5 janvier 1950, à propos de l'Académie de Marine; 29 janvier 1950; 11 mai 1950; 10 juin 1950, il n'a plus le discours qu'il a prononçé à la Sorbonne et ne veut pas se rendre à Rochefort; 26 juin 1950, il est navré de la tournure qu'a pris la commémoration de Rochefort; 4 octobre 1950, il rentre de Turqie; 18 octobre 1950, il est malade et souhaiterait que Laplaud fasse le nécessaire pour que Henri Borgeaud soit honoré; 6 décembre 1950; 31 juillet 1951, il veut écrire quelquechose pour le Livre d'Or de Loti; 7 août 1951, le Livre d'Or ne sera pas fait; 25 janvier 1952, il félicite Laplaud pour le bulletin; 7 mars 1952, Laplaud semble démissionner de l'Association; 3 juillet 1953, Laplaud se rend en Turquie; 20 octobre 1953; 26 novembre 1953, importante critique littéraire du livre de Laplaud sur Loti, il parle de Zola, Flaubert, Valéry ..; 23 décembre 1953. Ensemble de 16 lettres dactylographiées et signées adressées à Laplaud. Toutes ces lettres comportent la belle signature de Claude Farrère. En feuilles Très bon 1950-1953 1 plaquette in-8°
édition originale
1940 [circa octobre 1940] Manuscrit autographe de 9 ff. in-4 anopistographes (environ 30 lignes par page), signé in-fine.
Quelques ratures. Un manuscrit, probablement inédit, très lisible. Dans ce projet d'article, Claude Farrère évoque longuement l'invasion japonaise de la Chine puis la récente invasion du Haut Laos et du Haut Tonkin. Il prévoit une extension du conflit, car les bases navales de l'Indochine coupent Hong-Kong de Singapour et remarque qu'une "extension des conflits actuels ôterait à la planète le peu de chances qui lui restent de jamais retrouver une paix durable et une civilisation basée sur le droit, la justice, l'ordre et la liberté". L'article se termine par des considérations sur les bienfaits apportés par la colonisation française de l'Indochine, respectueuse des croyances, des moeurs et des trésors culturels. Et Claude Farrère de conclure : "J'ai peur que leur bonheur [celui des "populations douces et naïves du Cambodge, du Laos, de l'Annam et du Tonkin"], hélas ! ne soit fini." Quelques rousseurs et plis, sans aucune gravité.
Paris, Henri Jonquières, "Les Beaux Romans", 1923 ; in-8 ; très large demi-maroquin bleu marine, dos à deux larges nerfs plats centraux encadrés d'un triple filet doré (galon d'officier), papier bleu-pétrole peint à la main sur les plats, listel doré entre le maroquin et le papier, gardes de papier peint bleu-nuit, couverture illustrée et dos conservés, non rogné (Creuzevault) ; (4), II, 361, (5) pp., (1) f. bl. ; dessins mis en couleurs à la main, au pochoir et au pinceau.
Exemplaire sur Rives, imprimé pour M. Claude Farrère ; ENVOI AUTOGRAPHE SIGNE de l'auteur "à Monsieur Pierre Guimier, au nom de ces Écrivains Combattants de France qui le remercient avec émotion de son geste généreux, et avec la vive sympathie de son collaborateur et ami, [signé] Claude Farrère". De son vrai nom Frédéric-Charles Bargone, Claude Farrère (1876-1957) est né à Lyon ; après une carrière comme officier de marine, il se consacra à la littérature ; prix Goncourt en 1905, il est l'ami de Pierre Louÿs, Victor Segalen et Pierre Loti qui fut son parrain littéraire ; comme celui-ci, il fut un admirateur de la Turquie et du Japon. En 1932, en s'interposant entre le Président Doumer et Gorguloff son assassin, il fut blessé de deux balles dans le bras. Dès 1933, il fut un militant actif de la protection des intellectuels juifs et demanda qu'ils soient accueillis en France ; en 1935, il fut élu à l'Académie Française. Après la guerre, il fut membre de l'Association pour défendre la mémoire du maréchal Pétain ; il fut aussi le Président de l'Association des Écrivains Combattants de France. Très bel ouvrage, bien illustré, dans une reliure originale et sobre du grand maitre relieur, Creuzevault, en bel état.
Phone number : 06 60 22 21 35
Cet important tapuscrit (3 pages)a été publié dans le numéro spécial de la revue Mercure de Flandre consacré à Pierre Loti ( janvier-février 1931). On joint une très belle lettre signée dans laquelle Farrère évoque tristement la cérémonie de l'apposition d'une plaque sur la maison de Loti. En feuilles Très bon Paris 1930-1934 3 pages in-4° et 1 page in-4°
Paris, Ernest Thorin 1886 tome premier (des 2): xxi + 263pp., 24cm., édition originale de 1886, dans la série "Bibliothèque des écoles françaises d'Athènes et de Rome" fasc.43, br.orig. (dos restauré), exemplaire du savant belge Buytaert O.F.M., qqs.soulignements à l'encre de sa main, texte en bon état, R75111
Sans lieu 1862 in 4 (22x17,5) 1 volume relié demi chagrin rouge de l'époque, dos à nerfs, soulignés de filets de points dorés, 525 pages manuscrites époque d'une fine et lisible écriture, de la page 1 à 479: texte manuscrit, pages 475 à 490 vierges, et de la page 491 à 523: importante table des matiéres détaillant les noms de plantes. Henri Fau, pharmacien, lauréat de l'école de Montpellier. Bel exemplaire ( Photographies sur demande / We can send pictures of this book on simple request )
Très bon Couverture rigide
Faulkner, William (Iconographie choisie et commentée par M. Mohrt)
Reference : 47260
(1995)
Gallimard Cuir Paris 1995
Très bon In-12. 289 pages. Sous étui illustré. Coll. "Bibliothèque de la Pléiade".
FAURE, Chef de Bataillon de la Trentième demi-brigade d'Infanterie Légère
Reference : 27677
(1799)
Une pièce in-folio de 4 pp. et 1 f. inséré
On trouve mentionnée les dates de Pluviôse, du 3 Germinal an 7 (23 mars 1799) et du 26 fructidor (à Marseille). Milan fit sa reddition devant les troupes coalisées en juin 1799. Etat très satisfaisant (lég. mouill. et qq. petits mq. en pliure n'affectant pas le texte)
Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]
Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.
1 page in-8, "147 Bd St Germain" Paris, [6 mai 1921], marques postales au verso. A propos de son article « Esthétique du machinisme » paru dans La Revue de Genève (avril 1921, n° 10, p. 481-502) qu'il a "longtemps médité". Il signale avec précision "une déplorable coquille" qui ôte tout son sens à un chapitre entier. "Il est toujours agréable d'être intelligemment éreinté et vous savez avec quelle jubilation j'ai accueilli le massacre de Varagnac". Il évoque un article de Paul Souday paru dans Le Temps et commente, cassant : "il est trop bête, et de plus, de mauvaise foi".
1 page in-12, en-tête du Sénat. Il écrit, en provençal, à son cher secrétaire (le félibre Bruneau) pour soutenir sa candidature au Consistoire félibréen. On joint une carte postale le représentant. Très bon Paris Paris, 25 juin 1908. L.A.S.
1 page in4 + enveloppe - bon état -
Il remercie "pour cet adorable corbillon qui contenait tout - même ton coeur" - Il lui envoie tous ses voeux de bonheur et de réussite -
FAVALELLI Max - [1905 - 1989] - Journaliste français - concepteur de mots-croisés
Reference : GF16072
1 page in4 - trés bon état -
Il vient d'avoir de ses nouvelles: "..je sais que tu conquiers l'Espagne et les Espagnols. Et que tu enfermes Don Juan dans les fers"..."Paris sans toi n'est plus Paris, cela va de soi"...
, , 1834 ca. Manuscrit in-4 (20 x 26 cm) à l'encre brune de (6)-257 pp. à 36 lignes par page, titre dans un encadrement, maroquin vert à grains longs, dos lisse orné, filet et frise dorés d'encadrement sur les plats, fleurons d'angle et au centre des plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Manuscrit définitif accompagné d'un avant-propos et de notes de l'auteur inédits, remaniés pour l'édition originale publiée en 1834. Épopée en vers commencée en 1789, tandis que l'ancien conseiller au Parlement de Paris Edmond de Favières (1755-1837) se lançait dans la carrière dramatique et créait durant la décennie révolutionnaire les pièces Paul et Virginie, comédie en trois actes et en prose (1791) Les Espiègleries de garnison, comédie en trois actes (1792) Lisbeth, drame lyrique en trois actes et en prose (1797) Elisca ou l'Amour maternel, drame lyrique en trois actes (1799) Fanny Morna, ou l’Écossaise, drame lyrique en trois actes (1799) etc. Dans l'avant-propos qui ne fut pas conservé dans l'édition, le dramaturge devenu sur le tard maire de Banthelu (Val d'Oise) livre la confession émouvante d'un oublié de la République des Lettres - il meurt en 1837, trois ans après la publication de Monfort : Je n'ai ni la soif de la gloire ni celle de la fortune. Je suis très obscur et je ne cherche point du tout à occuper de moi ni le siècle présent ni les siècles futurs, je voulais employer les immenses loisirs auxquels la Révolution m'a condamnés depuis 1789 ayant perdu mon état et presque toute ma fortune (…) l'excellent Bernardin de St Pierre que je n'ai rencontré qu'une fois en société mais avec qui j'aurai voulu vivre (…) je me sentais entraîné vers cet aimable vieillard, je lui devais de la reconnaissance, car c'est à lui que j'ai dû mon premier succès de théâtre. J'avais osé mettre en scène un de ses plus jolis ouvrages Paul et Virginie, son nom m'a porté bonheur, je lui ai dû toute ma gloire avant de recevoir de lui une lettre charmante que je laisse à mes enfants comme mon plus beau titre (…) mes chers amis, vous à qui j'offrirai ma nouvelle soyez aussi indulgent que l'admirable auteur des Études la Nature, ce sera pour moi la plus douce des récompenses. Coiffes et coins frottés. Joint :Monfort, ou Comme on aimait jadis ! nouvelle en 12 chants, en vers, par Ed. de Favières. 1789, Mantes, A.-L. Forcade, 1834. In-8 broché de (4)-II-VII-314-(1) pp., couverture imprimée. Édition originale rehaussée d'un envoi autographe signé de l'auteur à sa très aimable et très spirituelle voisine Clara de Bovy… avec quelques corrections autographes et renvois en bas de page, Exemplaire défraîchi, dos fendu avec perte de papier.Gay, III, 274 ; Bourquelot, III, 474 pour la deuxième édition de 1836, supputant par erreur la date de 1789 pour l'édition originale.
L.A.S. d'une page à en-tête de la Librairie Nouvelle, A. Bourdilliat et Cie, datée de 1858 : "Mon Cher Aucante, Si vous voulez m'envoyer le manuscrit d'Erckmann, ainsi que la nouvelle qui complètera le volume, je le soumettrai à M. Bourdilliat, et je pense que je le déciderai à traiter aux conditions que je vous ai indiquées l'autre jour. Bien à vous"
Intéressante lettre adressée à Emile Aucante, secrétaire et homme d'affaire de George Sand, où l'on fait référence à un roman d'Erckmann (Erckmann-Chatrian), très certainement "L'illustre Docteur Mathéus", recueil de 6 nouvelles paru en 1859 chez Bourdilliat.
FAYE Pierre Polycarpe (Bourbon-l'Archambault 1776 - Marigny 1840).-
Reference : ORD-16676
Bourbon l'Archambault. 24 décembre 1808. 8 pages in-4 manuscrites auxquelles on joint l'inventaire après décès de M. Joseph Philippe Thonier, acte fait en 1840-1841, d'une maison qui semble avoir été celle de Faye, ces 2 maisons étant situées dans la rue allant à l'église paroissiale dans le 1er acte et dans l'inventaire dans la grande rue qui monte à la paroissiale, les 2 documents provenant de la même succession. L'Inventaire est constitué de 60 ff. sous cartonnage bleu, dos toile brune un peu abîmé.
Pierre Polycarpe Faye était docteur en médecine, inspecteur des eaux thermales dudit Bourbon, il est l'auteur d'un Nouvel Essai sur les Eaux Thermales et Minérales de Bourbon l'Archambault en 1804.
"Inconnu. 1893. In-4. Cartonné. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Cahier manuscrit d'une vingtaine de pages, avec dessins originaux couleur aquarellés par ""l'élève brigadier Alfred Fayolle, engagé volontaire le 19 novembre 1892"". L'élève a exécuté en couleur lui-même les croquis des travaux préparatoires, avec une description manuscrite. Contient les descriptions et dessins peints à la main des assouplissements, sauts, barres parallèles, voltige sur le cheval de bois, boxe, bâton et canne, du travail préparatoire à cheval (sauter à cheval et à terre, assouplissements de pied ferme, rotation de la cuisse, flexion des pieds, reprises en marche). Exemplaire unique. Une légère déchirure en pied d'une page.. . . . Classification Dewey : 91-Manuscrits"
Sont joints avec ce volume trois autres volumes issus de la même adresse: un cahier manuscrit avec des explications sur l'utilisation et la distribution du courant électrique, un cahier manuscrit avec des notes et croquis technologiques (150 pages environ), et un cahier (cartonné, à l'italienne), contenant des explications sur la valeur d'un angle en degrés, minutes et secondes, avec des tables. Le tout est manuscrit et original. Classification Dewey : 91-Manuscrits
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25324
2 pages in12 - bon état -
Remerciements pour des voeux - Il a pu ramener sa femme de Clermont mais elle n'a pas retrouvé l'usage complet de ses jambes - Lui est toujours "assomé par la Présidence de la Commission des décorations": "je n'y tiendrais pas si je n'avais de temps à autres des prises d'air salubres à l'étranger"- Il lui demande de passer le voir au 4 bis du boulevard des Invalides -
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25325
2 pages in12 - En-tête: Le Maréchal Fayolle -
Voeux - "Savez vous que je suis devenu votre voisin au 18 avenus de la Bourdonnais?" - Ils pourront se voir plus souvent et parler de la guerre et de la paix - "Quelle misère que notre victoire soit si mal récompensée ...et payée!" - Il reste optimiste -
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25326
2 pages in12 - En-tête: Le Maréchal Fayolle -
Voeux - "Enfin, vous voilà de retour!" - Il se demandait ce qu'il faisait à Dreux - "la tranquilité et le charme de la vie à la campagne" - Il souhaite le revoir -
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25327
En-tête: Le Maréchal Fayolle - 1 page in12 -
"Soit! allons pour ciboulette; mais à la condition que vous et madame ...veniez avec nous. Sans cela, ou serez le plaisir?" - Rendez vous? -
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25328
En-tête: Le Maréchal Fayolle - 1 page in12 -
Il vient de remercier Boutet de Monvel - Sa femme va mieux malgré les crises de douleur due au mauvais temps - Il organiserons une prochaine soirée -
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25329
2 pages in12 - En-tête: Le Maréchal Fayolle -
Voeux - Il vont se voir - "Je vais beaucoup mieux et je me considèrerais comme guéri si je n'étais pas encore astreint à un régime sévére que j'observe d'ailleurs sans ennui ni envie" -
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25331
2 pages in8 - En-tête: Le Maréchal Fayolle -
A propos d'un voyage: il lui conseille d'aller voir le général Degoutte à Mayence pour lequel il lui donne un mot d'introduction - "Nul n'est plus que lui en mesure de vous recommander à qui de droit" -
FAYOLLE Maréchal - [Le Puy-en-Velay 1852 - Paris 1928] - Maréchal de France
Reference : GF25332
En-tête: Le Maréchal Fayolle - 2 pages 1/2 in8 -
Voeux - Il sera heureux de le revoir à Paris et de parler de son voyage en Italie - "Pourquoi n'irions nous pas ensemble à Rome?" dès qu'il sera rétabli - "Quelle source de joie ce serait pour nous que de revoir ensemble les merveilles de Florence, de Rome, de Naples!" - Peut être même partir à Jérusalem et revenir par l'Italie -