle Genève !" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sommières 16 octobre 1971, 13,4x20,9cm, une page, enveloppe jointe.
Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, la remerciant pour un séjour passé en sa compagnie à Liège. Onze lignes au feutre noir sur papier à en-tête personnel de l'écrivain. Enveloppe jointe. Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son roman Bitter Lemons of Cyprus (Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sommières 22 août 1969, 12,6x20,3cm, 2 pages sur 2 feuillets, enveloppe jointe.
Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, deux pages rédigées sur deux feuillets. Pliures centrales inhérentes à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain arrange pour son amante un séjour à Londres et a demandé à son éditeur Alan G. Thomas de l'accueillir : "Thomas a déjà réservé une chambre au MONTAGUE HOTEL [...] à côté du British Museum, quartier tranquil [sic] et respectable.Maisvérifiez vos dates et télégraphiez lui en avance pour qu'il refasse l'opération". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 18 juillet 1969, 21,6x28cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe.
Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à son amante Jani Brun datant du début de leur relation. Une page au stylo bille bleu. Enveloppe jointe. L'écrivain adresse ici une des premières lettres de sa correspondance avec sa jeune amie montpelliéraine, qui s'étendit sur plus de deux décennies. Encore peu habitué à la langue française, il demanda de l'aide pour traduire sa lettre : "J'espère bien mieux te connaître [...] Gérard a traduit ceci de l'anglais pour moi. Comprendrais-tu si la prochaine fois j'écrivais en anglais [...] ?" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sommières 18 juillet 1968, 21,2x13,4cm, 1 feuillet sous enveloppe.
Lettre autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun, rédigée au feutre brun, datant du début de leur relation. Pliure centrale inhérente à la mise sous pli de la missive. Enveloppe jointe. L'écrivain, en pleine écriture de son roman Tunc, donne des nouvelles à sa nouvelle amante française dans un français encore hésitant : "Enfin pour le moment pas des [sic] aventures à vous raconter. trop de travail. trop de correspondance. Mon fils (de Claude [-Marie Vincendon, épousée en1961]) est ici est [sic] aide Barbie avec les papiers. Il la trouve jolie mais moi je suis plein des [sic] sentiments peu charitables. En tous cas maintenant je n'ai plus d'excuses. Il faut vraiment reprendre ce sacré bouquin en main. Je ne serais maisentièrementmécontent de te revoir un de ces jours. si l'idée vous vient". Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Sommières 23 janvier 1970, 13x20cm, 1 page sur un feuillet, enveloppe jointe.
Lettre dactylographiée et autographe signée de Lawrence Durrell adressée à Jani Brun. Enveloppe jointe. L'amante de l'écrivain envisage un séjour à Londres ; Durrell lui donne des conseils sur les agences de babysitting : "assez ennuyeux mais on a le temps de travailler ou lire ; pour cela il faut déclarer votre intention de rester au moins 6 mois dans le pays (on peut toujours le dire !) [...] N'oubliez pas qu'il y a toujours le grand lycée Français de Londres [...]" Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance de la couronne britannique. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de son romanBitter Lemons of Cyprus(Les citrons acides), il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris, Ernest Leroux, 1916, in-4to, 62 p. + 1 feuille + ill. de 24 fig. in-t. + 4 planches (avec16 ill.) h-t. en héliogravure, envoi ms. de l’auteur: Présenté par M. le Comte Paul Durrieu à M. de Paralta Paris 25 juin 1922, relioure en d.toile aux coins sur brochure orig. Bel exemplaire.
Image disp.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Bruxelles & Paris, G. Van Oest et Cie, 1921. 80, [iv] pp. Folio (27,5 x 36,5 cm.). Contemporary half green grained morocco; spine with 5 raised bands, gilt lettered, in compartments gilt decorated with floral motive; hand made marbled boards and marbled end-papers; top edges gilt; original printed wrapper bound in; preserved in a matching slipcase. With 103 fine plates in helio-engraving, depicting 153 miniatures. Title printed in red and black.
A superb, and finely bound large paper copy, being one of the 25 copies printed on "papier la cuve des Papeteries d'Arches". A very fine faultless 'de luxe' copy. Durrieu, seigneur de lhistoire de lart mdival was one of the greatest illuminated manuscripts specialist, who wrote many standard works in that field.
1929 1 p. in-4, à son adresse imprimée du "20 Boulevard Barbès " (Paris), 13 juillet 1929. De l'influence du cinéma, art naissant, sur le théâtre. "Comme la photographie a nettoyé la peinture de ce qui n'était pas "peinture", je crois que le cinéma pourra faire apparaître dans le théâtre maintes parties, maintes habitudes qui ne sont pas "théâtre" "...
1 page in4 - bon état -
Il a reçu et renvoyé corrigées les épreuves de "Bali la fabuleuse et la charmante" et il est surpris de ne pas les trouver dans "les Oeuvres libres" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
1 page in4 - trés bon état -
"Je lis avec plaisir votre lettre: je pensais que mon texte sur Bali avait du échapper à votre attention et souhaite qu'il vous intéresse...." Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
1 page in4 - bon état -
Il espère que son texte sur Bali pourra passer trés prochainement dans les Oeuvres libres afin d'avoir ce texte à la vente des écrivains combattants - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
1 page in4 - bon état -
Il a apprécié le numéro de juillet (Oeuvres Libres), "l'un des meilleurs de la collection" - "Il s'ouvre avec l'admirable pièce de Tennessee Williams: or j'ai beaucoup connu Madame D.H. Lawrence" qu'il est allé voir au Nouveau Mexique. Il a voté pour Jacques Legray au prix des Vikings - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
1 page in4 - bon état -
Il peut alléger de quelques pages son texte sur Bali si celui ci est trop long - "Vous savez l'intérêt exceptionnel du grand public sur cette ile si charmante et si singulière" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
1 page in4 - bon état -
"J'ai publié huit volumes à la NRF, quatorze chez Flammarion"...- Il vient de finir une relation de voyage:"Bali, la fabuleuse et la charmante" qu'il envoie pensant qu'elle peut intéresser les "Oeuvres libres"- Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
1 page in-16 à son adresse imprimée "Villeneuve St Georges", 14 septembre 1869. Tout juste libéré de sa fonction de Ministre de l'Instruction publique, Victor Duruy est invité à l'inuaguration du canal de Suez par le Khédive Ismaïl Pacha. "S.S. Nubar Pacha [ministre des affaires étrangères d'Egypte] m'engage à recourir à vous pour toutes les informations nécessaires à ce voyage. Voulez-vous, Monsieur, me dire où et quand je pourrais causer quelques instants avec vous".
sd Manuscrit de cours - Sans date (19ème siècle) - In-4, demi basane rouge, 4 nerfs, caissons et titre en dor - Sans pagination (environ 400 pages) - Ecriture régulière avec marge. Nom de l'auteur manuscrit dans le coin droit de la page de titre - Belle tête de chapitre décorée (manuscrit écrit à la plume)
Bon état - Menus frottements sur le cuir
1952 1 page in-8, à l'en-tête de la Librairie Gallimard, 18 septembre 1952. "Votre interwiew était charmante, originale et spirituelle. Je ne savais pas que j'étais aussi intelligent. Merci de m'avoir fait si bien parler. Le vrai romancier, c'est vous et je me sens devenu votre personnage".
"Je souhaite que la lecture des éditos de Dutourd permette à votre cher malade de prendre sa convalescence en patience - tout en ne le faisant pas trop rire, à cause de la couture".
Paris Le Cherche-Midi, coll. "Domaine privé" 1992 1 vol. broché in-8, broché, couverture rempliée, 52 pp. Édition originale de ce délicieux recueil de quatrains inspirés de Mallarmé, ou comment faire sauter ses PV en titillant la muse ! Excellent exemplaire enrichi d'un envoi de l'auteur à Jacques Brenner, ainsi que d'une jolie lettre autographe signée (1 p. et demie in-8, à son en-tête imprimé, 26 octobre) où Dutourd adresse ses compliments au même sous la forme d'un quatrain repris dans le présent volume. En parfaite condition.
Carte format 11 x 15 cm + enveloppe - trés bon état -
"Flammarion t'a fait une édition épatante de ta littérature. Tu as une couverture de grand classique. C'est trés impressionnant.".... Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Paris 22 juin 1979, 13,5x21cm, 2 pages sur une feuille.
Lettre autographe signée de Jean Dutourd à Jean Rimeize, écrite à l'encre noire, enveloppe jointe. Date en haut de la lettre et signature de Jean Dutourd au bas de la lettre, adresse parisienne de Jean Dutourd sur l'enveloppe. Trace de pliure inhérente à l'envoi postal. L'académicien envoie cette lettre pour remercier son destinataire pour le papier qu'il a écrit suite à une rencontre entre les deux hommes. Jean Dutourd écrit qu'il fera relier cet article dès qu'il le pourra. - Photos sur www.Edition-originale.com -
, , 1712. Manuscrit petit in-4 (15 x 20 cm) à 18 lignes par page d'une écriture lisible à l'encre brune de (6)-119 pp. chiffrées 117 (page 35bis), veau brun, dos orné à nerfs, tranches marbrées (reliure de l'époque).
Premier état manuscrit daté 1712 du volet financier de la Pratique universelle de Nicolas Duval, publié en 1725.Fils du calligraphe Nicolas Duval mort en 1701, l'arithméticien Nicolas II Duval fut lui-même reçu en 1696 maître-écrivain. En 1720, le duc du Maine s'attacha ses services. Cinq ans plus tard Duval publia sous son nom la somme de ses expériences de secrétaire, d'arithméticien et de maître-écrivain dans Pratique universelle des sciences les plus nécessaires au commerce et à la vie civile (Paris, A. X. R. Mesnier), 7 parties en un volume in-folio dont un Traité de l'écriture avec de nombreux exemples de calligraphie et les Elemens de finances. Cette partie financière fut consignée une première fois sans suite par écrit en 1712, sous le voile de l'anonyme. Treize ans plus tard quand paraîtra la première édition avec privilège accordé à Nicolas Duval, les titres de chapitres seront repris à la lettre mais dans un ordre différent tandis que les définitions certes développées emploieront les mêmes formules que dans la copie manuscrite : Revenus du Roy ; Domaines ; Recettes générales des finances de quelle manière se fait l'imposition de la taille ; Fonctions d'un receveur des tailles ; (fonctions) du receveur général des finances ; Capitation ; Des deniers communs ; Bois ; Fermes ; Parties casuelles ; Dons gratuits ; Rentes de nouvelle création ; Augmentation des gages nouvellement créés ; Trésor Royal ; Depenses du Trésor royal ; Chambre des comptes et officiers qui la composent ; Fonctions des maîtres des copmtes - des correcteurs - des auditeurs ; De la manière qu'un auditeur doit procéder à l'examen d'un compte de quelque nature qu'il soit ; Examen de recette ; Examen de dépense ; Du compte des domaines et bois d'une généralité ; Dépense du compte ; Instruction pour la régie des vivres et munitions ; La quantité de ration qui se fournissent aux officiers suivant leur qualité.En 1736, la première édition séparée mais de nouveau anonyme (par le Sieur D…) fut publiée sous le titre Elemens de Finances, contenant des instructions necessaires pour les personnes qui sont dans les emplois et pour celles qui y aspirent, particulièrement dans les Domaines du Roy, dans les Fermes, Traites foraines, Tailles, Gabelles, Aydes & Entrées, Tabac, Postes, Tresor Royal, Parties casuelles, & Etapes, Droits de Monneage, Dons Gratuits, Deniers extraordinaires, Capitation, Dixieme, Deniers communs, Vivres & munitions. On y a joint plusieurs modèles de comptes, états et bordereaux gravés et des modèles de lettres et d'arrêts du Conseil. Avec un Dictionnaire etimologique et historique, des finances (Paris Mesnier, 1736). C'est cette édition que retiendront les bibliographies spécialisées qu'elles attribuent sans commentaire à "Duval". On y retrouve le texte complet de l'édition 1725, lui-même issu de l'ébauche manuscrite de 1712 - considérablement remaniée et augmentée vingt-quatre ans plus tard.Rare ébauche d'un livre rare, rédigée sans nom d'auteur dans les dernières années du règne de Louis XIV et publiée par Nicolas Duval sous la Régence.Belle copie complète, avec très peu de ratures. Ex-libris manuscrit à l'encre du temps M. Dupuiz de Rosiere suivi de la même main sous le titre de la mention (Elemens de finance) ou Memoire Général sur les finances. Reliure frottée, sans la pièce de titre sur le dos.Pour l'édition de 1736 : INED, 1700 ; Stourm, 98 ; Coquelin Guillaumin ; Quérard, II, 741.